Songe d'une nuit d'été
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Songe d'une nuit d'été
Ça faisait plusieurs fois que mon mari m'en parlait. Nous avions fait des photos de nous alors que nous étions nus
et il avait envie qu'on se filme en faisant l'amour. Une première fois, il avait posé la caméra sur un meuble mais le
résultat n'avait pas été à la hauteur de son espérance. Une seconde fois, nous nous étions servis d'un pied mais ce
n'était pas mieux. Faute de mieux, mon mari avait tenu la caméra mais ça n'apportait pas grand-chose.
Un soir qu'on en discutait, il a conclu que rien ne serait mieux que quelqu'un qui nous filmerait. "Tu te rends
compte, lui ai-je dit ? Qui voudrait nous filmer ?" Je dois aussi avouer qu'un soir qu'il avait trop bu, mon mari avait
suggéré que je fasse l'amour avec un autre homme pendant qu'il nous regarderait.
Ça ne m'empêchait pas de l'aimer parce que pour moi, l'amour et le sexe sont deux choses différentes et ça ne m'a
jamais rien fait de faire l'amour sans aimer mon partenaire mais aimer quelqu'un sans faire l'amour avec lui me
poserait problème.
- On pourrait demander à ta soeur, a fini par suggérer mon mari ! Je suis sûr qu'elle accepterait !
Je lui ai répondu qu'il était fou de songer à ça, ma soeur ayant déjà pas mal de problèmes à se trouver un mari, elle
qui allait d'homme en homme...
Mon mari n'y a plus pensé et un peu plus tard, alors que nous étions en vacances, ça l'a démangé à nouveau. J'avais
sympathisé avec une femme qui était en vacances dans notre hôtel et je m'étais surprise à plaisanter avec elle de
nombreuses fois quand mon mari m'a dit : "Tu crois qu'elle acceptera ?" "Qu'elle acceptera quoi, lui avais-je
demandé parce que je ne pensais plus à son obsession ?" "Nous filmer quand on fait l'amour, m'a dit mon mari !"
"Tu es fou ! Tu es vraiment fou, lui ai-je répondu ! Jamais elle n'acceptera !" Le soir même, alors que nous allions
dîner, la femme est passée à notre table et mon mari l'a invitée à se joindre à nous et la femme, à ma grande
surprise, a accepté et j'ai assisté à la scène qui m'a rendue jalouse sur le coup : la femme n'arrêtait pas de rigoler à
chaque plaisanterie de mon mari.
Nous étions arrivés à la fin du dîner quand mon mari lui a demandé si elle savait tenir une caméra. Je suis devenue
rouge comme une tomate. "Ah, oui, lui a répondu la femme ! Pendant plusieurs années, j'ai travaillé dans le cinéma !"
"Alors, vous savez tenir une caméra, a insisté mon mari !" "Oh, oui, je me débrouille, lui a répondu la femme ! Vous
voulez que je filme quelque chose ? Mais je vous préviens, je n'ai pas de caméra !"
Mon mari lui a répondu que nous en avions une, une petite, encore que c'était la dernière sortie. La femme lui a
demandé des détails et je n'ai rien compris à leur discussion. "Bon, alors, qu'est-ce que vous voulez que je filme, a
alors demandé la femme ?" "Eh bien, c'est délicat, a repris mon mari ! On voudrait que nous filmiez !" "Vous filmer, a
répondu la femme ? Il n'y a pas de problème ! Vous voulez qu'on fasse ça sur la plage, demain ?" "Euh, c'est plus
délicat que ça, a dit mon mari ! Ma femme voudrait que vous nous photographiez en train de faire l'amour !"
La femme s'est mise à rire puis a repris son sérieux et a continué : "Vous et moi, a-t-elle demandé en regardant
mon mari ? Non, je plaisante ! Ça ne me dérange pas ! Vous êtes très gentils tous les deux !" Nous avons commandé
les cafés et nous les avons bus sans rien dire puis après ça nous sommes montés dans la chambre où mon mari à
montré son matériel à la femme qui a dit que ça pourrait aller puis elle nous a dit de nous préparer.
Tout à coup, je ne savais plus quoi faire et j'étais vraiment intimidée d'avoir une autre personne dans notre
chambre. "N'ayez pas honte, a dit la femme ! Je ne vous dirais pas mais j'en ai filmé des trucs bizarres ! Oubliez-moi
!" Elle a pris la caméra et s'est réfugiée sur le balcon et nous avons pu croire que nous étions seuls et je me suis
déshabillée et nous avons commencé à faire l'amour. Plus tard dans la nuit, alors que j'avais du mal à m'endormir, je
n'ai cessé de repenser à cette soirée. La femme avait eu raison car je l'avais complètement oubliée et c'est peut-être
pourquoi j'avais laissé mon mari me prendre par tous les orifices et je m'étais masturbée devant lui et je l'avais
branlé. Il m'avait prise entre les seins et m'avait joui dans la bouche puis il avait recommencé et m'avait sodomisée.
