sortie hot.
Récit érotique écrit par Grandfripon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
sortie hot.
Salut, je suis un homme dans la fin de la quarantaine, divorcé et qui a la garde de ses deux enfants. Je revois souvent mon ex., et nos relations maintenant amicales nous suffisent.
Depuis un certain temps le souvenir de nos parties de fesses intenses me poursuit. Il faut dire que ce coté de notre relation n’a jamais souffert de la routine qui s’était installé dans notre couple. Exhibition, voyeuriste, visite dans des clubs libérés et les saunas mixtes, jeux de rôles , notre entente dans la diversité de nos rapports était parfaite; du moins me semblait telle, parce qu’au moment du divorce, comme si le désir de rabaisser notre relation l’emportait, elle m’ avais affirmé que ces nuits de débauche lui avaient presque été imposées, n’ayant accepté que pour me faire plaisir.
Décontenancé je n’avais su répondre, de nous deux tu t’étais de loin montrée la plus aventureuse, au point que je devais parfois refréner tes pulsions, dépassé par tes fantasmes de te montrer chienne et soumise à de multiples partenaires. Ma jalousie et une certaine pudeur de ma part, ayant empêché que les choses aillent trop loin. Frustré de ton manque d’honnêteté, je m’étais bien promis de te faire accepter que ces débordements étaient, à tout le moins, autant du fait de tes pulsions que des miennes.
Il faut dire que ton éducation, tes parents, la morale que l’on t’avait inculquée pendant tant d’années ca refaisait surface et tu te niais à toi-même la vérité.
Les débuts de notre relation en avaient même étés presque assombris, combien de fois malgré l’amour et la tendresse que je te portais ne me suis-je demandé comment on pourrait s’engager ensemble, moi si sexuel et toi ne l’acceptant que comme un acte nécessaire en couple, comme ta mère te l’avait appris.
Pourtant, hypersexuel comme je l’étais, je pouvais sentir le volcan endormi qui couvait. Dès que tu te laissais un peu aller, le vin et par la suite une ptite ligne aidant, tu te métamorphosais en « bête de sexe »,enlignant orgasmes après orgasmes et te montrant si aventureuse que je me retrouvais même un peu désarsonné.
A quarante ans tu étais encore très bandante, cinq pieds quatre, cent quinze lbs, de beaux petits seins comme je les aimais, fermes et pas trop volumineux, les mamelons sensibles et qui bandaient à la moindre caresse. Ton petit cul bandant comme aux premiers jour et enfin, ta chatte, chaude; moite à souhait, si sensible et jouisseuse sous ma langue.
Ce soir les circonstances m’amènent a penser que c’est le moment de vérité, tu te pointe chez moi un peu pompette, avec des collègues de travail tu a fêté et t’est éclipsée de bonne heure pour me rejoindre. Ces derniers temps j’ai senti que tu te faisais plus provocante avec moi, comme si ton désir rejoignant le mien et te faisait regretter nos bonnes vieilles parties de fesses.
Je sors de la douche et la serviette que je porte dissimule mal mon début d’érection. Loin de t’en offusquer tu te fais provocante, en glissant la main entre mes cuisses tu rejette la tête en arrière .
-alors tu réagis mon vicieux, ce faisant tu masturbe doucement ma queue.
-Qu’est ce qu’il y a pour ton service ce soir.
En l’embrassant je m’écarte de son emprise.
-Tu sais, sortir avec toi quand t’es exi.tée, et soumise.
Ma main s’est glissée sous ton jeans et mes doigt fouillent ta chatte agitant ton clitoris je t’emmène a ne pouvoir rien me refuser.
-Prend une douche et arrange toi, ce soir on sort… Ca fait longtemps que l’on ne s’est pas éclatés.
Tu porte mes doights luisants de mouille â tes lèvres , ta langue receuille tes propres sécrétions.
-Attend moi ce ne sera pas long
Pas long, il y a une heure que je t’entend t’affairer dans la chambre. Au début c’était tenable mais après quelques séquence de la vidéo porno oubliée dans le lecteur je m’étais branlé, d’abord à travers mon jean puis le dard sorti me créant des phantasme sur le déroulement de cette soirée.
