Sortir de la routine
Récit érotique écrit par Gilles69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sortir de la routine
Bonjour,Petite présentation rapide, Gilles, homme la cinquantaine, sportif, 1,80 m, mince et légèrement musclé, plutôt beau gosse et modeste… ! Je suis marié depuis 25 ans à Florence, couple heureux avec 2 filles de 17 et 19 ans plutôt mignonnes.
Ma femme Florence, 45 ans, 1,65 m, de belles formes avec une belle poitrine et de jolies jambes. Juste quelques traces des deux grossesses sur les fesses mais une femme élégante et soignée.
Avec une jolie maison dans une ville moyenne, des belles vacances, deux bons salaires, bref tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Seul petit bémol, selon moi, dans notre vie heureuse : Florence n’est pas du tout portée sur la chose… Même si elle m’aime profondément et sincèrement, le sexe n’est pas pour elle important, ni vital. Nous avons des relations toutes les 2 semaines, plutôt conventionnelles, voire routinière. En effet, Florence n’aime pas trop les bisous avec la langue…, ni les fellations, est contre les relations anales, est sensible de la poitrine et ne m’accorde que rarement le cunilingus… Bref je vous avoue être un peu frustré alors que tout le reste de votre vie est parfaite ! J’essaye tant bien que mal de pimenter notre routine mais même la lingerie que je lui offrais ne l’émoustillais pas…La semaine dernière, après une énième discussion sur le sujet, elle m’envoie un message : ce soir on se retrouve, prends ta cravate rose !
Quel humour :)) Petite précision, nous faisons chambre à part pour des raisons de sommeil léger et de travail. Je suis immédiatement émoustillé et la journée d’attente au travail promet d’être longue. Le soir, aucun changement devant les filles, ni devant la soirée télé qui s’éternise. Je n’en peux plus et j’envoie les filles se coucher.Je te rejoins dans ta chambre dans 5 minutes me dit Florence. Mon joli boxer blanc sexy devient rapidement étroit pour mon sexe qui commence à se tendre, oui je suis sensible…La porte s’ouvre et comme d’habitude, Florence entre dans son confortable pyjama. Se couche sur le lit à côté de moi et dit : aller, fais ton affaire ! Refroidi mais habitué je me colle à elle et remarque tout de suite qu’elle porte un soutien-gorge. Etonné car d’habitude elle l’a posé depuis longtemps, je glisse ma main sur ses fesses pour sentir une culotte en dentelle fine en lieu et place du coton habituel. Mon sexe se tend et j’accélère mes caresses. Dans la lumière tamisée je découvre une superbe lingerie blanche et fleurie.
- Profites-en bien, cela ne va pas se reproduire de sitôt me dit-elle. Mon souffle s’accèlère et je gémis quand son pied se pose sur mon caleçon, elle me masse et rapidement je sens que je commence à humidifier mon boxer. Je veux descendre pour goûter son intimité mais non :- pas envie ce soir, et calme toi, tu va réveiller les filles dit-elle en accentuant sa pression sur mon gland.
J’adore ses caresses avec les pieds et elle joue légèrement avec mon petit trou à travers le tissu fin du boxer.
- Ouiiii, c’est bon cela… continue.
- Doucement, on dirait un pervers me refroidit-elle ! Je sens son gros orteil qui titille mon anus mais elle ne va jamais plus loin, alors que moi, je ne rêve que de cela: que doucement elle force mon intimité.
Elle est malgré tout un peu excitée et me remonte pour que je la pénètre, tranquillement, en missionnaire pendant que je pose ma main sur son sein. Rapidement, elle gémit et je sens sa jouissance, du moins je crois. Malheureusement, elle ne veut jamais aller plus loin pour avoir un second orgasme et tout de suite elle me caresse le périné car elle sait que cela va me faire jouir très vite… Ce qui effectivement arrive, trop rapidement mon goût.
- Alors, elle te plait ma lingerie, j’ai fait un effort ce soir.
- Oui je trouve cela super excitant et tellement plus sexy que ta culotte en coton…- Oui tu gémissais presque comme une fillette mais ne t’emballe pas, je ne supporte pas cela alors c’est exceptionnel !
- c’est triste, je lui réponds, c’est tellement bon.
- Tu veux la garder cette culotte, dans ta chambre pour les autres soirs me dit-elle en ricanant ?
