Soirée coquine au cinéma
Récit érotique écrit par Robitson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Soirée coquine au cinéma
Bonjour chers lecteurs,
C’est avec beaucoup de plaisir que je viens vous parler de notre deuxième expérience coquine, que ma femme Sophie et moi avons eu.
Il y a quelques mois, je vous avais raconté comment j’ai pu réaliser à son insu, mon fantasme d’exhibitionniste dans les bois autour d’Annecy. Visiblement l’expérience ne lui avait pas déplu, puisque quelques semaines plus tard, elle accepta ma proposition de passer la soirée au cinéma en tenue légère.
Sophie est à mon goût une jolie femme de 42 ans, avec des petits seins fermes et surtout un cul bien bandant.
En voici donc le récit.
Le soir venu, nous amenâmes nos enfants chez une amie, puis de retour à la maison, Sophie partit dans notre chambre pour changer de tenue. Elle en sortit quelques minutes plus tard, en mini-jupe et en débardeur blanc.
« Ça te convient mon chéri ? »
« Ouahhh !!! »
Sans attendre, nous regagnâmes la voiture.
Il nous a fallu tout de même 45 minutes pour arriver à Genève, où se trouve un vieux cinéma situé dans un quartier de banlieue. Vu la tenue sexy de ma femme, nous avons préféré nous rendre assez loin d’Annecy, histoire de ne pas tomber sur nos voisins de palier !!!
Comme je l’espérais, Il n’y avait pas trop de monde dans le hall.
Le gars du guichet nous tendit les tickets sans même nous regarder.
Par contre en montant les escaliers qui mènent à l’unique salle, un jeune homme d’environ vingt-cinq ans, la casquette en arrière, scrutait ma femme de haut en bas.
L’ambiance dans la salle était à l’image du guichet : beaucoup de places vides, une tapisserie vieillotte, des fauteuils usagés, etc.
Nous nous assîmes dans un coin relativement discret, à l’arrière de la salle.
Sophie me chuchota à l’oreille :
« Je n’aime pas du tout cet endroit. Tu ne veux pas qu’on aille ailleurs ? »
« Maintenant qu’on a payé les places, on ne va quand même pas rentrer ! »
« Moi ça ne me dit rien de rester ici ! »
La lumière s’éteignit…, place à la traditionnelle pub.
Sophie me faisait la tête
Un spectateur d’une bonne cinquantaine d’années s’installa devant nous, en jetant un bref coup d’œil sur ses jolies jambes nues.
Cela ne semblait pas lui déplaire, car elle rougissait.
Le bonhomme retira sa veste et en profita pour la mater à nouveau.
Sophie ne bronchait toujours pas !
Je me risquais alors à relever sa jupe.
« T’es con ou quoi… On va se faire jeter ! »
D’un geste brusque, elle remit sa jupe en place.
Cette fois les lumières s’éteignirent complètement et le film put enfin commencer.
« Dans le noir personne ne te verra… à part celui qui est devant nous »
« C’est pas mon genre ! »
« Belle soirée en perspective ! » lui répondis-je.
« Mais tu veux faire quoi exactement dans cette salle pourrie ? » dit-elle en haussant le ton.
« Chut… moins fort ! »
Les spectateurs nous dévisagèrent un instant.
Je la pris alors dans mes bras afin d’essayer de la rassurer.
« Du moment qu’on ne fait pas de bruit, je te répète qu’on n’a rien à craindre »
« Et ben moi, je n’ai pas envie de passer la nuit en Suisse dans un commissariat de police ! »
« Tu t’inquiètes vraiment pour rien, ma chérie »
Je l’embrassai tendrement, très tendrement, et le calme revint.
Peu à peu, nos langues se mêlèrent.
Notre compère se retourna de nouveau pour la lorgner. Il devait sans doute s’imaginer que nous étions un couple tout à fait ordinaire.
Pendant que nous nous embrassions, je sentais qu’il nous regardait avec insistance.
Sophie s’en aperçu, et contre toute attente elle écarta ses jambes.
Je crois que comme beaucoup de femmes de son âge, Sophie sent le besoin de plaire, voire d’exciter les mecs. Et lorsque la situation s’y prête, elle en arrive parfois à ne plus pouvoir se contrôler. Tant mieux !
