Soirée particulière

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Soirée particulière Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

Couleur du fond :
Soirée particulière
Nous devenons folles. Le champagne fait son effet. Les histoires de nos amours sont
maintenant à la limite de la pornographie. Il faut dire que les filles entre elles
sont plus crues que les hommes.
La première à nous raconter ses ratées avec son mari est Jeanne, une belle fille un
peu en rondeurs. Il lui fait l’amour à sa façon, deux coup dans le vagin, il lâche sa
purée et c’est fini. Elle attend qu’il dorme pour se satisfaire. Pourtant rien ne la
force à le tromper.

Henriette, elle ne se prive jamais d’amour. Pourtant elle vit seule dans sa maison.
Elle trouve toujours un amant, jamais le même pour vivre des nuits éblouissantes. Je
ne sais pas comment elle arrive à ce résultat, d’autant plus qu’elle nous parait
toujours sérieuse, trop même.
Moi, je reste célibataire à 30 ans, sans attache particulières vivant l'amour au jour
le jour, si j’ai un homme j’en profite, si je n’en ai pas, je me masturbe sans
problème. L’amour physique que j’aime bien n’est pas ma préoccupation principale.
Toujours sous la dictée du champagne nous décidons d’aller dans un endroit discret où
les couples se mêlent sans problème. Le lendemain soir, je repense à notre projet que
je trouve sacrément osé.
Les jours passent quand un de mes copains l’invite pour participer justement à une
soirée particulière : il ne veut pas m’en dire plus. Je le connais assez bien : il est
attiré par les hommes. Il me surprend, surtout que je ne sais trop comment se passe ce
genre de soirée. A tout hasard je prends d’abord une douche pour être bien reluisante,
j’évite la masturbation : je me dis que je vais baiser, j’en aurais sans doute assez.
Pour la toilette c’est vite fait, ma robe blanche, la collante devrait aller à
condition que j’oublie de mettre des sous vêtement : au fond ça ne me gêne pas. Je
sais que mes mamelons sont apparents, l’idéal pour ce soir. Mon copain fidèle à sa
réputation est chez moi juste à l’heure. Le chemin est court, nous n’avons pas
d’arguments pour bavarder surtout que dès la sonnette enclenchée, une jolie femme dans
un robe comme la mienne, mais noire ouvre : elle nous embrasse rapidement. Disons
qu’elle embrasse mon copain rapidement. Pour moi c’est directement sa bouche sur le
mienne, oh pas un baiser normal, juste un baiser promesses.
Je sens de suite qu’elle me veut. Elle ne serait pas la première à me faire comprendre
qu’elle me veut, mais là je sens que je vais me laisser faire : elle me plait bien.
Dès l’entrée je sens l’odeur de l’amour, l’odeur des sexes. Comme un léger picotement
au bas ventre me montre que je ne vais pas céder ma place. Mon copain est déjà parti
avec ses amis. Je ne reste pas longtemps seule, l’hôtesse est déjà à mes coté :
- Tu es seule ?
- Oui,
- Si tu veux de moi, je suis disponible.
Je la détaille : elle doit avoir mon âge, brune les yeux verts rare. Sa poitrine est
plus ronde que la mienne. Je suis totalement hétérosexuelle et je me laisse lever par
une fille. Je suis curieuse de savoir ce que peut faire une autre fille avec moi : je
verrais bien, je n’en mourrais pas de toute façon et je mourrai moins bête.
Sans gêne elle me prend la main pour m’emmener vers une chambre au fond d’un long
couloir. La lumière tamisée nous servira à nous cacher un peu. Sa bouche revient sur
moi. Cette fois c’est un baiser complet qu’elle me donne. C’est très agréable de
sentir sa langue venir dans ma bouche.
Nous nous serrons longuement pendant ce baiser accrocheur. Je ne voudrais pas qu’elle
arrête. Je sens mes seins gonfler. Sa bouche oublie un moment la mienne pour le cou.
Elle me donne des frissons. Ses mains descendent de mon dos pour chercher je ne sais
quoi. Si elle ouvre ma robe pour m’en dégager : elle sait que je suis nue dessous. Mon
vêtement tombe sur le sol. Je suis comme une idiote nue, devant une femme qui ne me
connait pas encore. Je n’ai pas de réflexe de pudeur : je me montre telle que je suis.
A son tour elle fait tomber sa robe : sa nudité me sidère tellement son corps me
plait. Nous sommes à nouveau corps à corps. C’est excitant de sentir sa poitrine
contre la mienne. Nos pubis se touchent longuement : je suis toute trempée.
- J’ai envie de toi, je veux te baiser.
- Moi aussi j’ai envie que tu me baise.
- Tu sais faire l’amour ?
- Avec les hommes oui, pas avec les femmes.
- Je vais t’apprendre.
Elle n’attend même pas mon accord, une main sur mes fesses me donne encore le frisson.
Son autre main passe entre nous deux pour venir sur ma choupinette. Elle caresse mes
poils au passage avant d’aller directement sur mon bouton. Je crois qu’elle ne caresse
d’un seul doigt. Elle m’envoie au paradis rapidement, trop vite hélas.
Elle me fait mettre sur le lit. Je m’y étale les jambes écartées dans l’attente de la
suite. J’attendais qu’elle recommence à me branler. C’est sa bouche qui vient visiter
mon intimité. Mon clitoris la reçoit encore, cette fois je suis plus longue à venir.
Savoir qu’une bouche de fille me lèche le bouton m’excite drôlement.
Je sens quand elle entre des doigts dans mon puits. Je me tends vers ses doigts qui me
baisent. Je jouis comme si une bite était venue dans mon ventre. Elle garde toujours
sa bouche sur le bouton, elle ne fait que changer d’endroit ses doigts qui caressent
d’abord l’anus avant d’y entrer. Je repars encore une fois. Je suis devenue une chiffe
mole dans ses bras.
Elle se tourne complètement en me donnant son abricot. Je suis surprise de voir un
sexe féminin tout près de ma bouche, et pourtant je n’hésite pas un seul instant à
l’embrasser. Malhabile ma langue cherche ses endroits sensuels. Son odeur, semblable à
la mienne est familière, son gout plus salé ne me dégoute pas un seul instant.
Nous sommes dans une position que j’aime bien : un 69 ne me rebute pas avec une bite
dans la bouche alors que là je n’ai pas l’excuse de recevoir plus tard du sperme : sa
cyprine me comble aussitôt. Je ne sais que faire de mes mains, je les passe sur ses
fesses et cherchant la raie culière. Doucement, comme pour ne pas effaroucher un
oiseau mes doigts arrivent sur son anus. J’agis dans un autre monde. Je suis
satisfaite de ses mains qui me donnent du plaisir, comme je suis satisfaite de lui en
donner.
Sans m’en rendre compte je la sens jouir comme moi tout à l’heure. Nous sommes
devenues des bêtes de sexe, un sexe alternatif qui nous fait jouir comme des folles.
Quand nous sommes fatiguées, nous nous retrouvons pelotonnées ensembles, nos bouches
se faisant des baisers sans cesse. C’est bon quand même de faire l’amour avec une
autre fille.
L’aurore arrive, nous nous séparons sans même nous promettre de nous revoir. Au fond
je suis une fille comme les autres.

