Soumettre le rebeu de la salle de sport

- Par l'auteur HDS Orientalism -
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Récit libertin : Soumettre le rebeu de la salle de sport Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soumettre le rebeu de la salle de sport
Je l’avais repéré depuis plusieurs mois, certains hommes dégagent une masculinité naturelle qui s’impose comme une évidence. Chacun de leurs gestes, de leurs regards, semblent être dictés par leur appartenance au genre masculin. Nassir était de ces hommes. Lui et moi fréquentions la même salle de sport. C’était une source de motivation incroyable de savoir que j’allais côtoyer ce jeune male durant ma séance tous les soirs après le travail. Approchant la fin de la vingtaine, il faisait partie de cette génération biberonnée aux réseaux sociaux et aux influenceurs muscu, transformant le plaisir du sport en une addiction au service d’un idéal de beauté jamais atteignable. Je les plaignais. De mon temps, le sport était synonyme de plaisir et d’épanouissement, nous n’avions cures de notre apparence. Seules comptaient les valeurs de camaraderie que le sport pouvait transmettre.

Pas très grand comme beaucoup de méditerranéens, il devait mesurer dans les 1m75 pour 70 kilos. Le printemps de cette année avait été chaud, et ce mois de juin promettait de l’être encore plus. Nassir qui était plutôt blanc au naturel, arborait maintenant un léger bronzage mettant encore plus en valeur sa peau parfaite. Son visage carré, était encadré par une barbe courte mais dense s’arrêtant au niveau de ses tempes pour laisser la place à une coupe dégradée. Marque de fabrique cliché du rebeu, sa barbe et son dégradé étaient toujours impeccables. Je ne sais pas combien de visites mensuelles chez le coiffeur sont nécessaire aux maghrébins pour réussir la prouesse de cette coupe toujours parfaite.

Nassir était pour autant loin du cliché du rebeu de cité. J’avais écouté discrètement une conversation avec l’un de ses amis et réussi à trouver son profil instagram. Cadre dans une entreprise, il avait été mis en avant sur la page de son école de commerce dans le cadre du programme de promotion des chances. Ses publications étaient typiques d’un jeune mâle s’installant dans la vie active. Photo de la bagnole, une audi A3 noire, voyages à Dubaï et en Thaïlande, puis femme et mariage. Les stories de l’événement montraient un mariage typique des nords africains avec des photos de voitures recouvertes des drapeaux algériens et une salle de fête où résonnaient les youyou autours des mariés.

Il n’avait pas perdu de temps et la jeune femme était enceinte depuis quelques semaines, comme en attestait la “gender reveal” que le jeune homme avait posté sur ses réseaux. La fierté primitive qu’il afficha lorsque les confettis bleu explosèrent, révélant que c’était un garçon que sa compagne attendait, m’excita d’avantage. L’affirmation de sa propre virilité à travers sa semence. La grossesse de sa compagne avait également été au coeur de nombreuses de mes masturbations. Je l’avais imaginé en train de la pénétrer tendrement tous les soirs, ses fesses musclées se contractant et vidant en elle ses lourdes bourses remplies de la semence accumulée au cours de sa journée dans l’espoir de fonder une famille. Les heures s’écoulant au boulot et ses pensées lors du sport devait être entièrement tournée vers la survenue de ce moment.

Nassir avait l’habitude d’arriver à la salle de sport en tenue de travail, souvent en costume, la saison se prêtait maintenant au chino et à la chemise légère. Je faisais toujours en sorte de choisir le casier à côté du sien. La journée de travail laissait planer autour de lui une odeur de transpiration se mélant à son parfum un peu trop tapageur, l’odeur unique d’un jeune homme.

Bien que sexy à s’en damner, Nassir était un petit connard. Il ne m’aimait pas. Il avait sans doute remarqué mes regards trop appuyés. Il disait rarement bonjour aux plus vieux mais avait tissé des liens avec de nombreux autres jeunes fréquentant cette salle. J’entendais ses “salam” ou “salut frèrot”, en fonction de l’origine de son interlocuteur, résonner dans la pièce. Les conversations qu’il entretenait avec les autres jeunes tournaient autour des jeux vidéos, des dernières séries à la mode ou encore du football. Je l’imaginais aisément en train de se faire pomper une manette de jeu à la main.

