Sir Eric 6
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sir Eric 6
Une fois les bagages faits et mis dans la malle arrière du cabriolet et la valise de Steve sur le petit siège arrière j'ai filé sans remords de l'université vers chez Dorothée.
J'ai laissé Steve garder la voiture et dès l'entrée, c'est elle qui a ouvert me tirant à l'intérieur. A près un baiser fougueux qui nous a laissé sans souffle, elle m'a dit qu'une de ses femmes allait l'accompagner à la gare dans un cab et même faire le voyage avec elle comme duègne. Elle a souri à ce mot.
-Tu parles, elle lèche super bien et en attendant les fiançailles elle va nous accompagner lors de nos rencontres. Avec elle, pas de problèmes. Etant collé à elle, elle ne pouvait ignorer mon sexe gorgé de sang et sachant son amie occupée à l'étage elle s'est renversée sur la table, soulevant jupe et jupons, nus dessous sexe entrouvert à ma disposition. Je me suis d'abord engouffré dans son abricot pour rendre ma queue plus glissante et l'ai juste après, sodomisée comme elle aimait, à coups doux et lents puis fort et frappant mes couilles contre ses fesses. Elle me fixait des yeux , tout à son don de soi et à notre plaisir mutuel. Je me suis fini dans sa raie, m'excusant de ma hâte.
-Mais non mon ami, une charge de hussard ne fait pas peur à l'écossaise que je suis. Elle a éclaté de rire n'ayant pas l'amour triste.
Je suis fou dès que je vous vois. J'étais venu un peu pour ça c'est vrai mais vous prévenir que je prenais la route pour la maison.
-Arrêtez vous donc en route, de la côte est jusqu'à l'ouest, avec l'état nos routes!
Ne vous inquiétez pas j'emmène avec moi le boy du bahut qui de toutes façon ne pouvait plus rester, ses parents ne pouvant pas se permettre de continuer une telle dépense. Vous aurez l'occasion de le rencontrer, il restera comme homme de service, je my suis attaché.
-Voyou! Attaché? Vraiment?
Lui, plutôt m'est attaché mais encore un peu jeune il faudra attendre un peu pour l'usage que je pense en faire.
-Oui je vois. Vous pensez déjà à l'avenir.
Il y a le présent, c'est toi, l'avenir, c'est encore toi et il peut et j'espère qu'il y aura pleins de toi ET d'autres.
-Gros cochon que j'aime! File avant que je te viole.
-Tu ne peux pas, je suis consentant!
-Salaud t'as gagné je suis toute mouillée.
Hum j'ai glissé les doigts, c'est ma foi vrai. Il va falloir attendre mais ça n'en sera que meilleur. J'avais remis mon pantalon et j'ai reçu un coussin sur la tête.
-Tiens, futur sans coeur.
Je suis sorti en riant croisant sa copine qui venait voir le pourquoi des cris. Elle allait la calmer. Steve attendait curieux il m'a demandé d'où sortait les cris.
Ho tu verras plus tard , le mariage est merveilleux, c'était ma fiancée. J'ai démarré et on est sorti de la ville. On était au mois de mai dans les jours les plus longs mais malgré cela on avançait pas très vite, la route , sortie de la ville était encore souvent un chemin de terre un peu large pour se croiser et on a du souvent s'arrêter pour remplacer la chambre à air.
Heureusement après lui avoir montré , Steve s'est trouvé assez habile pour remplacer la chambre à air seul. A de rares endroits près des villages important la route était macadamisée et j'ai trouvé aussi des chambres à air supplémentaires. Mon cabriolet n'était pas conçu pour la charge des bagages. Le jour commençait à baisser quand on est arrivé à peu près à mi chemin dans un petit bourg avec une auberge. Il y avait une chambre disponible mais avec un seul lit. Le patron m'a indiqué un hangar fermé pour remiser la voiture et s'st muni chacun d'un simple sac que nous sommes montés à l'étage.
La chambre était propre mais minuscule avec un broc et une cuvette derrière un paravent. Une minuscule fenêtre donnait sur le pignon et le hangar. Il allait falloir s'accommoder du peu. Steve m'a aussitôt dit qu'il dormirait sur le tapis au pieds du lit.
On verra tout à l'heure descendons manger.
