Sophie, ma muse

- Par l'auteur HDS Elpozoleon -
Récit érotique écrit par Elpozoleon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sophie, ma muse Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sophie, ma muse
Tout a commencé en cette année qui marqua des changements profonds dans ma vie quotidienne. Suite à un déménagement, je me retrouvais dans une région et ville que je ne connaissais pas du tout. Nouveau chez soi, nouveau travail, nouveau collègue.
Justement le changement le plus fort intervient avec une rencontre dans le cadre professionnel. Au cours du mois de septembre après mes deux premières semaines dans mon nouvel emploi, je vis arriver un matin une jolie fille châtain de petite taille, des yeux clairs avec des formes parfaites et proportionnées dans le bureau en face du mien. Elle se prénommait Sophie.
Le destin fit bien les choses car dès le mardi j’ai pu grâce au travail partager quelques moments avec elle. D’une certaines froideurs au premier abord, j’entrepris la discussion avec elle et nous échangeâmes quelques mots. Je ne le savais pas encore à ce moment là mais cette fille allait devenir ma muse et celle avec qui j’allais partager des moments inoubliables. Je remarquais le lendemain une bague sur son annulaire gauche et me posait subitement la question de savoir si elle avait quelqu’un ou pas dans sa vie. Au fil des jours j’ai réussi à soutenir cette information et il s’avérait qu’elle était libre comme l’air. Quelle ne fut pas ma joie d’apprendre cela... car en moi j’avais déjà comme objectifs de la séduire et partager tout un tas de moments à ses côtés. Elle me faisait perdre la tête, je rêvais d’elle la nuit, j’étais complètement sous son charme tant sa beauté m’éblouissait… je n’exagère pas. Cette fille fait tourner la tête à tout un tas d’hommes au quotidien.
Quelques jours plus tard, je lui envoyai un mail sous notre boite professionnelle en espérant qu’elle me répondrait. La réponse ne se fit pas attendre et au fur et à mesure des jours les échanges devenaient plus long, plus profonds. On apprenait à se connaitre doucement et enfin peu de temps plus tard elle me donna son numéro de téléphone. Nous nous échangeâmes tout un tas de messages dès le premier soir et j’avançais doucement il est vrai mais je ne voulais pas tout gâcher bêtement tellement j’étais tombé sous son charme.
A travers mes messages, je glissais souvent des petites allusions lui montrant que je voulais être à ses côtés mais ne lui avouait pas véritablement. Un jeudi de la fin du mois de septembre je lui proposais de se voir durant le weekend. Elle accepta et m’invita chez elle le dimanche suivant.
J’étais impatient d’être ce jour, tant le désir d’être à ses côtés m’habitait en permanence.
Ce jour la arriva et je m’apprêtais longuement pour paraitre le plus parfait possible à ses yeux. Elle vivait à dix minutes de chez moi et j’avoue que le trajet fut rapide tant j’étais pressé de la retrouver.
J’arrivais au bas de chez elle, c’était dans un immeuble de ville au premier étage d’un petit bâtiment surplombant une rue de commerce. Je sonnais à son interphone et elle m’ouvra. Je pris un long couloir de couleur grise et montait l’escalier. Sophie m’attendait sur le pas de sa porte, vêtu d’un pantalon noir simili cuir avec un haut de la même couleur. Son maquillage se faisait discret mais je n’avais d’yeux que pour elle et sa beauté.
Je découvris son chez elle, un petit appartement avec une petite cuisine, un salon mêlant du violet et du gris et sa chambre avec son couvre-lit violet. Je m’imaginais déjà dedans avec elle alors que je venais à peine d’arriver. Une fois la visite du propriétaire faite, elle me proposa de boire un verre avec elle dans son canapé. La télévision diffusait un film que je n’avais pas encore vu avant ce jour et qui se prénommait destination finale.
Je m’installais dans le canapé et Sophie fit pareille, nous échangeâmes sur le travail au départ mais la conversation devint plus personnelle et je lui posais d’autres questions sur sa vie. Doucement mais surement je me rapprochais d’elle dans son canapé, je la contemplais du regard. Ses jambes étaient allongés sur un pouf et je pouvais voir ses pieds vernis en orange, ses fines petites jambes et sous son haut je devinais le début de son soutien gorge rosâtre. Elle n’avait pas une grosse poitrine mais je m’imaginais déjà lui embrasser ses seins... mon sexe commençant déjà à grossir au travers de mon jeans.
Nous mangeâmes ce qui atténua quelques peu mes ardeurs durant ce laps de temps. Après le repas, je m’approchais à nouveau d’elle et lui pris la main. Elle se laissa faire et je lui fis un petit bisou sur celle-ci.
Sophie m’avoua commencer à avoir froid au pied malgré les 24 degrés de son appartement, je me proposais de le lui réchauffer en les massant. Elle se tourna sur le côté et me les posa sur mes cuisses, je pouvais les contempler et mes mains prirent possession de ceux-ci. Le contact peau contre peau fut froid et je m’activais rapidement sur sa voute plantaire, orteils et chevilles. Mon sexe gonflait de nouveau au travers du pantalon et je pense qu’elle le remarqua en hochant un sourire et en me demandant si j’avais un souci. Je lui avouai que j’étais excité par ses pieds et que j’aimerai bien les embrasser. Cela la fit rire mais accepta de se laisser faire. Ma bouche se posa sur le dessus et parcourra sa peau tiède. Ma main gauche remontait doucement mais surement le long de ses jambes et au bout de quelques instants je me redressai et approcha mon visage du sien et nos lèvres se collèrent l’une à l’autre pour la première fois. Depuis tellement longtemps je rêvais de ce moment que j’étais en extase. Tout en continuant de l’embrasser je la collais contre moi avec ma main gauche pendant que ma main droite se glissait sous son haut. Le contact de son ventre contre ma main me fit frémir. Ma bouche descendant lentement dans le creux de son cou et ma langue par moment venant lécher le creux et lobe de son oreille. Je voulais que ce moment ne s’arrête jamais tellement mon excitation était forte. J’étais avec la fille dont j’étais sous le charme et que je considérais déjà comme ma fleur rare, mon edelweiss à moi.