C’est ma réponse à ce moment là qui déclencha tout ce qui allait bouleverser notre vie :- OUI, surtout si tu était un peu excitée et que tu as mouillé dedans, j’aime ton goût.
- Espèce de pervers, tu veux la lécher ou te masturber avec ?
- je ne sais pas…- ou alors tu veux la mettre pour te faire bander, petit vicieux ?
Allongé à côté d’elle, je sens ma queue qui se redresse en entendant ses questions, son ton narquois.
- Mais oui, regarde moi ça, cela te fous la gaule de parler de cela, tiens goûte moi cela alors, et là elle me fourre sa culotte dans la bouche.
- Lèche ! Si vraiment tu aimes cela ! Allez, nettoie moi ça.
Sa voix et son ton subitement deviennent plus durs, plus secs.
- Tu es vraiment un gros vicieux et pervers, ta queue est de nouveau toute raide, tu l’aimes ma mouille.
Je gémis tandis qu’elle commence à me serrer la queue. Jamais elle n’avait parlé comme cela, et plus Florence me parle plus je suis dure, plus je gémis.
- Mets toi debout, vite, enfile-là que l’on voit ce que cela donne ! Allez, dépêche-toi !
Ma queue est douloureuse tellement elle est gonflée, je sens le sang qui afflue, elle pulse et m’envoie des petites décharges dans les testiclues tellement je suis excité.
Je mets la culotte en dentelle qui me va bien, je suis fin et Florence a de belles hanches. Le contact de la mouille sur mes testicules accentue encore mes gémissements.
- on dirait une petit pucelle qui couine, elle te va bien même si le bout de ta bite déborde, rentre moi cela dit Florence en me mettant une tape sur le gland.
C’est est trop pour moi, le contact de la dentelle, de la mouille et les ordres claquant de Florence déclenche mon éjaculation, le premier jet part sur le sol tandis que les deux suivants coulent sur la dentelle.
Je tombe à genoux au pied du lit, totalement exténué mais ravi de cet épisode.
- Bravo petit dégoutant, nettoie moi cela rapidement avec l’essuie-tout, et vu que la dentelle te plais plus qu’à moi, je te laisse la culotte ! Par contre je veux que tu la porte sale demain toute la journée quand tu va au boulot !
Je vais peut-être trouver un intérêt à tout cela finalement ! Et ne fais pas de bruit en nettoyant ! Me dit Florence, un sourire aux lèvres, en me laissant dans ma chambre, en culotte de dentelle, avec son goût dans la bouche…
Ma femme Florence, 45 ans, 1,65 m, de belles formes avec une belle poitrine et de jolies jambes. Juste quelques traces des deux grossesses sur les fesses mais une femme élégante et soignée.
Avec une jolie maison dans une ville moyenne, des belles vacances, deux bons salaires, bref tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Seul petit bémol, selon moi, dans notre vie heureuse : Florence n’est pas du tout portée sur la chose… Même si elle m’aime profondément et sincèrement, le sexe n’est pas pour elle important, ni vital. Nous avons des relations toutes les 2 semaines, plutôt conventionnelles, voire routinière. En effet, Florence n’aime pas trop les bisous avec la langue…, ni les fellations, est contre les relations anales, est sensible de la poitrine et ne m’accorde que rarement le cunilingus… Bref je vous avoue être un peu frustré alors que tout le reste de votre vie est parfaite ! J’essaye tant bien que mal de pimenter notre routine mais même la lingerie que je lui offrais ne l’émoustillais pas…La semaine dernière, après une énième discussion sur le sujet, elle m’envoie un message : ce soir on se retrouve, prends ta cravate rose !
Quel humour :)) Petite précision, nous faisons chambre à part pour des raisons de sommeil léger et de travail. Je suis immédiatement émoustillé et la journée d’attente au travail promet d’être longue. Le soir, aucun changement devant les filles, ni devant la soirée télé qui s’éternise. Je n’en peux plus et j’envoie les filles se coucher.Je te rejoins dans ta chambre dans 5 minutes me dit Florence. Mon joli boxer blanc sexy devient rapidement étroit pour mon sexe qui commence à se tendre, oui je suis sensible…La porte s’ouvre et comme d’habitude, Florence entre dans son confortable pyjama. Se couche sur le lit à côté de moi et dit : aller, fais ton affaire ! Refroidi mais habitué je me colle à elle et remarque tout de suite qu’elle porte un soutien-gorge. Etonné car d’habitude elle l’a posé depuis longtemps, je glisse ma main sur ses fesses pour sentir une culotte en dentelle fine en lieu et place du coton habituel. Mon sexe se tend et j’accélère mes caresses. Dans la lumière tamisée je découvre une superbe lingerie blanche et fleurie.
