SOIREE HARD

- Par l'auteur HDS Philmohammedia -
Auteur homme.
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Récit libertin : SOIREE HARD Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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SOIREE HARD
Ce soir la, j’ai invité une amie à venir passer la soirée en ma compagnie. Je me hâtais de tout préparer afin qu’il n’y ait pas de temps mort et de perte de temps inutile car nous savions très bien qu’une seule chose nous intéressait pour clôturer cette soirée, par contre elle ne savait pas comment allait se dérouler cette soirée.

Il est 20 heures et tout est près, il reste une demi-heure avant que celle-ci arrive. Je me rase, prends une douche et m’habille d’une robe traditionnelle marocaine pour seul vêtement.

15 minutes se sont écoulées, il est 20 heures 15 minutes, je m’installe devant la télévision et regarde une émission sur la construction des navires gigantesques.

20 heures 30 minutes, la sonnerie de la porte d’entré retentit, je me dirige vers la porte, l’ouvre, elle était là ponctuelle comme d’habitude, je m’écartais pour le laissé rentrer, je refermais la porte à clef et lui tendis ma main, elle l’embrassa ; nous traversâmes la cour et nous rentrions dans la maison, je fermais derrière nous la porte et lui donnais une tape sur les fesses, elle se débarrassa de son chapeau et de son sac qu’elle posait sur le mûr du salon ainsi que de son manteau qu’elle me remit et que je posais sur un cintre.

Je lui montrais la salle de bain et lui ordonnais de prendre une bonne douche, elle se déshabilla complètement et laissait ses vêtements sur le sol, j’enlevais ma robe et me plaça devant le bidet des toilettes, elle vint se mettre à genoux à mon côté gauche, elle posa sa bouche sur la base de mon sexe, sa langue allait et venait lentement sur le long de mon sexe, elle décrivait des cercles en même temps, mon sexe gonflait de plus en plus de désir malgré mon envie d’uriner, mais j’y arrivais tant bien que mal à me libérer de mon urine. Je tirais la chasse d’eau, elle se releva et rentra sous la douche et commença à se laver complètement devant moi, je lui rappelais cependant une chose :

- Putain lave bien ton anus sale chienne.

Elle le fit aussitôt en disant

- Oui maître que m’as-tu réservé comme surprise ce soir ?

- Tu verras bien traîné, la chose qui t’intéresse c’est ma queue tu vas l’avoir.

Je lui jetais une serviette et dis :

- Essuies toi bien garce et va dans la chambre t’asseoir sur le tabouret dans la chambre ânesse, j’arrive.

Je me rendais dans le salon et prépara un whisky coca et me rendait vers la chambre, elle avait bien exécuté ce que je lui avais ordonné.

- Maître pourquoi cette gamelle ?

- Pour toi chienne, regarde je mets le whisky coca dans celle-ci et tu vas le boire en le lapant puisque tu es une chienne.

Elle se mit a quatre pattes et se plaça devant la gamelle et lapait le whisky coca en faisant bien attention de bouger son cul qu’elle avait bien mit en évidence pour que je le remarque bien, c’est vrai qu’il était très beau avec des formes magnifiques.

Au bout de quelques instants j’ouvris un tiroir et en sortais un collier avec une laisse et un martinet que j’avais pris le matin, je lui passais le collier autour de son cou et y fixa la laisse. Elle ne dit rien et je lui portais un coup de martinet sur les fesses, celui-ci claqua d’un coup sec et sa réaction fut :

- Maître pourquoi, vous me frappez ?

- Chienne, il vous faut me remercier pour ce cadeau !

- Pardon Maître, merci maître !

Elle fit demi tour et vint me lécher les pieds et me caressait de son visage le bas des jambes.

- Voila chienne comme cela s’est mieux retourne laper dans ta gamelle.

J’allumais une cigarette et me plaçais devant elle, je la tenais et lui tendais pour qu’elle puisse la fumer sans utiliser ses mains. Elle prenait une taffe et lapait tour à tour.

Je prenais la laisse et la tira fortement ce qui l’obligea à faire demi tour, la gamelle se trouvait derrière elle maintenant.

- Maître qu’y a-t-il ?

- Regarde dans qu’elle état je suis ? Tu ne vois pas ma queue qu’elle est prête à exploser ?