Ses mains à elle glissaient sous mon t-shirt et je sentais sa peau douce le long de mes pecs. Elle ne tarda pas à m’ôter celui-ci et je fis de même, lui laissant son soutien gorge rose et noire. Ma bouche alla à la rencontre de celui-ci et j’embrassai le haut de sa poitrine pendant que ma main cherchait à défaire le haut de son pantalon noir. Ma bouche descendait encore et je réussi à enlever son bas noir que je fis glisser le long de ses jambes que je couvrais de baiser. Ma bouche remonta lentement sur son entre-jambe, il lui restait son petit string blanc et mes lèvres se posèrent sur ce tissu. Sa main appuya sur le haut de ma tête pour m’inciter à continuer. Avec ma main je décalais légèrement le devant de son string et je fis glisser ma langue le long de ses lèvres et de son clitoris. Son sexe était entièrement épilé et sentait le frais. Je sentais sa mouille ruisseler le long de son sexe et de mes lèvres. Je n’en gâchais pas une goutte tellement c’était bon. Elle était allongée sur le dos sur son canapé et moi entre ses jambes entrain de gouter ce bonheur intense de la femme qui faisait battre mon cœur et gonfler mon sexe de désir. Son string glissa et je repris de plus belle mon cunnilingus, par moment mon regard croisait le sien, sa main était toujours sur ma tête. Ma langue alternait entre légère pénétration qui lui arrachait de petits cris et léchage de ses lèvres et clitoris toutes humides de cyprine et de désir. Je n’avais encore jamais pris autant de plaisir pour un cunnilingus. Je remontais légèrement et je la couvrais en même temps de bisous sur son ventre et ses seins. Ses têtons étaient déjà tout durs et je les mordillais tout en les tétant comme un bébé. Ses seins étaient fermes et proportionnels à sa taille. Nos langues se trouvèrent à nouveau et s’entremêlèrent. Je sentis ses mains tenter de déboutonner mon jeans, mon sexe était déjà dur depuis un bout de temps, choses qu’elle remarqua de plus près en m’enlevant pantalon et jeans en même temps. Sa main droite pris mon sexe et je ne pus contenir le cri qui sortait de ma bouche. Le moment dont je rêvais depuis si longtemps et qui me faisait jouir parfois le soir avant de dormir se réalisait enfin. Sa main encerclait mon sexe dur et épais et un lent va et vient commença. Soudain sa bouche descendu et pris entre ses lèvres mon sexe. Elle alternait des mouvements de branlages et de succions en même temps, j’étais au ange et je gémissais de plaisir, bonheur car j’étais avec Sophie la plus belle des filles à mes yeux.
Ma main droite caressait tant bien que mal son sexe tout humide qui n’attendait que moi.
Après quelques minutes, je l’embrassais à nouveau à pleines bouches et nos sexes se frôlèrent. Une sensation indescriptible tant le bonheur d’être blotti avec elle était puissant.
Je n’eu aucun mal à faire rentrer mon gland que je fis coulisser lentement pour lui arracher un petit cri aigu. Quand je sentis mes testicules contre ses fesses je commençai un long et lent mouvement de va et vient tout en alternant des bisous sur ses seins et sur ses lèvres. Je sentais son désir se décupler à chacun de mes mouvements et je tentais tant bien que mal de me contrôler. Par moment je sentais ses ongles se planter dans le creux de mon dos et sa bouche me mordiller mes pecs. Mes mouvements se firent plus rapides et elle positionna ses pieds de manière à m’enserrer le bas du dos pour que je ne puisse sortir mon sexe complètement du sien. Au bout de plusieurs minutes je lui fis part de mon envie de changer de position et je m’allongeai sur le dos et elle vint à califourchon s’empaler sur mon sexe dur pour elle. Sophie allait et venait sur moi tandis que mes mains pétrissaient ses seins durs d’excitations. Je sentais ses ongles se planter encore plus fortement dans mon buste et cela m’excitai encore plus. La cadence était de plus en plus rapide et je l’aidai en accompagnant ses mouvement de coup de reins puissants. Je sentais que la jouissance n’était pas loin pour l’un et l’autre et dans un dernier mouvement je sentis son sexe se crisper sur le mien signe de sa jouissance. Il n’en fallut pas plus pour que je jouisse à mon tour en elle de longues giclées de sperme. Dans un état de fatigue elle s’effondra sur moi et je la serrai fort contre moi pour lui montrer mon attachement comme un homme le ferait envers sa femme.
J’étais heureux et le cœur empli de bonheur avec cette fille qui était entrain de devenir ma muse.
La suite de mes ébats au prochain épisode si vous voulez la suite…

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Texte coquin : Sophie, ma muse
Histoire sexe : Une rose rouge
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