Soumis ! Episode 2
Récit érotique écrit par Diluc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumis ! Episode 2
Rubis, ma maîtresse adorée m’a dit ce matin qu’une surprise arrivait ce soir. Elle avait cet air coquin qui présageait de grands moments de jouissance et de douleur.
Devant mon début de sourire, elle me donna un coup de fouet sur la queue puis pris mon menton entre ses mains et serra.
-Et tu as intérêt à ce que la maison soit propre ce soir, sinon, je te mettrai, tu sais, le concombre...
Mon dieu, non pas ça, même maintenant, me souvenir de le sentir enfoncé dans mon cul me fait mal.
-Et laves toi, petite fiotte, compris?
J’acquiesçais avec ardeur et je l’entendis fermer la porte.
Le soir arrivé, la maison propre, moi aussi propre, j’attendais ma maîtresse comme tous les jours, nu, avec sur un plateau une bouteille d’eau et des glaçons dans un verre.
Enfin j’entendis la clef tourner dans la serrure et je commençais aussitôt à bander.
Comme tous les soirs, d’une main elle boirai son verre d’eau tandis qu’elle commencerai à serrer ma verge de l’autre main...
Mais ce soir là fut différent.
Elle entra, suivie d’une très jeune femme brune mignonne comme un cœur. Elle était vêtue d’une robe bleue vaporeuse: mon sexe se durcit encore plus tandis que le regard de la fille se fixait sur ma queue. Maîtresse Rubis comprit de suite ce qui se passait et me mis une claque sur le sexe, me forçant à me plier en deux sous la douleur.
-Écoute petit PD; Clarisse est là pour être dressée: c’est son maître qui me l’a donnée pour le week-end.Tu vas donc pouvoir utiliser ta queue dans de nouveaux trous si tu es sage...
Elle attrape alors la fille par sa queue de cheval et l’embrasse sur la bouche. Dans le même temps elle arrache le haut de la petite robe et fait ressortir un petit sein dont elle pince cruellement le téton.
Je me relève: je bande de plus en plus. Je commence à me caresser. Ma maîtresse, sans cesser d’embrasser sa pute, attrape ma queue d’une main et me branle. Elle cesse enfin son baiser et force la fille à s’agenouiller. Celle ci attrape alors ma queue et se la fourre dans la bouche. Lorsque sa langue s’enroule autour de mon gland, je sens l’acier d’un piercing qu’elle a au milieu de celle-ci. La sensation est nouvelle mais sentir cette petite boule d’acier est un délice pour mes sens. La morsure du fouet sur mes fesses me fait gémir de plaisir et je sens que je vais jouir.
Maîtresse Rubis s’en rend compte et me retire en arrière, violemment, abandonnant la jeune femme à la bouche si accueillante...
Maîtresse Rubis me met les menottes dans le dos et m’emmène dans la salle de plaisirs. Elle m’attache aux anneaux qu’elle m’a fait sceller dans le mur et me fouette le bas ventre jusqu’à ce que je jouisse. Elle recueille alors ma semence dans le petit bol chinois habituel et, au lieu de le boire, le pose sur le billot à côté de moi. Elle me retourne et m’enfonce violemment un plug anal dans le cul: je recommence à bander.
Munie de mon collier de rechange et d’une chaîne elle sort de la pièce. Je gémis du plaisir de L’anticipation.
Maîtresse Rubis revient, nue à présent, tenant en laisse la brunette aux vêtements déchirés. Elle l’oblige à boire mon bol de foutre et l’attache à son tour, face à moi. A l’aide de son fouet, elle met en lambeaux la robe de la petite pute qui crie et gémit tour à tour, selon la puissance et l’emplacement des coups.
Une fois qu’elle est nue Maîtresse Rubis s’attache un gode ceinture autour de la taille. Elle est derrière la fille qui ne voit rien et qui gémit encore de douleur: je vois des larmes couler de ses beaux yeux. Du coup, ma Maîtresse l’encule violemment en tirant sur sa queue de cheval: La demoiselle crie de douleur lors de cette pénétration brutale. Mais je voit dans ses yeux qui pétillent au travers de ses larmes, une jouissance indicible.
