Soumis à ma femme infidèle - partie 7 - histoire érotique

Chapitre 9 : en tandem...
Après ce supplice passé toute la journée au boulot, à recevoir des photos torrides et des messages excitants de ma femme et de son amant, je n'en pouvais plus. Savoir que Jess avait passé toute la journée à se faire défoncer par Manuel m'excitait grandement, j'avais hâte de les surprendre en pleine action, si je réussissais à rentrer à temps. Je quittai donc le boulot, avec bien sûr une énorme érection...
Je rentrai enfin chez nous. Je me garai dans la rue de notre maison. A peine étais-je sorti de la voiture que j'entendis les cris de Jess se faisant baiser. Merde... Ils avaient laissé une des fenêtres de la maison ouverte, et leurs cris de baise furieuse résonnaient jusque dans la rue. Je pensais au dernier texto de Manuel : « Ta femme hurle son plaisir avec moi. Qu'est-ce qu'elle est bonne. Ma queue est bien au chaud dans sa chatte. On en profite bien. J'espère que ça ne dérange pas tes voisins. Au fait, que vont-ils penser en te voyant arriver ce soir ? Ils vont comprendre aux cris de ta femme que tu es bien cocu. Passe une bonne journée branleur. »Putain, l'enfoiré avait tout prévu... Il sautait ma femme et voulait que ça se sache. Tout le quartier allait être au courant ! Je claquai la portière de ma voiture et aperçus avec stupeur nos voisins. C'était un couple proche de la retraite. Ils étaient tous deux dans leur jardin et écoutaient le spectacle avec une avidité non dissimulée... Ils m'aperçurent à leur tour. D'abord surpris de me voir là, ils firent mine de ne pas prêter attention aux cris de Jessica, mais leur expression me fit comprendre qu'ils avaient tout saisi à la situation. Je les saluai à distance, mais je pus distinguer sur leurs visages un petit sourire, presque narquois... Ils avaient compris ce qui se tramait depuis quelques temps à côté de chez eux. Ils devaient penser que j'étais un bon cocu, et que ma femme était une sacrée salope ! Et ils avaient raison...
Couvert de honte devant cet aveu indirect sur le fait que ma femme se tapait un amant en mon absence, je me hâtai de rentrer chez nous. J'ouvrais la porte d'entrée et les cris de Jess redoublèrent d'intensité. Les deux amants baisaient dans le salon, à côté de l'entrée. Je refermai aussitôt la porte d'entrée pour avancer doucement vers la pièce du désir. Fébrile, tremblant, je passai discrètement la tête dans le salon...
Vision d'extase. Jessica était à genoux sur le tapis. Manuel était aussi à genoux, à côté d'elle. Tous deux étaient nus. Manuel avait passé une main autour des épaules de Jess, tandis que son autre main s'agitait dans la chatte de ma femme. Il la doigtait activement. Je compris qu'il avait au moins trois doigts enfoncés dans le vagin de Jess, son index, son majeur et son annulaire. Il stimulait bien la chatte de Jess. Ma femme était luisante de sueur, ses cheveux étaient presque collés à son doux visage. Elle s'était faite sauter toute la journée par ce taureau, après tout...
Je voyais le plaisir de Jess, sa nudité, elle criait, les yeux fermés. Manuel à côté, qui la doigtait comme un salaud, la dévorait du regard. Un regard de pervers et dominateur. Le cochon en profitait bien et se faisait plaisir : doigter une femme mariée, la sauter toute la journée, lui faire avaler son sperme, tout en narguant le mari cocufié. C'était son plaisir...
Ma main descendait vers mon entrejambe. J'allais commencer à me branler, mais Jessica dut sentir ma présence. Elle ouvrit les yeux, et m'aperçus. Sa bouche esquissa un sourire. Manuel découvrit aussi ma présence, mais cela ne l'empêcha pas d'arrêter son doigtage, bien au contraire... Le salaud s'activa davantage...
Malgré le plaisir extrême qu'elle recevait de la part de son amant, Jess réussit à articuler, entre deux gémissements de jouissance :-Ah... Chéri... Viens là... Que c'est bon putain ! Mets-toi à poil, et... Allonge-toi sur le canapé... Mon dieu... Sur le dos... Je veux que vous me baisiez tous les deux...
J'avais du mal à croire ce que j'entendais ! Jess, ma belle femme, avait envie d'une double pénétration, avec moi et son amant ?? C'était fou, ça dépassait tous mes fantasmes les plus cochons...
