Sophie 'la découverte'
Récit érotique écrit par Kiki19 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sophie 'la découverte'
Bon je me lance. Cette histoire est pour moi une fiction, mais elle a été vécue par une amie avec laquelle je faisais des plans BDSM . Je vais essayer de vous la raconter en l’écrivant comme si c’était mon amie Sophie qui était au clavier et en restant proche de la réalité.
1ère partie : Ma découverteMon prénom est Sophie, à 17 ans je fais mon entrée en 1ère dans un lycée d’un département Limousin. Je suis fille unique, avec mes parents nous habitions à 1 heure de mon lycée, travaillant tous les 2, nous avons opté pour l’internat et ce depuis ma seconde. Jeune fille sportive, je fais beaucoup de VTT dans ma campagne, je suis assez studieuse mais pas des plus performantes. Mes parents me font une confiance aveugle et j’ai toujours essayé de ne pas les décevoir.
En cette rentrée de septembre 1998, tout ce passe normalement pour moi, j’ai retrouvé les copines, nous avons raconté nos vacances, nos flirts d’été. Ce que je n’ai pas raconté à mes copines, c’est que j’ai découvert durant l’été la masturbation et je l’ai pratiqué avec assiduité. Bien sur, c’était du rapide avec le petit frisson en prime.
Assez parlé de moi.
Juste après la rentrée, avec mes copines comme tous les mercredis après midi de 13h30 à 18h30 nous sortions en ville, flâner, faire des courses, boire un pot etc... tout ce que peuvent faire des jeunes dans ces moments là. Sauf que ce mercredi a été pour moi une révélation qui fait qu’aujourd’hui, je ne peux pas avoir des rapports basics en amour. Il faut que je sois dominée, même de plus en plus souvent et sévèrement.
Sur notre route pour aller en ville, une envie pressante à soulager m’a emmené à rentrer dans les toilettes d’un parking souterrain. Mes 2 copines m’ont dit on te retrouve au café "la Civette".
Dans ces WC il y avait un livre abandonné spécialisé BDSM, avec des photos et des témoignages. J’ai commencé à le feuilleter et soudain, sans le voir venir, j’ai eu une violente envie de me caresser. Rapidement, je me suis rendue compte que j’étais très mouillée, mais j’ai aussi rapidement eu un gros frisson que jamais je n’avais connu. J’ai pris le livre dans mon sac à dos et j’ai rejoint mes copines.
Je ne vous dis pas tout ce qui a pu passer dans ma tête le reste de l’après midi, si bien que mes copines m’ont faites la remarque que j’avais la tête ailleurs.
Le soir à l’internat, ma voisine de chambre étant absente (tous les mercredis elle rentrait chez elle), j’ai au lieu de réviser, mis le livre dans mes affaires scolaires et j’ai lu des histoires.
Quand les lumières se sont éteintes, je me suis masturbée comme jamais ça ne m’était arrivée. A cet instant, je peux dire que j’ai eu mon 1er orgasme.
Le samedi suivant, comme tous les samedis, j’ai pris mon VTT et suis partie dans les chemins. Je ne pouvais pas arrêter de penser à ce livre, à ces femmes attachées, fessées, humiliées. Je me suis arrêter pour rêvasser dans cette nature silencieuse et rapidement j’ai eu envie de faire quelque chose qui m’a traversé l’esprit pendant cette rêverie.
J’ai caché mon vélo dans les bois, et suis partie dans un coin touffu de ce bois, j’ai commencé à me caresser, je me suis mise nue et rapidement un énorme frisson à traversé mon corps, je m’en suis agenouillé.
C’était tellement bien que j’ai recommencé le lendemain, les WE suivants en plus de me mettre à nue, j’ai poussé la plaisanterie en laissant mes habits là ou je me suis mise à poil et je suis partie marcher dans le bois. Je suis partie assez loin de mes habits, comme si je me lançais un défi. J’avais envie d’avoir peur, mais au bout d’un moment que de plaisir.
Bien entendu, j’ai rapidement fantasmé et eu envie d’aller plus loin. Dans ses instants de rêverie j’ai trouvé ce que j’aimerai me faire subir, surtout que mes parents vont me laisser seule un grand WE.
