Sodome et Gomorrhe

- Par l'auteur HDS Pipistrele -
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Sodome et Gomorrhe Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Sodome et Gomorrhe
Repas de famille dimanche dernier « Qui va nous représenter à la messe de quarantaine du pauvre papy de la cousine, ? Dominique, tu es partante ? » demanda ma mère ; (et, oui, chez nous ça se fait toujours d'aller assister à la messe pour le repos de l'âme du défunt) (voir : un bel enterrement).
Personne n'était vraiment enthousiaste pour cette corvée.
« Je vais me dévouer » dis je, espérant que l'officiant serait le beau curé noir qui célébra le mariage de notre cousine.(voir : la main baladeuse)
« Tu m'emmènes avec toi » s'empressa de lancer mon neveu ;
« Qu'est ce qui t'arrive tu veux aller à la messe Steve, je ne te reconnais pas » lui lança sa mère .
« NON, j'irais seule ; Tu ne vas pas venir t'ennuyer là bas, et je reste polie » ;
Daniel, mon mari étant en déplacement pour son ministère, je ne voulais pas me retrouver avec mon neveu, il pouvait y avoir des conséquences (voir : La main baladeuse/un beau mariage/un bel enterrement).
Le dimanche suivant je m'habillais pour la circonstance à savoir le tailleur noir dont j'avais fait réparer les coutures, (voir : un bel enterrement) les chaussures assorties à talons mais aujourd'hui pas de collant comme la dernière fois mais des « dimup » nous étions par une belle et chaude journée de la mi-mars.J'arrivais en retard comme d'habitude à l'église. Pas grand monde, une personne au pupitre annonçait la première lecture « Genèse 18 Sodome et Gomorrhe » lecture ou Dieu chasse les sodomites et brûle la ville en représailles à leur mauvais comportement sexuel.
Je cherchais des yeux mon beau curé noir, c'était bien lui l'officiant. Son sermon était une sorte d'explication de texte sur la vérité historique de Sodome et l’étymologie du mot sodomie. Un vrai cours d'éducation sexuelle.

A l'issu de la messe, la famille invita l'assemblée pour un rafraîchissement.
J'y reconnue les dames aux vessies pleines le jour des obsèques, c'étaient-elles soulagées comme moi ? Mystère.
Se tenait à distance le vieux beau du mariage qui m'avait proposé la « botte », il bandait ferme ce jour là, si je me souviens bien. Sa femme, enfin je suppose,vint à ma rencontre :
« Je vous ai vue danser avec mon mari le jour du mariage, que lui avez vous donc fait ? Lui qui m'avait délaissée depuis bien longtemps, est devenu une vraie bête de sexe, il n'arrête plus, c'est presque tous les soirs « crac-crac », il m’épuise et je suis obligée de mettre une certaine distance entre lui et les belles femmes ».
Ainsi, sans le savoir, je réveillerais le démon qui dort chez les hommes d'un certains âge ?

Le curé entra à ce moment, il était maintenant « en civil ». Col romain, beau costard gris clair et pieds nus dans des sandalettes.
Tous se précipitèrent à sa rencontre, c'était l'idole du moment.
Après avoir salué tout le monde il vint vers moi. -Quel bel homme- !!!

« Je ne crois pas vous avoir parmi mes paroissiennes, une si belle femme je l'aurais remarquée »
« Comme vous y allez, mon père, vous allez me faire rougir par tant de compliments »

Il me déshabillait du regard des pieds à la tête, j'en étais toute retournée.

« Comment avez vous trouvé mon homélie ? »
« Un peu osée dans une église mais très bien sentie »
« Sentie, dites vous, votre parfum aussi est enivrant » sourit-il.
« Vous croyez vraiment que ce type de discours est le bienvenu dans une église ? »
« Ma fille,si vous voulez que les gens vous écoutent, il faut appeler un chat, un chat, et je reste au masculin, si vous voyez ce que je veux dire. Si un complément d'exégèse (nb : l’exégèse, c'est l'étude détaillée de la Bible) vous intéresse mon presbytère est à deux pas, près de l'église. Vous savez ce livre le plus lu dans le monde depuis la création des temps est bourré de références à l'activité sexuelle. Tenez un exemple parmi tant d'autres : Onan d’où vient le mot onanisme, c'est à dire se branler, il en est question au tout début du livre de la genèse. Vous voulez d'autres exemples, venez avec moi au presbytère, vous ne serez pas déçue »
Ma parole, il me drague, le curé.
Et de me laisser entraîner par lui jusqu'à son domicile.

