Sofia l'élève rusée (2): sous l'emprise d'une élève de 19 ans...
Récit érotique écrit par oliviafeet [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Sofia l'élève rusée (2): sous l'emprise d'une élève de 19 ans...
Partie 1 : Les intentions de Sofia
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Le cours de géographie de Sofia battait son plein dans une salle baignée de lumière naturelle. Assise à côté de la fenêtre, elle feignait une attention partielle, jetant occasionnellement des réponses à demi-sourire aux questions du professeur. Le vrai sujet de son intérêt n'était pourtant pas les plateaux et les vallées dont parlait le prof, mais plutôt les dynamiques plus personnelles et secrètes qu'elle entretenait.
Un de ses camarades, Thomas, leva la main et posa une question complexe sur les impacts économiques du changement climatique sur les régions méditerranéennes. Pendant que le professeur se lançait dans une explication détaillée, Sofia profita de l'occasion pour se perdre dans ses pensées, revenant à leur dernière rencontre clandestine avec Marco.
Sofia songea à tout ce qui s’était produit. Elle avait tendu un piège à Marco, ce dernier était tombé dedans comme un bleu. Elle se souvenait progressivement de tout ce qui s’était passé ce jour-là dans la salle 103. Elle avait dominé Marco, et ce dernier qui semblait en apparence si sûr de lui, était en fait séduit à l’idée qu’elle recommence. Elle se souvenait de la langue de Marco effleurant son gros orteil. Elle se souvenait de l’éjaculation de Marco, de la latte et… de la violente gifle que Sofia lui avait assénée.
Il faut dire que Sofia était habituée à la violence. D’origine maghrébine, elle avait l’habitude de voir des bagarres dans sa rue étant jeune. Pour elle, une gifle c’était quelque chose d'insignifiant. Pourtant ce jour-là, la claque qu’elle avait assénée à Marco avait une signification profonde pour elle. Cette jeune étudiante dominant un homme. Sofia avait toujours prôné le féminisme, et cette gifle, le souvenir de cette gifle, réveillait en elle une excitation profonde.
Tandis que Thomas continuait à dialoguer avec le professeur à propos des conséquences du changement climatique, Sofia regardait par la fenêtre le soleil embrasser la cour. Quand soudain…
Son attention fut soudainement capturée par la silhouette de Marco qui traversait la cour visible à travers la grande fenêtre de la classe. Elle le vit pousser un chariot rempli d'outils et se diriger vers le bâtiment principal. Observant son allure décidée, elle sentit une vague de souvenir et d'anticipation monter en elle. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, il avait été question de confidences murmurées et de contacts furtifs dans une salle déserte, une rencontre qui avait laissé des traces indélébiles dans son esprit.
Petit à petit, Sofia se mit à fantasmer sur des rencontres fictives avec Marco. Elle prenait beaucoup de plaisir à projeter tout ce qu’elle pourrait faire si l’occasion lui en était donnée d’avoir de nouveau Marco sous son joug.
Cessant de rêvasser et se rappelant soudainement que Marco était en train de se diriger vers les toilettes pour une réparation, elle concocta rapidement un plan pour le rejoindre. Ainsi, quand le professeur marqua une pause, Sofia saisit sa chance.
— Excusez-moi, Monsieur, je me sens un peu mal. Pourrais-je aller aux toilettes ? Sa voix, teintée d'un léger tremblement pour plus de crédibilité, fit son effet.
Avec un signe de tête, le professeur lui accorda la permission de sortir.
Sofia se leva avec empressement, ajustant discrètement ses Converses basses et tirant sur ses chaussettes noires. Elle sortit de la salle, son cœur battant à la perspective de ce qui pourrait suivre. Dans le couloir calme, elle accéléra le pas, se dirigeant vers les toilettes des filles où elle espérait trouver Marco. Son entrée fut silencieuse, les bruits des outils masquant son approche. Elle le trouva là, penché sous l'évier, concentré sur son travail.
À ce moment précis, Sofia avait le regard d’un renard qui venait de mettre la patte sur un poulailler à découvert. Elle était rusée de nature et comptait bien se jouer de sa proie.
Se glissant discrètement derrière lui, elle attendit le moment parfait pour annoncer sa présence. Lorsque Marco ajusta sa position, son reflet apparut dans le miroir, et Sofia en profita.
— Marco, comment vas-tu aujourd'hui ? dit-elle, sa voix drapée d'un ton doucereux et chargé d'intentions.
Marco sursauta visiblement, son visage reflétant une surprise totale mélangée à une pointe de rougeur, rappelant leur dernier échange plus intime et la dominance qu'elle avait exercée sur lui. Le jeu venait de recommencer, plus lentement, plus intentionnellement. Le renard est dans l’enclos…
Partie 2 : Le renard pourchasse sa proie…
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Marco, encore sous le choc de la soudaine apparition de Sofia dans les toilettes, mit quelques secondes à récupérer ses esprits. Son visage, rougi par la surprise et peut-être par le souvenir de leur précédente rencontre, s'illumina d'un sourire nerveux.
— Sofia... tu m'as fait peur, dit-il enfin, une main sur le cœur, essayant de masquer son trouble.
— Je vais bien, merci. Et toi, tout va bien ? Sa voix était légèrement tremblante, trahissant son agitation intérieure.
