Sonya la mère de ma copine 1

- Par l'auteur HDS Marcantoine -
Auteur homme.
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Récit libertin : Sonya la mère de ma copine 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sonya la mère de ma copine 1
Cela fait maintenant 8 mois que je suis avec Chloé, ma copine.
Et nous avons suffisamment avancé dans notre relation pour en arriver au point où nous devons passer l’épreuve de « La présentation officielle aux parents ».

Pour Chloé, cela ne va pas être une partie de plaisir.
Elle a des relations conflictuelles avec sa mère, personnage apparemment autoritaire et narcissique.
D’après ce que Chloé m’en a expliqué.

Nous passerons donc Chloé et moi samedi prochain chez sa mère pour le café.
Histoire de ne pas s’éterniser.

Le jour J arrive, et c’est avec des pieds de plombs que nous nous dirigeons chez sa mère.
Une grande inspiration et je sonne.

Une femme à la beauté à coupe le souffle m’ouvre la porte.
68 ans, une grande blonde à la plastique parfaite, sophistiquée, et assurément passée sur la table du chirurgien esthétique vu la forme de ses lèvres.

Chloé m’avait caché que sa mère était aussi belle et élégante.

Elle porte un maillot deux pièces rose, et un T-shirt blanc léger au-dessus pour nous accueillir.
Visiblement en pleine séance de bronzage quand nous avons sonné.

Elle habite une belle maison avec piscine, c’est une femme d’affaire apparemment.
Et sa maison est décorée avec beaucoup de goût.

Nous nous assaillons à la terrasse et Sonya (c’est son nom) part nous faire un café.

Alors qu’elle revient chargée d’un plateau, je pars à sa rencontre l’aider et détaille un peu plus notre hôte.

Volubile, Sonya n’est pas fermée à la discussion. Et je passe personnellement un excellent moment en sa compagnie.
Avant de partir, elle me parle de ses problèmes de chaudière.
Je m’y connais un peu, et lui propose de passer y jeter un coup d’œil.

Elle me demande si samedi vers 10H ça irait, et Chloé pourrait nous rejoindre vers 13H pour le déjeuner.
Chloé hésite, mais cède et accepte à contre cœur.

Samedi matin, pas de difficultés à sauter du lit.
Passer quelques heures en compagnie d’une si belle femme me convient très bien !

Et j’aime bricoler. Et surtout rendre service.

10H pétante je sonne chez Sonya.
Toujours aussi belle même au réveil.
Elle porte une nuisette et une robe de chambre assortie.
Ses jambes sont interminables.

Elle me montre la chaudière et me propose un café.

Pas la peine d’être un chauffagiste aguerri pour comprendre d’où vient le problème de chaudière, une pièce est au bord de la rupture.
Je la consolide pour qu’elle tienne encore quelques jours, et nous passons sur la terrasse pour commander une pièce de rechange.

J’annonce donc à Sonya que la pièce arrivera dans 3 jours, que j’avais fait le nécessaire pour que la chaudière fonctionne, et que je viendrai changer le dispositif à ce moment-là.
Problème réglé.

Sonya fond en remerciements, et me manifeste sa reconnaissance.
Elle m’explique avoir fait sa toilette avec des casseroles d’eau.
Et pendant qu’elle me parle, je l’imagine se passer une éponge sur son corps de rêve.
Je dois me calmer rapidement car j’ai un début d’érection….

Sonya s’approche en ouvrant les bras pour me remercier avec une accolade.
Je me lève et lui ouvre aussi les bras.
Merci !!! Merci !!! Merci !!! Elle me serre fort contre elle.
Je pause une main sur ses hanches et sens sa poitrine ferme à travers le tissu de la nuisette.

Elle me demande alors de bien vouloir installer le parasol qui est trop lourd pour elle.
Elle aimerait lire à l’ombre pour profiter de ce beau temps avant de gagner ses fourneaux.

Je le fais donc immédiatement, et me déplace alors quelque chose dans le dos dans un grand crac.
Sonya pousse un petit cric d’effroi et viens m’aider à me tenir debout.

Je dérouille.

A nous deux, nous parvenons à m’amener jusqu’au lit de la chambre d’amis, qui par chance se situe au rez de chaussée.

Je gémis en m’allongeant sur le lit, sur ce coup ci, je ne me suis pas raté.

Sonya m’apporte un médicament pour soigner la douleur et me détendre les muscles.
Et me propose de m’appliquer une crème antalgique sur le dos.
J’accepte, elle m’aide à retirer mon tshirt, et je m’installe sur le dos.

Ses mains sont un véritable soulagement, j’ai encore mal mais je sens un net mieux.
Elle est très sensuelle.
Et je sens mon sexe se réveiller inexorablement.

Retourne toi que je finisse mon application, me dit elle.
J’obéis mais elle constate immédiatement ma gène …. Et ses raisons.

Sonya fait alors comme si de rien était, et finit de faire pénétrer la crème.

Je me sens bizarre. Comme si je quittais un peu mon corps.
Surement un effet secondaire des médicaments.
J’ai l’impression de vivre en spectateur.

Toujours aussi mal mon preux chauffagiste ?
Je lui réponds que toujours, oui, même si son massage m’a soulagé.

Elle me regarde dans les yeux et me dit alors :
Dans ces cas là, il faut combattre le mal par le mal.
Votre corps génère des hormones pour lutter contre la douleur, il faut l’encourager.
Et elle déboutonne mon short pour me le retirer.

Un côté de moi ne comprend pas ce qui se passe, avec cette impression léthargique due aux médicaments.
Un autre est très intrigué de savoir ce qui va s passer.
Je me laisse donc faire.

Elle s’assoie à mes cotés, sur le lit.
Bien droite sur ses genoux repliés.
Elle me semble encore plus grande.

Je la vois libérer habillement mon sexe qui se dresse, et me retirer mon caleçon.

Elle dévisse un flacon d’huiles et s’en verse sur la main.

Sais-tu que les hormones du plaisir aident à soigner la douleur me dit-elle en empoignant mon membre.

Sa main me caresse doucement.
Monte et descend en effleurant mon manche délicatement.

Détends toi me murmure t’elle.
J’essaie de mettre ma main sur sa hanche mais elle me demande de ne pas bouger.
De rester parfaitement immobile.

Elle retire sa nuisette et m’apparait seins nus, en string.
Je me durcis encore plus.
Ses seins sont justes parfaits.
Des seins naturels imposants mais qui se tiennent.
Un téton fièrement dressé au centre d’une auréole rosée.

Elle a aussi un cul d’enfer et une ligne parfaite.

Sonya forme un O entre son pouce et son index, et me branle à la base du gland tout doucement, avec douceur et sensualité.

Je sens le plaisir monter en moi.

Laisse venir, me dit-elle.
Ne résiste pas.
Et elle me branle de plus belle.

Je n’en peux plus.
Elle le sent et m’entoure le sexe avec le drap de dessus, en continuant de me masturber jusqu’à ce que je repende ma semence dans ses draps.

Très bien mon gendre dit elle en repliant les drapsToi tu profites et tu te reposes.
Moi je vais lancer une machine de linge et laver ces draps.

Je m’endors alors.

A mon réveil, Chloé et sa mère ont déjeuné.
Je peux un peu bouger, nous en profitons donc pour rentrer chez moi.

Mais avant de partir, Sonya me demande de prendre soin de moi, de soigner ce dos douloureux et de me revenir en pleine forme à la même heure semaine prochaine pour finir ce que nous avons commencé.
Avec un petit clin d’œil très évocateur.

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mdr



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