Il se préparait pour le sport toujours de la même manière. Il commençait par retirer sa chemise et le t-shirt qu’il portait en dessous, s’essuyant rapidement les aisselles avec et jettant le tout en boule dans son grand sac Adidas noir. Jeune arabe moderne mais pas trop, je l’avais déjà entendu plaisanter avec ses potes sur sa femme qui rallait pour la lessive. Une copieuse dose de déodorant, marketé pour les sportifs, venait ensuite arroser ses aisselles. Le beau mâle les laissait au naturel. J’adorais le voir contracter ses deux bras musclés pour venir découvrir ses touffes de poils noires où perlaient des goutes de sueur mal essuyées. Son torse aux pectoraux et aux abdos saillant était également recouvert d’un duvet de poils frisés, bien plus dense au niveau de ses pectoraux, il remontait jusqu’à la base de son cou. Rien de plus excitant que d’apercevoir à la base de la chemise d’un homme cette virilité sauvage comme voulant s’échapper des vetements. Les hommes glabre peuvent être sexy mais le torse poilu est pour moi la déclaration de masculinité par excellence, une animalité impossible à masquer. L’opposé du corps de la femme, celui du mâle reproducteur. Je me doutais que Nassir devait être très fier de ce torse. Ses publications instagram le montrait bien souvent en maillot, exposant sa toison sans gêne.

Après le haut vient le bas. Nassir reste torse nu pour retirer ses chaussettes et découvrir ses deux pieds mates. Une odeur musquée se dégage de ses chaussures lorsqu’il les retire. C’est souvent pour lui l’occasion de faire une blague à un de ses potes si l’un d’eux est à proximité. Comme beaucoup d’hommes il est resté dans l’enfance lorsqu’il s’agit de l’humour de vestiaire. Plusieurs fois je l’ai vu jeter sa chaussette sale à la tête d’un de ses “frères”. Comme j’aurais aimé la récupérer et découvrir ses odeurs intimes. Recouvert d’un très léger duvet noir ses pieds étaient quelque peu abimés par la pratique du football. Enfilant des chaussettes d’un blanc immaculé, Nassir passait ensuite au pantalon. Il le retirait rapidement et enfilait presque immédiatement un short. Il était comme tous les maghrébins d’une pudeur maladive. A peine avais-je le temps d’apercevoir son caleçon, toujours d’une grande marque, venant révéler deux fesses bombées comme seuls les africains peuvent en avoir. Apercevoir rapidement également sa grosse bosse, empreinte de son organe génital contre le tissus, la mutilation imposée par sa religion permettant de révéler le relief de son gland au travers du caleçon. Et bien sûr, ses deux cuisses brunes et musclées à la pilosité dense, la même qui devait recouvrir son sexe au naturel.

Enfin pret, il se dirigeait vers la salle et y effectuait des séances millimétrées, me foudroyant du regard losqu’il me surprenait à l’épier. Il était comme un poisson dans l’eau ici, prodiguant des conseils à tous, plaisantant avec ses amis.

Bientôt couvert d’une pellicule de sueur, les muscles gonflés par l’effort, il se dirigeait vers les vestiaires. Son corps dégageait un fumet puissant typique des rebeu, impossible à masquer par le déo. Le retour aux vestiaires après une bonne séance était mon moment préféré. Le mélange de toutes ces sueurs, des hormones males de tous ces jeunes hommes mélangés, mettait mes sens en feu. Je ne pouvais pas m’arrêter de penser que tous avait en eux une énorme dose de jus à décharger et que leurs lourdes bourses étaient encore plus pleines après que leurs muscles aient produit tant de testostérone. Cette pensée ne me quitte d’ailleurs jamais vraiment et j’y pense dès que je croise un jeune homme dans la rue, je l’imagine automatiquement le sexe en main en train de se faire du bien afin de décharger sa précieuse cargaison.

Retirant rapidement ses vetements et les rangeants dans son casier, il enroulait une serviette autour de son caleçon. L’emprunte de ses pieds moite au sol était encore visible alors qu’il enfilait ses claquettes adidas noir, beauf mais terriblement sexy.