Sofia s'avança d'un pas, réduisant l'espace entre eux, son expression pleine de malice. Marco se contrôlait pour ne pas laisser ses yeux distraits trahir son appréhension.
— Oh, je n'ai jamais été mieux, répondit-elle doucement, son regard fixé sur lui, scrutant chaque réaction.
— Mais dis-moi, Marco, te souviens-tu de notre dernier petit jeu ? Sa voix baissa, chargée d'une promesse implicite, tandis qu'elle jouait distraitement avec une mèche de ses cheveux noirs.
Marco n’en revenait pas. Elle avait brisé ce tabou d’une traite, lui qui espérait qu’elle passerait l’affaire sous silence. D’un autre côté, le parfum de Sofia emplissait la pièce, un parfum agréable et fruité. Sa robe noire contrastait avec sa peau dorée, Marco sans s’en rendre compte, était de nouveau en train de se faire piéger.
Marco avala difficilement sa salive, ses yeux ne pouvant s'empêcher de glisser sur la silhouette de Sofia. La robe moulante noire qu'elle portait accentuait ses courbes, et malgré les chaussettes noires, ses pieds semblaient inviter au toucher.
— Je... oui, je m'en souviens très bien, admit-il, son regard un peu trop fixé sur les pieds de Sofia avant de remonter vers son visage.
Profitant de son trouble évident, Sofia prit une démarche plus audacieuse. Elle se rapprocha encore, jusqu'à ce qu'ils soient presque nez à nez.
— Et n'as-tu pas honte, Marco, de te laisser ainsi dominer par une simple étudiante !? Sa question, teintée d'un défi ouvert, fit rougir Marco encore plus profondément.
Avant que Marco puisse formuler une réponse, Sofia se pencha vers le chariot d'outils à côté d'eux et en sortit un rouleau de scotch.
— Je crois que nous devons ajouter un peu plus de piquant à notre jeu, murmura-t-elle.
— Que comptes-tu faire avec ce scotch Sofia ? Remets-le où tu l’as trouvé ! balança Marco.
Sofia, semblant indifférente à ces remarques, commença à lui ligoter les mains avec une expertise qui indiquait qu'elle avait bien réfléchi à ce moment. Elle répliqua aussitôt.
— Marco, si tu ne veux pas que je révèle ce qu'il s'est passé la dernière fois, et que tu perdes ton travail, tu ferais mieux d'obéir, murmura Sofia tout près de son oreille, laissant le ruban adhésif s'enrouler avec précision autour de ses poignets.
Son ton était doux mais ferme, son regard fixe transmettant la gravité de sa menace. Toute envie de se débattre quitta Marco, tant ce dernier était choqué par la phrase qu’il venait d’entendre. Perdre son travail ? Sofia était-elle réellement en train de lui faire du chantage ?!
Marco, les mains maintenant solidement attachées, sentit son cœur battre à tout rompre. La situation lui échappait complètement, et l'excitation mêlée de peur le faisait frissonner.
Il eut à peine le temps de digérer la nouvelle, que des idées sales lui traversaient l’esprit. Pour qui se prenait-elle cette gamine capricieuse au teint doré ? Malgré son indignation, Marco savait qu’au fond de lui son excitation n’allait pas tarder à exploser. Tel un rat dans laboratoire, il tenta tout de même de protester, refoulant les désirs de son inconscient.
— Sofia, pour qui tu te prends ?!
Sofia saisit l’occasion, elle saisit Marco par le menton avec sa main gauche, tandis que sa main droite lui offrit la plus belle des claques.
— Tu tiens vraiment à ce que toute l’école soit au courant que le concierge s’est laissé masturber par une étudiante ?
Les yeux de Marco trahirent sa résignation. De toute façon, n’était-ce pas ce qu’il voulait ? Au fond de lui, ne désirait-il pas exactement cette réaction ? Ne cherchait-il pas à exciter son bourreau, afin que ce dernier puisse mieux le servir, c’est-à-dire le punir ?
— D'accord, Sofia, je ferai ce que tu veux, dit-il, sa voix étranglée par une tension palpable.
Il savait qu'il n'avait pas vraiment le choix, capturé non seulement par les liens physiques mais aussi par le jeu psychologique que Sofia menait avec une habileté déconcertante.
Sofia sourit, satisfaite de sa soumission. Elle se recula pour mieux l'observer, ses yeux parcourant le visage de Marco, cherchant des signes de rébellion ou de résignation. Trouvant ce qu'elle désirait, elle continua :
— Maintenant, Marco, tu vas montrer ta dévotion à ta reine.
Lentement, elle se pencha et retira ses Convers, exposant ses chaussettes noires trempées de sueur de la marche rapide et de la tension du moment.
— Sniffe-les, ordonna-t-elle en pointant les Convers vers Marco.
Hésitant mais finalement résigné, Marco obéit, son visage se tordant en une grimace à la senteur aigre-douce. Sofia plaqua le fond de sa chaussure contre le nez de Marco.
— C'est bien, Marco, tu apprends vite, ricana-t-elle, puis continua : Maintenant, lèche-les. Montre-moi à quel point tu peux être une petite salope pour moi.
Marco, poussé par un mélange de peur et d'excitation, fit ce qui lui était demandé. Il parcourut de sa langue les semelles humides des Converses. Cela l’excitait. De loin, on aurait cru voir un gamin dévorant une glace en plein été.