« Vous desservez combien de paroisses, au juste ? »
« En fait, je ne dessers qu'une seule paroisse, regroupant 17 clochers »
Subjuguée par cet homme, je lui demandais en souriant :
« On dit que les curés ont une maîtresse par clochers, c'est vrai cette légende ? »
« Complètement faux mon enfant, les curés ont plusieurs maîtresses par clochers » me répondit-il en partant d'un grand rire franc et sincère comme seuls peuvent en avoir les gens de race noire.
« Et pour les confessions, vous avez le temps ? »
« Les gens ne se confessent plus beaucoup de nos jours, j'ai toutefois quelques belles paroissiennes qui viennent pour me conter leurs frasques extra conjugales plutôt que pour être en paix avec Dieu. Des dames très BCBG à qui, c'est le cas de le dire, vous donneriez le Bon Dieu sans confession. J'en sais des choses sur leurs vies sexuelles, j'apprends par elles de nouvelles positions voire de nouvelles pratiques. Elles repartent en jurant de ne plus recommencer et je les revois deux mois plus tard pour le même motif. Que voulez vous la chair est faible, elles ont bien raison d'en profiter. Si le secret de la confession n'existait pas je pourrais écrire des volumes de littérature érotique. Vous savez dans le mot -confesse- il y a -con- et -fesse- , tout un programme en somme ».

Il me fit entrer dans les appartements privés de cette grande battisse qu'était son presbytère. Dans la salon tout était impeccable, un odeur de frais et de propre régnait dans la pièce, rien à voir avec un appartement de célibataire.
« Vous avez quelqu'un à votre service pour tenir une maison dans un tel état de propreté »
« J'ai, en effet, deux dames patronnesses qui ont la grande bonté de me faire la cuisine et le ménage deux fois par semaine. Rassurez vous elles ont comme on dit chez nous un âge canonique et ne songent nullement à la bagatelle ».
« Mais je manque à tous mes devoirs,faites comme moi, posez votre veste. Un petit apéritif vous ferait-il plaisir ? »
« Merci, celui que j'ai bu chez les cousins me chauffe déjà. Nous étions venu pour une explication plus détaillée de l'histoire de Sodome »
« Ah ! Sodome » soupira-t-il en se précipitant sur moi pour m'embrasser.
« Mais, mais..... » tentais je de répondre alors que sa bouche était déjà collée à la mienne.
Je ne sais pas si se mec est un médium, un gourou, un curé. Il sait y faire avec les femmes, je répondis à ses avances par un baiser tout aussi passionné. Nos bouches attirées l'une vers l'autre, nos langues emmêlées, je n'avais jamais embrassé ni été embrassée avec une telle fougue.

