Société de nettoyage - histoire érotique

Société de nettoyage de fond en comble
Je suis employé d'une société de nettoyage pour les bureaux, les locaux commerciaux d'entreprises. Pour ma part je m'occupe du nettoyage des vitres et baies vitrées. La société a signé des contrats de maintenance avec les entreprises. Le nettoyage est prévus tous les 10 jours, sauf si des besoins urgents sont demandés.
Quand je suis à l'extérieur du bâtiment il n'y a pas de problème, je vois ce qui se passe dans les bureaux, je ne dérange personne. Certaines personnes tirent les rideaux, quand je fais les vitres, pour ne pas être gênées; d'autres laissent ouvert, je peux alors voir ce qu'ils font sur leur ordinateur, assises à leur bureaux, discutant avec d'autres employés et d'autres choses encore. Le nettoyage des bureaux est fait par une autre équipe.
Il est 19h10, il me reste 2 larges baies vitrées à terminer. Je commence à savonner la vitre, il n'y a personne dans le bureau. Je continue le nettoyage, un homme d'une quarantaine d'année entre, s'assoit au bureau, cherche dans les tiroirs et ressort. Je passe à la dernière baie vitrée. Le rideau est tiré, je passe sans prêter attention. J'arrive au bord de la baie vitrée, le rideau mal tiré me laisse voir l'intérieur du bureau. La luminosité extérieure est suffisante pour voir ce qui s'y passe. L'homme vu dans le bureau précédent est assis dans un fauteuil face à un écran, je suis surpris de le voir entièrement nu. J'imagine et je ne me trompe pas sur la nature de ce qu'il regarde quand il tourne l'écran d'ordinateur sur lequel il y a un film porno. Je le regarde malgré moi en train de se caresser, pincer les tétons, frapper sa bite longue et épaisse. Je trouve cela excitant. Puis il se redresse, joue avec la souris pour laisser apparaître un visage de femme sur l'écran. Je regarde l'homme se branler, se frapper les couilles et la femme sur l'écran qui se caresse aussi....
- " Hé mec...tu t'es endormis sur la vitre au quoi ! " crie mon chef en bas de l'échelle.
Surpris je laisse tomber ma raclette, mon casque cogne contre la vitre. Je descend vite de l'échelle après avoir aperçu l'homme nu dans le bureau se lever et venir vers la fenêtre. Je vois le rideau bouger pour se fermer complètement.
- " Alors...qu'est-ce que tu faisais !".
- " Heu...je finissais la vitre chef " dis-je en levant les yeux une dernière fois vers la fenêtre.
Il lève la tête, me donne un coup dur épaule
- " Allez...on y va ".
Les journées se suivent, le travail se fait tranquillement. Derrière les vitres j'assiste à des réunions, des pauses cafés ou thé, des engueulades mais aussi des moments câlins entre employés qui se cachent. Je me découvre alors voyeur de ces moments instantanés avec un couple légitime ou non. Comme cette sexagénaire aux seins lourds et tétons écrasés entre ses doigts, le ventre rond et le visage crispé par l'orgasme se faisant lécher par un jeune d'une vingtaine d'année. Ou cette femme accoudée à un bureau qui m'a vue sans être gênée, chemisier ouvert laissant ses petits seins à mon regard, la jupe relevée sur les hanches en train de recevoir des coups de reins violents de son partenaire. Pas une journée ne se passe sans que je puisse voir un moment sexe torride. Lorsque je rentre chez moi je repense à ces seins, ce cul ouvert, cette bite dure et tendue qui s'enfonce avec force dans une chatte humide, rasée ou poilue. A ces visages et ces corps qui se mêlent, qui se frôlent en sueur. J'en arrive même à espérer pouvoir un jour avoir un plan cul, être acteur et non voyeur.