Alors qu'il obéissait, Sofia se pencha pour saisir les clés qui pendaient à sa ceinture. Avec un cliquetis métallique, elle les décrocha et se dirigea vers la porte des toilettes, verrouillant soigneusement derrière eux.
En entendant le bruit de la porte verrouillée, Marco redescendit sur Terre. Il avait les mains ligotées dans le dos, était en train de lécher les baskets d’une élève, qui venait tout juste de les enfermer dans les toilettes des filles. Avec le soleil qui laissait une empreinte brûlante sur la pièce, à travers les fenêtres, et qui rendait l’air de la pièce irrespirable, Marco s’interrogeait : était-il en enfer, et Lilith venait-elle pour le punir d’avoir péché ?
— Maintenant, ces toilettes deviennent notre petit sanctuaire, dit Sofia en se tournant vers Marco avec un sourire rempli de promesses.
Partie 3 : Féminisme et domination
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Marco n’en revenait pas. Il y a 20 minutes, il venait réparer les toilettes des filles. Il y a 5 minutes, Sofia s’introduisait dans la pièce, le surprenant devant le miroir. Comment la situation avait-elle pu lui échapper à une telle vitesse ?
Avec les toilettes désormais verrouillées, transformant l'espace en leur arène privée, Sofia regarda Marco, ses yeux pétillant d'une excitation cruelle. Elle s'approcha de lui, ses pas résonnant sur le carrelage froid.
— Tu sais, Marco, j'apprécie vraiment ton obéissance. Ça me fait réfléchir à toutes les possibilités, dit-elle, sa voix douce trahissant la menace sous-jacente.
Marco, toujours les mains liées et maintenant visiblement anxieux quant à ce que Sofia pourrait exiger ensuite, la suivait des yeux, captivé malgré lui.
— Que... que veux-tu de moi, Sofia ? demanda-t-il, sa voix ébranlée par une nervosité évidente.
— Oh, beaucoup de choses, Marco. Mais pour l'instant, jouons à un petit jeu, proposa Sofia, en s'asseyant sur le comptoir à côté de l'évier.
Elle croisa les jambes, laissant intentionnellement sa jupe remonter légèrement pour révéler plus de ses cuisses. Ces cuisses d’une teinte dorée, ces cuisses si jeunes, ces cuisses si appétissantes, Marco allait-il pouvoir y goûter un jour ?
— Je veux que tu me dises exactement ce que tu ressens maintenant, sans mentir. Pense à ce que pourrait coûter une fausse réponse, ajouta-t-elle, un sourire malicieux éclairant son visage.
Marco avala sa salive, son regard fixé sur Sofia.
— Je me sens... impuissant. Pourquoi fais-tu cela ? Te rends-tu compte à quel point ce que tu fais est immoral, Sofia ?
Sofia était très en colère. Les paroles que Marco venait de prononcer… pour elle se résumaient à de l’hypocrisie totale. Cet homme avait apprécié lui obéir au doigt et à l’œil, et maintenant il voudrait lui faire croire que ce qu’elle fait est immoral ?
Restant de marbre face à ce plaidoyer court et peu crédible, elle répliqua :
— Marco, le mensonge est un luxe que tu ne peux pas te permettre, dit Sofia en posant son pied avec une légère pression sur l’entrejambe de Marco.
— Tu as raison… tout ceci m’excite au plus haut point, admit-il, les yeux fuyant de gêne.
— Très bien, Marco. Honnêteté et vulnérabilité peuvent être si séduisantes, répondit Sofia, descendant du comptoir.
Elle s'approcha de lui, et doucement, elle effleura sa joue avec le dos de sa main.
— Je vais augmenter un peu les enjeux maintenant. Chaque fois que tu répondras correctement à mes attentes, tu seras récompensé. Et si tu ne le fais pas... Sa voix s'estompait, laissant la menace suspendue dans l'air.
Sofia fit le tour de Marco, inspectant ses liens pour s'assurer qu'ils étaient sécurisés. Puis, s'arrêtant derrière lui, elle se pencha et murmura à son oreille :
— Tu n'es pas prêt à savoir ce que c'est de vraiment perdre le contrôle... pas encore. Mais si tu continues à bien jouer, peut-être que je te montrerai.
Elle se recula, le laissant absorbé par ses paroles et clairement troublé par la promesse de plus d'intensité à venir.
Marco resta là, les émotions se bousculant dans son esprit, tandis que Sofia, satisfaite de l'impact de ses mots, se préparait pour la prochaine étape de leur jeu. Elle avait clairement établi les règles, et maintenant, le vrai test de leur dynamique allait commencer.
Sofia attacha ses cheveux grâce à l’élastique qu’elle portait au poignet. Debout devant Marco, telle une Valkyrie devant sa proie.
Partie 4 : Tout ou rien
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La tension dans les toilettes montait à mesure que Sofia se préparait à pousser leur jeu de domination à un nouveau niveau. Elle observa Marco, les mains toujours solidement attachées, son visage reflétant un mélange de peur et d'anticipation.
— Tu sais, Marco, j'ai longtemps réfléchi à la dynamique de pouvoir entre les hommes et les femmes, commença Sofia, sa voix calme mais ferme. Pour moi, le vrai féminisme, c'est prendre le contrôle, montrer que nous, les femmes, pouvons dominer. C'est exactement ce que je fais avec toi maintenant.
Marco, troublé par ses paroles, tenta de protester.