« Nous sommes entre adultes consentants, où est le mal, je suppose que vous êtes mariée ; pourquoi Dieu aurait-il fait certaines femmes si belles pour qu'un seul homme en profite ? Nous avons, je pense, tous les deux la quarantaine, alors profitons de la vie » me dit-il en enlevant mon chemisier.
« Je vois avec joie que vous n'êtes pas farouche . Vous pouvez poser votre jupe, elle est étroite et j'aurais trop peur de l’abîmer, d'autant qu'il vous faudra faire un jeu de jambes pour vous dégager. Gardez vos chaussures elles subliment votre silhouette »
Quel homme prévenant et méticuleux, pensais je en me retrouvant devant lui en soutien-gorge, chaussures à hauts talons , bas et petite culotte.
« Vous permettez que je vous débarrasse de ce petit bout de tissu qui cache un vrai paradis » et ce faisant il descendit doucement ma culotte.
Il tomba en admiration devant ma toison.
« Ah ! Enfin une femme qui reste naturelle, la nature nous a doté de poils à certains endroits, pourquoi cette mode qui veut que les femmes s'épilent totalement. Elles ont des pubis de gamines. Il paraît que c'est plus propre et que ça demande moins d'entretien, pour moi, c'est un tue l'amour ».s'extasia-t-il en plongeant son nez dans mon triangle velu.
« Mon mari m'aime ainsi, c'est pourquoi je n'enlève que le superflu. »
« Hum, cette odeur de femme m'enivre, je pourrais voir l'autre face, si je puis m'exprimer ainsi »
« Vous voulez voir mes fesses si je comprends bien » lui dis je en me retournant. Cet homme a un pouvoir magique, ce n'est pas possible, j'obéis sans broncher à tous ses désirs.
Il avait maintenant mon cul, juste en face des yeux. Il était en proie à une espèce de délire en contemplant mes deux hémisphères. Il les embrassait, les palpait, les tripotait en ne cessant de répéter :
« Ah ! La belle femme que vous êtes, ah ! Le beau cul » et ce plusieurs fois
Je voyais bien que c'était mon postérieur qui l'attirait le plus.

« Bon, le temps passe, nous étions venus pour parler de Sodome et de ces dérivés grammaticaux : sodomie » reprit-il en se relevant .
Il se dirigea vers la table à l'autre bout de la pièce me laissant là, presque à poil, les bras croisés pudiquement sur la poitrine.
Il me tournait le dos et commença doucement à enlever son col romain puis son plastron, sa chemise grise qu'il posa avec délicatesse sur le dossier de la chaise, c'était à n'en pas douter un homme précautionneux Son dos imposant était garni de petits poils frisés, je ne perdais rien du spectacle. On aurait dit qu'il jouait les 'chippendales' .
Le pantalon, auquel il s'appliqua à faire le pli rejoignit la chemise sur la chaise.
Il ne portait pas de slip mais un caleçon marrant, bleu clair à rayures plus foncées et de travers. Le caleçon lui, resta à terre.
Il avait un derrière magnifique, relevé juste ce qu'il faut, pas ce derrière pendant de certains hommes.
Se baissant pour enlever ses sandalettes, il m'offrit un spectacle inouï ; Comme il se penchait en avant il présenta entre ses cuisses une paires de couilles, mais alors une paire de couilles comme je n'en avait jamais vu tellement elles étaient grosses et velues. Je compris alors pourquoi il portait un caleçon, le paquet n'aurait jamais tenu dans un slip.
' Et ben mon garçon, avec un telle paire, tu dois fournir une belle production de foutre ' pensais je en mouillant de plus en plus.
Il se retourna alors.
« Nom de Dieu !!...... Oh ! pardon mon père, je ne voulais pas » m'écriais je en voyant un tel braquemart.
Je n'avais jamais vu une chose pareille ; C'était la colonne Vendôme, le colonne de juillet, le Lion de Belfort tout ça à la fois. A ma décharge, si je puis m'exprimer ainsi, je n'ai jamais eu l'occasion de voir un 'noir' à poil, je les savais bien équipés mais là ça dépassait l'entendement.
J'avais vraiment dû lui faire de l'effet tellement il bandait. Une bite d'homme ce n'est pas ce qu'il y a de plus beau mais là non seulement il y avait l'esthétique mais aussi le volume. Je le regardais avec envie quand il s'approcha de moi pour me demander de le branler. Ma main ne faisait pas le tour de son chibre. Pour vous donnez un idée de grandeur : le diamètre du tube central d'un rouleau de papier toilette et en longueur plus de deux fois ce même rouleau et je vous laisse devinez le gland. Tout en le caressant, je fus prise d'un sentiment d'effroi en pensant 'ma bouche ne s'ouvrira jamais assez grande pour avaler un tel monstre et il va m'étouffer s'il plonge trop loin '.
Il approcha sa bite de mes lèvres me faisant comprendre qu'une fellation serait la bienvenue. J'ouvris la bouche à m'en décrocher la mâchoire pour accueillir son énorme engin, il réussi a y glisser l'extrémité mais impossible d'aller plus avant. L'incident du haut le cœur avec mon neveu allait se reproduire (voir:un beau mariage) je tenais à garder ma dignité. Je fis 'non' de la tête (je ne parle toujours pas la bouche pleine) Lui, un peu déçu se retira, j'ai senti qu'il avait l'habitude de cette situation : ses partenaires refusaient de le sucer, le morceau était trop dur à avaler.
Se détournant de ma bouche, il me demanda poliment, si je voulais bien me retourner, me mettre à genoux sur le sol et de lui présenter la partie la plus charnue de mon anatomie
C'est la levrette qui l'intéressait.