Comme tous les jeunes, et surtout les jeunes arabes, il se dirigeait alors vers les quelques cabines de douche individuelles de la salle, quitte à faire la queue plutôt que de pénétrer dans l’espace collectif. Comme si le dévoilement d’une quelconque parcelle de peau allait le transformer en pierre. A part sa femme et quelques conquêtes personne n’avait du voir son sexe depuis que la puberté avait transformé le garçon en homme.

Pour ma part, je me rendais aux douches collectives, j’étais de la génération qui a connu le service militaire, la nudité entre hommes faisait partie du quotidien. C’était l’époque des décalotages et des palpations de bourses à la chaine dans des gymnases remplis d’hommes nus attendant leur tour pour se faire examiner. L’époque où la pilosité était laissée au naturel et où sexe et bourses s’exposaient fièrement dans un écrin de poils mâles. Un homme gardant son slip dans un vestiaire aurait paru suspect, la pudibonderie c’était pour les femmes.

Je retrouvais dans cet espace qui sentait bon le gel douche et la testostérone quelques autres homme de mon âge, tous mariés et hétéro. Nous nous racontions notre journée en nous savonnant. Parfois un jeune homme nous faisait le plaisir de nous rejoindre dans cet espace de nudité masculine, un jeune souvent habitué à la nudité grâce aux sports collectifs où la camaraderie se construit dans les vestiaires. Passé la trentaine, les jeunes hommes deviennent plus à l’aise avec l’idée de se balader le sexe à l’air. Je répondais évasivement aux conversations de mes camarades car toutes mes pensées étaient tournées vers Nassir. Je l’imaginais nu, proche de moi, en train de se savonner, le sexe et les bourses gonflées par la testostérone, le tout bien pendant du fait de l’eau chaude, se savonnant consciencieusement pour faire disparaitre les odeurs mâles de son corps.

Je retournais rapidement à mon casier, la serviette autour de la taille par soucis de ne pas froisser les jeunes en me baladant ostensiblement à poil.

Nassir était déjà de retour à son casier, en caleçon, toujours inaccessible. Mais bientôt, cela allait changer.

J’étais née avec un don. Le consensus scientifique est que les phéromones n’ont plus d’emprises sur l’homme, ne pouvant dicter ses comportements sexuels, mais une mutation dans ma famille avait changé cela. Mon odeur a la capacité de corrompre homme comme femme et de les soumettre à ma volonté, de les rendre accro comme une drogue. Nassir allait en faire les frais.

Lors d’une séance plus longue qu’une autre le jeune beur ayant la tête ailleurs avait laissé son casier ouvert. Je passais une main sous mes bourses et déposait l’empreinte moite sur son déodorant avant de me rendre à la douche. J’eu du mal à contenir une erection en pensant à la suite. Je terminais rapidement de me laver, juste à temps pour voir Nassir se saisir de son déodorant. Il s’en arrosa copieusement une première aiselle et lors de passer à la seconde, au moment où sa main passait devant son nez avec la bouteille, il marqua une pause. Intrigué, il commit l’erreur qui allait le perdre, il rapprocha la bouteille de son nez et respira pleinement mes effluves. Ses pupilles se dilatèrent instantanément, le bras figé en l’air, ses aiselles fournies exposées, le regard perdu dans le vague. Il était mien.

- "Nassir, ça va frérot ? "lui demanda son ami, un jeune noir dont j’aurais bien fait mon quatre heure également “Oh Nassir t’es là ?”