La maison de mes parents étant à la campagne, au bout du parc il y a un portail qui donne directement dans un chemin, j’ai 100 à marcher un peu à découvert avant de rentrer dans un bois. Mes parents partaient pour 4 jours pour aller dans de la famille à mon père en Alsace. Ils partaient le jeudi pour ne revenir que le dimanche soir assez tard. Le vendredi, le bus de transport m’a ramené à la maison et j’étais seule. Le soir, je suis allait manger chez mes grands parents, mon grand père m’a ramené en voiture à la nuit et a attendu que je sois fermée pour repartir. Moi je savais ce que je voulais faire, reste à savoir si j’oserai. Déjà un imprévu, il pleuvait ! Mon plan, ne mettre sur moi qu’une robe, tard le soir rejoindre le chemin par le portail du fond du parc aller jusqu’au bois, me mettre nue et marcher dans la nuit dans le chemin. Vers 23h00, je sors pour voir il fait nuit noire, il pleut assez fort, j’hésite à prendre ma décision. Rapidement l’envie prend le dessus, je vais jusqu’au fond du parc, la pluie a déjà traversé ma fine robe, je passe dans le chemin, mon cœur tape fort, j’ai la gorge serrée. Je ne bouge plus pour observer s’il n’y a rien d’anormal, mes yeux s’habituent très vite à l’obscurité, je me lance, sans regarder derrière moi je marche rapidement à l’entrée du bois. Ouf personne du voisinage ne m’a vu. Je reprends mes esprits, j’ai déjà envie de me caresser, mais je résiste et me dis vas y fonce. A cette instant je pose ma robe déjà toute mouillée, et fonce rapidement sur le chemin, je m’enfonce loin, je traverse la partie bois et arrive à un pré ou coule une petite rivière, je m’allonge sur l’herbe mouillée, elle est froide comme l’air d’ailleurs. Mais moi j’ai chaud, mes mains se promènent sur mon corps, elles trouvent mon clito et là, la jouissance est foudroyante. Je reste sans bouger un moment, mais l’envie d’aller plus loin est toujours en moi, je décide de ramper comme si on m’y obligée, je me dirige vers la rivière, je me relève bien décidée à aller dans l’eau. Et là une surprise, mes pieds s’enfoncent dans de la boue, une image du livre revient à moi, il y avait une femme couverte de boue.
Sans réfléchir, me m’agenouille dans cette divine boue, je sens mon sexe couler de plaisir, je prends la boue dans les 2 mains et frotte mon corps, je suis heureuse, je ne sens ni la pluie qui tombe averse, ni le froid, je m’allonge et rampe dans cette baignoire improvisée. Ce soir là, j’ai eu plusieurs jouissances remarquables.
Je n’avais pas prévu dans l’action qu’il faudrait me laver un peu, que l’eau du ruisseau était très froide et que j’aurai très froid pour remonter à la maison.
Une fois passée sous l’eau chaude de la douche, j’ai été me coucher et faire une bonne nuit. Le matin au réveil je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber en fantasmant et me promettant de recommencer le soir même.
Les semaines et les mois après ce WE mémorable je me suis souvent caresser, mise nue dans la nature et j’ai beaucoup fantasmé avec l’idée et l’envie d’aller plus loin mais avec quelqu’un.
Bientôt une suite
1ère partie : Ma découverteMon prénom est Sophie, à 17 ans je fais mon entrée en 1ère dans un lycée d’un département Limousin. Je suis fille unique, avec mes parents nous habitions à 1 heure de mon lycée, travaillant tous les 2, nous avons opté pour l’internat et ce depuis ma seconde. Jeune fille sportive, je fais beaucoup de VTT dans ma campagne, je suis assez studieuse mais pas des plus performantes. Mes parents me font une confiance aveugle et j’ai toujours essayé de ne pas les décevoir.
En cette rentrée de septembre 1998, tout ce passe normalement pour moi, j’ai retrouvé les copines, nous avons raconté nos vacances, nos flirts d’été. Ce que je n’ai pas raconté à mes copines, c’est que j’ai découvert durant l’été la masturbation et je l’ai pratiqué avec assiduité. Bien sur, c’était du rapide avec le petit frisson en prime.
Assez parlé de moi.
Juste après la rentrée, avec mes copines comme tous les mercredis après midi de 13h30 à 18h30 nous sortions en ville, flâner, faire des courses, boire un pot etc... tout ce que peuvent faire des jeunes dans ces moments là. Sauf que ce mercredi a été pour moi une révélation qui fait qu’aujourd’hui, je ne peux pas avoir des rapports basics en amour. Il faut que je sois dominée, même de plus en plus souvent et sévèrement.
Sur notre route pour aller en ville, une envie pressante à soulager m’a emmené à rentrer dans les toilettes d’un parking souterrain. Mes 2 copines m’ont dit on te retrouve au café "la Civette".
Dans ces WC il y avait un livre abandonné spécialisé BDSM, avec des photos et des témoignages. J’ai commencé à le feuilleter et soudain, sans le voir venir, j’ai eu une violente envie de me caresser. Rapidement, je me suis rendue compte que j’étais très mouillée, mais j’ai aussi rapidement eu un gros frisson que jamais je n’avais connu. J’ai pris le livre dans mon sac à dos et j’ai rejoint mes copines.
Je ne vous dis pas tout ce qui a pu passer dans ma tête le reste de l’après midi, si bien que mes copines m’ont faites la remarque que j’avais la tête ailleurs.