Le voyeur se penchât discrètement vers l’accoudoir du fauteuil pour essayer de voir sa petite culotte, malgré l’obscurité.
Moi je bandais comme un âne.
Je ne pus m’empêcher de lui glisser à l’oreille :
« Tu l’excites ! »
Par moment, le type faisait semblant de regarder le film, ne sachant pas vraiment à quel jeu nous jouions, puis il se baissa à nouveau pour zyeuter.
Sophie avait mis de côté son habituelle pudeur. Pendant que nous nous embrassâmes, elle écarta un peu plus les cuisses.
Le voyeur se mit à se masturber, on pouvait discerner les petits mouvements du bras.
Je caressais sa chatte à travers sa culotte.
Cette fois il nous observait ouvertement en se branlait sans retenue.
« Mumm, tu aimerais qu’il te bouffe la chatte, salope ! »
Elle ne répondit pas, mais ses petits déhanchements en dirent long sur ses fantasmes.
Le voyeur se risqua à poser une main sur son genou gauche, mais instantanément, elle eut le réflexe, sans doute incontrôlé, de la repousser.
Dommage, j’aurais bien aimé !
J’abandonnai alors son minou pour peloter ses petits seins, d’abord à travers son débardeur, puis dessous, au contact de sa peau douce à souhait.
Nos langues exhibées se léchèrent inlassablement, sans même que nos lèvres n’entrèrent en contact. Cette forme de baiser, Sophie aime le pratiquer quand elle est très chaude.
Le film continuait son petit bonhomme de chemin.
Notre voyeur tenta une seconde fois sa chance. Il posa délicatement une main sur son genou, mais ce coup-ci elle ne broncha pas… Waouh !
Que devait-il penser de ma femme ?
Qu’importe ! Pour un mari, c’est une sensation des plus palpitantes.
Ma verge était tendue à l’extrême.
Pendant que je la pelotais, l’inconnu caressait ses cuisses sous tous les angles, profitant au maximum de l’aubaine.
Sophie m’embrassait avec une exaltation inhabituelle.
Soudain, elle eut un léger mouvement de recul ; je compris que la main baladeuse avait atteint la zone interdite. Je pressai fermement ma bouche contre la sienne afin qu’elle abandonna toute opposition.
« T’aime ça… » insistais-je
« Mmmm »
« Tu as envie de sa queue, salope ! »
Mes paroles étaient devenues incontrôlables.
« J’aimerais te voir baiser avec lui dans les toilettes »
Elle m’agrippa par la nuque et m’embrassa en tremblant de tout son corps.
Malgré la sono, j’entendais le clapotis des doigts dans sa chatte toute trempée.
Une fois ce premier orgasme passé, elle repoussa la main baladeuse et se blottit dans mes bras, sans rien dire.
Le bonhomme resta aussi quelques instants dans son coin avant de s’éloigner. Je me disais qu’il avait sans doute eu son compte. Détrompez-vous ! Le voilà qu’il revint à la charge, mais cette fois en se dirigeant dans notre travée.
J’étais assis contre le mur, Sophie était à ma droite. Il s’installa donc juste à côté d’elle.
Connaissant ses sautes d’humeur, j’eus peur qu’elle le chassa sèchement. Certes elle était bien excitée, mais elle n’en demeurait pas moins impressionnée par la tournure des évènements.
Il sortit sa verge et se masturba de nouveau.
J’embrassais tendrement ma chérie sur le cou.
Sentant qu’elle préféra que je me taise afin qu’elle puisse prendre elle-même les initiatives, je me contentais désormais d’être un simple spectateur.
L’homme exhibait son pénis tout entier en descendant sa main jusqu’à la base, comme pour dire : allez-y, touchez madame !
Sophie avait une respiration courte qui trahissait son état de nervosité.
Elle m’effleurait le visage du bout des lèvres.
Soudain :
« J’ai envie d’une queue » s’exclama-t-elle.
Son souffle chaud sur mon visage était d’une telle sensualité que j’en fus carrément scotché. Elle se tourna alors vers son voisin et se pencha sur son sexe. De là où j’étais, je ne pus voir grand-chose, mais de toute évidence, elle commença par des petits préliminaires avec la langue.
Je sortis un préservatif de ma poche, car je n’avais pas envie qu’il éjacule dans sa bouche… question d’hygiène ! Cependant je n’osais pas trop l’interrompre tout de suite.