Mai je ne veux pas éjaculer trop tot et comme le sex-shop ferme tot, ca va être juste. Comme je me redresse la porte de la chambre s’ouvre et j’ai à peine le temp de me rajuster.
-On commence sans moi, pris en faute je rougis. C’est moi qui te fait cet effet,.
De l’effet tu m’en fait déjà, mignonne comme tout dans la petite robe de soie blanche que je t’avais offert pour des jeux dans l’intimitée. Les fines bretelle retiennent avec peine le corsage échancré nouées derrière la nuque, je sais que ton dos est nu. Tes seins explosent littérallement le fin tissus fermé jusqu'au nombril d’un lacage de dentelle. La jupe courte et légêre , le liselé des bas est apparent et confirme que tu ne porte pas de collants.
Perchée sur tes sandales lacée tu essaie de maintenir en place la jupe virevoltante et les bretelles mouvantes qui se dérobent sans cesse des épaules.
D’abord le sex-shop.
Le temps de se rendre et nous sommes arrivons â la fermeture, tu hésites devant les mannequins dévoilés en vitrine, je te pousse â l’intérieur.
D’emblée tu frissonnes , les deux clients qui feuillètent les magazines pornos n’y sont certainement pas pour rien, leur regards se délectent de ton corps bien mis en valeur. J’y ai été un peu fort en exigeant que tu portes cette robe, nous l’avions choisi pour des soirées plus intimes.
Profond décolleté qui te découvre jusqu’au nombril, tes seins débordent au moindre mouvement , le mamelon pointe effrontément a travers le fin tissus. Les cheveux en chignon , maquillage prononcé. Tu est provoquante a souhait.
A droite la section des accessoires, je t’y dirige en prenant plaisir à te gêner, m’extasiant devant des godes énormes, te faisant apprécier la texture et le volume en commentant à haute voix.
-Celui là il est bien, il te remplirait.
Ce qui s’ajoutant aux regards masculin qui ne te quittent pas finit par faire son effet. Tu caresse les godes de plus en plus intensémant , la respiration de plus en plus courte. La pointe des seins nettement visible.
-On peux vous aider.
Devant nous se dresse celui que je suppose être le patron, grand et mince, impressionnant. Tout dee cuir habillé, noir et mystérieux.
Ce qui retiens mon regard c’est la jolie vendeuse qui l’accompagne. Vingt ans, blonde et allumeuse, pour les besoins du travail elle porte une guêpière qui découvre plus qu’elle ne cache de jolis seins , bas ajourés et un mini string presque transparent.
Les deux client plus agés n’en perdent pas une miette.
-Je voudrais quelque chose qui pourrait exiter ma femme lorsque nous sortons, qui me permette de la faire jouir discrètement.
Il me prose plusieurs gadgets, mon choix se porte sur un bijou papillon, vibrant, retenu sur la chatte par des rubans ceignant la taille, le contrôle sans fil permet de le faire fonctionner a distance. .
A ma demande tu t’isole dans une alcove pour l’enfiler, Alors que tu tire le rideau pour me montrer je met la vibration au maximum, tu plie des genoux et écarte les cuisses, le regard chaviré; un peu surpris par ta réaction je baisse le tempo ce qui te permet de te ressaisir un peu.
Pas longtemp puisque la jolie vendeuse s’est approchée et relève le bas de ta robe pour nous faire admirer le joli bijoux qui orne et caresse ton entre-cuisse. Les clients tout près maintenant se régallent de l’aubaine, une belle petite bourgeoise délurée les seins découverts et la jupe relevée.
Prétextant un ajustement la jeune fille s’est emparée du bijou, elle te branle en l’appuyant sur ta chatte.
-On le prend : Dépassé par les évènements je met fin au jeu en exigeant quand même que tu garde en place mon nouveau jouet.
Devant la mine déconfite de nos voyeurs et prise au jeu tu te rajuste lentement, prenant bien soin de te retourner pour faire admirer tes fesses bien dessinées.
Nous sortons en riant, enchantés du trouble que nous avons mis dans la place.
