Sofiane, mon nouveau voisin

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Sofiane, mon nouveau voisin Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sofiane, mon nouveau voisin
J'habite en région parisienne, je vis dans une tour dans le 9.4 comme ils disent. Une grande tour impersonnelle où je ne connais pas grand monde. C'est un peu la tour de Babel, il doit y avoir toutes les couleurs et toutes les nationalités mais c'est tranquille, je n'ai jamais eu d'embrouilles.
Faut dire que je pars le matin et ne rentre que le soir. Je n'avais pas vraiment le temps de faire connaissance avec les gens que je rencontrais, c'était du bonjour bonsoir, sans plus.
Jusqu'au jour où… j'ai rencontré dans le hall un putain de beau mec rebeu.

J'étais rentré plus tôt car j'avais des courses à faire, j'étais monté me changer et je ressortais pour faire les courses quand je l'ai croisé, qui entrait.
Ce qui m'a surpris d'abord c'est de voir un mec en costume cravate, la trentaine comme moi, puis de voir que c'était un rebeu du cru, puis de m'apercevoir que c'était un beau mec, un très beau mec.
Je n'ai pas eu le temps d'en voir beaucoup ce premier jour, il m'a tenu la porte en me disant bonsoir, sourire aux lèvres, yeux noirs, visage basané, bronzé, et son allure! putain quelle allure il avait.

Lorsque je me suis retrouvé dehors, que je me suis retourné pour le regarder, je l'ai vu de dos son costume bien taillé, sa veste qui volait sur ses fesses, qui semblaient bien serrées dans son pantalon, puis il a tourné au bout du couloir pour aller à l'ascenseur.
Il m'avait échauffé le rebeu. J'ai pensé à lui toute la soirée et je me suis même branlé en imaginant tout ce que je pourrais faire avec lui.
J'essayais de me remémorer tous les détails physiques du rebeu mais tout se mélangeait dans ma petite tête tellement il m'excitait!

La deuxième fois où l'on s'est croisé, c'était un samedi. Il rentrait de ses courses et moi j'y allais, sourires, salutations. Il était en survêt, baskets et j'ai eu le temps de plus l'examiner, croyant être discret. J'ai vu son entre jambe, ça semblait libre la dessous, son torse moulé dans un tee-shirt qui lui collait à la peau, faisant ressortir la pointe de ses tétons.,.
Il n'en a pas fallu plus pour me mettre dans tous mes états.,.
Les branlettes ont continué.,.

J'avais repéré l'heure à laquelle il rentrait si bien qu'on se croisait de plus en plus souvent. Mais comme il arrivait quand je faisais mine de sortir je ne pouvais pas faire demi tour pour entrer avec lui dans l'ascenseur, savoir à quel étage il était.
Toujours poli, toujours bien habillé, toujours sexy il me faisait vraiment de l'effet ce rebeu! et au fur et à mesure de nos "rencontres" je trouvais qu'il me matait de plus en plus, ses yeux faisaient le tour de ma personne et il avait un petit sourire, que je trouvais ironique, aux lèvres.
Alors j'ai pensé qu'il n'était peut être pas gay et que je me faisais tout plein d'idées.
Mais je vous l'ai déjà dit, il y a un bon dieu pour les pédés..

Un soir, je revenais de la boulangerie, quand on s'est trouvé tous les deux à entrer. Il m'a laissé passer, sourire aux lèvres en me disant bonsoir de sa voix grave et excitante. En passant j'ai respiré son odeur et je me suis dirigé vers l'ascenseur. Il s'était arrêté aux boites aux lettres… merde! j'ai pensé, j'aurais pu savoir le numéro de son appart!
Il tardait à arriver, et l'ascenseur pour une fois n'a pas mis longtemps à venir, je l'ai bloqué et j'ai demandé assez fort.
-vous montez maintenant ? l'ascenseur est là.
-oui oui j'arrive, dit la voix grave du rebeu.

Je le vois arriver tout sourire, me remerciant en disant que ce n'était pas la peine, qu'il avait le temps et on est entré dans l'ascenseur. J'ai appuyé sur mon bouton le 15ème étage, j'ai vu ses yeux qu'il avait vu, n'a rien dit et il n'a appuyé sur aucun bouton. Mon cœur battait la chamade.
On se regardait en douce, je sentais son regard sur moi quand j'ai relevé la tête, il souriait en me fixant. Putain de belle gueule! j'en revenais pas d'être seul avec lui dans l'ascenseur, j'avais envie qu'il s'arrête, qu'on reste bloqué, qu'il se jette sur moi.
Mais quand l'ascenseur s'est arrêté, on était arrivé… il a ouvert la porte, est sorti en me la tenant, je le regardais un peu interloqué.
-on est voisin ? j'ai pu dire en balbutiant presque.
-moi j'habite là me dit il en me montrant sa porte au bout du couloir.
-et moi ici! dis je en montrant ma porte.
-eh bien bonne soirée dit le rebeu en allant vers sa porte.
-bonne soirée également, merci!