Les semaines ont couru, les mois même. Entre temps je revoie mes amies, Henriette, la
plus part du temps. Nous bavardons de tout de l’amour. J’avais oublié volontairement
mon aventure avec une autre fille : j’avais peur de me faire traiter de lesbienne. Un
après midi j’ai dit un mot de trop. Henriette m’a fait la tête pendant quelques jours.
Je me demandais pourquoi. A force de l’interroger, elle accepte de me donner la cause
de sa fâcherie.
- Tu avoue avoir baisé avec une autre, sans penser à m’en parler.
- Oui, et alors, j’en avais envie sur le moment.
- Tu n’as jamais pensé que moi aussi j’ai envie de toi.
- Tu as envie de moi ?
- Oui, même maintenant si tu veux le savoir.
- Mais tu ne m’a jamais dit que tu aimais les filles.
- Les filles ? Non, mais toi oui.
Elle se réfugie contre moi en ayant des véritables sanglots. Je la console comme je
peux : elle continue jusqu’au moment où mes lèvres sont sur les siennes. C’est le seul
moyen de la consoler.
A partir de là, je ne suis plus capable d’agir : c’est Henriette qui prend le
commandement. Je me retrouve dans la même situation qu’avec ma première initiatrice.
Dans le lit elle continue à diriger : je la laisse faire, j’approuve tout ce qu’elle
me fait, je le lui rends comme je peux. Ce que je préfère c’est de la sentir jouir
quand ma langue est sur son écrin.
Elle ne ménage pas ma figue en me mordillant le clitoris et les lèvres. J’aime aussi
sa langue dans mon puits, elle sait mieux faire que l’autre.
- Je ne savais pas que tu étais lesbienne.
- Non je ne le suis pas, mais avec toi c’est normal, la preuve nous avons bien joui.
Promis c’est la dernière fois.
En attenant elle m’a donné gout aux femmes. De temps en temps j’arrive à trouver une
fille qui accepte de baiser. Mais je baise le plus avec des hommes: rien de remplace
une bonne bite dans le cul.

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