J'avais été épuisée mais surtout surexcitée et c'est pourquoi je ne parvenais pas à dormir. Le lendemain matin, la
caméra était posée sur la table. J'ai déplié l'écran et je suis revenue au début du film. C'était nous et le miracle était
là, tout ce dont je me souvenais et même plus, des choses que j'avais oubliées. Nous nous sommes habillés et nous
sommes descendus déjeuner. La femme était assise à la terrasse et buvait un café.
"Alors, vous avez bien dormi, nous a-t-elle demandé quand nous nous sommes approchés ?" Je lui ai demandé si on
pouvais s'asseoir à sa table et elle a bien voulu. "Vous étiez si beau que je suis partie sans vous prévenir, a continué
la femme !" "Merci, a dit mon mari !" "Je peux vous demander un service, nous a encore demandé la femme ?" "Oui,
bien sûr, a répondu mon mari !" "Est-ce que vous pourriez nous filmer, toutes les deux ?"
Mon mari a marqué un temps de surprise et moi aussi. "Toutes les deux, ai-je demandé ?" J'avais bien compris.
"Maintenant, ai-je ensuite demandé ?" Non. Ce que voulais la femme c'est que mon mari prenne la caméra et nous
filme tout au long de la journée et toute la journée il nous a suivies avec la caméra. On a fait les boutiques de la
station, une promenade dans les dunes, le bronzage sur la plage, le bain, le dîner. Mon pauvre mari n'avait même
plus le temps de manger.
" Et maintenant, ai-je demandé ?" "Maintenant, si tu veux, on va dans ma chambre, m'a répondu la femme !" C'était
la première fois qu'elle me tutoyait. Je suis montée avec elle et mon mari a bien dû nous suivre. Sur la table de nuit,
il y avait plusieurs godes et dans la salle de bains, il y en avait un aussi, ventousé sur le coin de la baignoire.
" Je me suis toujours demandé comment ça serait avec une femme, a ajouté la femme ! Ne crois-tu pas que ce soit le
moment de vérité ?" Elle m'a déshabillée et m'a embrassée à pleine bouche et je ne comprenais pas ce qui me
prenait, cette pression dans les fesses et cette douleur dans les seins et ma vulve gonflée et mes mamelons en
érection. J'avais envie de cette femme et j'ai fait tout ce qu'elle me demandait pendant que mon mari filmait. Par
moments, je l'apercevais ou plutôt j'apercevais la caméra qui nous surveillait, nous les deux femmes, cet œil bien
trop curieux qui nous observait. J'ai dû m'empaler sur le gode de la salle de bains et je n'avais jamais fait ça, cette
impression que ce n'est jamais assez gros et que je pourrais accepter un gode bien plus gros. La femme me
regardait et m'encourageait à me donner du plaisir et j'ai joui. Je n'avais plus de jambes quand nous sommes
retournées dans la chambre et aussitôt sur le lit, la femme m'a assailli. C'était tout ce que je voulais. Elle s'était
assise à côté de moi et me tenait les cuisses écartées pendant qu'elle pinçait mes petites lèvres. "Petite cochonne, tu
aimes ça, répétait-elle !" Elle s'occupait maintenant de mon clitoris et le branlait comme j'aurais branlé mon mari.
"Voilà, voilà, tu aimes ça, disait-elle en guettant mon orgasme !"
Je n'étais plus qu'une petite fille dans ses bras. Elle s'est écartée pour que je puisse attraper un de ses seins dans ma
main. Il était lourd et ferme alors que les miens ont toujours été mous. "C'est l'heure de la tétée, a dit la femme en se
tournant et en m'écrasant le sein sur le visage. J'ai attrapé son mamelon entre ses dents et je l'ai tété tandis qu'elle
continuait à me masturber.
"J'ai tout de suite vu que tu étais une petite cochonne, a continué la femme ! Ça, tu ne peux pas le cacher ! Tu vas
m'obéir ! On n'a jamais vu une fille aussi désobéissante !" La femme a commencé à me donner une fessée et plus elle
me frappait et plus je l'encourageais à me fesser. C'était si bon. La femme m'a ensuite enfoncé son index dans mon
anus. "Une petite cochonne et en plus une putain, a ajouté la femme ! Une vraie putain ! Donne-moi les billets !" Je
me suis alors débattue en criant : "Quels billets ? Quels billets ?" et je me suis réveillée. Ma mère était penchée sur
moi et me regardait et je me suis souvenue que j'étais venue passer un week-end chez elle pour lui emprunter de
quoi boucler mon budget et qu'elle avait refusé.
et il avait envie qu'on se filme en faisant l'amour. Une première fois, il avait posé la caméra sur un meuble mais le
résultat n'avait pas été à la hauteur de son espérance. Une seconde fois, nous nous étions servis d'un pied mais ce
n'était pas mieux. Faute de mieux, mon mari avait tenu la caméra mais ça n'apportait pas grand-chose.