J'ai commencé le travail à 8h, je suis seul devant ma vitre. Une femme blonde d'une cinquantaine d'année vient d'entrer dans le bureau. D'abord surprise de me voir là, elle finit par me faire un geste de la main en guise de bonjour. Je lui réponds en hochant la tête. Elle s'assoit à son bureau, commence à lire des papier, ouvre des enveloppe. Je la voit croiser et décroiser les jambes sans arrêt. Je dois me mettre à genoux pour laver le bas de la vitre et c'est à ce moment que je la voit décroiser les jambes, les écarter, attendre quelques secondes avant de les croiser à nouveau. Lorsque je lève la tête vers elle, nos regards se rencontrent, elle me sourit. Une jeune femme entre dans le bureau avec une pile de dossier sous le bras. Elle est brune aux cheveux longs ramenés en chignon, sa petite poitrine se cache sous son chemisier, son pantalon noir moulant lui entre dans les fesses pour souligner leur rondeur. Elle se place à côté l'autre femme et reste un moment debout. Je suis encore à genoux à les mater. Elle se penche vers sa collègue avant de tourner un peu la tête dans ma direction. Je la voit alors écarter les jambes et se pencher en avant. La courbure de ses fesses et la cambrure de ses reins m'excitent. Je commence à bander. Elle se lève de son bureau et va fermer la porte puis se place derrière sa collègue accoudé sur le bureau. Elle lui caresse les fesses, les prends à pleine main, puis passe sur le ventre, descend ensuite sur les cuisses. Elles s'embrassent comme elles peuvent, leur langues se mêlent. Je me redresse et sort ma bite maintenant dure et tendue. Un sourire apparaît sur les lèvres de la blonde. L'autre défait son chemisier, sa poitrine est libre sans soutien-gorge. Elle se masse, tire sur les tétons larges, elles se donnent en spectacle. Le pantalon sur les genoux je me branle plus vite et plus fort, ma main glisse sur mon sexe raide, le gland est humide. Elles s'avancent vers moi en se tenant par la taille, puis elles se mettent à genoux derrière la vitre. Elles posent leurs mains sur le verre pour caresser mon sexe, elles s'embrassent à pleine bouche en se caressant les seins nus toutes les deux. La brune a relevé la jupe sur les fesses de sa collègue et glissé une main dans la culotte. Elle frotte l'entre-cuisse avec force et rapidité, la blonde se crispe sur la main de l'autre. Je frappe ma bite au gland humide sur la vitre, elles rapprochent leur bouche en sortant la langue, ma main serre plus fort ma bite et j'explose en crachant mon jus contre la vitre. Elles la lèchent comme pour récupérer le sperme qui coule jusqu'au sol. Après un dernier baiser dans ma direction, elles se lèvent et sortent du bureau. Je me rhabille vite et reprends mon travail jusqu'à la fin de journée.
Trois jours plus tard, je suis de retour à l'entreprise où j'avais aperçu l'homme nu dans un bureau. Je suis un peu déçu en voyant les rideaux ouverts car je me rends compte qu'être voyeur est devenu excitant. Après avoir terminé les vitres sur cette façade du bâtiment, je me dirige vers l'arrière. A peine ai-je tourné à l'angle que je tombe sur une baie vitrée, le rideau ouvert. A l'intérieur de la pièce il y a plusieurs tables alignées en cercle avec les chaises retournées dessus. Trois personnes, deux femmes et un homme, sont assises au milieu. Un film porno est projeté sur l'écran qui recouvre la moitié du mur du fond. L'homme nu se caresse le sexe avec lenteur, décalottant doucement le gland humide. La femme aux cheveux noirs a ses gros seins à l'air, la jupe remontée. Je vois la main de l'homme entre ces cuisses ouvertes. L'autre femme rousse est assise par terre devant eux, un collier autour du cou et une chaîne. Chacun regarde le film. Je vois la rousse se lever et se retourner après avoir reçu un coup de cravache sur les fesses. Des zébrures rouges marquent sa peau blanches. Elle se tourne. Ses seins sont petits, ce qui contraste avec ses hanches larges et ses grosses fesses. J'ai le temps de voir une épaisse toison rousse entre ses cuisses avant qu'elle ne mette ses mains devant elle. La réaction de l'autre est immédiate en donnant un coup sur les mains. Elle fait une grimace et j'entends un " aïïïïïïïee" de la part de la rousse. Je regarde cette scène qui m'excite de plus en plus. La femme à la cravache se lève, elle est de type asiatique, tourne autour de l'autre, lui palpe les seins, tire dessus en pinçant les tétons. Nouveau cri de douleur de la rousse.