Manuel arrêta son manège et aida Jess à se relever. Quant à moi, je m'exécutai donc, que pouvais-je faire d'autre ? Je me déshabillai rapidement, découvrant mon sexe tendu comme jamais. Je rejoignis le canapé, et m'allongeai sur le dos tel que Jess me l'avais ordonné. Elle m'y fit allonger sur la longueur, mes fesses au bord du canapé de sorte à ce que je puisse poser les pieds sur le sol. Puis vint s'empaler en amazone sur mon sexe avec un plaisir non dissimulé... Ma queue glissa en elle très facilement, sans doute sa chatte était-elle lubrifiée encore par le sperme de Manuel. Jessica s'assit sur moi et vint m'embrasser fougueusement. Je pouvais sentir la sueur et l'odeur de la bite de Manuel sur sa petite bouche et ses lèvres sensuelles (elle l'avait sucé et avalé quelques heures ou minutes avant mon arrivée, et pas qu'une fois...) En chaleur, je m'empressai de la sauter, tandis que je voyais du coin de l’œil Manuel s'approcher du cul offert de Jess... N'allait-il pas... ?
Si, ce salopard osait. Il pénétra le cul de Jess avec sa queue bien raide. Je vis Jess mordiller sa lèvre inférieure et froncer les sourcils. Je ne la sodomisai pas souvent, mais je sentais que Manuel, avec son gros sexe bien dur, n'allait pas s'en priver !
Jess se fit prendre ainsi en doublette pendant de longues minutes. J'étais dessous, ma queue dans sa chatte, Jess sur moi, prise en sandwich, et Manuel au-dessus, prenant Jess par derrière comme un taureau. Jessica hurlait son plaisir, je la voyais transpirer d'excitation, elle prenait vraiment son pied sous les coups de deux queues bien dressées rien que pour elle : celle de son amant, ravi de pouvoir défoncer le cul d'une salope mariée, et celle de son mari cocu, excité à l'idée de pouvoir sauter sa femme dans le sperme d'un autre...
Écrasé sous le poids de ma femme et de son amant, je ne pouvais rien faire d'autre à part essayer tant bien que mal de bouger mon bassin afin de bien pénétrer la chatte de Jess, pendant que Manuel, en bon mâle dominant, défonçait sans vergogne le cul de ma tendre épouse au-dessus de nous. Je voyais par dessus l'épaule de Jess le visage bien satisfait de Manuel, heureux de pouvoir sauter la femme d'un autre sans aucune gêne...
Soudain, Manuel grogna de plaisir, la jouissance devait être proche pour lui. Il cria son plaisir tandis que je vis le visage de Jess se crisper : le salaud lâchait un peu de son jus dans le cul de ma femme. Je pus voir que Manuel s'écartait soudain : ce petit salopard prenait du recul pour asperger le cul et la chatte de ma femme... et aussi mes testicules, puisque j'avais ma queue encore enfoncé dans le vagin de Jess. Manuel giclait sans retenue. Je sentais son sperme atterrir sur mes cuisses et mes couilles offertes à lui. C'était une humiliation de plus. Comme s'il marquait son territoire en foutant son sperme partout sur ma femme et sur moi, de plus sur mes parties intimes.
Comme je sentais le sperme de Manuel dégouliner sur mes cuisses et mes couilles, je giclai à mon tour. Tout en hurlant mon orgasme, je tapissai bien la chatte de Jess, ma jouissance était grande et violente, j'en tremblais presque de plaisir. Mon jus rejoignit celui de Manuel dans le sexe de Jessica. Je me vidai intégralement en elle, et m'écroulai, totalement exténué. Jessica cria, puis se laissa elle aussi aller, sa tête tombant dans le creux de mon épaule, elle aussi épuisée, non sans avoir chuchoté un tendre et petit « Je t'aime » dans mon oreille... Mon sexe était toujours dans le sien lorsque nous nous endormîmes. Je devinai que Manuel ramassai ses affaires et s’éclipsait doucement afin de ne pas nous réveiller. Je l'en remerciai mentalement ; Même si ce salopard souillait bien ma femme, il savait parfois faire preuve de délicatesse.
Je sombrai enfin dans le sommeil, dans des effluves de sexe et de semence, heureux de pouvoir profiter du corps de ma superbe femme souillée par un autre, rêvant de la prochaine visite de cet amant dominateur...