Un soir qu'on en discutait, il a conclu que rien ne serait mieux que quelqu'un qui nous filmerait. "Tu te rends
compte, lui ai-je dit ? Qui voudrait nous filmer ?" Je dois aussi avouer qu'un soir qu'il avait trop bu, mon mari avait
suggéré que je fasse l'amour avec un autre homme pendant qu'il nous regarderait.
Ça ne m'empêchait pas de l'aimer parce que pour moi, l'amour et le sexe sont deux choses différentes et ça ne m'a
jamais rien fait de faire l'amour sans aimer mon partenaire mais aimer quelqu'un sans faire l'amour avec lui me
poserait problème.
- On pourrait demander à ta soeur, a fini par suggérer mon mari ! Je suis sûr qu'elle accepterait !
Je lui ai répondu qu'il était fou de songer à ça, ma soeur ayant déjà pas mal de problèmes à se trouver un mari, elle
qui allait d'homme en homme...
Mon mari n'y a plus pensé et un peu plus tard, alors que nous étions en vacances, ça l'a démangé à nouveau. J'avais
sympathisé avec une femme qui était en vacances dans notre hôtel et je m'étais surprise à plaisanter avec elle de
nombreuses fois quand mon mari m'a dit : "Tu crois qu'elle acceptera ?" "Qu'elle acceptera quoi, lui avais-je
demandé parce que je ne pensais plus à son obsession ?" "Nous filmer quand on fait l'amour, m'a dit mon mari !"
"Tu es fou ! Tu es vraiment fou, lui ai-je répondu ! Jamais elle n'acceptera !" Le soir même, alors que nous allions
dîner, la femme est passée à notre table et mon mari l'a invitée à se joindre à nous et la femme, à ma grande
surprise, a accepté et j'ai assisté à la scène qui m'a rendue jalouse sur le coup : la femme n'arrêtait pas de rigoler à
chaque plaisanterie de mon mari.
Nous étions arrivés à la fin du dîner quand mon mari lui a demandé si elle savait tenir une caméra. Je suis devenue
rouge comme une tomate. "Ah, oui, lui a répondu la femme ! Pendant plusieurs années, j'ai travaillé dans le cinéma !"
"Alors, vous savez tenir une caméra, a insisté mon mari !" "Oh, oui, je me débrouille, lui a répondu la femme ! Vous
voulez que je filme quelque chose ? Mais je vous préviens, je n'ai pas de caméra !"
Mon mari lui a répondu que nous en avions une, une petite, encore que c'était la dernière sortie. La femme lui a
demandé des détails et je n'ai rien compris à leur discussion. "Bon, alors, qu'est-ce que vous voulez que je filme, a
alors demandé la femme ?" "Eh bien, c'est délicat, a repris mon mari ! On voudrait que nous filmiez !" "Vous filmer, a
répondu la femme ? Il n'y a pas de problème ! Vous voulez qu'on fasse ça sur la plage, demain ?" "Euh, c'est plus
délicat que ça, a dit mon mari ! Ma femme voudrait que vous nous photographiez en train de faire l'amour !"
La femme s'est mise à rire puis a repris son sérieux et a continué : "Vous et moi, a-t-elle demandé en regardant
mon mari ? Non, je plaisante ! Ça ne me dérange pas ! Vous êtes très gentils tous les deux !" Nous avons commandé
les cafés et nous les avons bus sans rien dire puis après ça nous sommes montés dans la chambre où mon mari à
montré son matériel à la femme qui a dit que ça pourrait aller puis elle nous a dit de nous préparer.
Tout à coup, je ne savais plus quoi faire et j'étais vraiment intimidée d'avoir une autre personne dans notre
chambre. "N'ayez pas honte, a dit la femme ! Je ne vous dirais pas mais j'en ai filmé des trucs bizarres ! Oubliez-moi
!" Elle a pris la caméra et s'est réfugiée sur le balcon et nous avons pu croire que nous étions seuls et je me suis
déshabillée et nous avons commencé à faire l'amour. Plus tard dans la nuit, alors que j'avais du mal à m'endormir, je
n'ai cessé de repenser à cette soirée. La femme avait eu raison car je l'avais complètement oubliée et c'est peut-être
pourquoi j'avais laissé mon mari me prendre par tous les orifices et je m'étais masturbée devant lui et je l'avais
branlé. Il m'avait prise entre les seins et m'avait joui dans la bouche puis il avait recommencé et m'avait sodomisée.
