Soumis pour femme et couple: Préambule

Récit érotique écrit par Marcus999 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Soumis pour femme et couple: Préambule
Le récit suivant sera long, fait de plusieurs chapitres, en voici le premier :
Je m’appelle Franck, j’ai 34 ans. Je mesure 1,80 m pour 86 kg. Je suis célibataire depuis plus d’un an. L’histoire que vous allez lire est un récit de pur fantasme, même si elle met en scène des personnes bien réelles qui ont nourri mes envies pour la suite.
Aux yeux de tous ceux qui me connaissent, je suis un pur hétéro, avec plusieurs relations, longues ou courtes, et des pratiques sexuelles plutôt standards. Mais il y a une facette de moi que personne ne connaît : je suis accro à l’anal, à la queue et au jus d’homme.
Depuis environ dix ans, je fais pas mal de plans avec des hommes. Ça a commencé doucement, par la découverte, puis j’ai vite compris mes envies : être la salope d’un, et surtout de deux mecs actifs, un peu dominants, et ne rien leur refuser. J’ai fait pas mal de plans de ce genre. J’ai découvert aussi que j’aimais être dominé et baisé par des femmes, et j’ai réussi à faire quelques plans avec des femmes seules ou des couples H/F, toujours en tant que passif.
Je travaille dans une grosse boîte, sur un site important (plus de 500 personnes). J’y ai beaucoup d’amis et de collègues. Parmi eux, Corinne, une amie depuis plusieurs années. Elle a mon âge, elle est super mignonne, avec un regard irrésistible, des cheveux mi-longs châtain clair, environ 1,65 m, des seins bien dessinés et un cul superbement moulé. Ce n’est pas une taille mannequin, mais moi, elle me fait craquer ! J’ai bien essayé de la draguer, mais madame est mariée, elle a un enfant de 13 ans et elle est totalement heureuse et épanouie. Elle m’a calmé net, et malgré mes insistances, mes espoirs sont tombés à néant : elle a toujours été très claire. Je sais que je lui plais, mais hors de question qu’il se passe la moindre chose. Depuis, je me suis fait une raison : c’est devenu ma meilleure amie. On se confie tout. Je connais très bien son mari et sa fille. Tout est très clair.
Un matin, je reçois un mail d’elle vers 8 h, comme tous les jours, mais cette fois le contenu est…
« Salut Franck, j’espère que ça va bien ? Tu as passé un bon week-end ? Tu as fait quoi ? Nous, on est sortis tous les trois au cinéma puis au resto, c’était génial. J’ai une question indiscrète à te poser, on se dit tout alors j’y vais : ça t’arrive de faire des cunis à tes copines ou conquêtes ? Si oui, pourquoi ? Si non, pourquoi ? »
Je lui réponds : « Salut, oui ça va très bien. J’ai vu des potes samedi soir (en fait j’avais fait un plan avec deux gars), et dimanche tranquille à la maison. Oui, bien sûr que je fais des cunis. Pourquoi ? Parce que j’adore ça. Pourquoi tu me demandes ça ? »
Elle ne répond pas à ma question, mais enchaîne : « Ah oui ? Tu le fais souvent ? »
Je lui réponds honnêtement : « Oh oui, à chaque rapport, quasiment. Voire même sans rapport parfois. J’adore. Et en plus j’ai de très bons talents “cuninaires” (comme disait l’une d’elles), d’après ce qu’elles me disent. Pourquoi toutes ces questions ? Tu n’aimes pas que Mathieu te le fasse ? »
Elle : « Oh non, c’est le contraire ! C’est lui qui n’aime pas, alors je me pose des questions. J’en ai parlé à deux amies, mais je me suis dit que l’avis d’un homme, c’était mieux. Et vu qu’avec toi on se dit tout… »