- “Euh ouais ouais excuse moi frère je pensais à autre chose…”

Toutes les séances pendant une semaine, je déposais mon odeur sur ses affaires. Cela le rendait de moins en moins concentré, et, un jour, tout en gardant la serviette autour de ses hanches, il laissa trainer son boxer sur le banc avant de se rendre à la douche. Pour la première fois j’avais accès à une pièce de vetement ayant touché son intimité, je m’en saisis rapidement. Vérifiant que personne n’était aux alentours, j’en examinai l’intérieur visuellement. Des traces brillantes séchées à l’endroit où devait reposer son gland, m’informait qu’il portait à droite et surtout que comme, je le supposais, Nassir avait une importante production de liquide séminale en journée. Je l’imaginais derrière son bureau, concentré jusqu’à ce que ses bourses s’activent, noyant son cerveau du besoin impérieux d’éjaculer. Son sexe se dressant, ses hanches se contractant comme par réflexe, ses boules gonflant et transpirant leur odeur male, le frottement de son gland contre le tissus, jusqu’à ce que de la mouille vienne souiller son caleçon pour la journée. Je portais son boxer à mon nez et je pris un shot de testostérone dans le visage, je visualisais comme par magie son gland nu frottant contre le tissus, le liquide séminale s’en échappant, ses bourses qui devait être bien brune et transpirantes. C’était bien l’odeur d’un rebeu que je sentais là, marque olfactive musquée propre aux maghrébins. L’arret de l’eau de sa douche mis fin à ma reverie et je rentrais chez moi sans avoir pris ma douche, le pantalon maculé de sperme.

Je profitais du fait que son circuit soit toujours le même pour aller aux machines sur lesquels ils allaient se rendre et y déposer une trace de ma transpiration. Il tentait de se cacher mais je le voyais sniffer les poignet des appareils. Son visage exprimant la honte de son comportement mais il ne pouvait s’en empêcher.

Il devait se demander d’où venait cette odeur lorsqu’un jour, je laissais trainer une serviette à dessein. Lorsqu’il tomba dessus, il se jeta derrière une machine pour l’humer à plein poumon. Une barre déformant son short. Je suis certain qu’il était à deux doigts de sortir son sexe. Je posais une main sur son épaule le faisant sursauter.

-“C’est ma serviette que tu tiens jeune homme ?”

L’effroi se fit sur son visage, horrifié d’avoir été surpris, et surtout de réaliser que cette odeur qui l’atirait tant, c’était la mienne.

- "Je… euh… je…” il s’assit précipitamment pour masquer son erection. “Ouais j’ai cru que c’était la mienne déso.” Se reprit il.

Je récupérai ma serviette et lorsque je tournais le dos je constatais qu’il se sentait les mains comme un dingue.

Le lendemain, alors que je finissais ma séance il m’attendait devant mon casier. Son visage exprimait un combat terrible, les derniers lambaux de son amour propre, de sa dignité abdiquant devant son addiction impérieuse à mon odeur.

Il ouvrit la bouche pour prononcer le premier mot mais je le pris de cours.

-“Tu en veux encore, n’est-ce pas jeune homme ?”

Il me regarda médusé et articula d’une voix faible contrastant avec son assurance habituelle.

-“Oui, je… s’il vous plait Monsieur ça sent trop bon…”
-“Alors viens suis moi” dis-je en me dirigeant vers les douches communes.

Nassir me suivit comme un petit chien suivant son maitre. Il était en caleçon, une serviette autour de la taille et ses claquettes noires. Une chaine en argent fine venait décorer ses pectoraux.

J’accrochais ma serviette et me préparait à entrer nu dans l’espace douche, Nassir sur mes pas. Il fit de même mais conserva son boxer.

-“On est entre homme ici Nassir, tu n’a pas à garder ton caleçon”.
-“Mais je…”

Je levais mes deux aisselles au niveau de son nez, ce qui fini de rompre sa resistance. Tremblant tant de peur que d’excitation à l’idée de profiter de mon odeur, il abaissa la barrière de tissus et se retrouva, pour la première fois de sa vie peut être, nu, le sexe visible, devans d’autres hommes.

Je m’avançais à l’autre bout de la pièce afin de pouvoir profiter pleinement du spectacle. Me retournant, je le vis le jeune arabe rentrer dans la pièce. C’est toujours un moment incroyable que de découvrir le sexe d’un jeune homme. Il n’y a rien de plus important, dans la vie d’un homme, surtout d’un homme jeune, que son sexe. Toute son adolescence s’est construite autour de son organe et toute sa vie de jeune adulte également. Des blagues de vestiaire entre copains à la découverte des premiers plaisir solitaire aux odeurs et érection dans la journée, jusqu’à devenir un outil pour faire jouir sa femme et comme Nassir se reproduire. Découvrir le sexe d’un jeune homme c’est pénétrer son intimité de manière absolue.