Comme il est encore tot je me dirige vers un cinéma porno de la rue St-Laurent, la place est connue pour etre un repaire de voyeur puisque les couples y sont admis gratuit et ont une section privée; sauf que cette section avec une rangée de banc de moin devant et située comme elle l’est donne aux mateurs l’occasion de se rincer l’œil.
Je calcule mon temp car je veux arriver juste avant l’entracte.
Je sens ta réticense lorsque tu vois ou je t’emmene, comme toujours je dois t’aider a faire le premier pas aussi avant de quitter l’auto je te caresse longuement puis nous fait a chacun une bonne ligne de patente, je sais bien que ca te rend réceptive et sans pudeur.
-tu cherche a me faire faire des folies.
Je sens dans ta voix que ce n’est pas un refus et de toute facon mes doights qui glissent de plus en plus aisément dans ta chatte me rassurent sur ton degré d’exitation. A petites doses je fais vibrer le papillon qui enveloppe ton clitoris ce qui te fais t’agiter les fesses de facon exitante sur la banquette.
Comme le premier film n’est pas fini nous nous installons sur un sofa dans le lobby, grande piece garnie de machines distributrices et attenante aux toilettes. Tu est a ma gauche, je te prend dans mes bras et te caresse, en te retournant j’ai pris soin de placer ton genoux gauche sur mes cuisses ce qui par ta position penchée découvre ta cuisse et le galbe de ta fesse.
Je te sens fondre sous mes caresses et je sais que tu est allumée.
Alors qu je suce ta langue en caressant tes fesses les premiers spectateurs sortent pour l’entracte, tu cherche a te rajuster mais je te tiens bien, comprenant mon désir tu te laisse aller et frotte ton entrecuisse sur mes genoux.
Inutile de dire que durant l’entracte la foule s’était aglutinée devant nous. Il devait y avoir une vingtaine d’hommes seuls et seulement deux couples. Un assez agé et sans intérêt alors que l’autre beaucoup plus attirants.
Le film va commencer et les gens regagnent la salle de projection, certains trainant la patte en espérant que nous les précédions mais j’attend que tout le monde aie disparu.
-alors tu est ma petite esclave pour la soirée, j’ai réactivé la télécommande et tu te tord sur mes doights enfoncés dans ta chatte.
- oui-en mon pouvoir.
-oui.
Je te redresse et nous pénétrons dans la salle.
Comme toujours la pénombre nous aveugle, je sais que derriere la derniere rangée un muret sépare la salle du couloir aussi je t’y appuis en me plaquant derriere toi.
Meme si nos yeux ne se sont pas encore acclimatés le film a l’écran lui nous saute aux yeux. Une jolie blonde a genoux entre deux hommes alterne ses caresses bucales entre les deux membres de bonne dimention, alors que la caméra se déplace nous découvrons une toute petite brune qui semble a peine majeure, accroupie derriere la blonde elle lui écarte les fesses pour glisser sa langue jusqu'à l’anus.
Me sdoights s’emparent de la chatte dégoulinante de ma compagne.
-exitée ma chérie.
Toute a ton plaisir tu acquiese. Je prend tes mains et les pose sur le muret devant toi, du meme mouvement je te fait reculer en écartant tes jambes. Tu te retrouve bien cambrée et délicieusement impudique, ta courte jupe découvre a moitiée le galbe parfait de ton joli postérieur.
Mes yeux se sont faits a l’obscuritée ambiante et pres de nous je découvre deux ou trois mateurs qui ne perdent rien du spectacle, sachant que tu ne te doute de rien je détache tes bretelles et rabat le haut de ta robe pour découvrir ta poitrine, tu nesquisse un geste pour te rebeller mais d’une main ferme je te retiens en place.
-Esclave tu est, je te chuchotte a l’oreille , d’une main je maintiens tes mains sur le muret alors que de l’autre je releve ta jupe en découvrant completement tes fesses. J’ai réactivé le papillon sur ton clito et ne pouvant te retenir tu tortille ton joli ptit cul de facon invitante.
A l’oreille je ne cesse de t’exiter en te disant comment j’aime que tu sois ma petite saloppe, ouverte et consentante, prete a faire ce que je te dis.