— Sofia, je... je ne suis pas sûr que ce soit vraiment du féminisme, dit-il, cherchant à contester sa logique. Les hommes ont toujours…
Sofia, sans hésiter, s'approcha et lui asséna une gifle retentissante.
— Ça, c'est pour remettre en question mes convictions. Je te montre la force d'une femme, Marco. Et tu vas apprendre à l'apprécier, à l'adorer même, répliqua-t-elle, son regard dur ne tolérant aucune rébellion.
Marco, la joue encore rougie par la gifle, baissa les yeux, son expression mêlant douleur et confusion.
— Les fenêtres sont ouvertes, si tu continues Sofia quelqu’un va finir par… tenta de murmurer Marco, interrompu par une nouvelle gifle de la part de sa maîtresse.
— Je... Je comprends, Sofia. Montre-moi, je t'en prie, murmura-t-il, sa résistance semblant s'effriter sous l'intensité de son autorité.
— Voilà qui est mieux, sourit Sofia.
Elle s'approcha encore, inclinant la tête de Marco en arrière pour le regarder dans les yeux.
— Dis-moi que tu aimes être ma petite salope, Marco. Dis-le ! exigea-t-elle, sa voix douce contrastant avec la dureté de ses mots.
Marco, ses yeux plongés dans ceux de Sofia, respira profondément avant de répondre avec une hésitation qui s'estompait rapidement.
— J'aime être ta petite salope, Sofia, avoua-t-il, chaque mot le libérant d'une partie de son fardeau traditionnel de masculinité.
Satisfaite de son aveu, Sofia se recula, son visage s'éclairant d'un sourire triomphant.
— Parfait, Marco. Maintenant que tu acceptes ta place, nous pouvons vraiment commencer à nous amuser.
Elle fit le tour de lui, le frôlant légèrement, lui faisant sentir la proximité de son corps, la promesse de ce qui pourrait encore survenir.
Elle continua de le manipuler avec une assurance croissante, chaque interaction les enfonçant plus profondément dans leur dynamique de pouvoir renversée. Marco, maintenant immergé dans son rôle de soumis, commençait à trouver un plaisir étrange dans sa soumission, découvrant des aspects de lui-même qu'il n'avait jamais confrontés auparavant.
Partie 5 : Dans l’enclos …
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La tension dans l'air était palpable alors que Sofia continuait à explorer les limites de leur jeu de domination. Marco, visiblement à la fois terrifié et captivé, fixait Sofia alors qu'elle se penchait pour enlever lentement une de ses chaussettes noires.
— Tu aimes mes pieds, Marco ? demanda-t-elle en agitant la chaussette devant lui. Tu vas apprendre à adorer les pieds de ta reine.
Sa voix était douce mais impérieuse, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres.
Marco hocha la tête, sa gorge sèche à la vue de la chaussette de Sofia. Il regarda, fasciné, alors qu'elle se rapprochait, faisant danser la chaussette devant ses yeux avant de la laisser effleurer doucement son visage. L'arôme légèrement acide mais indéniablement intime de ses pieds emplissait ses narines, augmentant son excitation malgré le contexte de leur interaction.
Soudain, sans avertissement, Sofia prit l’initiative. Dans un mouvement rapide, elle leva la main et frappa Marco durement dans les testicules. La douleur fulgurante le fit se courber, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres tandis qu'il luttait pour reprendre son souffle.
— C'est pour te rappeler qui est en charge, dit-elle froidement, observant Marco se tordre de douleur.
Alors que Marco se remettait, respirant lourdement, Sofia s'agenouilla devant lui.
— Ouvre la bouche, ordonna-t-elle.
Marco, encore sous le choc, obéit sans hésiter. Sofia cracha alors dans sa bouche, affirmant sa domination de la manière la plus brutale et intime possible. Sans lui laisser le temps de réagir, elle enfonça la chaussette dans sa bouche, le forçant à goûter et respirer l'essence même de sa domination.
— Tu kiffes hein Marco ? Avoir les chaussettes d’une étudiante de 19 piges dans la bouche, t’aimes ça hein ? Elles sont bien sales en plus, savoure petite salope que tu es.
Marco, les yeux larmoyants mais étrangement en érection, acquiesça à son sort, sa résistance brisée par la cascade d'humiliations et de plaisirs contradictoires. Sofia, satisfaite de l'effet de ses actions, se redressa, son regard parcourant le corps secoué de Marco.
— C'est juste le début, mon soumis, murmura-t-elle.
Elle avait clairement des plans pour lui, des idées qui poussaient les frontières de leur entente toujours plus loin. Le cou du coq était maintenant coincé entre les mâchoires du renard.
Cette conclusion intense laissait présager une suite encore plus provocante, où les limites seraient repoussées et où les rôles de pouvoir pourraient être explorés avec encore plus de profondeur.
Si vous avez aimé cette histoire, n’hésitez pas à liker ! Je suis friande de vos feedbacks afin de vous satisfaire avec la suite. Je mettrai peut-être les deux scénarios auxquels j’ai pensé pour la suite en commentaire, vous êtes libres de me dire ce que vous en pensez ! J’espère sincèrement que vous avez apprécié.
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Le cours de géographie de Sofia battait son plein dans une salle baignée de lumière naturelle. Assise à côté de la fenêtre, elle feignait une attention partielle, jetant occasionnellement des réponses à demi-sourire aux questions du professeur. Le vrai sujet de son intérêt n'était pourtant pas les plateaux et les vallées dont parlait le prof, mais plutôt les dynamiques plus personnelles et secrètes qu'elle entretenait.