Mon coeur manqua un battement lorsque Nassir pénétra entièrement nu dans cet espace. La lumière forte du plafonnier mettait en relief tous ses muscles, ses poils, sa virilité. Il marchait d’un pas mal assuré vers moi, dans ses claquettes noires, le regard figé dans le mien, sans penser à couvrir son sexe. Sa queue était brune, beaucoup plus que son corps, comme si tout l’exotisme de ses gênes y était concentré. Elle pendait lourdement. Elle devait mesurer dans les 12cm au repos, elle reposait sur une énorme paire de boule encore plus foncée que le reste de l’organe. Son sexe était entouré d’une crinière de poils crépu très court que le jeune arabe devait tondre régulièrement. Ses bourses étaient lisses et semblait moite. Après la séance de sport et sa journée de taff son sexe devait sentir le rebeu à plein nez.

Clou du spectacle, le brun de la verge laissait place à un anneau rose marquant l’emplacement de la circoncision de Nassir. Elle semblait avoir été réalisé en France car la cicatrice était régulière et proche du gland. Son gland mis à nu comme un bourgeon éclos était brun et sec, la courronne était épaisse et dépassait du corps de la verge. C’était là la verge triomphante d’un jeune homme musulman dans toute sa splendeur.

Je ne sais pas si c’est le fait que leur gland soit exposé aux yeux de tous par leur circoncision qui rend les rebeu plus pudiques. Ils sont pour ainsi dire plus nus que nus dans un pays où les autres hommes ont le gland couvert. Mais je sais que rien ne m’excite plus que l’idée que ces hommes si pudiques n’aient en réalité pas le choix d’exposer la partie la plus intime de leur anatomie à tous lorsqu’ils se déshabillent. Comme une marque d’appartenance clanique, un tatouage à l’endroit le plus intime de l’homme à qui l’on a imposé une religion et l’injonction de se reproduire. Dans mes réveries érotiques solitaires, je ne peux m’empêcher de penser à tous ces jeunes issus de l’immigration, tous étant passé par cette étape de souffrance dans l’enfance pour faire d’eux des bons musulmans. Je ne peux m’empêcher d’y penser lorsque je rencontre un jeune arabe, tentant d’imaginer son gland surdéveloppé, parfois visible à travers un pantalon trop serré, le gland nu répandant une odeur musquée dans le tissus de leur caleçon.

Nassir vint se positionner dans la douche à côté de moi. De profil ses bourses apparaissaient encore plus épaisse et gonflée de sève. J’accorde une importance toute particulière à la taille des bourses. C’est ces deux glandes qui vont permettre de transformer le garçon en homme dès le début de sa vie sexuelle, le rendre plus agressif, dominant, plus musclé et lui donner l’obsession de remplir le plus de trou possible. J’aime toujours ainsi à penser que découvrir un homme avec de grosses bourses donnera une bonne indication sur sa vie sexuelle et sa libido. J’ai plusieurs fois eu confirmation de cette théorie en découvrant les énormes paires de bourses des mecs à la masculinité la plus voyante du vestiaire.

Discrètement je passais la main sous mes aisselles et lui tendit comme récompense de son courage. Il s’empressa de la sentir et souri. Il était maintenant complètement détendu, se lavant sans gêne devant tous, sifflotant des airs de raps. Son ami, le jeune noir avec qui je l’avais vu discuter, marqua un temps d’arrêt lorsqu’il passa devant l’espace collectif pour se rendre à la douche individuelle, son visage affichait un air un choqué. Je failli avoir une érection à l’idée d’avoir offert la vision du corps nu de Nassir à son ami. La douche terminée nous nous rendîmes au vestiaire. Passant devant moi j’eu l’occasion d’admirer ses deux fesses fermes recouvertes d’un duvet de poils noir. Contrairement à son sexe elles n’étaient pas entretenus et dégageaient une animalité forte. Lorsqu’il pénétrait sa femme en missionnaire avec sa grosse bite d’arabe ces deux fesses devaient s’ouvrir et dévoiler son oeillet recouvert de poils également.