Deux des voyeurs pres de nous se sont approchés et se caressent ouvertement par-dessus leur pantalon, ouvrant le mien je sors ma queue et les invite ainsi a faire de meme. Mes doights sont profondément enfoncés en toi et je sens que ta jouissance n’est pas loin. Je me retire et me recule en faisant signe a nos deux intrus, doight sur les levres pour leur indiquer d’etre silencieux et signe de la main pour y aller doucement.
Que tu est exitante ainsi avec les mains de deux étrangers qui te palpent les fesses, au début tu ne te doute de rien mais lorsque d’autres mains te caressent les seins tu comprend que je ne suis plus seul.
Devancant ton recul je te retiens en te parlant.
-tu est a moi, tout ce que je veux, laisse toi aller je veux te voir jouir.
Nos invités qui ont tout entendus s’y donnent a cœur joie, l’un a trois doights enfoncés dans ta chatte alors qu’il étire ton mamelon de son autre main, l’autre cherche a enfouir deux doights dans ton anus et bientôt en le lubrifiant dans ta bouche il y parvient, te fouillant le cul vigoureusement.
Je sens que tu vas jouir et j’en remet.
-vas y ma petite pute, agace, tu aime ca te faire fouiller le cul par des étranger.
Ton regard est fixé sur l’écran alors je m’y intéresse. Un noir au sexe démesuré s’enfonce dans le cul de la ptite brune, le contraste entre les deux fait comme si il prenait une toute jeune fille.
Tes yeux chavirent et je te sens partir, tu a enfoui ton visage dans mon cou pour atténuer tes gémissements , tu jouir en feulant longuement.
Nos deux compagnons voudraient bien en avoir plus, la bite dans les mains ils se frottent sur toi, je leur fait comprendre que c’est tout pour le moment et ils ne semblent pas trop frustrés, il faut dire que dé.ja ils doivent etre heureux de l’occasion, les chances ici de caresser une aussi jolie fille ne devant pas se présenter souvent.
Comme tu veux te rafraichir et que tu ne te sens pas a l’aise seule dans cet univers je t’accompagne et attend a la porte des wc..<A suivre.
Depuis un certain temps le souvenir de nos parties de fesses intenses me poursuit. Il faut dire que ce coté de notre relation n’a jamais souffert de la routine qui s’était installé dans notre couple. Exhibition, voyeuriste, visite dans des clubs libérés et les saunas mixtes, jeux de rôles , notre entente dans la diversité de nos rapports était parfaite; du moins me semblait telle, parce qu’au moment du divorce, comme si le désir de rabaisser notre relation l’emportait, elle m’ avais affirmé que ces nuits de débauche lui avaient presque été imposées, n’ayant accepté que pour me faire plaisir.
Décontenancé je n’avais su répondre, de nous deux tu t’étais de loin montrée la plus aventureuse, au point que je devais parfois refréner tes pulsions, dépassé par tes fantasmes de te montrer chienne et soumise à de multiples partenaires. Ma jalousie et une certaine pudeur de ma part, ayant empêché que les choses aillent trop loin. Frustré de ton manque d’honnêteté, je m’étais bien promis de te faire accepter que ces débordements étaient, à tout le moins, autant du fait de tes pulsions que des miennes.
Il faut dire que ton éducation, tes parents, la morale que l’on t’avait inculquée pendant tant d’années ca refaisait surface et tu te niais à toi-même la vérité.
Les débuts de notre relation en avaient même étés presque assombris, combien de fois malgré l’amour et la tendresse que je te portais ne me suis-je demandé comment on pourrait s’engager ensemble, moi si sexuel et toi ne l’acceptant que comme un acte nécessaire en couple, comme ta mère te l’avait appris.
Pourtant, hypersexuel comme je l’étais, je pouvais sentir le volcan endormi qui couvait. Dès que tu te laissais un peu aller, le vin et par la suite une ptite ligne aidant, tu te métamorphosais en « bête de sexe »,enlignant orgasmes après orgasmes et te montrant si aventureuse que je me retrouvais même un peu désarsonné.