Le soir à l’internat, ma voisine de chambre étant absente (tous les mercredis elle rentrait chez elle), j’ai au lieu de réviser, mis le livre dans mes affaires scolaires et j’ai lu des histoires.
Quand les lumières se sont éteintes, je me suis masturbée comme jamais ça ne m’était arrivée. A cet instant, je peux dire que j’ai eu mon 1er orgasme.
Le samedi suivant, comme tous les samedis, j’ai pris mon VTT et suis partie dans les chemins. Je ne pouvais pas arrêter de penser à ce livre, à ces femmes attachées, fessées, humiliées. Je me suis arrêter pour rêvasser dans cette nature silencieuse et rapidement j’ai eu envie de faire quelque chose qui m’a traversé l’esprit pendant cette rêverie.
J’ai caché mon vélo dans les bois, et suis partie dans un coin touffu de ce bois, j’ai commencé à me caresser, je me suis mise nue et rapidement un énorme frisson à traversé mon corps, je m’en suis agenouillé.
C’était tellement bien que j’ai recommencé le lendemain, les WE suivants en plus de me mettre à nue, j’ai poussé la plaisanterie en laissant mes habits là ou je me suis mise à poil et je suis partie marcher dans le bois. Je suis partie assez loin de mes habits, comme si je me lançais un défi. J’avais envie d’avoir peur, mais au bout d’un moment que de plaisir.
Bien entendu, j’ai rapidement fantasmé et eu envie d’aller plus loin. Dans ses instants de rêverie j’ai trouvé ce que j’aimerai me faire subir, surtout que mes parents vont me laisser seule un grand WE.
La maison de mes parents étant à la campagne, au bout du parc il y a un portail qui donne directement dans un chemin, j’ai 100 à marcher un peu à découvert avant de rentrer dans un bois. Mes parents partaient pour 4 jours pour aller dans de la famille à mon père en Alsace. Ils partaient le jeudi pour ne revenir que le dimanche soir assez tard. Le vendredi, le bus de transport m’a ramené à la maison et j’étais seule. Le soir, je suis allait manger chez mes grands parents, mon grand père m’a ramené en voiture à la nuit et a attendu que je sois fermée pour repartir. Moi je savais ce que je voulais faire, reste à savoir si j’oserai. Déjà un imprévu, il pleuvait ! Mon plan, ne mettre sur moi qu’une robe, tard le soir rejoindre le chemin par le portail du fond du parc aller jusqu’au bois, me mettre nue et marcher dans la nuit dans le chemin. Vers 23h00, je sors pour voir il fait nuit noire, il pleut assez fort, j’hésite à prendre ma décision. Rapidement l’envie prend le dessus, je vais jusqu’au fond du parc, la pluie a déjà traversé ma fine robe, je passe dans le chemin, mon cœur tape fort, j’ai la gorge serrée. Je ne bouge plus pour observer s’il n’y a rien d’anormal, mes yeux s’habituent très vite à l’obscurité, je me lance, sans regarder derrière moi je marche rapidement à l’entrée du bois. Ouf personne du voisinage ne m’a vu. Je reprends mes esprits, j’ai déjà envie de me caresser, mais je résiste et me dis vas y fonce. A cette instant je pose ma robe déjà toute mouillée, et fonce rapidement sur le chemin, je m’enfonce loin, je traverse la partie bois et arrive à un pré ou coule une petite rivière, je m’allonge sur l’herbe mouillée, elle est froide comme l’air d’ailleurs. Mais moi j’ai chaud, mes mains se promènent sur mon corps, elles trouvent mon clito et là, la jouissance est foudroyante. Je reste sans bouger un moment, mais l’envie d’aller plus loin est toujours en moi, je décide de ramper comme si on m’y obligée, je me dirige vers la rivière, je me relève bien décidée à aller dans l’eau. Et là une surprise, mes pieds s’enfoncent dans de la boue, une image du livre revient à moi, il y avait une femme couverte de boue.
Sans réfléchir, me m’agenouille dans cette divine boue, je sens mon sexe couler de plaisir, je prends la boue dans les 2 mains et frotte mon corps, je suis heureuse, je ne sens ni la pluie qui tombe averse, ni le froid, je m’allonge et rampe dans cette baignoire improvisée. Ce soir là, j’ai eu plusieurs jouissances remarquables.
Je n’avais pas prévu dans l’action qu’il faudrait me laver un peu, que l’eau du ruisseau était très froide et que j’aurai très froid pour remonter à la maison.
Une fois passée sous l’eau chaude de la douche, j’ai été me coucher et faire une bonne nuit. Le matin au réveil je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber en fantasmant et me promettant de recommencer le soir même.
Les semaines et les mois après ce WE mémorable je me suis souvent caresser, mise nue dans la nature et j’ai beaucoup fantasmé avec l’idée et l’envie d’aller plus loin mais avec quelqu’un.
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