J'étais heureux comme un gamin un soir de Noël.
Et je me suis mis à le surveiller. Le samedi je regardais par l'œil de ma porte, qui donne sur l'ascenseur prêt à sortir si je le voyais.
C'est ainsi que j'ai fait plusieurs voyages avec lui dans l'ascenseur. On s'est retrouvé dans le magasin en bas de la tour, on se disait deux mots, toujours avec le sourire.
Il fallait que je trouve quelque chose, si je l'invitais pour le café ? t'es fou! on se connait pas.
Lorsque j'étais avec lui dans l'ascenseur, je le mangeais des yeux et lui souriait. On aurait dit, selon moi bien sûr, qu'il avait compris.

On parlait de plus en plus de choses banales. Cela lui est arrivé de s'arrêter devant chez moi pour finir la conversation. J'aimais sa voix, sa douceur, sa présence jusqu'au jour où on papotait devant chez moi, j'ai ouvert ma porte pour rentrer mes courses. Il était en survêt et, quand je me suis penché j'ai bien vu qu'il avait une grosseur entre les jambes et c'est moi qui ai rougi quand je me suis redressé, tenant un sac dans chaque main, ses yeux me fixaient, son regard était devenu dur. Il a fait un pas vers moi, me poussant pour me faire rentrer à reculons, j'ai eu peur devant son regard. J'ai lâché mes sacs mais on était rentré. Il a claqué la porte et on s'est retrouvé face à face presqu'à se toucher.

Sa main m'a saisi par le tee-shirt sous le menton, me collant contre le mur. Sa tête s'est approchée de la mienne, je voyais bien ses belles lèvres, je sentais son souffle arriver sur ma face.
-toi t'es une salope de pédé qui veut du sgeg de rebeu dit il.
Ce n'était pas une question, mais une constatation.
Là, j'avais vraiment peur car je sentais qu'il était costaud le beau rebeu, sa poigne sous mon menton me collait bien au mur.
-alors la salope! tu réponds ?
-euh... je sais pas.
Il rigole.
-tu sais pas! depuis qu'on se croise t'arrête pas de mâter mon sgeg, mon cul je t'ai vu dans le reflet de la vitre, tu baves quand je passe, alors tu veux quoi ?
Je le fixais sans répondre, j'avais la trouille de ma vie, renfermé chez moi avec ce mec.
Ses yeux étaient durs et ils me fixaient toujours, son nez était à quelques centimètres du mien si j'avais osé, j'aurais pu l'embrasser.
Mais la surprise est venue de lui, quand il s'est redressé le long de moi, son poing me bloquant sous le menton, j'ai senti son bassin se coller au mien, se frotter et ses yeux sont devenus plus doux.

Je ne bandais pas mais je sentais son sgeg qui lui, semblait en pleine forme.
-alors mec! t'es pédé ? dit il d'un ton dur. Si tu ne l'es pas, ben je serais obligé de m'excuser mec.
Je sentais son poing défaire son étreinte. Je pouvais un peu mieux respirer et son bassin se frottait encore plus contre moi et, ma queue commençait à répondre.
Il a dû le sentir, car un sourire est arrivé sur ses lèvres.

Son corps s'est encore plus collé au mien, m'écrasant le long du mur et ses lèvres se rapprochaient, son haleine chaude m'enveloppait, j'ai fermé les yeux.
Ses lèvres ont pris les miennes tendrement tout d'abord et, voyant que je répondais à son baiser il m'a bouffé les lèvres, quand j'ai rouvert les yeux les siens étaient fermés et il me dégustait le beau rebeu.
Son poing était parti de mon menton, c'est sa main qui enveloppait ma tête et sa langue est entrée dans ma bouche. Une langue chaude, douce, vive que j'ai aspiré, léché, sucé et nous avons poussé des gémissements tous les deux ensemble. On soufflait par le nez, ses mains me serraient le visage. Je le serrais contre moi, passant mes mains dans son dos, le caressant, les passant sous son tee-shirt, toucher sa peau chaude de rebeu, lisse, douce, chaude. Un dos et des reins musclés qui étaient un plaisir à caresser.
J'ai aimé de suite son corps collé au mien, qui bougeait tendrement, fermement.

