Sortie en mer très chaude. - histoire érotique

J’ai rencontré Katie alors que je passais mon permis bateau. J’ai tout de suite craqué sur elle dès que je l’ai vu au cours. Elle mesurait 1m60, des cheveux blonds mi-longs, un beau corps bien proportionnée. Comme on dit avec ce qu’il faut où il faut. J’hésitai à l’abordé. Je ne voulais pas qu’elle me prenne pour un gros lourd ou un obsédé. C’est elle qui a engagé la conversation. Cela porté évidemment sur le permis bateau. Elle me demandé si j’avais acheté le code avant de prendre les cours. Je lui répondu que non. Elle me répondit qu’elle était rassurée. On s’est aidé mutuellement pour comprendre ce que l’on ne comprenait pas. Mis à part cela, on ne sait pas vu entre les cours. Toutefois on s’était échangé nos numéros de portable.
Le jour de l’examen arrive. Il se décompose entre un écrit, comme au code de la route, et une épreuve pratique. Etant en vacances dans la région pour sa part (moi j’habitais la région), elle me demanda si cela ne me dérangeait pas de passer la chercher pour aller ensemble à l’examen. Evidemment j’acceptai. En chemin, elle me répétait qu’elle avait peur d’échouer. Je la rassurai en lui disant que si tout s’était bien passé en cours, il n’y avait aucune raison pour que cela se passe mal. Le jour de l’examen elle était habillé tout en blanc. Elle portait une jupe courte et un haut décolleté. J’essayer de ne pas quitter la route des yeux, mais s’était difficile.
L’écrit se passe relativement bien pour nous deux (je n’ai fait aucune faute au vingt questions posées). Arrive l’épreuve pratique. Je m’arrange pour monter avec elle sur le bateau. Là aussi, malgré le stress, nous réussissons tous les deux. Nous voilà tous les deux avec le permis en poche.
Sur la route du retour, elle me remercie. Quand je lui demande pourquoi, elle me répond pour ce que j’ai fait pour elle. Je lui réponds que je n’ai pas fait grand-chose. Elle me répond qu’elle me remercie pour l’avoir soutenu et aidé à avoir confiance en elle. Je la décompose en bas de son appartement de location et rentre chez moi. Pour moi, il était clair qu’on ne se reverrait plus. Cependant le soir même, elle m’appelle et me demande si cela m’intéresserait que l’on loue un bateau le lendemain pour faire une sortie en mer. Inutile de dire que j’ai dit oui tout de suite. Rendez-vous est donc pris le lendemain matin au port. Elle me dit ne pas oublier de prendre un maillot.
Le jour venu, nous louons un bateau pour deux heures, afin d’en profiter un maximum selon ses dires. Elle porte un tee-shirt moulant qui ne cache rien de son anatomie et une jupette qui lui arrive à mi-cuisse. Elle me propose de prendre la barre pour sortir du port, mais je lui laisse l’honneur de commencer. Elle me remercie pour ce geste de galanterie et prend donc la barre. Une fois la sortie du port passé, elle met les gaz à fond et nous nous éloignons de la côte. Un quart d’heure plus tard, elle arrête le bateau et me demande de jeter l’ancre en me disant qu’on serait tranquille ici.
- Pourquoi ici ?
- On sera tranquille pour faire tout ce que l’on veut.
Les idées les plus chaudes me passent par la tête à l’écoute de cette réponse. Après m’avoir répondu, elle se déshabille et se retrouve dans un maillot deux pièces très sexy, qui ne cache rien de sa belle anatomie.
- Si l’on allait se baigner maintenant.
Sans que je n’aie eu le temps de lui répondre, elle plonge à l’eau.
Une fois remontée à la surface elle me dit :
- Viens me rejoindre, elle est bonne.
Dans ma tête je me disais qu’il n’y a pas que l’eau qui doit être bonne, si vous voyez ce que je veux dire. Je ne tarde pas à me retrouver en maillot et me jette à mon tour à l’eau. Nous nageons un moment autour du bateau puis remontons sur le bateau. Katie pars s’allonger sur l’avant de la cabine pour prendre un bain de soleil.
- Tu ne veux pas mettre de la crème ? lui lance-t-elle.
- Oui, je veux bien. Il y en a dans mon sac.