Nous arrivâmes tous deux aux casiers. Il avait traversé le vestiaire complètement nu sa grosse verge brune ballottant à la vue de tous, ses bourses gonflées imposant leur virilité, il s’apprêtait à remettre son caleçon quand je l’arrêtais.

-“On échange dis-je” en lui prenant le sien des mains et en lui tendant le mien. Conscient du cadeau que je lui faisais il s’empressa de l’enfiler, le regard plein de gratitude.
-“Ce cadeau n’est pas sans contrepartie” lui chuchotais-je à l’oreille, “tu ne pourra pas éjaculer tant que je t’en donerai l’autorisation”.

Je tournais les talons et le quittais en voyant que mon boxer, à présent sur lui, était déformé par une monstrueuse erection. Nul doute qu’une fois chez lui il s’enfermerait dans la salle de bain pour se le presser contre le visage en se masturbant comme un fou, sans espoir de soulagement bien sûr.

A mon grand damn, des obligations professionnelles m’empecherent de retourner au sport toute la semaine.

Le lundi j’y croisais Nassir dans les vestiaires, nous étions seuls, ses yeux étaient cernés il avait l’air de ne pas avoir dormi depuis plusieurs jours. Il se jetta quasiment sur moi et pris un ton suppliant pour me dire :

-“Qu’est-ce que vous m’avez… fait ? J’ai besoin de… s’il vous plait”.

Je lui décochait une baffe, il recula surpris. Le regard noir qu’il me jeta fut vite chassé par sa nouvelle soumission.

Je vis un caleçon dépassant de son sac. Il semblait souillé par un liquide séché.

-“Qu’est-ce qu’on a là ?” dis-je en sortant de ses affaires le boxer qu’il avait porté toute la journée. Il était brillant de liquide séminal, il mouillait comme un dingue depuis une semaine.

-“Suis-moi dans le sauna” lui dis-je.

Le sauna était à l’autre bout des vestiaires et était peu fréquenté en ce moment. La paroi opaque garantissait une intimité à tous les hommes s’y rendant. Je refroidissais la pièce en réglant la température afin que nous n’étouffions pas puis je m’assis sur le banc le plus en hauteur et désignait d’un geste de la tête le banc inférieur à Nassir.

-“Allonge toi ici et masturbe toi”.

Il me foudroya à nouveau rapidement du regard mais s’allongea, je vis ses membres lutter comme contre une force invisible au moment d’enlever sa serviette et de me dévoiler à nouveau sa verge de beur.

La façon dont un homme se masturbe est quelque chose d’extrêmement intime. Elle est unique à chacun, tous les hommes le font et notamment les jeunes hommes pour qui l’appel de la sève est le plus fort.

Nassir était allongé sur le banc afférent au mien m’offrant une vue complète sur son corps. Il commença par donner quelques coups désordonné sur son sexe brun lui faisant gagner du volume. Puis il redressa la nuque et me surpris en crachant un molard dans sa main, se l’étalant sur la queue. Je compris qu’il s’agissait là d’une lubrification nécessaire pour un sexe sans prépuce. Je ne pu m’empêcher de me demander s’il utilisait sa salive à chaque fois, je l’imaginais plus jeune utilisant le savon de la maison familiale pendant de longue session de masturbation sous la douche. L’odeur de la salive et de la transpiration envahit l’air du sauna. Nassir avait les yeux clos, il respirait doucement, son torse se soulevant au rythme de sa main sur sa queue. Ses deux pieds étaient posé et se contractait de manière irrégulière. Mes phéromones envahissait l’air, lui apportant sa dose de drogue. Il affichait un sourire béa.

Je décidais de pimenter la session et descendis à sa hauteur. Je passais ma main au dessus de son torse, sans appuyer, sentant le chatouillement de ses poils. J’étais moi même complètement en érection de voir un aussi beau male maghrébin en train de se donner du plaisir impudiquement sous mes yeux. Sa main enserrait entièrement son gros sexe maintenant totalement en erection qui devait mesurer dans les 19cm. Sa bite était bien large et le gland circoncis gonflé au maximum. La corole dépassait largement du corps de la verge et Nassir la stimulait avec sa main à chaque remonté. Même lubrifié la peau tendue de sa verge entrainait ses deux grosses boules qui bougeaient dans leur sac à chaque va et vient. Ses deux dates brunes, gonflées par une semaine d’abstinence, étaient remontées dans leur sac, signe d’une éjaculation imminente qui lui était interdite. Je voyais poindre des goutes de liquide séminale qui venait couler sur cette grosse verge de beur et en faciliter la lubrification naturelle.