Le type glissa une main le long de son dos. Il s’arrêta sur ses magnifiques fesses qu’il caressa avec délice. Il souleva ensuite sa jupe, baissa sa culotte et introduisit lentement le majeur dans son anus.
A cet instant, Sophie engloutit la verge. Je vis sa tête onduler de manière presque insolite. Ces mouvements de va et vient me procurèrent des sentiments confus où se mêlèrent à la fois la jalousie et l’extase.
Quelle impression de voir le cul de sa femme tout contre soi, en train de se faire fouiller !
Je pouvais même sentir l’odeur ; désolé pour les détails, mais cela ne faisait qu’accroître ma libido.
En me penchant vers elle pour lui donner le préservatif, le fait de voir cette grosse bite dans sa bouche m’excitait au point de le remettre dans ma poche. A la place, Je sorti mon sexe pour me branler, et de l’autre main je me mis à caresser ses petits seins tout gonflés.
Malheureusement, j’étais déjà au bord de la jouissance. A peine ais-je eu le temps de me redresser qu’un jet de sperme gicla sur le fauteuil de devant.
Le voyeur n’allait pas non plus tarder à se libérer. Sophie le sentait bien, elle accélérait le rythme.
Il posa une main ferme sur sa tête, et avec une discrétion des plus inattendues, presque frustrante pour moi, il éjacula dans sa bouche.
Son doigt était enfoncé à fond dans l’anus.
Dans le feu de l’action, nous ne nous étions pas rendu compte qu’un mec était venu s’assoir juste derrière pour profiter du spectacle.
Ma femme n’avait pas encore fini sa petite gâterie. Elle prit soin de bien nettoyer le sexe de son partenaire. Décidément, elle avait vraiment le feu au cul !
Lorsqu’enfin elle se redressa, il sortit son portefeuille et lui dit :
« Vous êtes très jolie mademoiselle. Tenez, voici ma carte. Si ça vous dit un soir de passer chez moi avec votre compagnon »
Sophie encore toute excitée me sauta au coup et m’embrassa à pleine bouche. Ça sentait le sperme !
C’est avec beaucoup de plaisir que je viens vous parler de notre deuxième expérience coquine, que ma femme Sophie et moi avons eu.
Il y a quelques mois, je vous avais raconté comment j’ai pu réaliser à son insu, mon fantasme d’exhibitionniste dans les bois autour d’Annecy. Visiblement l’expérience ne lui avait pas déplu, puisque quelques semaines plus tard, elle accepta ma proposition de passer la soirée au cinéma en tenue légère.
Sophie est à mon goût une jolie femme de 42 ans, avec des petits seins fermes et surtout un cul bien bandant.
En voici donc le récit.
Le soir venu, nous amenâmes nos enfants chez une amie, puis de retour à la maison, Sophie partit dans notre chambre pour changer de tenue. Elle en sortit quelques minutes plus tard, en mini-jupe et en débardeur blanc.
« Ça te convient mon chéri ? »
« Ouahhh !!! »
Sans attendre, nous regagnâmes la voiture.
Il nous a fallu tout de même 45 minutes pour arriver à Genève, où se trouve un vieux cinéma situé dans un quartier de banlieue. Vu la tenue sexy de ma femme, nous avons préféré nous rendre assez loin d’Annecy, histoire de ne pas tomber sur nos voisins de palier !!!
Comme je l’espérais, Il n’y avait pas trop de monde dans le hall.
Le gars du guichet nous tendit les tickets sans même nous regarder.
Par contre en montant les escaliers qui mènent à l’unique salle, un jeune homme d’environ vingt-cinq ans, la casquette en arrière, scrutait ma femme de haut en bas.
L’ambiance dans la salle était à l’image du guichet : beaucoup de places vides, une tapisserie vieillotte, des fauteuils usagés, etc.
Nous nous assîmes dans un coin relativement discret, à l’arrière de la salle.
Sophie me chuchota à l’oreille :
« Je n’aime pas du tout cet endroit. Tu ne veux pas qu’on aille ailleurs ? »
« Maintenant qu’on a payé les places, on ne va quand même pas rentrer ! »
« Moi ça ne me dit rien de rester ici ! »
La lumière s’éteignit…, place à la traditionnelle pub.