Moi, à genoux sur le canapé, le derrière en évidence, lui léchant mon petit trou, et je peux vous dire qu'il savait y faire. Il avait de l'expérience de ce côté là et je me demandais même si il ne pratiquait pas le même genre d'exercice avec les hommes.Il en voulait à mon trou de balle.

J'étais aux anges, sa langue arrivait à franchir mon sphincter. Une douce sensation m’envahit, j'étais au paradis, j'entendais des cloches (en fait, il était midi et c'est l'angélus qui sonnait au clocher tout proche).

Je pensais' c'est pas ma fente pourtant humide qui l'intéresse mais mon trou du cul, il va pas oser, un tel engin ne passera jamais' je lui fis part de mon inquiétude.

« Pas de problème, anatomiquement parlant, l'anus peut s'ouvrir autant que la bouche et il y a beaucoup plus de place dans le rectum que dans la bouche »

S'ouvrir à ce point, j'étais septique. J'ai l'expérience de mon petit trou resté béant après avoir englouti quelques Kinder surprise (voir : la démonstration)

« Je vous sens tendue, ne vous inquiétez pas. Ce dard que vous voyez là est passé par d'autres tunnel s beaucoup plus étroits que le votre. Tunnels aussi bien masculin que féminin. A voir votre rosette si accueillante je me doute que c'est une pratique qui ne vous est pas inconnue. »

Il devinait tout, c'était un vrai médium. Je n'allais tout de même pas lui 'confesser' que je me faisais enculée par mon mari et même mon neveu... Aussi bien masculin que féminin, j'avais donc vu juste, il était ' à voile et à vapeur'.

J'attendais avec un sentiment mêlé d’anxiété et de désir qu'il passe à l'action. C'était bon de se faire triturer l'anus mais il me fallait maintenant autre chose.

Sans rien dire il compris mon désir ; Il prit une petite boite de je ne sais quel produit gras dans le secrétaire près du canapé et entreprit d'en enduire mon p'tit trou ; C'était doux et très agréable, quelle était donc cette potion ?

Dédaignant mon sexe de plus en plus humide, il m'écarta les fesses afin de bien positionner son gland face à la cible. Le bout de son énorme chose est entré en moi comme dans du beurre. Pas la moindre brûlure, pas la moindre sensation de déchirure et pourtant je devais être ouverte à l’extrême.
Doucement il fit glisser en moi le reste de sa hampe, et quelle hampe. J'étais comblée dans tous les sens du terme, comblés car complètement remplie, comblée car plus que satisfaite.

«  Ça va » s'inquiéta-t-il, il était vraiment plein de prévenance, c'est ce que j’appellerai un homme bien élevé.  « Vous voyez, je vous l'avais dit tout ce passera en douceur ».

« Ce que vous pouvez être bonne, oui, très bonne » s’époumonait-il à me dire pendant qu'il me pistonnait. Il allait du plus profond de mes entrailles à l’extrême lisière de mon anus au risque de ressortir, il savait contrôler son plaisir et le mien, le bougre. Il savait nous mener au paradis ce curé.