- " La ferme ! "cri l'autre.
L'homme continue de se branler, porte parfois une main pour tâter les cuisses de la rousse. Ne voyant personne autour de moi, je baisse mon pantalon et commence à me caresser au même rythme que l'homme dans la pièce. Il se met à genoux devant de la rousse, l'autre lui empoigne les cheveux et lui pousse la tête vers le sexe. Il se met à lécher, sucer. Son nez disparaît dans les poils pubiens. Je n'arrive pas à me retenir, ma main va plus vite et plus fort sur ma bite, je caresse et presse les couilles de l'autre. Puis soudain......je sens un courant d'air devant moi et un bruit de porte qui glisse sur un rail. Pris de panique j'ouvre les yeux. La femme asiatique est debout devant moi bien campée sur ses jambes, les seins aux petites auréoles fièrement dressées.
- " Que cherches-tu !" me dit-elle sèchement.
- " Euuh non....euh rien " dis-je en essayant de remonter mon pantalon.
- " Ah boon !...puisque tu es là tu vas me servir " ajoute-t-elle en m'attrapant par la bite et en me tirant.
- " Suce le " ordonne-t-elle à la rousse qui se mets en position de levrette face à l'homme allongé.
L'autre s'assoit sur une chaise en restant à une distance lui permettant de donner des coups de cravaches si elle en a envie. Elle écarte ses cuisses et me signe de venir entre ses cuisses. J'entends l'homme gémir. Elle lui donne un violent coup sur le ventre
- " Tais-toi, je ne veux pas vous entendre ".
La rousse continue de le sucer, elle l'avale tout entier en salivant sur cette bite. Le femme aux cheveux noirs est maintenant entièrement nue, cuisses largement écartées. Sa chatte est totalement rasée, les lèvres fines sont ornées par plusieurs petits cercles et un piercing sur le clitoris. Elle glisse une main sur sa chatte pour tirer sur les anneaux, elle est humide, j'aperçois de la cyprine. Elle m'attrape la tête et plaque ma bouche sur cette fente luisante et odorante. Ma langue glisse en elle, sur le clitoris, elle frotte mon nez contre son intimité, elle appuie plus fort encore. Le frottement est plus rapide, elle contrôle ma tête sur son sexe en se frottant et soudain sa respiration se bloque, son corps se tord comme pris d'une douleur, elle écrase ma tête entre ses cuisses, elle plaque ma bouche contre sa chatte et m'inonde le visage et la bouche d'un jet puissant. Elle relâche enfin la prise sur moi avant de me repousser. Je reste assis par terre, le visage mouillé. Elle se lève et s'avance vers nous.
- " Vous allez la baiser " lance-t-elle en abattant avec violence sa cravache sur les fesses de la rousse qui releva le tête en hurlant. Elle se déplaça pour s'empaler sur l'homme. L'autre femme me tira et m'ordonna de pénétrer la rousse entre les fesses. Je vois ces grosses fesses bouger, remuer et je me demande comment je vais faire pour arriver à pointer ma bite entre ces masses de chair et l'enculer. J'écarte alors autant que possible les fesses et après plusieurs tentatives j'arrive à m'enfoncer en elle. J'hésite à bouger trop vite pour ne pas déculer mais l'asiatique ne voit pas choses ainsi et je projette le bassin en avant lorsque je sens la cravache s'abattre sur mes fesse. Je vois les grosses fesses remuer comme de la gelée et s'écarter davantage. Ma bite est maintenant toute entière dans le cul de la rousse qui gémit, crie. Après plusieurs minutes de cette baise torride je sens mes couilles se contracter tout comme l'anus de la rousse qui sert ma bite, dans un dernier coup de rein puissant et profond j'explose dans dans son cul. Mes deux partenaires jouissent en même temps. Je me relève en voyant l'asiatique assise sur une table, un impressionnant gode transparent avec des picots posé entre ses cuisses.
- " Approche ! " me dit-elle sèchement. Elle m'attrape la bite et la serre en ajoutant " tu m'a fait jouir avec ta langue petit insolent.....on se reverra. Maintenant dehors !".
Je repris mon travail en repensant à l'expérience que je venais de vivre.