La salle était petite mais propre avec un bar de l'autre coté. Une fois assis on nous a amené de suite de la bière brune presque noire faites localement .Le patron en était fier. Il nous a proposé Des filets de truites du loch simplement fumée et un ragout de mouton pour suivre. Visiblement il n'avait que ça au menu et j'ai accepté.
Steve ne se méfiait pas et buvait à petites lampées la bière lourde mais légèrement sucrée. Dans chaque phrase il me donnait du sir à tout moment. Les filets de truite m'aurait suffit mais quand le ragoût est arrivé dans sa petite marmite l'odeur du mouton m'a redonné faim. Un deuxième de bière est arrivé en même temps et j'ai bien vu Steve rouge de plaisir , n'ayant bu que de la petite bière jusque là et en petite quantité. Il devenait bavard , parlant plus fort. Il était temps de monter à la chambre.
En se levant il a du s'accrocher à la table et je l'ai monté dans la chambre. Il ne tenait pas du tout l'alcool. et je l'ai laissé cuver et s'endormir habillé me lavant comme je pouvais derrière le paravent. Le lit était mou, creux au centre j'ai mal dormi et au matin j'avais réussi à m'endormir quand j'ai senti une bouche entourer mon sexe. Dans un demi rêve j'imaginais Dorothée et j'ai joui en ouvrant les yeux , découvrant Steve sur ma queue.
Toi tu ne mérites pas ça! Tu étais lamentable hier soir, j'ai du t'aider à monter.
-Je m'en souviens un peu, sir. Je ne suis pas habitué à cette bière et j'étais heureux de partir du bahut.
Descend te passer la tête sous l'eau et remonte le broc plein. Lave tes dents et ta bouche, tu pues l'ivrogne. Après ma toilette avec l'eau ramenée je me suis habillé seul et on est descendu prendre une collation. Thé, pain beurre et saumon fumé. Steve n'a pratiquement rien mangé mais bu pas mal de thé. On a remis les sacs à l'arrière de la voiture pour reprendre la route après avoir réglé l'aubergiste.
Il restait encore un bout de chemin, comment appeler cela une route. On a assez vite crevé et pendant que je restais dans la voiture il est descendu sous le crachin réparer la roue. Avant de remonter je lui ai fait sortir une serviette et se dessaper sauf le caleçon, je ne voulais pas tacher les sièges en cuir.
Ce petit con était amusant, les mains posées entre ses cuisses pour cacher, quoi en fait! Son sexe? J'ai eu l'explication quand pour éviter un troupeau de mouton j'ai freiné brutalement. Il a du s'accrocher et n'a pas caché son érection.
Reste comme ça les mains de chaque coté! Ne me dis pas que c'est la faute aux vibrations! En le matant je n'ai pu évier un caillou qui a à nouveau crevé la roue avant. C'est de ta faute et cette fois tu changes la chambre à air nu!
Il a fait glisser son caleçon avant de descendre, montrant bien involontairement ses fesses. Cette fois c'est moi qui bandait! La vache! Simplement la vue de fesses de garçon me faisait cet effet alors que je venais de quitter Dorothée depuis la veille.
Ce petit salaud prenait plaisir à évoluer nu sous le crachin froid montrant sans aucune vergogne sa queue et ses fesses. En fait de dos il avait des hanches un peu féminines car vraiment pas gras on voyait l'os du bassin saillir de chaque coté.
-Voilà j'ai fini. il s'essuyait et me regardant, souriant. Autant que je ne remette pas le caleçon il sera sec comme ça. Nu avec la fraicheur son sexe revenu à des proportions normales j'étais encore troublé mais différemment.
Quand on est arrivé à la limite du domaine familial je l'ai fait rhabiller. Mon père soucieux de son domaine avait fait une route convenable. Après quelques kilomètres dans les bois et bruyères on est arrivé au manoir. Un des serviteurs de mon père m'a ouvert la porte, souriant.
-Bienvenue sir, votre père vous attend au salon.
J'avais reconnu Georges un des plus anciens de la maisonnée.
Occupez vous des bagages et trouvez des vêtements secs pour ce jeune qui restera ici comme mon domestique.
Il l'a détaillé condescendant quand il est descendu. Aller aide moi à sortir les bagages je vais te montrer les lieux.
Moi je suis entré dans le salon accueilli par mon père . Celui ci avait vieilli depuis la dernière fois et s'est juste soulevé de son fauteuil en s'appuyant sur les accoudoirs.