« Pourquoi il n’aime pas ça ? Elles t’ont dit quoi, tes copines ? »
« En fait, il a un blocage depuis que j’ai accouché. Il était présent et il a vu quand notre fille est sortie. Depuis, il est totalement bloqué. »
« Totalement bloqué ? Tu veux dire qu’il ne t’en a pas fait depuis 13 ans ? »
« Oui. »
« T’es sérieuse ? »
« Oui. »
« Et tes copines, elles ont dit quoi ? »
« L’une, c’est un peu pareil pour les mêmes raisons, mais il fait l’effort de temps en temps pour lui faire plaisir. L’autre n’a pas de problème : son mec la mange bien, mais pas comme toi à chaque rapport, lol. »
« C’est fou, et tu veux dire que depuis 13 ans, personne ne te l’a fait ? »
« Ah si, on me l’a quand même fait… »
« Qui, du coup ? »
« Je vais rester un peu vague là-dessus, si ça ne te gêne pas, mais deux mecs me l’ont fait quelques fois (en présence de Mathieu) et une fois une fille, mais je n’ai pas trop aimé, je ne me sentais pas très à l’aise. »
« Ok… Tu m’émoustilles en me disant tout ça, mais je respecte que tu n’en dises pas plus. »
« Merci. Je te raconterai un jour, mais pas là. Tu sais, Mathieu est aussi désolé de cette situation. Il a un blocage, ce n’est pas facile pour lui non plus. »
« Oui, je sais. Et toi, tu t’occupes de lui ? »
« Bien sûr. J’aime m’occuper de son sexe. Bon, même si je ne le finis pas en bouche (waouh, je suis folle de t’écrire ça !), j’aime pas ça. »
« Désolé de t’avoir posé la question, lol. Ça fait combien de temps que tu n’as pas eu droit à un cuni ? »
« Ouh là, ça remonte ! En fait, il y a deux ans, en discutant de ça tous les deux, Mathieu m’a demandé si trouver un mec sur un site libertin pour me lécher pourrait m’aller. »
« Franchement, je ne savais pas trop. J’y ai beaucoup réfléchi, j’ai dit oui. »
« Et ? »
« On a passé des heures et des heures à chercher. Les mecs voulaient plus, pas juste me manger la chatte. On a fini par en trouver trois : un faux plan, et les deux autres ont voulu que je les suce avant de me manger, alors que dans nos échanges on avait clairement dit que c’était juste pour un cuni. Du coup, on a arrêté. Trop de temps et d’énergie perdus. »
« Donc ça fait plus de deux ans ? »
« Oui… ça craint. »
« Je sais très bien ce que tu vas me dire, mais moi je te mangerais où tu veux et quand tu veux, sans rien te demander de plus. »
« C’est une blague ? »
« Euh… peut-être que ça aurait dû l’être, mais non, ce n’en est pas une. »
Là, elle ne répond plus. Ça dure 2, 5, 10, 30 minutes. Je me dis que je l’ai vexée, que je n’aurais jamais dû lui dire ça, qu’elle va m’en vouloir. Je n’ose pas bouger de mon bureau pour ne pas la croiser. J’essaie de me concentrer sur mon travail, mais j’ai du mal.
Au bout d’une heure, je reçois juste ça :
« Bon, ta réponse tout à l’heure m’a mis une claque ! Ça m’a énervée que tu me dises ça. Je pensais que notre relation était saine et que tu en avais fini de vouloir me séduire ! Je suis partie boire un café, j’étais hors de moi. Puis, à force de relire ton message (au moins 100 fois, je pense), je me suis calmée. J’ai repensé à tout ce qu’on s’est dit depuis ce matin, notamment au fait que j’ai failli me faire manger la chatte par de parfaits inconnus quand on a essayé de trouver un mec sur les sites libertins… et toi, en qui j’ai toute confiance, tu me le proposes. Tu dis que tu aimes ça, que tu es doué ; je serais folle de ne pas essayer. Mais il y a beaucoup de choses à prendre en compte !