Personnellement, je suis au bord de la rupture: je n’ai qu’une envie, pénétrer cette petite salope qui me vole ma Maîtresse...
Maîtresse Rubis se retire du cul de la fille et vient vers moi: elle relâche mes liens et m’autorise à sucer son gode...
Il y a là un mélange de sang et de merde qui me donne envie de gerber mais j’arrive à le retenir, tout juste. Maîtresse Rubis, m’allonge ensuite sur le sol et, tenant la brunette par sa queue de cheval, l’oblige à s’asseoir sur mon sexe.
J’entre en elle un peu difficilement: la fille est très serrée: on dirait presque une vierge. Je n’hésite pas et lui met un coup de rein qui la fait crier tandis que ma queue rentre toute entière dans sa petite chatte poilue. Contrairement à Maîtresse Rubis, elle n’est pas épilée ce qui me parait peu agréable. Maîtresse Rubis se remet alors à enculer cette petite pute que nous ramonons tous les deux avec violence. Enfin j’éclate en elle, je jouis comme un dingue dans son con et je vois ses yeux d’écarquiller tandis que mon jus rempli son petit vagin de jeune salope.
Depuis qu’elle est entrés chez nous, elle n’a pas fit un mot, souffrant en silence mais jouissant aussi en silence...
Une fois que moi et Maîtresse Rubis nous sommes retirés d’elle, ma Maîtresse lui enserre les tétons dans des pinces à seins. Puis elle la force à me sucer tandis qu’elle lui fouette les fesses.
La soirée a continué ainsi, dans la violence, me faisant jouir à de nombreuses reprise...
Le lendemain Maîtresse Rubis m’explique que la jeune femme qui dort à présent sur ma paillasse est muette de naissance... je comprends mieux.
Maîtresse Rubis a prévu tout un programme pour le reste du week-end, notre première soirée ne fut en fait qu’une mise en bouche...
Devant mon début de sourire, elle me donna un coup de fouet sur la queue puis pris mon menton entre ses mains et serra.
-Et tu as intérêt à ce que la maison soit propre ce soir, sinon, je te mettrai, tu sais, le concombre...
Mon dieu, non pas ça, même maintenant, me souvenir de le sentir enfoncé dans mon cul me fait mal.
-Et laves toi, petite fiotte, compris?
J’acquiesçais avec ardeur et je l’entendis fermer la porte.
Le soir arrivé, la maison propre, moi aussi propre, j’attendais ma maîtresse comme tous les jours, nu, avec sur un plateau une bouteille d’eau et des glaçons dans un verre.
Enfin j’entendis la clef tourner dans la serrure et je commençais aussitôt à bander.
Comme tous les soirs, d’une main elle boirai son verre d’eau tandis qu’elle commencerai à serrer ma verge de l’autre main...
Mais ce soir là fut différent.
Elle entra, suivie d’une très jeune femme brune mignonne comme un cœur. Elle était vêtue d’une robe bleue vaporeuse: mon sexe se durcit encore plus tandis que le regard de la fille se fixait sur ma queue. Maîtresse Rubis comprit de suite ce qui se passait et me mis une claque sur le sexe, me forçant à me plier en deux sous la douleur.
-Écoute petit PD; Clarisse est là pour être dressée: c’est son maître qui me l’a donnée pour le week-end.Tu vas donc pouvoir utiliser ta queue dans de nouveaux trous si tu es sage...
Elle attrape alors la fille par sa queue de cheval et l’embrasse sur la bouche. Dans le même temps elle arrache le haut de la petite robe et fait ressortir un petit sein dont elle pince cruellement le téton.