Quand il a arrêté de m'embrasser, il tenait ma tête dans ses mains, me fixait et avait son beau sourire.
-si tu as le même appart que moi la chambre est au fond là-bas dit il en montrant de la tête la porte fermée.
J'ai fait oui des yeux. Il m'a pris par la main et m'a emmené dans ma chambre.
-déshabille toi dit il en en faisant autant.
Et, j'ai eu à poil dans ma chambre, mon beau rebeu costume cravate.
Il m'a attiré à lui m'a pris dans ses bras.
-depuis que je t'ai vu la première fois dans le hall, je rêve que je baise ton cul et que tu gueules ta race alors donne moi ton cul maintenant mec!
Il avait dit ça de sa voix grave, qui me donnait des frissons. C'était pas comme ça que j'avais pensé notre première rencontre… mais bon!

Quand j'ai vu la grosseur du sgeg du rebeu j'ai encore eu des frissons.
-met toi à quatre pattes! et tend bien ton beau petit cul, j'en ai tellement rêvé! si tu savais le nombre de fois que je me suis branlé en pensant à ce moment.
Dès qu'il a touché mes fesses, les caressant en les écartant, j'ai gémi. Il a dû apprécier mon cul car il avait une manière de le lécher. Il a pris un temps fou pour me préparer, il a déversé des litres de sa salive chaude, sa langue m'ouvrait, me léchait, me caressait puis ce fût ses doigts qui sont entrés en action me forant au plus profond qu'il pouvait. Quand il a mis deux doigts j'ai cru que j'allais jouir tellement ses caresses me faisaient du bien.

Mais, quand il a posé son gland circoncis sur mon orifice, il avait mis du gel dessus, j'écartais bien mes fesses et son sgeg est entré.
Sentir ce gros morceau que je n'avais pas vraiment vu, ni toucher m'ouvrir lentement le cul, étirer mon sphincter qui l'enveloppait, glisser lentement, ses mains qui me serraient les hanches, quand ce gros gland est passé j'ai gueulé! bien gueulé même!

Il s'est arrêté pour me caresser les flancs, le dos passant sur mes fesses comme pour les adoucir.
Et, d'un coup de reins il a fait entrer le reste si je puis dire! et y'en avait du reste! j'ai cru que j'étais écartelé, ça me piquait les yeux qui pleuraient mais ses couilles se frottaient aux miennes, et ses mains me parcouraient encore le dos, les fesses.
Il m'a relevé pour que mon dos se colle à son torse, sentant son sgeg s'enfoncer encore plus en moi, me faisant encore gémir.
-c'est ça que tu voulais hein! le bon sgeg du rebeu! eh bien tu l'as dans ton petit cul de pédé mec!

Je l'entends rire à mes oreilles et ses lèvres parcourent mon cou, me faisant des bisous partout.
-tu sens bon mec! ta peau de blond est douce. Je savais que je serais content de te niquer, t'as un cul profond qui prend bien mon sgeg alors je vais te niquer maintenant, tu sais à la manière rebeu sans concession.
Il m'a repoussé en avant et la machine rebeu est entrée en marche, direct la troisième vitesse, direct la surchauffe! mon cul, mon conduit me brûlaient tellement il allait vite en moi mais sa queue coulissait comme si elle avait déjà visité l'endroit. Il râlait, grognait, poussait des "han" à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi, m'appuyait sur le dos, pour que mon cul soit bien ouvert. Une vraie machine ce beau rebeu.

J'ai compris qu'il allait jouir car il a accéléré encore et encore, avant de se bloquer en hurlant au fond de mon cul et que les giclées, telles des tsunamis m'inondaient l'intérieur, me faisant gueuler également, ses doigts s'enfonçaient dans la peau de mes reins tout le temps qu'il s'est déversé en moi.
Il est sorti délicatement de mon cul pour s'allonger sur le dos juste à côté de moi m'a pris par la tête pour que je me colle à lui.
-viens là beau céfran, viens là que je te remercie de m'avoir offert ton cul comme ça!
J'étais sur lui pour l'embrasser alors j'ai fait connaissance avec son visage, le caressant partout, l'observant, l'embrassant, le léchant.
-t'es beau le rebeu! dis je en lui faisant un bisou sur les lèvres.
-alors je t'ai fait fantasmer dès la première fois ? dit il en souriant.
-oh oui! ça tu peux le dire.. si tu savais le nombre de fois que je me suis branlé en pensant à toi..
-sûrement autant que moi dans mon lit dit il en riant, et, dire qu'on était à quelques mètres.

On s'est encore embrassé, il me donnait sa langue ou prenait la mienne.
-et toi ? tu voulais me faire quoi ?
Je crois que j'ai rougi en le regardant, ce qui l'a fait sourire.
-c'est le cul du rebeu qui t'intéresse ? dit il en riant.
-si tu veux bien dis je en rougissant encore.
-tu le veux maintenant ?
J'en revenais pas, il m'a repoussé de sur lui et s'est mis dans la position où j'étais quelques instants auparavant.
-viens me niquer beau céfran, ça aussi j'en ai rêvé!