1. Tu es vraiment sûr de vouloir me le faire ? Tu as bien compris qu’il n’y aura rien d’autre que le cuni ? Tu resteras bien habillé.
2. Il faut que Mathieu soit ok.
3. Notre amitié va-t-elle résister à ça ? Ça me fait peur, même si ma culotte commence à s’humidifier à t’imaginer entre mes cuisses… (ohlala, faut que j’arrête de t’écrire des choses comme ça !) »
Je réponds : « 1) Oui et oui. 2) J’espère que ce sera oui aussi. 3) Je suis sûr que notre amitié va résister. Comme tu le dis, ce ne sera “qu’un” cuni. Ça fera bizarre, mais je ne m’inquiète pas pour nous. »
Dans ma tête, je n’en étais pas si sûr, mais je ne pensais plus qu’à la manger, la lécher, la faire jouir avec ma langue et ma bouche.
Elle : « Bon, je demande à Mathieu. Je ne sais pas trop comment je vais lui dire ça ! Ça craint, on est fous ! Lol. Je te tiens au courant. »
« Ok. »
Plus de message. Je me dis qu’elle va lui en parler le soir ou dans la semaine, le temps de trouver le bon moment. Quinze minutes plus tard, je reçois :
« C’est OK » en caractères énormes, avec un emoji langue et un abricot.
Je suis fou. Je me demande si elle ne me fait pas une blague. Je repense à tous nos échanges : elle aurait pu me faire marcher depuis le début… Je doute. Puis je reçois un mail de son mari :
« Salut Franck, je viens d’avoir Corinne. Je ne peux pas lui refuser ça, mais je compte sur toi pour t’en tenir à ce qui est prévu ! Je te fais confiance. »
Je lui réponds : « Merci de ta confiance. Tu peux compter sur moi. »
Wouah, c’est vrai ! Je suis excité, grave. Corinne m’envoie un message :
« Alors, tu ne dis plus rien ? »
« Pardon. Mathieu m’a écrit pour me dire ok, mais juste ce qui est prévu, rien de plus. Je lui ai dit ok. »
« Je ne tiens plus en place. Tu vas me manger la chatte et mon mari est ok. Ma culotte est totalement trempée ! »
« Bon, alors tu le veux quand, ton cuni ? »
« Je te ferais bien venir sous mon bureau là tout de suite, mais… impossible avec le monde. »
« Et pourquoi pas chez moi ce midi ? Tu es libre ? Tu as le temps ? » (J’habite à 15 minutes du travail)
« T’es sérieux ? »
« Oui. »
« J’avais un resto prévu avec mes collègues, mais je vais annuler tout de suite ! »
« On se retrouve devant le bâtiment à 12 h ? »
« Ok. Je pourrai prendre une douche chez toi ? Je l’ai prise hier soir, mais avec la nuit un peu chaude et l’état d’humidité de mon entre-jambe, ça craint ! »
« Oui, bien sûr. Mais fais-moi plaisir : garde ton entre-jambe comme il est, s’il te plaît. Je veux sentir ton odeur et ton excitation. »
« Oulàlà, c’est de pire en pire, mon état, lol. Mais ok : juste une petite douche pour sentir bon, je ne touche pas à l’essentiel. À toute. »
« Ok, j’ai hâte. »
« Franchement, je vais être super mal à l’aise quand on va se voir… jusqu’à ce que… »
« Ça va être un peu pareil pour moi, t’inquiète. »
Les minutes sont des heures jusqu’à midi. Enfin ! Je quitte mon bureau à moins cinq et file devant le bâtiment. Elle est déjà là, en robe bleue et blanche, jusqu’à mi-mollets. On se voit ; je ne sais pas qui est le plus rouge des deux, peut-être elle, plus timide d’habitude. On se fait la bise.
« Allez, go. »
« Oui… » répond-elle tout bas.