-Hé oui, je vieillis , ne me regarde pas comme ça. Ce phénomène arrive à tous. Mais je monte encore à cheval, et on ira faire un tour jusqu'au village qu'ils te connaissent.
J'ai laissé Steve garder la voiture et dès l'entrée, c'est elle qui a ouvert me tirant à l'intérieur. A près un baiser fougueux qui nous a laissé sans souffle, elle m'a dit qu'une de ses femmes allait l'accompagner à la gare dans un cab et même faire le voyage avec elle comme duègne. Elle a souri à ce mot.
-Tu parles, elle lèche super bien et en attendant les fiançailles elle va nous accompagner lors de nos rencontres. Avec elle, pas de problèmes. Etant collé à elle, elle ne pouvait ignorer mon sexe gorgé de sang et sachant son amie occupée à l'étage elle s'est renversée sur la table, soulevant jupe et jupons, nus dessous sexe entrouvert à ma disposition. Je me suis d'abord engouffré dans son abricot pour rendre ma queue plus glissante et l'ai juste après, sodomisée comme elle aimait, à coups doux et lents puis fort et frappant mes couilles contre ses fesses. Elle me fixait des yeux , tout à son don de soi et à notre plaisir mutuel. Je me suis fini dans sa raie, m'excusant de ma hâte.
-Mais non mon ami, une charge de hussard ne fait pas peur à l'écossaise que je suis. Elle a éclaté de rire n'ayant pas l'amour triste.
Je suis fou dès que je vous vois. J'étais venu un peu pour ça c'est vrai mais vous prévenir que je prenais la route pour la maison.
-Arrêtez vous donc en route, de la côte est jusqu'à l'ouest, avec l'état nos routes!
Ne vous inquiétez pas j'emmène avec moi le boy du bahut qui de toutes façon ne pouvait plus rester, ses parents ne pouvant pas se permettre de continuer une telle dépense. Vous aurez l'occasion de le rencontrer, il restera comme homme de service, je my suis attaché.
-Voyou! Attaché? Vraiment?
Lui, plutôt m'est attaché mais encore un peu jeune il faudra attendre un peu pour l'usage que je pense en faire.
-Oui je vois. Vous pensez déjà à l'avenir.
Il y a le présent, c'est toi, l'avenir, c'est encore toi et il peut et j'espère qu'il y aura pleins de toi ET d'autres.
-Gros cochon que j'aime! File avant que je te viole.
-Tu ne peux pas, je suis consentant!
-Salaud t'as gagné je suis toute mouillée.
Hum j'ai glissé les doigts, c'est ma foi vrai. Il va falloir attendre mais ça n'en sera que meilleur. J'avais remis mon pantalon et j'ai reçu un coussin sur la tête.
-Tiens, futur sans coeur.
Je suis sorti en riant croisant sa copine qui venait voir le pourquoi des cris. Elle allait la calmer. Steve attendait curieux il m'a demandé d'où sortait les cris.
Ho tu verras plus tard , le mariage est merveilleux, c'était ma fiancée. J'ai démarré et on est sorti de la ville. On était au mois de mai dans les jours les plus longs mais malgré cela on avançait pas très vite, la route , sortie de la ville était encore souvent un chemin de terre un peu large pour se croiser et on a du souvent s'arrêter pour remplacer la chambre à air.
Heureusement après lui avoir montré , Steve s'est trouvé assez habile pour remplacer la chambre à air seul. A de rares endroits près des villages important la route était macadamisée et j'ai trouvé aussi des chambres à air supplémentaires. Mon cabriolet n'était pas conçu pour la charge des bagages. Le jour commençait à baisser quand on est arrivé à peu près à mi chemin dans un petit bourg avec une auberge. Il y avait une chambre disponible mais avec un seul lit. Le patron m'a indiqué un hangar fermé pour remiser la voiture et s'st muni chacun d'un simple sac que nous sommes montés à l'étage.
La chambre était propre mais minuscule avec un broc et une cuvette derrière un paravent. Une minuscule fenêtre donnait sur le pignon et le hangar. Il allait falloir s'accommoder du peu. Steve m'a aussitôt dit qu'il dormirait sur le tapis au pieds du lit.
On verra tout à l'heure descendons manger.
La salle était petite mais propre avec un bar de l'autre coté. Une fois assis on nous a amené de suite de la bière brune presque noire faites localement .Le patron en était fier. Il nous a proposé Des filets de truites du loch simplement fumée et un ragout de mouton pour suivre. Visiblement il n'avait que ça au menu et j'ai accepté.