Sophie me faisait la tête
Un spectateur d’une bonne cinquantaine d’années s’installa devant nous, en jetant un bref coup d’œil sur ses jolies jambes nues.
Cela ne semblait pas lui déplaire, car elle rougissait.
Le bonhomme retira sa veste et en profita pour la mater à nouveau.
Sophie ne bronchait toujours pas !
Je me risquais alors à relever sa jupe.
« T’es con ou quoi… On va se faire jeter ! »
D’un geste brusque, elle remit sa jupe en place.
Cette fois les lumières s’éteignirent complètement et le film put enfin commencer.
« Dans le noir personne ne te verra… à part celui qui est devant nous »
« C’est pas mon genre ! »
« Belle soirée en perspective ! » lui répondis-je.
« Mais tu veux faire quoi exactement dans cette salle pourrie ? » dit-elle en haussant le ton.
« Chut… moins fort ! »
Les spectateurs nous dévisagèrent un instant.
Je la pris alors dans mes bras afin d’essayer de la rassurer.
« Du moment qu’on ne fait pas de bruit, je te répète qu’on n’a rien à craindre »
« Et ben moi, je n’ai pas envie de passer la nuit en Suisse dans un commissariat de police ! »
« Tu t’inquiètes vraiment pour rien, ma chérie »
Je l’embrassai tendrement, très tendrement, et le calme revint.
Peu à peu, nos langues se mêlèrent.
Notre compère se retourna de nouveau pour la lorgner. Il devait sans doute s’imaginer que nous étions un couple tout à fait ordinaire.
Pendant que nous nous embrassions, je sentais qu’il nous regardait avec insistance.
Sophie s’en aperçu, et contre toute attente elle écarta ses jambes.
Je crois que comme beaucoup de femmes de son âge, Sophie sent le besoin de plaire, voire d’exciter les mecs. Et lorsque la situation s’y prête, elle en arrive parfois à ne plus pouvoir se contrôler. Tant mieux !
Le voyeur se penchât discrètement vers l’accoudoir du fauteuil pour essayer de voir sa petite culotte, malgré l’obscurité.
Moi je bandais comme un âne.
Je ne pus m’empêcher de lui glisser à l’oreille :
« Tu l’excites ! »
Par moment, le type faisait semblant de regarder le film, ne sachant pas vraiment à quel jeu nous jouions, puis il se baissa à nouveau pour zyeuter.
Sophie avait mis de côté son habituelle pudeur. Pendant que nous nous embrassâmes, elle écarta un peu plus les cuisses.
Le voyeur se mit à se masturber, on pouvait discerner les petits mouvements du bras.
Je caressais sa chatte à travers sa culotte.
Cette fois il nous observait ouvertement en se branlait sans retenue.
« Mumm, tu aimerais qu’il te bouffe la chatte, salope ! »
Elle ne répondit pas, mais ses petits déhanchements en dirent long sur ses fantasmes.
Le voyeur se risqua à poser une main sur son genou gauche, mais instantanément, elle eut le réflexe, sans doute incontrôlé, de la repousser.
Dommage, j’aurais bien aimé !
J’abandonnai alors son minou pour peloter ses petits seins, d’abord à travers son débardeur, puis dessous, au contact de sa peau douce à souhait.
Nos langues exhibées se léchèrent inlassablement, sans même que nos lèvres n’entrèrent en contact. Cette forme de baiser, Sophie aime le pratiquer quand elle est très chaude.
Le film continuait son petit bonhomme de chemin.
Notre voyeur tenta une seconde fois sa chance. Il posa délicatement une main sur son genou, mais ce coup-ci elle ne broncha pas… Waouh !
Que devait-il penser de ma femme ?
Qu’importe ! Pour un mari, c’est une sensation des plus palpitantes.
Ma verge était tendue à l’extrême.
Pendant que je la pelotais, l’inconnu caressait ses cuisses sous tous les angles, profitant au maximum de l’aubaine.
Sophie m’embrassait avec une exaltation inhabituelle.
Soudain, elle eut un léger mouvement de recul ; je compris que la main baladeuse avait atteint la zone interdite. Je pressai fermement ma bouche contre la sienne afin qu’elle abandonna toute opposition.