- Maître, oui maître.

- As-tu finis ta gamelle chienne ?

- Maître oui Maître.

- Bien chienne maintenant viens prendre ton biberon chienne.

- Maître oui Maître vous me faîtes plaisirs en me demandant cela.

Elle s’appliquait à embrasser le bout de mon sexe, j’étais tellement excité de voir cette chienne depuis tout à l’heure, qu’un liquide brillant et épais apparaissait, elle le léchait consciencieusement puis engloutit mon sexe dans sa bouche, elle ne pus le faire rentrer complètement, elle me pompait un bon moment et pendant ce temps, je lui tapotais sur la tête en lui disant :

- Bonne chienne, très bien bonne chienne.

Elle sortie mon sexe de sa bouche, sortie sa langue et commença à me lécher les testicules et les prenait dans sa bouche complètement. Je tirais de nouveau sur la laisse et me plaçais derrière elle, mon sexe toujours gonflé dans ma main gauche, je baissais ma tête vers son anus et crachais dessus avec mon pouce je commençais à lui ouvrir son anus légèrement car je voulais pouvoir sentir s’ouvrir son petit trou du cul à croquer. Je plaçais ma queue juste contre son anus, je tendais mon dos et d’un coup sec je lançais le bas de mon ventre à l’assaut de ce petit trou du cul.

- Aie Maître ohlalala Maître oui oh que c’est bon Maître.

- Tu aimes cela chienne oui chienne.

- Oui Maître, vas y défonce moi, frappe moi !

Je la frappais à grand coup de queue et j’attrapais le martinet et le faisait claquer sur elle, elle avait de la jouissance mélangé avec de la souffrance. Je me retirais de son anus et me plaçais devant sa bouche.

- lèches salope de chienne.

- Maître oui Maître.

Elle s’occupait bien de ma queue comme une bonne chienne joue avec son os. Je la repoussais violemment et je rejetais à la charge de son anus et avec le martinet je continuais de la fouetter, l’envie d’éjaculer était énorme quand cela devenait trop près de l’explosion je me retirais et lui donnais ma queue à lécher, cela faisait plus de deux heures que le jeu était démarré et je n’en pouvais plus, j’éjaculais dans ma main.

- lèche mon sperme chienne et bien, si tu laisses une seule goutte je te colle une raclée.

- Maître oui maître.

- Bien bonne chienne.

- Voila maître j’ai tout léché, regardez Maître…

- Bien, parfait petite chienne.

J’ouvris le lit, me glissait à l’intérieur et lui dis :

- Viens petite chienne.

- Maître oui maître comment dois-je me mettre ?

- Chienne prends ton os dans ta bouche et endors toi.

Elle s’exécutais sans dire un mot et je rabattis les couvertures sur nous, nous nous endormîmes ainsi et au petit matin, ma queue était encore gonflée de désirs, je la poussais sur son dos, lui écartais les cuisses et me mit à lui pénétrer son vagin avec douceur, car elle avait des douleurs sur les cuisses et le dos à cause des coups de martinet de la veille, j’étais au fond d’elle et j’attrapais ses pieds, lui remontais les jambes de façon à mettre ses genoux contre ses épaules et je me laissais aller en elle comme un sauvage jusqu'à ce que je lui remplisse son vagin de mon sperme. Nous avons fumé une cigarette et sommes allé sous la douche, là elle se lava et me lava juste après. Nous avions pris un bon petit déjeuner puis nous nous sommes habillé pour sortir, avant de sortir je l’enlaçais et l’embrassait sur ces lèvres, des larmes apparaissaient dans ses yeux, et elle me dit.

- je suis triste de te quitter, j’adore être avec toi, je regrette d’être déjà mariée.

- Merci, moi aussi je t’aime, mais tu es marié et tu as un enfant avec lui.

- Oui mais je t’aime et j’aime comment tu me traites je pense à toi tout le temps.

- Tu es vraiment magnifique tu sais.

- Il rentre après demain, j’espère que les traces ne seront pas trop visibles.

Elle franchit la porte et trois jours après, elle me téléphona pour me dire que tout va bien et qu’il n’a rien remarqué et qu’elle était pressé de recommencer.

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