- Profites-en bien, cela ne va pas se reproduire de sitôt me dit-elle. Mon souffle s’accèlère et je gémis quand son pied se pose sur mon caleçon, elle me masse et rapidement je sens que je commence à humidifier mon boxer. Je veux descendre pour goûter son intimité mais non :- pas envie ce soir, et calme toi, tu va réveiller les filles dit-elle en accentuant sa pression sur mon gland.
J’adore ses caresses avec les pieds et elle joue légèrement avec mon petit trou à travers le tissu fin du boxer.
- Ouiiii, c’est bon cela… continue.
- Doucement, on dirait un pervers me refroidit-elle ! Je sens son gros orteil qui titille mon anus mais elle ne va jamais plus loin, alors que moi, je ne rêve que de cela: que doucement elle force mon intimité.
Elle est malgré tout un peu excitée et me remonte pour que je la pénètre, tranquillement, en missionnaire pendant que je pose ma main sur son sein. Rapidement, elle gémit et je sens sa jouissance, du moins je crois. Malheureusement, elle ne veut jamais aller plus loin pour avoir un second orgasme et tout de suite elle me caresse le périné car elle sait que cela va me faire jouir très vite… Ce qui effectivement arrive, trop rapidement mon goût.
- Alors, elle te plait ma lingerie, j’ai fait un effort ce soir.
- Oui je trouve cela super excitant et tellement plus sexy que ta culotte en coton…- Oui tu gémissais presque comme une fillette mais ne t’emballe pas, je ne supporte pas cela alors c’est exceptionnel !
- c’est triste, je lui réponds, c’est tellement bon.
- Tu veux la garder cette culotte, dans ta chambre pour les autres soirs me dit-elle en ricanant ?
C’est ma réponse à ce moment là qui déclencha tout ce qui allait bouleverser notre vie :- OUI, surtout si tu était un peu excitée et que tu as mouillé dedans, j’aime ton goût.
- Espèce de pervers, tu veux la lécher ou te masturber avec ?
- je ne sais pas…- ou alors tu veux la mettre pour te faire bander, petit vicieux ?
Allongé à côté d’elle, je sens ma queue qui se redresse en entendant ses questions, son ton narquois.
- Mais oui, regarde moi ça, cela te fous la gaule de parler de cela, tiens goûte moi cela alors, et là elle me fourre sa culotte dans la bouche.
- Lèche ! Si vraiment tu aimes cela ! Allez, nettoie moi ça.
Sa voix et son ton subitement deviennent plus durs, plus secs.
- Tu es vraiment un gros vicieux et pervers, ta queue est de nouveau toute raide, tu l’aimes ma mouille.
Je gémis tandis qu’elle commence à me serrer la queue. Jamais elle n’avait parlé comme cela, et plus Florence me parle plus je suis dure, plus je gémis.
- Mets toi debout, vite, enfile-là que l’on voit ce que cela donne ! Allez, dépêche-toi !
Ma queue est douloureuse tellement elle est gonflée, je sens le sang qui afflue, elle pulse et m’envoie des petites décharges dans les testiclues tellement je suis excité.
Je mets la culotte en dentelle qui me va bien, je suis fin et Florence a de belles hanches. Le contact de la mouille sur mes testicules accentue encore mes gémissements.
- on dirait une petit pucelle qui couine, elle te va bien même si le bout de ta bite déborde, rentre moi cela dit Florence en me mettant une tape sur le gland.
C’est est trop pour moi, le contact de la dentelle, de la mouille et les ordres claquant de Florence déclenche mon éjaculation, le premier jet part sur le sol tandis que les deux suivants coulent sur la dentelle.
Je tombe à genoux au pied du lit, totalement exténué mais ravi de cet épisode.
- Bravo petit dégoutant, nettoie moi cela rapidement avec l’essuie-tout, et vu que la dentelle te plais plus qu’à moi, je te laisse la culotte ! Par contre je veux que tu la porte sale demain toute la journée quand tu va au boulot !
Je vais peut-être trouver un intérêt à tout cela finalement ! Et ne fais pas de bruit en nettoyant ! Me dit Florence, un sourire aux lèvres, en me laissant dans ma chambre, en culotte de dentelle, avec son goût dans la bouche…
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