« T’aime ça… » insistais-je
« Mmmm »
« Tu as envie de sa queue, salope ! »
Mes paroles étaient devenues incontrôlables.
« J’aimerais te voir baiser avec lui dans les toilettes »
Elle m’agrippa par la nuque et m’embrassa en tremblant de tout son corps.
Malgré la sono, j’entendais le clapotis des doigts dans sa chatte toute trempée.
Une fois ce premier orgasme passé, elle repoussa la main baladeuse et se blottit dans mes bras, sans rien dire.
Le bonhomme resta aussi quelques instants dans son coin avant de s’éloigner. Je me disais qu’il avait sans doute eu son compte. Détrompez-vous ! Le voilà qu’il revint à la charge, mais cette fois en se dirigeant dans notre travée.
J’étais assis contre le mur, Sophie était à ma droite. Il s’installa donc juste à côté d’elle.
Connaissant ses sautes d’humeur, j’eus peur qu’elle le chassa sèchement. Certes elle était bien excitée, mais elle n’en demeurait pas moins impressionnée par la tournure des évènements.
Il sortit sa verge et se masturba de nouveau.
J’embrassais tendrement ma chérie sur le cou.
Sentant qu’elle préféra que je me taise afin qu’elle puisse prendre elle-même les initiatives, je me contentais désormais d’être un simple spectateur.
L’homme exhibait son pénis tout entier en descendant sa main jusqu’à la base, comme pour dire : allez-y, touchez madame !
Sophie avait une respiration courte qui trahissait son état de nervosité.
Elle m’effleurait le visage du bout des lèvres.
Soudain :
« J’ai envie d’une queue » s’exclama-t-elle.
Son souffle chaud sur mon visage était d’une telle sensualité que j’en fus carrément scotché. Elle se tourna alors vers son voisin et se pencha sur son sexe. De là où j’étais, je ne pus voir grand-chose, mais de toute évidence, elle commença par des petits préliminaires avec la langue.
Je sortis un préservatif de ma poche, car je n’avais pas envie qu’il éjacule dans sa bouche… question d’hygiène ! Cependant je n’osais pas trop l’interrompre tout de suite.
Le type glissa une main le long de son dos. Il s’arrêta sur ses magnifiques fesses qu’il caressa avec délice. Il souleva ensuite sa jupe, baissa sa culotte et introduisit lentement le majeur dans son anus.
A cet instant, Sophie engloutit la verge. Je vis sa tête onduler de manière presque insolite. Ces mouvements de va et vient me procurèrent des sentiments confus où se mêlèrent à la fois la jalousie et l’extase.
Quelle impression de voir le cul de sa femme tout contre soi, en train de se faire fouiller !
Je pouvais même sentir l’odeur ; désolé pour les détails, mais cela ne faisait qu’accroître ma libido.
En me penchant vers elle pour lui donner le préservatif, le fait de voir cette grosse bite dans sa bouche m’excitait au point de le remettre dans ma poche. A la place, Je sorti mon sexe pour me branler, et de l’autre main je me mis à caresser ses petits seins tout gonflés.
Malheureusement, j’étais déjà au bord de la jouissance. A peine ais-je eu le temps de me redresser qu’un jet de sperme gicla sur le fauteuil de devant.
Le voyeur n’allait pas non plus tarder à se libérer. Sophie le sentait bien, elle accélérait le rythme.
Il posa une main ferme sur sa tête, et avec une discrétion des plus inattendues, presque frustrante pour moi, il éjacula dans sa bouche.
Son doigt était enfoncé à fond dans l’anus.
Dans le feu de l’action, nous ne nous étions pas rendu compte qu’un mec était venu s’assoir juste derrière pour profiter du spectacle.
Ma femme n’avait pas encore fini sa petite gâterie. Elle prit soin de bien nettoyer le sexe de son partenaire. Décidément, elle avait vraiment le feu au cul !
Lorsqu’enfin elle se redressa, il sortit son portefeuille et lui dit :
« Vous êtes très jolie mademoiselle. Tenez, voici ma carte. Si ça vous dit un soir de passer chez moi avec votre compagnon »
Sophie encore toute excitée me sauta au coup et m’embrassa à pleine bouche. Ça sentait le sperme !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’aime la fin embrasser avec la bouche pleine de sperme
Très belle histoire, merci !