Un de ses camarades, Thomas, leva la main et posa une question complexe sur les impacts économiques du changement climatique sur les régions méditerranéennes. Pendant que le professeur se lançait dans une explication détaillée, Sofia profita de l'occasion pour se perdre dans ses pensées, revenant à leur dernière rencontre clandestine avec Marco.
Sofia songea à tout ce qui s’était produit. Elle avait tendu un piège à Marco, ce dernier était tombé dedans comme un bleu. Elle se souvenait progressivement de tout ce qui s’était passé ce jour-là dans la salle 103. Elle avait dominé Marco, et ce dernier qui semblait en apparence si sûr de lui, était en fait séduit à l’idée qu’elle recommence. Elle se souvenait de la langue de Marco effleurant son gros orteil. Elle se souvenait de l’éjaculation de Marco, de la latte et… de la violente gifle que Sofia lui avait assénée.
Il faut dire que Sofia était habituée à la violence. D’origine maghrébine, elle avait l’habitude de voir des bagarres dans sa rue étant jeune. Pour elle, une gifle c’était quelque chose d'insignifiant. Pourtant ce jour-là, la claque qu’elle avait assénée à Marco avait une signification profonde pour elle. Cette jeune étudiante dominant un homme. Sofia avait toujours prôné le féminisme, et cette gifle, le souvenir de cette gifle, réveillait en elle une excitation profonde.
Tandis que Thomas continuait à dialoguer avec le professeur à propos des conséquences du changement climatique, Sofia regardait par la fenêtre le soleil embrasser la cour. Quand soudain…
Son attention fut soudainement capturée par la silhouette de Marco qui traversait la cour visible à travers la grande fenêtre de la classe. Elle le vit pousser un chariot rempli d'outils et se diriger vers le bâtiment principal. Observant son allure décidée, elle sentit une vague de souvenir et d'anticipation monter en elle. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, il avait été question de confidences murmurées et de contacts furtifs dans une salle déserte, une rencontre qui avait laissé des traces indélébiles dans son esprit.
Petit à petit, Sofia se mit à fantasmer sur des rencontres fictives avec Marco. Elle prenait beaucoup de plaisir à projeter tout ce qu’elle pourrait faire si l’occasion lui en était donnée d’avoir de nouveau Marco sous son joug.
Cessant de rêvasser et se rappelant soudainement que Marco était en train de se diriger vers les toilettes pour une réparation, elle concocta rapidement un plan pour le rejoindre. Ainsi, quand le professeur marqua une pause, Sofia saisit sa chance.
— Excusez-moi, Monsieur, je me sens un peu mal. Pourrais-je aller aux toilettes ? Sa voix, teintée d'un léger tremblement pour plus de crédibilité, fit son effet.
Avec un signe de tête, le professeur lui accorda la permission de sortir.
Sofia se leva avec empressement, ajustant discrètement ses Converses basses et tirant sur ses chaussettes noires. Elle sortit de la salle, son cœur battant à la perspective de ce qui pourrait suivre. Dans le couloir calme, elle accéléra le pas, se dirigeant vers les toilettes des filles où elle espérait trouver Marco. Son entrée fut silencieuse, les bruits des outils masquant son approche. Elle le trouva là, penché sous l'évier, concentré sur son travail.
À ce moment précis, Sofia avait le regard d’un renard qui venait de mettre la patte sur un poulailler à découvert. Elle était rusée de nature et comptait bien se jouer de sa proie.
Se glissant discrètement derrière lui, elle attendit le moment parfait pour annoncer sa présence. Lorsque Marco ajusta sa position, son reflet apparut dans le miroir, et Sofia en profita.
— Marco, comment vas-tu aujourd'hui ? dit-elle, sa voix drapée d'un ton doucereux et chargé d'intentions.
Marco sursauta visiblement, son visage reflétant une surprise totale mélangée à une pointe de rougeur, rappelant leur dernier échange plus intime et la dominance qu'elle avait exercée sur lui. Le jeu venait de recommencer, plus lentement, plus intentionnellement. Le renard est dans l’enclos…
Partie 2 : Le renard pourchasse sa proie…
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Marco, encore sous le choc de la soudaine apparition de Sofia dans les toilettes, mit quelques secondes à récupérer ses esprits. Son visage, rougi par la surprise et peut-être par le souvenir de leur précédente rencontre, s'illumina d'un sourire nerveux.
— Sofia... tu m'as fait peur, dit-il enfin, une main sur le cœur, essayant de masquer son trouble.
— Je vais bien, merci. Et toi, tout va bien ? Sa voix était légèrement tremblante, trahissant son agitation intérieure.
Sofia s'avança d'un pas, réduisant l'espace entre eux, son expression pleine de malice. Marco se contrôlait pour ne pas laisser ses yeux distraits trahir son appréhension.
— Oh, je n'ai jamais été mieux, répondit-elle doucement, son regard fixé sur lui, scrutant chaque réaction.
— Mais dis-moi, Marco, te souviens-tu de notre dernier petit jeu ? Sa voix baissa, chargée d'une promesse implicite, tandis qu'elle jouait distraitement avec une mèche de ses cheveux noirs.