Nassir était perdu dans ses pensées et dans sa jouissance, il sursauta quand ma langue vint se poser sur son téton. Bruns, de la même couleur que son sexe, ses deux mamelons étaient petits et serrés, ils décoraient harmonieusement ses deux gros pectoraux finement poilus. Je fis des tour doucement avec ma langue, goutant la sueur du jeune rebeu. Un gout salé, fort. Sa respiration se fit plus intense à chacune de mes rotations. Ma langue continua son chemin jusqu’à son aisselle royaume des hormones où ses longs poils noirs étaient collés par la sueur fraiche, je pris un shot de testostérone orientale. Je descendais le flanc ce qui fit frissonner Nassir. J’arrivais à la hauteur de son sexe, je vis de plus près son sexe brun, la cicatrise de sa circoncision le rendant bicolore.

Ma langue se posa d’abord sur ses bourses le faisant geindre. L’odeur de sa queue était très forte, je lapais une à une ses deux grosses mandarine, il couinait à chaque coup de langue. Ses bourses étaient énorme, la source de son comportement de petit mâle macho, j’arrivais à peine à en prendre une en bouche

Je me levais, portant ma sexe au niveau de son visage.

-“A toi maintenant”.
-“Non je ne suis pas…”

Sa résistance m’agaça, il était temps d’en terminer une bonne fois pour toute, je ne lui laissais pas le temps de finir sa phrase et posait mes deux bourses directement sur son visage. La source de mon pouvoir, cette explosion de phéromone finie de cramer son cerveau. Il gémit sans discontinuer, sa respiration se fit erratique, sa pomme d’Adam faisant des yoyo, ses jambes se contractant et de sa queue commença à couler une grosse dose de jus qui vint s’écraser mollement dans les poils noirs de son pubis. Puis une véritable éruption de sperme débuta, des jets épais s’envolaient du sexe circoncis en fusion du jeune maghrébin, venant maculer son torse brun. La couleur blanche contrastant avec celle de sa peau. J’étais estomaqué que malgré mon interdiction le plaisir ait été si fort qu’il ait réussi à éjaculer. L’odeur de son de sperme emplissait la pièce. Nassir continuait de gémir de manière totalement déraisonnée, le son légerement étouffé par la barrière de mes bourses sur son visage. Son éjaculation fini, sa bite resta dure comme du roc le gros gland brun suintant toujours et les deux bourses brunes gonflées à bloc.

Je ne souhaitais pas qu’il reste dans cet état et je raclais le sperme sur son torse, l’étalant dans ses poils par endroit pour le souiller de sa propre semence. La flaque constituée dans ma main était extrêmement dense, je la portai à ma bouche et goutait le jus de Nassir. La crème fertile avec laquelle il avait engrossé sa femme. Le gout était fort et la texture épaisse.

Je rapprochais ma main de sa bouche, le jeune musulman arbora une expression de refus vague mais il était maintenant complètement maléable. Peut être y étais-je allé un peu fort, je ne souhaitais surtout pas en faire un légume. Je lui fis ouvrir la bouche, tirant sur ses deux lèvres charnues comme seule les arabes peuvent en avoir et pour la première fois de sa vie surement il gouta son jus. Il avala tout sans broncher. Je lui fis lécher mes doigts qu’il téta comme un nourrisson aurait tété le sein. Quelques traces de son sperme restèrent sur sa barbe.