J'avais été épuisée mais surtout surexcitée et c'est pourquoi je ne parvenais pas à dormir. Le lendemain matin, la
caméra était posée sur la table. J'ai déplié l'écran et je suis revenue au début du film. C'était nous et le miracle était
là, tout ce dont je me souvenais et même plus, des choses que j'avais oubliées. Nous nous sommes habillés et nous
sommes descendus déjeuner. La femme était assise à la terrasse et buvait un café.
"Alors, vous avez bien dormi, nous a-t-elle demandé quand nous nous sommes approchés ?" Je lui ai demandé si on
pouvais s'asseoir à sa table et elle a bien voulu. "Vous étiez si beau que je suis partie sans vous prévenir, a continué
la femme !" "Merci, a dit mon mari !" "Je peux vous demander un service, nous a encore demandé la femme ?" "Oui,
bien sûr, a répondu mon mari !" "Est-ce que vous pourriez nous filmer, toutes les deux ?"
Mon mari a marqué un temps de surprise et moi aussi. "Toutes les deux, ai-je demandé ?" J'avais bien compris.
"Maintenant, ai-je ensuite demandé ?" Non. Ce que voulais la femme c'est que mon mari prenne la caméra et nous
filme tout au long de la journée et toute la journée il nous a suivies avec la caméra. On a fait les boutiques de la
station, une promenade dans les dunes, le bronzage sur la plage, le bain, le dîner. Mon pauvre mari n'avait même
plus le temps de manger.
" Et maintenant, ai-je demandé ?" "Maintenant, si tu veux, on va dans ma chambre, m'a répondu la femme !" C'était
la première fois qu'elle me tutoyait. Je suis montée avec elle et mon mari a bien dû nous suivre. Sur la table de nuit,
il y avait plusieurs godes et dans la salle de bains, il y en avait un aussi, ventousé sur le coin de la baignoire.
" Je me suis toujours demandé comment ça serait avec une femme, a ajouté la femme ! Ne crois-tu pas que ce soit le
moment de vérité ?" Elle m'a déshabillée et m'a embrassée à pleine bouche et je ne comprenais pas ce qui me
prenait, cette pression dans les fesses et cette douleur dans les seins et ma vulve gonflée et mes mamelons en
érection. J'avais envie de cette femme et j'ai fait tout ce qu'elle me demandait pendant que mon mari filmait. Par
moments, je l'apercevais ou plutôt j'apercevais la caméra qui nous surveillait, nous les deux femmes, cet œil bien
trop curieux qui nous observait. J'ai dû m'empaler sur le gode de la salle de bains et je n'avais jamais fait ça, cette
impression que ce n'est jamais assez gros et que je pourrais accepter un gode bien plus gros. La femme me
regardait et m'encourageait à me donner du plaisir et j'ai joui. Je n'avais plus de jambes quand nous sommes
retournées dans la chambre et aussitôt sur le lit, la femme m'a assailli. C'était tout ce que je voulais. Elle s'était
assise à côté de moi et me tenait les cuisses écartées pendant qu'elle pinçait mes petites lèvres. "Petite cochonne, tu
aimes ça, répétait-elle !" Elle s'occupait maintenant de mon clitoris et le branlait comme j'aurais branlé mon mari.
"Voilà, voilà, tu aimes ça, disait-elle en guettant mon orgasme !"
Je n'étais plus qu'une petite fille dans ses bras. Elle s'est écartée pour que je puisse attraper un de ses seins dans ma
main. Il était lourd et ferme alors que les miens ont toujours été mous. "C'est l'heure de la tétée, a dit la femme en se
tournant et en m'écrasant le sein sur le visage. J'ai attrapé son mamelon entre ses dents et je l'ai tété tandis qu'elle
continuait à me masturber.
"J'ai tout de suite vu que tu étais une petite cochonne, a continué la femme ! Ça, tu ne peux pas le cacher ! Tu vas
m'obéir ! On n'a jamais vu une fille aussi désobéissante !" La femme a commencé à me donner une fessée et plus elle
me frappait et plus je l'encourageais à me fesser. C'était si bon. La femme m'a ensuite enfoncé son index dans mon
anus. "Une petite cochonne et en plus une putain, a ajouté la femme ! Une vraie putain ! Donne-moi les billets !" Je
me suis alors débattue en criant : "Quels billets ? Quels billets ?" et je me suis réveillée. Ma mère était penchée sur
moi et me regardait et je me suis souvenue que j'étais venue passer un week-end chez elle pour lui emprunter de
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Originale la fin!
génial!!! on ne s'attend vraiment pas à çà !
plus vous écrivez et plus j'aime vous lire, continuez!!
en espèrent qu'un jour, nous lecteurs et lectrices feront partie de vos écrits et/ou fantasmes.
amicalement.
en espèrent qu'un jour, nous lecteurs et lectrices feront partie de vos écrits et/ou fantasmes.
amicalement.