Steve ne se méfiait pas et buvait à petites lampées la bière lourde mais légèrement sucrée. Dans chaque phrase il me donnait du sir à tout moment. Les filets de truite m'aurait suffit mais quand le ragoût est arrivé dans sa petite marmite l'odeur du mouton m'a redonné faim. Un deuxième de bière est arrivé en même temps et j'ai bien vu Steve rouge de plaisir , n'ayant bu que de la petite bière jusque là et en petite quantité. Il devenait bavard , parlant plus fort. Il était temps de monter à la chambre.
En se levant il a du s'accrocher à la table et je l'ai monté dans la chambre. Il ne tenait pas du tout l'alcool. et je l'ai laissé cuver et s'endormir habillé me lavant comme je pouvais derrière le paravent. Le lit était mou, creux au centre j'ai mal dormi et au matin j'avais réussi à m'endormir quand j'ai senti une bouche entourer mon sexe. Dans un demi rêve j'imaginais Dorothée et j'ai joui en ouvrant les yeux , découvrant Steve sur ma queue.
Toi tu ne mérites pas ça! Tu étais lamentable hier soir, j'ai du t'aider à monter.
-Je m'en souviens un peu, sir. Je ne suis pas habitué à cette bière et j'étais heureux de partir du bahut.
Descend te passer la tête sous l'eau et remonte le broc plein. Lave tes dents et ta bouche, tu pues l'ivrogne. Après ma toilette avec l'eau ramenée je me suis habillé seul et on est descendu prendre une collation. Thé, pain beurre et saumon fumé. Steve n'a pratiquement rien mangé mais bu pas mal de thé. On a remis les sacs à l'arrière de la voiture pour reprendre la route après avoir réglé l'aubergiste.
Il restait encore un bout de chemin, comment appeler cela une route. On a assez vite crevé et pendant que je restais dans la voiture il est descendu sous le crachin réparer la roue. Avant de remonter je lui ai fait sortir une serviette et se dessaper sauf le caleçon, je ne voulais pas tacher les sièges en cuir.
Ce petit con était amusant, les mains posées entre ses cuisses pour cacher, quoi en fait! Son sexe? J'ai eu l'explication quand pour éviter un troupeau de mouton j'ai freiné brutalement. Il a du s'accrocher et n'a pas caché son érection.
Reste comme ça les mains de chaque coté! Ne me dis pas que c'est la faute aux vibrations! En le matant je n'ai pu évier un caillou qui a à nouveau crevé la roue avant. C'est de ta faute et cette fois tu changes la chambre à air nu!
Il a fait glisser son caleçon avant de descendre, montrant bien involontairement ses fesses. Cette fois c'est moi qui bandait! La vache! Simplement la vue de fesses de garçon me faisait cet effet alors que je venais de quitter Dorothée depuis la veille.
Ce petit salaud prenait plaisir à évoluer nu sous le crachin froid montrant sans aucune vergogne sa queue et ses fesses. En fait de dos il avait des hanches un peu féminines car vraiment pas gras on voyait l'os du bassin saillir de chaque coté.
-Voilà j'ai fini. il s'essuyait et me regardant, souriant. Autant que je ne remette pas le caleçon il sera sec comme ça. Nu avec la fraicheur son sexe revenu à des proportions normales j'étais encore troublé mais différemment.
Quand on est arrivé à la limite du domaine familial je l'ai fait rhabiller. Mon père soucieux de son domaine avait fait une route convenable. Après quelques kilomètres dans les bois et bruyères on est arrivé au manoir. Un des serviteurs de mon père m'a ouvert la porte, souriant.
-Bienvenue sir, votre père vous attend au salon.
J'avais reconnu Georges un des plus anciens de la maisonnée.
Occupez vous des bagages et trouvez des vêtements secs pour ce jeune qui restera ici comme mon domestique.
Il l'a détaillé condescendant quand il est descendu. Aller aide moi à sortir les bagages je vais te montrer les lieux.
Moi je suis entré dans le salon accueilli par mon père . Celui ci avait vieilli depuis la dernière fois et s'est juste soulevé de son fauteuil en s'appuyant sur les accoudoirs.
-Hé oui, je vieillis , ne me regarde pas comme ça. Ce phénomène arrive à tous. Mais je monte encore à cheval, et on ira faire un tour jusqu'au village qu'ils te connaissent.
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