On va à ma voiture sans dire un mot. On monte, toujours pas un mot. Je décide de briser la glace :
— Ça va ? Excitée ? Stressée ?
— Oui, oui et oui, dit-elle, complètement stressée. Je n’arrive pas à croire ce qu’on va faire.
— Tu sais, c’est surtout moi qui vais faire quelque chose, dis-je en plaisantant pour la détendre.
— Oui. Vivement qu’on y soit, parce que là, je ne tiens plus. Depuis que j’ai l’ok de Mathieu, je ne pense qu’à ta langue et ta bouche entre mes cuisses.
— Moi aussi, tu sais. Je vais bien m’occuper de toi et te donner un max de plaisir.
Elle se mord les lèvres. On arrive enfin chez moi, on monte rapidement (j’habite un studio). J’ouvre et la laisse entrer la première.
— Tu as une grande serviette, s’il te plaît ?
— Oui. Tiens. La salle de bains est à toi. Je t’attends.
Elle met quelques minutes et revient au salon, simplement couverte de la serviette enroulée autour d’elle. Elle cache sa poitrine et la serviette descend à mi-cuisses. Ses cheveux sont encore un peu mouillés. Elle est à croquer. Elle s’installe sur le canapé et remonte un peu la serviette, sans rien laisser paraître. Je me mets à genoux, devant elle.
— Ça va ?
— Oui. Vas-y, mange-moi. Je te laisse faire.
Elle entrouvre la serviette en bas, jambes serrées, seins toujours cachés. Je lui prends une jambe puis l’autre pour les écarter doucement.
— Humm…
Je découvre une chatte totalement rasée, un petit clito, de belles lèvres encore bien collées, et une odeur qui m’excite encore plus.
Je m’approche et j’embrasse son minou.
— Ohhh…
Elle soupire tout de suite, ne lâche pas mon regard, et je sens son corps se détendre, le stress partir.
Je la mange bien : je lèche ses lèvres, je titille son clito, j’embrasse et je suce ses lèvres. Je mets en œuvre toutes mes techniques pour lui faire du bien. Je me régale, le parfum de son intimité m’enivre. Elle soupire, lance de petits couinements. Je sens sa mouille, je l’aspire, je lui rentre bien la langue. J’attrape ses cuisses pour me blottir contre sa chatte.
— Ouuuiiiii… continue… oh oui…
Elle me prend les cheveux d’une main, la serviette s’ouvre un peu et j’aperçois ses seins par instants.
Je continue, je la dévore, je lui suce le clito. Je sens qu’elle adore. Son autre main se crispe sur le drap que j’ai posé sur le canapé.
— Hummm… ouiii…
Elle se cambre un peu, pose ses mains de chaque côté de ma tête et me tire encore plus pour coller ma bouche à sa chatte. J’adore ça ; la sentir me tenir la tête m’excite beaucoup. La serviette s’ouvre complètement : ses seins sont superbes, peut-être encore plus avec l’excitation.
Tout à coup, elle lâche ma tête :
— Oh, pardon, désolée.
Elle ne s’était même pas rendu compte.
— Non, non, vas-y, j’adore.
— T’es sûr ?
— Oui. C’est très excitant.
Elle remet sa main dans mes cheveux et me tire encore.
— Oh oui, bouffe-moi, tu vas me faire jouir.
— Je peux utiliser mes doigts ?
— Un cuni sans doigts, ce n’est pas un cuni !
— Fallait me le dire plus tôt !
Je mouille mon doigt… pas besoin : elle est trempée, même après dix bonnes minutes de lèche.
— Je t’ai dit que je te laissais faire. Humm… Pour le moment, c’est divin. Tes copines n’ont pas menti : tu es un bouffeur de compétition. J’ai l’impression d’avoir de petites jouissances toutes les deux minutes !