A quarante ans tu étais encore très bandante, cinq pieds quatre, cent quinze lbs, de beaux petits seins comme je les aimais, fermes et pas trop volumineux, les mamelons sensibles et qui bandaient à la moindre caresse. Ton petit cul bandant comme aux premiers jour et enfin, ta chatte, chaude; moite à souhait, si sensible et jouisseuse sous ma langue.
Ce soir les circonstances m’amènent a penser que c’est le moment de vérité, tu te pointe chez moi un peu pompette, avec des collègues de travail tu a fêté et t’est éclipsée de bonne heure pour me rejoindre. Ces derniers temps j’ai senti que tu te faisais plus provocante avec moi, comme si ton désir rejoignant le mien et te faisait regretter nos bonnes vieilles parties de fesses.
Je sors de la douche et la serviette que je porte dissimule mal mon début d’érection. Loin de t’en offusquer tu te fais provocante, en glissant la main entre mes cuisses tu rejette la tête en arrière .
-alors tu réagis mon vicieux, ce faisant tu masturbe doucement ma queue.
-Qu’est ce qu’il y a pour ton service ce soir.
En l’embrassant je m’écarte de son emprise.
-Tu sais, sortir avec toi quand t’es exi.tée, et soumise.
Ma main s’est glissée sous ton jeans et mes doigt fouillent ta chatte agitant ton clitoris je t’emmène a ne pouvoir rien me refuser.
-Prend une douche et arrange toi, ce soir on sort… Ca fait longtemps que l’on ne s’est pas éclatés.
Tu porte mes doights luisants de mouille â tes lèvres , ta langue receuille tes propres sécrétions.
-Attend moi ce ne sera pas long
Pas long, il y a une heure que je t’entend t’affairer dans la chambre. Au début c’était tenable mais après quelques séquence de la vidéo porno oubliée dans le lecteur je m’étais branlé, d’abord à travers mon jean puis le dard sorti me créant des phantasme sur le déroulement de cette soirée.
Mai je ne veux pas éjaculer trop tot et comme le sex-shop ferme tot, ca va être juste. Comme je me redresse la porte de la chambre s’ouvre et j’ai à peine le temp de me rajuster.
-On commence sans moi, pris en faute je rougis. C’est moi qui te fait cet effet,.
De l’effet tu m’en fait déjà, mignonne comme tout dans la petite robe de soie blanche que je t’avais offert pour des jeux dans l’intimitée. Les fines bretelle retiennent avec peine le corsage échancré nouées derrière la nuque, je sais que ton dos est nu. Tes seins explosent littérallement le fin tissus fermé jusqu'au nombril d’un lacage de dentelle. La jupe courte et légêre , le liselé des bas est apparent et confirme que tu ne porte pas de collants.
Perchée sur tes sandales lacée tu essaie de maintenir en place la jupe virevoltante et les bretelles mouvantes qui se dérobent sans cesse des épaules.
D’abord le sex-shop.
Le temps de se rendre et nous sommes arrivons â la fermeture, tu hésites devant les mannequins dévoilés en vitrine, je te pousse â l’intérieur.
D’emblée tu frissonnes , les deux clients qui feuillètent les magazines pornos n’y sont certainement pas pour rien, leur regards se délectent de ton corps bien mis en valeur. J’y ai été un peu fort en exigeant que tu portes cette robe, nous l’avions choisi pour des soirées plus intimes.
Profond décolleté qui te découvre jusqu’au nombril, tes seins débordent au moindre mouvement , le mamelon pointe effrontément a travers le fin tissus. Les cheveux en chignon , maquillage prononcé. Tu est provoquante a souhait.
A droite la section des accessoires, je t’y dirige en prenant plaisir à te gêner, m’extasiant devant des godes énormes, te faisant apprécier la texture et le volume en commentant à haute voix.
-Celui là il est bien, il te remplirait.
Ce qui s’ajoutant aux regards masculin qui ne te quittent pas finit par faire son effet. Tu caresse les godes de plus en plus intensémant , la respiration de plus en plus courte. La pointe des seins nettement visible.
-On peux vous aider.