J’approchais maintenant mon sexe de ses lèvres. Je promenai le bout sur sa bouche, je frémis de plaisir par anticipation. Il ouvrit encore la bouche par réflexe, comme pour la tété précédente. Il sembla jouer de ses lèvres avec mon prépuce, surement une découverte pour lui. Je commençais à m’enfoncer doucement dans sa bouche chaude puis changeait de position pour venir m’installer au dessus de lui afin de lui baiser la bouche. Mes bourses se posaient à chaque va et vient sur son visage lui envoyant un shot de drogue toutes les secondes. Nassir tantôt gémissait, tantôt s’étranglait avec ma queue. Rapidement je poussais un long râle et mon sperme vint rejoindre le sien au fond de sa gorge. Il gémit comme un chiot et éjacula une deuxième fois la même quantité de sperme qu’auparavant. J’étais estomaqué par la quantité de sperme que produisait l’organe génital du jeune arabe. Etonnant que sa femme n’ait pas eu des triplés. Cette fois sa crème était plus liquide. Je passais à nouveau ma main sur son torse et m’approchait de ses fesses. Sa position allongées laissait voir son petit trou poilu. J’en badigeonnais l’entrée de son sperme et j’y fis rentrer un premier doigt aisément. Le deuxième puis le troisième suivirent. Il se tendit, la sensation désagréable et nouvelle pour lui laissa place à un nouveau long gémissement quand j’atteignis sa prostate. Je débutait un long massage de sa glande à l’aide de mes doigt lubrifié de son sperme, chaque va et vient provoquait à chaque fois un gémissement plus fort que l’autre. Quel bonheur de faire découvrir à un arabe macho le plaisir d’être pénétré. Ses fesses musclées bougeaient toutes seules et il venait de lui même se pénétrer sur mes doigts.

Je me redressais impatient de passer à l’étape suivante. Sentant ce qui allait se produire, il remua la tête comme par dénégation sans pour autant pouvoir agir. Je positionnais mon sexe à l’entrée de son anus, ma bite blanche contrastant avec la couleur halée de sa peau.

-"Arghhhhh” dit-il en serrant les dents “non je ne… arrêtez…”.

Je le pénétrai jusqu’à ce que mes couilles viennent claquer sur ses fesses. Il tenta mollement de me repousser en continuant d’hurler. Je raclais la sueur de mon torse et lui collait la main sur la bouche et le nez de sorte à ce qu’il ne respire plus que mon odeur. Il se détendit instantanément, sa respiration se calma, ses deux mains se portant aux miennes afin de les appuyer plus fortement sur sa bouche et je senti sa langue laper doucement la paume de ma main. Je le laissais à sa nouvelle activité et repris le pilonnage. Il était maintenant complètement détendu, sa langue lapant inlassablement ma main, je le ramonai de manière bien plus ample, m’appliquant à appuyer sur sa prostate à chaque passage. Je sentais le sexe d’Nassir bien plus dur qu’avant contre montre ventre, la mouille coulait et venait s’écraser sur ses boules moite. Ce traitement semblait lui faire un bien fou. Je retirais ma main et découvrit son visage emprunt d’une gourmandise que je n’aurais jamais osé imaginer sur son visage, il bavait et pleurait de plaisir.

Je me penchais à son oreille, la léchant, descendant avec ma langue sur son cou, et je lui susurrai :

-“Maintenant Nassir je vais te féconder comme tu as fécondé ta femme et après cela tu m’appartiendra, pour toujours”.
-“Non… par pitié… je…”

Ne lui laissant pas le temps de finir, je saisis son sexe pour le masturber tout en le pilonnant furieusement, ma main glissait tellement il était mouillé. Au bout de quelques secondes de ce traitement, je sentis les fesses de Nassir se contracter sur mon sexe ce qui me fit jouir et instantanément il se vida lui aussi dans ma main hurlant en arabe et en français des mots incompréhensibles.

Les avis des lecteurs

Super récit, on sent la chaleur monter et le rebeu tomber de son piédestal pour de la queue.
Vivement une suite.

Histoire Erotique
J'adore l'atmosphère et la tension sexuelle qui s'installe au début pour mieux nous excité pour finir par une montée en crescendo au comble de l'extase et de voir ce beau mâle rebeu aussi soumis et réceptif.



Texte coquin : Soumettre le rebeu de la salle de sport
Histoire sexe : Une rose rouge
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Soumettre le rebeu de la salle de sport - Récit érotique publié le 30-11-2023