Elle lâche ma tête et pose ses mains sur ses seins. J’aimerais tant m’en occuper…
— Ah ça, tu n’as pas le droit. Tu n’aurais même pas dû les voir.
— Ils sont superbes.
— Merci, mais tu connais la règle.
— Oui, oui.
Ma bouche, ma langue et mes doigts s’activent sur et dans la chatte de mon amie, ma confidente. J’utilise tout mon savoir-faire. Quel bonheur d’être entre ses cuisses. J’espère pouvoir lui prodiguer d’autres séances comme ça, si elle est ok… et Mathieu aussi.
— Je commence à avoir un peu mal aux cuisses, dit-elle.
Ça fait bien vingt minutes que je suis entre ses cuisses.
— Tu veux te mettre comment ?
— Tu veux continuer ?
— Quoi ? Tu veux arrêter ? Tant que tu n’as pas joui, je ne m’arrête pas.
— Oh non, je ne veux pas arrêter. Je te laisserais me manger comme ça des heures, mais c’est toi qui bosses. Tu n’es pas fatigué ?
— Pas du tout. Tu veux changer de position ?
— Oui.
Elle se lève, toute nue. Je mate encore ses seins. Elle se met à quatre pattes sur le canapé, les fesses bien relevées : un appel à la débauche. L’état de ma queue dans mon jean est en mode SOS, mais il y a une confiance et des règles bien définies ; si je dérape, tout s’arrête. Je vois son petit trou quand elle écarte les genoux. Olala, c’est dur de résister à l’envie de déboutonner mon pantalon.
— Bon, tu as bien maté mon cul, c’est bon ? Ma chatte a besoin de ta langue.
— Oups. Désolé, c’est ultra dur. Toutes ces années à fantasmer sur toi… Et même si c’est fini depuis longtemps, te voir comme ça, c’est un supplice.
— Je sais. Mais tu as promis de ne rien faire de plus.
— Oui, et je tiendrai parole. Mais mes yeux, eux, sont ouverts, et c’est impossible de ne pas contempler tes courbes.
— Merci. Tu préfères qu’on arrête ? Tu penses avoir du mal à te contrôler ? Si tu as un doute, on arrête. Je veux zéro dérapage.
— Non, ça va. Je me contrôle.
Je m’approche, elle m’arrête :
— Attends, on va se mettre autrement. Si tu me manges comme ça, tu vas forcément me toucher le petit trou. Allonge-toi sur le canapé.
Je m’allonge. Elle vient face à moi et s’accroupit sur mon visage, son sexe à quelques centimètres. J’attrape ses cuisses et la guide. Et c’est reparti. Je lui fais un cuni pendant environ dix minutes. Elle soupire, se malaxe les seins, se cambre par moments. Elle remonte un peu et m’attrape les cheveux pour me tirer vers sa chatte.
— Désolé, impossible pour moi d’utiliser mes doigts dans cette position.
— C’est ta langue et ta bouche que je veux !
Elle s’assoit sur moi, ma langue dans son intimité. J’imagine que c’est ma queue, elle a l’air d’imaginer la même chose, car elle commence à faire des va-et-vient dessus.
— Fais-moi jouir !
Elle est au bord. Je redouble de langue, puis je me cale sur son clito. Elle est à bout de souffle, elle transpire, elle me tient toujours les cheveux… et elle jouit. Je garde la même cadence le temps de son orgasme. Quand sa respiration ralentit, je ralentis aussi, tout doucement, pendant quelques minutes, calé sur elle. Elle se lève, puis s’assoit à côté de moi, encore un peu essoufflée.
— Waaaouh…
— Ça va ?
— Oui. Oui, oui, oui. Tu m’as fait jouir un truc de fou.
— Tant mieux, c’était le but, dis-je en plaisantant.
— Non mais sérieux, je n’ai jamais connu ça. J’ai rarement été autant excitée pendant un rapport, et jamais pris autant de plaisir sans pénétration.