Alors je me suis occupé de son cul, de sa raie poilue, de son trou qui s'ouvrait bien. Il devait se doigter souvent le garçon.
Putain que j'ai aimé lécher son cul, sentir son odeur de rebeu qui me fait tant bander, caresser son intérieur doux et chaud, l'entendre gémir en tendant bien son cul, le forer, le percer au plus profond pour enfin lui donner ma belle queue de céfran blond. Voir mon gland bien décalotté, enduit du gel qu'il m'avait donné, s'enfoncer dans son cul qui s'ouvrait facilement, l'entendre pousser de petits cris et gueuler quand le gland est passé. J'ai fait comme lui, je l'ai caressé sur son corps musclé et je me suis enfoncé totalement en lui pour l'entendre gémir avec force.

Et je l'ai baisé mais pas comme un rebeu, mais comme j'aime, d'abord lentement pour apprécier toute la chaleur, la douceur du conduit, sentir le boyau se serrer sur ma queue, lui claquer les fesses ce qui le faisait sursauter en serrant ses fesses. Il rigolait de se faire fesser. Je l'ai fait se redresser contre moi, pour le prendre par les tétons et les martyriser et l'entendre gémir, voir sa bouche entrouverte, ses yeux fermés et râler de plaisir et j'ai enfin pris son sgeg en main pour le caresser tendrement.
-alors tu l'aimes la queue du céfran dans ton petit cul de rebeu pédé ?
Il rigole, se tourne vers moi.
-comment tu sais que je suis pédé le céfran ?
Il me fait un bisou.

Je le repousse sur le lit et je le baise en lui disant.
-je vais te niquer maintenant mon beau rebeu!
Et je n'ai pas été long à jouir et remplir son bon petit cul, gueulant tous les deux.
Je me suis écroulé sur son dos, il s'est allongé sur le lit, me gardant en lui, serrant ses fesses.
Je l'ai embrassé dans le cou, le léchant, il ronronnait presque.
-ça va mon beau rebeu ?
-t'es doué mec pour un céfran!
J'ai réussi à sortir de lui, pour le prendre dans mes bras, et le caresser. Il se laissait faire, offrant son corps à ma main.
-il aurait été dommage que je ne te bouscule pas dans l'entrée quand même! dit il en riant.
-tu sais que j'ai eu la trouille de ma vie!
-tu me pardonnes ? mais t'es tellement long pour draguer un rebeu aussi! il fallait bien que je fasse quelque chose.
-je sais pas dis je, t'aurais pu te présenter par exemple.
-ah oui! te dire quand on était dans l'ascenseur… bonjour moi c'est Sofiane, est ce que le céfran ici présent dont je ne connais pas le nom veut bien que je le nique chez lui maintenant ?
-alors je t'aurais dit… le céfran s'appelle Fabrice et il adore les beaux rebeu, alors tu peux entrer chez moi.

On rigole tous les deux en se serrant, s'embrassant.
-est ce que je pourrais revenir Fabrice ?
-ben j'aurais pensé que tu m'invites chez toi pour changer.
-bien sûr que je te ferais visiter mon palais tu sais il ressemble étrangement au tien.
-alors je pourrais venir en vacances chez mon beau rebeu ?
-seulement si moi je peux en faire autant. On a encore plein de choses à découvrir tous les deux dit Sofiane.
-oui mais je pense qu'on a fait le plus gros dès le premier jour!
Il me serre très fort contre lui.
-mais je veux te boire, je veux te bouffer des pieds à la tête. J'adore les blonds et j'ai pas eu le temps de bien t'examiner. J'aime ton odeur, j'aime ta peau douce.
-continue dis moi encore des choses comme ça, j'aime beaucoup!
Il rigole en m'embrassant.

Il est beau Sofiane mon voisin, il est doux, il est chaud et il baise comme un dieu, il se fait baiser de la même façon. On va en vacance chez l'un ou chez l'autre. On a fini par passer nos week-end ensemble, partir certains week-end… c'est moi, je pense qui lui ai dit que je l'aimais en premier, lui maintient que c'est lui qui me l'a dit…

A l'heure actuelle, nous avons un grand dilemme, quel appartement on va laisser pour vivre tous les deux…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
On a tous un jour revé de déshabiller un bel arabe croisé dans la rue, découvrir son corps et son sexe, merci d'avoir transformé ce rêve en réalité



Texte coquin : Sofiane, mon nouveau voisin
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