Marco n’en revenait pas. Elle avait brisé ce tabou d’une traite, lui qui espérait qu’elle passerait l’affaire sous silence. D’un autre côté, le parfum de Sofia emplissait la pièce, un parfum agréable et fruité. Sa robe noire contrastait avec sa peau dorée, Marco sans s’en rendre compte, était de nouveau en train de se faire piéger.
Marco avala difficilement sa salive, ses yeux ne pouvant s'empêcher de glisser sur la silhouette de Sofia. La robe moulante noire qu'elle portait accentuait ses courbes, et malgré les chaussettes noires, ses pieds semblaient inviter au toucher.
— Je... oui, je m'en souviens très bien, admit-il, son regard un peu trop fixé sur les pieds de Sofia avant de remonter vers son visage.
Profitant de son trouble évident, Sofia prit une démarche plus audacieuse. Elle se rapprocha encore, jusqu'à ce qu'ils soient presque nez à nez.
— Et n'as-tu pas honte, Marco, de te laisser ainsi dominer par une simple étudiante !? Sa question, teintée d'un défi ouvert, fit rougir Marco encore plus profondément.
Avant que Marco puisse formuler une réponse, Sofia se pencha vers le chariot d'outils à côté d'eux et en sortit un rouleau de scotch.
— Je crois que nous devons ajouter un peu plus de piquant à notre jeu, murmura-t-elle.
— Que comptes-tu faire avec ce scotch Sofia ? Remets-le où tu l’as trouvé ! balança Marco.
Sofia, semblant indifférente à ces remarques, commença à lui ligoter les mains avec une expertise qui indiquait qu'elle avait bien réfléchi à ce moment. Elle répliqua aussitôt.
— Marco, si tu ne veux pas que je révèle ce qu'il s'est passé la dernière fois, et que tu perdes ton travail, tu ferais mieux d'obéir, murmura Sofia tout près de son oreille, laissant le ruban adhésif s'enrouler avec précision autour de ses poignets.
Son ton était doux mais ferme, son regard fixe transmettant la gravité de sa menace. Toute envie de se débattre quitta Marco, tant ce dernier était choqué par la phrase qu’il venait d’entendre. Perdre son travail ? Sofia était-elle réellement en train de lui faire du chantage ?!
Marco, les mains maintenant solidement attachées, sentit son cœur battre à tout rompre. La situation lui échappait complètement, et l'excitation mêlée de peur le faisait frissonner.
Il eut à peine le temps de digérer la nouvelle, que des idées sales lui traversaient l’esprit. Pour qui se prenait-elle cette gamine capricieuse au teint doré ? Malgré son indignation, Marco savait qu’au fond de lui son excitation n’allait pas tarder à exploser. Tel un rat dans laboratoire, il tenta tout de même de protester, refoulant les désirs de son inconscient.
— Sofia, pour qui tu te prends ?!
Sofia saisit l’occasion, elle saisit Marco par le menton avec sa main gauche, tandis que sa main droite lui offrit la plus belle des claques.
— Tu tiens vraiment à ce que toute l’école soit au courant que le concierge s’est laissé masturber par une étudiante ?
Les yeux de Marco trahirent sa résignation. De toute façon, n’était-ce pas ce qu’il voulait ? Au fond de lui, ne désirait-il pas exactement cette réaction ? Ne cherchait-il pas à exciter son bourreau, afin que ce dernier puisse mieux le servir, c’est-à-dire le punir ?
— D'accord, Sofia, je ferai ce que tu veux, dit-il, sa voix étranglée par une tension palpable.
Il savait qu'il n'avait pas vraiment le choix, capturé non seulement par les liens physiques mais aussi par le jeu psychologique que Sofia menait avec une habileté déconcertante.
Sofia sourit, satisfaite de sa soumission. Elle se recula pour mieux l'observer, ses yeux parcourant le visage de Marco, cherchant des signes de rébellion ou de résignation. Trouvant ce qu'elle désirait, elle continua :
— Maintenant, Marco, tu vas montrer ta dévotion à ta reine.
Lentement, elle se pencha et retira ses Convers, exposant ses chaussettes noires trempées de sueur de la marche rapide et de la tension du moment.
— Sniffe-les, ordonna-t-elle en pointant les Convers vers Marco.
Hésitant mais finalement résigné, Marco obéit, son visage se tordant en une grimace à la senteur aigre-douce. Sofia plaqua le fond de sa chaussure contre le nez de Marco.
— C'est bien, Marco, tu apprends vite, ricana-t-elle, puis continua : Maintenant, lèche-les. Montre-moi à quel point tu peux être une petite salope pour moi.
Marco, poussé par un mélange de peur et d'excitation, fit ce qui lui était demandé. Il parcourut de sa langue les semelles humides des Converses. Cela l’excitait. De loin, on aurait cru voir un gamin dévorant une glace en plein été.
Alors qu'il obéissait, Sofia se pencha pour saisir les clés qui pendaient à sa ceinture. Avec un cliquetis métallique, elle les décrocha et se dirigea vers la porte des toilettes, verrouillant soigneusement derrière eux.
En entendant le bruit de la porte verrouillée, Marco redescendit sur Terre. Il avait les mains ligotées dans le dos, était en train de lécher les baskets d’une élève, qui venait tout juste de les enfermer dans les toilettes des filles. Avec le soleil qui laissait une empreinte brûlante sur la pièce, à travers les fenêtres, et qui rendait l’air de la pièce irrespirable, Marco s’interrogeait : était-il en enfer, et Lilith venait-elle pour le punir d’avoir péché ?