Je regarde donc dans son sac à la recherche de la crème solaire. Je la trouve mais pas que ça. Je trouve également ou fond du sac une boite de préservatifs. Vous savez de celle que l’on trouve au distributeur devant les pharmacies. Dans ma tête, je me demande si cette trouvaille est délibéré ou pas de sa part. Je ne dis rien, prend la crème et m’approche de Katie qui s’est mis sur le ventre. A mon approche, elle dégrafe son soutien-gorge.
- Etale moi bien la crème sur tout le corps.
Inutile de vous dire que je m’applique pour effectuer cette tâche. Et prend bien mon temps pour caresser ce corps sublime. Et ce qui devait arriver, arriva. Je commençais à bander. A ce moment là, Katie tourne la tête dans ma direction et aperçoit la bosse qui se forte dans mon caleçon de bain.
- Je vois que je te fais de l’effet.
Un peu gêné
- Oui, en effet.
Elle approche alors une main de la bosse et me caresse.
- Tu dois te sentir à l’étroit là dedans ?
Sans attendre ma réponse, elle se redresse, introduit une main dans mon caleçon et sort ma bite qui est maintenant totalement en érection. Tout en me regardant dans les yeux elle se met à me branler en montant et descendant bien sa main sur ma bite. Au bout que quelques secondes elle y rajoute sa langue et sa bouche. Un fois que je suis bien chaud, elle se retire et me demande de lui donner du plaisir à mon tour. Elle s’allonge sur le dos, enlève le bas de son maillot et écarte ses cuisses pour m’offrir sa chatte. Je m’approche et place ma tête entre ses cuisses et concerne à jouer avec son minou en la léchant avec ma langue. J’introduis ensuite cette dernière sans ce minou qui n’attend que cela.
- Ah, oui. C’est bon. Continu. Tu sais y faire, toi.
Je continu donc de plus belle. Et introduit même un, puis deux dois dans cette chatte si accueillante.
Elle se cambre de plaisir et pousse des râles qui ne font que m’encourager. Au bout d’un moment et me dit :
- Arrête maintenant et va chercher un préservatif dans mon sac. J’ai envie que tu me prennes avec ta grosse bite.
- Ne bouge pas, je reviens tout de suite.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire je reviens auprès d’elle et enfile un préservatif.
- Vas-y, je n’en peux plus.
Je me présente à l’entrée de son sexe et introduit ma bite doucement puis d’un coup sec. Je fais quelques vas et viens lents puis s’accélère rapidement.
Elle ne cesse de m’encourager en me disant des mots cochons. Et je ne suis pas prêt de m’arrêter. Au bout de quelques minutes, elle me dit :
- Arrête et prend moi par derrière. Pas en levrette. Je veux que tu me sodomises.
- C’est vraiment ce que tu veux ?
- Oui, j’en ai très envie. Je sais que je risque d’avoir mal au début vu la taille de ta queue, mais je pense que je vais prendre un sacré pied.
Je me retire. Elle se retourne et se cambre pour me présenter son cul. Avec mes mains j’écarte ses fesses et présente ma queue à l’entrée de sa petite rondelle. J’ai vais doucement pour de ne pas lui faire trop mal. Au bout de quelques centimètres entrés, elle se recule d’un coup et ma queue finie de rentrée jusqu'à la garde. J’entame comme pour sa chatte, des vas et viens doucement puis plus rapidement.
A ce moment là, une idée me traverse l’esprit. Et si quelqu’un en bateau nous surprenait. Du coup s’arrête les vas et viens. Elle se retourne alors vers moi.
- Pourquoi tu arrêtes ? quelque chose ne va pas ?
- Et si quelqu’un nous surprenait ?
- C’est plus excitant de savoir que l’on peut nous surprendre.
- Tu as raison.
Je recommence alors les vas et viens. Et elle ne cesse de me dire des choses de plus en plus cochonnes.
- Je vais exploser, lui dis-je.
- Alors arrête. J’ai envie que tu le fasses dans ma bouche.
Je me retire. Elle se retourne et enlève ma capote. Et se met alors à me branler et je ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche. Elle avale tout.
- Alors tu ne regrettes pas cette sortie en mer ? me dit-elle.
- Pas du tout. Au contraire.
Elle finit de me nettoyer la bite avec sa bouche et nous nous rhabillons. Je remonte l’ancre, prend la barre et nous faisons ensuite route vers le port.
Une fois arrivé à quai, elle s’approche de moi, me roule une pelle.
- Merci pour cette sortie. Je ne suis pas prête de l’oublier.
- Moi, non plus.
Elle descend alors du bateau et s’éloigne. Je ne l’ai plus jamais revue. Mais quel souvenir…