Je lui fis comprendre en resserrant mon anneau anal qu'il était temps qu'il en finisse, j'étais prête pour un ultime orgasme. Il se retira alors et se branla entre mes fesses. Dans un éblouissement j'ai senti qu'il m'inondait le dos, en effet, il déchargea avec un puissance jamais égalée une quantité impressionnante de foutre qui me couvrit les reins de la nuque à la ceinture. J'étais épuisée et contente.

Avec d'infinies précautions il essuya, avec un grand mouchoir blanc qu'il pris dans le meuble près du canapé, son gigantesque engin et se mit en devoir de nettoyer mon dos enduit de la production de ses énormes testicules.

« Cadeau, ça vous fera un souvenir » me dit-il en me tendant le linge trempé.

J'acceptais son présent et l'enfoui dans mon sac à main tout proche.

« Alors, convaincu par mon exposé sur Sodome ? »

«  Je dirais plutôt 'cul vaincu'  lui dis je en reprenant mes esprits

« Je vois avec plaisir que vous êtes une belle femme pleine de réparties. Mais je ne vous ai même pas demandé votre nom de baptême ».
Son côté curé ressortait en parlant de nom de baptême.

« Dominique »

« Dominique, comme le prêcheur contre les hérétiques ; Moi c'est Eric, Eric Forest, curé doyen de cette paroisse, Mon nom se prononce Foré ».ajouta-t-il.

Eric, le père Forest . Père Foré, ça ne s'invente pas et ça lui va bien.

Nous nous sommes quitté d'une simple poignée de main, certains de ces paroissiens auraient pu nous voir, pas de scandale.

M'asseyant dans la voiture pour partir, je sentis une douleur entre les fesses et j'avais mal au ventre ; Sur la route le mal se faisait de plus en plus sentir, j'avais l'impression que mon trou du cul n'était pas complètement refermé.

Le chemin du retour, malgré cette gène tenace, se fit sans encombre ( pas de gendarmes, pas de 4/4 incontrôlé : voir un bel enterrement)

Arrivée à la maison, il fallait que j'en ai le cœur net, et après de multiples contorsions j'ai examiné mon anus dans le grand miroir du salon ; Pas étonnant que j'étais gênée de ce côté, il était en effet rouge vif et pas complètement refermé ; Normal après les assauts d'une si grosse queue et mon mal au ventre venait sans doute du ramonage que mon rectum avait subi.

Pourquoi pendant l'acte ce n'était que douceur et volupté alors que maintenant c'était tiraillement et picotement. Je soupçonnais ce sacré curé de mettre un anesthésiant dans la pommade dont je fus largement enduite, l’effet sédatif du gel se dissipant la douleur se faisait plus forte.
Heureusement, mon mari Daniel était en déplacement pour la semaine, sinon il aurait remarqué, lui qui aime bien fourrer son nez à cet endroit.
J'en étais là, le derrière à l'air quand le téléphone sonna, c'était ma belle sœur qui venait aux nouvelles de la matinée ;
« Alors comment ça c'est passé ce matin ? »
« Bien, bien, tous étaient contents que j'ai pu me libérer, ils ont même offert l'apéro à tous ceux qui étaient à l'église. Il y a, la bas, un jeune curé noir pas ordinaire, son sermon était plus un cours d'éducation sexuelle qu'un cours de catéchisme »je me gardais bien de lui parler de la suite.
« Ou va t'on » me répondit ma belle sœur, elle un peu coincé de l'entrecuisses ; « c'est pas possible, d'entendre des choses pareilles de la part d'un prêtre, ça me troue le cul ».
Elle ne croyait pas si bien dire.

Toujours est-il que ma petite rondelle, mis presque deux jours à reprendre sa forme initiale, n'obligeant à porter un protège slip pour éviter les incontinences.

Je n'ai pas retrouvé la foi pour autant. Mais je me demande si je ne vais pas retourner à la messe dimanche prochain. J'aimerai qu'il prenne le chemin plus conventionnel de ma fente poilue pour me faire connaître le paradis. Je reste ouverte à toutes ses propositions.
Le Saint Esprit prend parfois des formes étranges et agréables pour vous convertir !!!

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