— Maintenant, ces toilettes deviennent notre petit sanctuaire, dit Sofia en se tournant vers Marco avec un sourire rempli de promesses.
Partie 3 : Féminisme et domination
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Marco n’en revenait pas. Il y a 20 minutes, il venait réparer les toilettes des filles. Il y a 5 minutes, Sofia s’introduisait dans la pièce, le surprenant devant le miroir. Comment la situation avait-elle pu lui échapper à une telle vitesse ?
Avec les toilettes désormais verrouillées, transformant l'espace en leur arène privée, Sofia regarda Marco, ses yeux pétillant d'une excitation cruelle. Elle s'approcha de lui, ses pas résonnant sur le carrelage froid.
— Tu sais, Marco, j'apprécie vraiment ton obéissance. Ça me fait réfléchir à toutes les possibilités, dit-elle, sa voix douce trahissant la menace sous-jacente.
Marco, toujours les mains liées et maintenant visiblement anxieux quant à ce que Sofia pourrait exiger ensuite, la suivait des yeux, captivé malgré lui.
— Que... que veux-tu de moi, Sofia ? demanda-t-il, sa voix ébranlée par une nervosité évidente.
— Oh, beaucoup de choses, Marco. Mais pour l'instant, jouons à un petit jeu, proposa Sofia, en s'asseyant sur le comptoir à côté de l'évier.
Elle croisa les jambes, laissant intentionnellement sa jupe remonter légèrement pour révéler plus de ses cuisses. Ces cuisses d’une teinte dorée, ces cuisses si jeunes, ces cuisses si appétissantes, Marco allait-il pouvoir y goûter un jour ?
— Je veux que tu me dises exactement ce que tu ressens maintenant, sans mentir. Pense à ce que pourrait coûter une fausse réponse, ajouta-t-elle, un sourire malicieux éclairant son visage.
Marco avala sa salive, son regard fixé sur Sofia.
— Je me sens... impuissant. Pourquoi fais-tu cela ? Te rends-tu compte à quel point ce que tu fais est immoral, Sofia ?
Sofia était très en colère. Les paroles que Marco venait de prononcer… pour elle se résumaient à de l’hypocrisie totale. Cet homme avait apprécié lui obéir au doigt et à l’œil, et maintenant il voudrait lui faire croire que ce qu’elle fait est immoral ?
Restant de marbre face à ce plaidoyer court et peu crédible, elle répliqua :
— Marco, le mensonge est un luxe que tu ne peux pas te permettre, dit Sofia en posant son pied avec une légère pression sur l’entrejambe de Marco.
— Tu as raison… tout ceci m’excite au plus haut point, admit-il, les yeux fuyant de gêne.
— Très bien, Marco. Honnêteté et vulnérabilité peuvent être si séduisantes, répondit Sofia, descendant du comptoir.
Elle s'approcha de lui, et doucement, elle effleura sa joue avec le dos de sa main.
— Je vais augmenter un peu les enjeux maintenant. Chaque fois que tu répondras correctement à mes attentes, tu seras récompensé. Et si tu ne le fais pas... Sa voix s'estompait, laissant la menace suspendue dans l'air.
Sofia fit le tour de Marco, inspectant ses liens pour s'assurer qu'ils étaient sécurisés. Puis, s'arrêtant derrière lui, elle se pencha et murmura à son oreille :
— Tu n'es pas prêt à savoir ce que c'est de vraiment perdre le contrôle... pas encore. Mais si tu continues à bien jouer, peut-être que je te montrerai.
Elle se recula, le laissant absorbé par ses paroles et clairement troublé par la promesse de plus d'intensité à venir.
Marco resta là, les émotions se bousculant dans son esprit, tandis que Sofia, satisfaite de l'impact de ses mots, se préparait pour la prochaine étape de leur jeu. Elle avait clairement établi les règles, et maintenant, le vrai test de leur dynamique allait commencer.
Sofia attacha ses cheveux grâce à l’élastique qu’elle portait au poignet. Debout devant Marco, telle une Valkyrie devant sa proie.
Partie 4 : Tout ou rien
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La tension dans les toilettes montait à mesure que Sofia se préparait à pousser leur jeu de domination à un nouveau niveau. Elle observa Marco, les mains toujours solidement attachées, son visage reflétant un mélange de peur et d'anticipation.
— Tu sais, Marco, j'ai longtemps réfléchi à la dynamique de pouvoir entre les hommes et les femmes, commença Sofia, sa voix calme mais ferme. Pour moi, le vrai féminisme, c'est prendre le contrôle, montrer que nous, les femmes, pouvons dominer. C'est exactement ce que je fais avec toi maintenant.
Marco, troublé par ses paroles, tenta de protester.
— Sofia, je... je ne suis pas sûr que ce soit vraiment du féminisme, dit-il, cherchant à contester sa logique. Les hommes ont toujours…
Sofia, sans hésiter, s'approcha et lui asséna une gifle retentissante.
— Ça, c'est pour remettre en question mes convictions. Je te montre la force d'une femme, Marco. Et tu vas apprendre à l'apprécier, à l'adorer même, répliqua-t-elle, son regard dur ne tolérant aucune rébellion.
Marco, la joue encore rougie par la gifle, baissa les yeux, son expression mêlant douleur et confusion.