Devant nous se dresse celui que je suppose être le patron, grand et mince, impressionnant. Tout dee cuir habillé, noir et mystérieux.
Ce qui retiens mon regard c’est la jolie vendeuse qui l’accompagne. Vingt ans, blonde et allumeuse, pour les besoins du travail elle porte une guêpière qui découvre plus qu’elle ne cache de jolis seins , bas ajourés et un mini string presque transparent.
Les deux client plus agés n’en perdent pas une miette.
-Je voudrais quelque chose qui pourrait exiter ma femme lorsque nous sortons, qui me permette de la faire jouir discrètement.
Il me prose plusieurs gadgets, mon choix se porte sur un bijou papillon, vibrant, retenu sur la chatte par des rubans ceignant la taille, le contrôle sans fil permet de le faire fonctionner a distance. .
A ma demande tu t’isole dans une alcove pour l’enfiler, Alors que tu tire le rideau pour me montrer je met la vibration au maximum, tu plie des genoux et écarte les cuisses, le regard chaviré; un peu surpris par ta réaction je baisse le tempo ce qui te permet de te ressaisir un peu.
Pas longtemp puisque la jolie vendeuse s’est approchée et relève le bas de ta robe pour nous faire admirer le joli bijoux qui orne et caresse ton entre-cuisse. Les clients tout près maintenant se régallent de l’aubaine, une belle petite bourgeoise délurée les seins découverts et la jupe relevée.
Prétextant un ajustement la jeune fille s’est emparée du bijou, elle te branle en l’appuyant sur ta chatte.
-On le prend : Dépassé par les évènements je met fin au jeu en exigeant quand même que tu garde en place mon nouveau jouet.
Devant la mine déconfite de nos voyeurs et prise au jeu tu te rajuste lentement, prenant bien soin de te retourner pour faire admirer tes fesses bien dessinées.
Nous sortons en riant, enchantés du trouble que nous avons mis dans la place.
Comme il est encore tot je me dirige vers un cinéma porno de la rue St-Laurent, la place est connue pour etre un repaire de voyeur puisque les couples y sont admis gratuit et ont une section privée; sauf que cette section avec une rangée de banc de moin devant et située comme elle l’est donne aux mateurs l’occasion de se rincer l’œil.
Je calcule mon temp car je veux arriver juste avant l’entracte.
Je sens ta réticense lorsque tu vois ou je t’emmene, comme toujours je dois t’aider a faire le premier pas aussi avant de quitter l’auto je te caresse longuement puis nous fait a chacun une bonne ligne de patente, je sais bien que ca te rend réceptive et sans pudeur.
-tu cherche a me faire faire des folies.
Je sens dans ta voix que ce n’est pas un refus et de toute facon mes doights qui glissent de plus en plus aisément dans ta chatte me rassurent sur ton degré d’exitation. A petites doses je fais vibrer le papillon qui enveloppe ton clitoris ce qui te fais t’agiter les fesses de facon exitante sur la banquette.
Comme le premier film n’est pas fini nous nous installons sur un sofa dans le lobby, grande piece garnie de machines distributrices et attenante aux toilettes. Tu est a ma gauche, je te prend dans mes bras et te caresse, en te retournant j’ai pris soin de placer ton genoux gauche sur mes cuisses ce qui par ta position penchée découvre ta cuisse et le galbe de ta fesse.
Je te sens fondre sous mes caresses et je sais que tu est allumée.
Alors qu je suce ta langue en caressant tes fesses les premiers spectateurs sortent pour l’entracte, tu cherche a te rajuster mais je te tiens bien, comprenant mon désir tu te laisse aller et frotte ton entrecuisse sur mes genoux.
Inutile de dire que durant l’entracte la foule s’était aglutinée devant nous. Il devait y avoir une vingtaine d’hommes seuls et seulement deux couples. Un assez agé et sans intérêt alors que l’autre beaucoup plus attirants.
Le film va commencer et les gens regagnent la salle de projection, certains trainant la patte en espérant que nous les précédions mais j’attend que tout le monde aie disparu.
-alors tu est ma petite esclave pour la soirée, j’ai réactivé la télécommande et tu te tord sur mes doights enfoncés dans ta chatte.