Je me relève: je bande de plus en plus. Je commence à me caresser. Ma maîtresse, sans cesser d’embrasser sa pute, attrape ma queue d’une main et me branle. Elle cesse enfin son baiser et force la fille à s’agenouiller. Celle ci attrape alors ma queue et se la fourre dans la bouche. Lorsque sa langue s’enroule autour de mon gland, je sens l’acier d’un piercing qu’elle a au milieu de celle-ci. La sensation est nouvelle mais sentir cette petite boule d’acier est un délice pour mes sens. La morsure du fouet sur mes fesses me fait gémir de plaisir et je sens que je vais jouir.
Maîtresse Rubis s’en rend compte et me retire en arrière, violemment, abandonnant la jeune femme à la bouche si accueillante...
Maîtresse Rubis me met les menottes dans le dos et m’emmène dans la salle de plaisirs. Elle m’attache aux anneaux qu’elle m’a fait sceller dans le mur et me fouette le bas ventre jusqu’à ce que je jouisse. Elle recueille alors ma semence dans le petit bol chinois habituel et, au lieu de le boire, le pose sur le billot à côté de moi. Elle me retourne et m’enfonce violemment un plug anal dans le cul: je recommence à bander.
Munie de mon collier de rechange et d’une chaîne elle sort de la pièce. Je gémis du plaisir de L’anticipation.
Maîtresse Rubis revient, nue à présent, tenant en laisse la brunette aux vêtements déchirés. Elle l’oblige à boire mon bol de foutre et l’attache à son tour, face à moi. A l’aide de son fouet, elle met en lambeaux la robe de la petite pute qui crie et gémit tour à tour, selon la puissance et l’emplacement des coups.
Une fois qu’elle est nue Maîtresse Rubis s’attache un gode ceinture autour de la taille. Elle est derrière la fille qui ne voit rien et qui gémit encore de douleur: je vois des larmes couler de ses beaux yeux. Du coup, ma Maîtresse l’encule violemment en tirant sur sa queue de cheval: La demoiselle crie de douleur lors de cette pénétration brutale. Mais je voit dans ses yeux qui pétillent au travers de ses larmes, une jouissance indicible.
Personnellement, je suis au bord de la rupture: je n’ai qu’une envie, pénétrer cette petite salope qui me vole ma Maîtresse...
Maîtresse Rubis se retire du cul de la fille et vient vers moi: elle relâche mes liens et m’autorise à sucer son gode...
Il y a là un mélange de sang et de merde qui me donne envie de gerber mais j’arrive à le retenir, tout juste. Maîtresse Rubis, m’allonge ensuite sur le sol et, tenant la brunette par sa queue de cheval, l’oblige à s’asseoir sur mon sexe.
J’entre en elle un peu difficilement: la fille est très serrée: on dirait presque une vierge. Je n’hésite pas et lui met un coup de rein qui la fait crier tandis que ma queue rentre toute entière dans sa petite chatte poilue. Contrairement à Maîtresse Rubis, elle n’est pas épilée ce qui me parait peu agréable. Maîtresse Rubis se remet alors à enculer cette petite pute que nous ramonons tous les deux avec violence. Enfin j’éclate en elle, je jouis comme un dingue dans son con et je vois ses yeux d’écarquiller tandis que mon jus rempli son petit vagin de jeune salope.
Depuis qu’elle est entrés chez nous, elle n’a pas fit un mot, souffrant en silence mais jouissant aussi en silence...
Une fois que moi et Maîtresse Rubis nous sommes retirés d’elle, ma Maîtresse lui enserre les tétons dans des pinces à seins. Puis elle la force à me sucer tandis qu’elle lui fouette les fesses.
La soirée a continué ainsi, dans la violence, me faisant jouir à de nombreuses reprise...
Le lendemain Maîtresse Rubis m’explique que la jeune femme qui dort à présent sur ma paillasse est muette de naissance... je comprends mieux.
Maîtresse Rubis a prévu tout un programme pour le reste du week-end, notre première soirée ne fut en fait qu’une mise en bouche...
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