— Les fenêtres sont ouvertes, si tu continues Sofia quelqu’un va finir par… tenta de murmurer Marco, interrompu par une nouvelle gifle de la part de sa maîtresse.
— Je... Je comprends, Sofia. Montre-moi, je t'en prie, murmura-t-il, sa résistance semblant s'effriter sous l'intensité de son autorité.
— Voilà qui est mieux, sourit Sofia.
Elle s'approcha encore, inclinant la tête de Marco en arrière pour le regarder dans les yeux.
— Dis-moi que tu aimes être ma petite salope, Marco. Dis-le ! exigea-t-elle, sa voix douce contrastant avec la dureté de ses mots.
Marco, ses yeux plongés dans ceux de Sofia, respira profondément avant de répondre avec une hésitation qui s'estompait rapidement.
— J'aime être ta petite salope, Sofia, avoua-t-il, chaque mot le libérant d'une partie de son fardeau traditionnel de masculinité.
Satisfaite de son aveu, Sofia se recula, son visage s'éclairant d'un sourire triomphant.
— Parfait, Marco. Maintenant que tu acceptes ta place, nous pouvons vraiment commencer à nous amuser.
Elle fit le tour de lui, le frôlant légèrement, lui faisant sentir la proximité de son corps, la promesse de ce qui pourrait encore survenir.
Elle continua de le manipuler avec une assurance croissante, chaque interaction les enfonçant plus profondément dans leur dynamique de pouvoir renversée. Marco, maintenant immergé dans son rôle de soumis, commençait à trouver un plaisir étrange dans sa soumission, découvrant des aspects de lui-même qu'il n'avait jamais confrontés auparavant.
Partie 5 : Dans l’enclos …
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La tension dans l'air était palpable alors que Sofia continuait à explorer les limites de leur jeu de domination. Marco, visiblement à la fois terrifié et captivé, fixait Sofia alors qu'elle se penchait pour enlever lentement une de ses chaussettes noires.
— Tu aimes mes pieds, Marco ? demanda-t-elle en agitant la chaussette devant lui. Tu vas apprendre à adorer les pieds de ta reine.
Sa voix était douce mais impérieuse, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres.
Marco hocha la tête, sa gorge sèche à la vue de la chaussette de Sofia. Il regarda, fasciné, alors qu'elle se rapprochait, faisant danser la chaussette devant ses yeux avant de la laisser effleurer doucement son visage. L'arôme légèrement acide mais indéniablement intime de ses pieds emplissait ses narines, augmentant son excitation malgré le contexte de leur interaction.
Soudain, sans avertissement, Sofia prit l’initiative. Dans un mouvement rapide, elle leva la main et frappa Marco durement dans les testicules. La douleur fulgurante le fit se courber, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres tandis qu'il luttait pour reprendre son souffle.
— C'est pour te rappeler qui est en charge, dit-elle froidement, observant Marco se tordre de douleur.
Alors que Marco se remettait, respirant lourdement, Sofia s'agenouilla devant lui.
— Ouvre la bouche, ordonna-t-elle.
Marco, encore sous le choc, obéit sans hésiter. Sofia cracha alors dans sa bouche, affirmant sa domination de la manière la plus brutale et intime possible. Sans lui laisser le temps de réagir, elle enfonça la chaussette dans sa bouche, le forçant à goûter et respirer l'essence même de sa domination.
— Tu kiffes hein Marco ? Avoir les chaussettes d’une étudiante de 19 piges dans la bouche, t’aimes ça hein ? Elles sont bien sales en plus, savoure petite salope que tu es.
Marco, les yeux larmoyants mais étrangement en érection, acquiesça à son sort, sa résistance brisée par la cascade d'humiliations et de plaisirs contradictoires. Sofia, satisfaite de l'effet de ses actions, se redressa, son regard parcourant le corps secoué de Marco.
— C'est juste le début, mon soumis, murmura-t-elle.
Elle avait clairement des plans pour lui, des idées qui poussaient les frontières de leur entente toujours plus loin. Le cou du coq était maintenant coincé entre les mâchoires du renard.
Cette conclusion intense laissait présager une suite encore plus provocante, où les limites seraient repoussées et où les rôles de pouvoir pourraient être explorés avec encore plus de profondeur.
Si vous avez aimé cette histoire, n’hésitez pas à liker ! Je suis friande de vos feedbacks afin de vous satisfaire avec la suite. Je mettrai peut-être les deux scénarios auxquels j’ai pensé pour la suite en commentaire, vous êtes libres de me dire ce que vous en pensez ! J’espère sincèrement que vous avez apprécié.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une mise en soumission de rêve et un style d'écriture agréable... une suite s'il vous plait
Vivement la suite
Un second volet que j'ai dévoré. J'aime la progressivité de la prise de pouvoir de Sofia. j'aimerais une suite ou l'humiliation de Marco sera grandissante. Mais j'avoue que je me laisse aller à mes propres envies.
J'adore. On se plonge dans l'histoire. J'espère pouvoir lire d'autres histoires venant de toi.
J'adore. J'espere que tu vas continuer d'écrire cette histoire et de nouvelles.
J'adore !!! On sent la tension monter, l'emprise de Sofia sur le pauvre Marco, troublé, mais surtout excité d'être à la merci de la belle étudiante. Ou va t elle l'emmener ??? Hate de lire la suite.
Willy
Willy