- oui-en mon pouvoir.
-oui.
Je te redresse et nous pénétrons dans la salle.
Comme toujours la pénombre nous aveugle, je sais que derriere la derniere rangée un muret sépare la salle du couloir aussi je t’y appuis en me plaquant derriere toi.
Meme si nos yeux ne se sont pas encore acclimatés le film a l’écran lui nous saute aux yeux. Une jolie blonde a genoux entre deux hommes alterne ses caresses bucales entre les deux membres de bonne dimention, alors que la caméra se déplace nous découvrons une toute petite brune qui semble a peine majeure, accroupie derriere la blonde elle lui écarte les fesses pour glisser sa langue jusqu'à l’anus.
Me sdoights s’emparent de la chatte dégoulinante de ma compagne.
-exitée ma chérie.
Toute a ton plaisir tu acquiese. Je prend tes mains et les pose sur le muret devant toi, du meme mouvement je te fait reculer en écartant tes jambes. Tu te retrouve bien cambrée et délicieusement impudique, ta courte jupe découvre a moitiée le galbe parfait de ton joli postérieur.
Mes yeux se sont faits a l’obscuritée ambiante et pres de nous je découvre deux ou trois mateurs qui ne perdent rien du spectacle, sachant que tu ne te doute de rien je détache tes bretelles et rabat le haut de ta robe pour découvrir ta poitrine, tu nesquisse un geste pour te rebeller mais d’une main ferme je te retiens en place.
-Esclave tu est, je te chuchotte a l’oreille , d’une main je maintiens tes mains sur le muret alors que de l’autre je releve ta jupe en découvrant completement tes fesses. J’ai réactivé le papillon sur ton clito et ne pouvant te retenir tu tortille ton joli ptit cul de facon invitante.
A l’oreille je ne cesse de t’exiter en te disant comment j’aime que tu sois ma petite saloppe, ouverte et consentante, prete a faire ce que je te dis.
Deux des voyeurs pres de nous se sont approchés et se caressent ouvertement par-dessus leur pantalon, ouvrant le mien je sors ma queue et les invite ainsi a faire de meme. Mes doights sont profondément enfoncés en toi et je sens que ta jouissance n’est pas loin. Je me retire et me recule en faisant signe a nos deux intrus, doight sur les levres pour leur indiquer d’etre silencieux et signe de la main pour y aller doucement.
Que tu est exitante ainsi avec les mains de deux étrangers qui te palpent les fesses, au début tu ne te doute de rien mais lorsque d’autres mains te caressent les seins tu comprend que je ne suis plus seul.
Devancant ton recul je te retiens en te parlant.
-tu est a moi, tout ce que je veux, laisse toi aller je veux te voir jouir.
Nos invités qui ont tout entendus s’y donnent a cœur joie, l’un a trois doights enfoncés dans ta chatte alors qu’il étire ton mamelon de son autre main, l’autre cherche a enfouir deux doights dans ton anus et bientôt en le lubrifiant dans ta bouche il y parvient, te fouillant le cul vigoureusement.
Je sens que tu vas jouir et j’en remet.
-vas y ma petite pute, agace, tu aime ca te faire fouiller le cul par des étranger.
Ton regard est fixé sur l’écran alors je m’y intéresse. Un noir au sexe démesuré s’enfonce dans le cul de la ptite brune, le contraste entre les deux fait comme si il prenait une toute jeune fille.
Tes yeux chavirent et je te sens partir, tu a enfoui ton visage dans mon cou pour atténuer tes gémissements , tu jouir en feulant longuement.
Nos deux compagnons voudraient bien en avoir plus, la bite dans les mains ils se frottent sur toi, je leur fait comprendre que c’est tout pour le moment et ils ne semblent pas trop frustrés, il faut dire que dé.ja ils doivent etre heureux de l’occasion, les chances ici de caresser une aussi jolie fille ne devant pas se présenter souvent.
Comme tu veux te rafraichir et que tu ne te sens pas a l’aise seule dans cet univers je t’accompagne et attend a la porte des wc..<A suivre.
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