— Merci. Je n’ai jamais été aussi excité non plus—avec le contexte, et le fait que ce soit toi. Même si je n’ai pas joui, ni même sorti mon sexe, j’ai pris un plaisir extrême à m’occuper de toi.
— Oh, c’est gentil. Tu dois être frustré. Désolée, je ne peux pas te donner plus. On s’est fixé des règles.
— Ne t’inquiète pas, ça va. J’ai pris énormément de plaisir. Et je t’ai vue en prendre beaucoup, donc je suis très satisfait.
— Oh oui, tu m’as donné du plaisir au plus haut point, tu ne peux pas savoir. Enfin… tu as un peu vu, dit-elle en éclatant de rire.
— Oui, un peu beaucoup.
— Je vais aller me doucher, parce que tu m’as mise dans un état…
Elle part toute nue, sans la serviette. Ses fesses sont divines.
Elle revient dix minutes plus tard, habillée de sa robe.
— Tu veux manger ou boire un truc ?
— Oui, un petit truc à grignoter et une bière. Il est quelle heure ?
— 13 h 15. Des chips et des gressins, ça te va ?
— On a un peu de temps encore. Parfait.
Je pose le bol entre nous, je lui tends sa bière.
— Chin !
— Chin ! À quoi ?
Elle réfléchit cinq secondes.
— À ta langue magique.
— À ma langue magique, alors.
Elle grignote.
— Tu ne manges pas ?
— Si.
— Pourquoi tu ne manges pas ?
— J’ai faim d’autre chose.
— T’es sérieux ?
— Oui. J’ai encore envie de te manger.
— Maintenant que je connais tes talents, je ne peux pas te dire non, dit-elle en remontant sa robe et en écartant les cuisses. Je n’ai pas remis de culotte, vu son état. Viens me manger.
Je me remets à genoux et je lui rebouffe la chatte. Elle pose aussitôt sa main sur mes cheveux.
— Humm… tu l’aimes, ma chatte, toi.
— Hmmm, oui.
— Vas-y, lèche, mange, doigte-moi.
— Tu en veux une autre, de bière ?
— Oui, pourquoi pas. Merci.
Je lui apporte et me remets entre ses cuisses.
— C’est divin ! Je n’ai pas eu de cuni pendant des années, et là, tu me bouffes depuis une heure pendant que je bois une bière. Trop jouissif.
Je sors la tête :
— Je te mange où et quand tu veux.
— Tu voudras bien me le refaire ?
— Oui. Où et quand tu veux. Enfin… tant que je suis célibataire.
— C’est vrai, ça ?
— Oui.
— J’espère que Mathieu sera d’accord.
— Moi aussi.
— Tu deviendrais mon lécheur, mon “cuniman”… humm.
— Oh oui, j’adorerais.
— Il est bientôt l’heure.
— Laisse-moi cinq minutes, et je te refais jouir.
— Hummm…
En moins de cinq minutes, je la fais repartir.
— T’as une langue de fou, toi !
— Merci.
— Je passe vite fait à la salle de bains et on y va ?
— Ok.
On repart au travail. Dans la voiture, la tension de l’aller a laissé place à une excitation complice.
— Ça va, ça ne se voit pas que j’ai passé mon midi à jouir ? dit-elle en s’arrangeant les cheveux.
— Non. Tu es très belle. Juste… le fait que tu n’aies pas de culotte.
— Ah ah !
On arrive, on se gare.
— Bon, faut que je parle à Mathieu ce soir.
Avant d’aller chacun à son bureau, on se fait la bise. Elle me glisse à l’oreille :
— J’ai laissé mon string dans ta voiture, en souvenir.
Je m’appelle Franck, j’ai 34 ans. Je mesure 1,80 m pour 86 kg. Je suis célibataire depuis plus d’un an. L’histoire que vous allez lire est un récit de pur fantasme, même si elle met en scène des personnes bien réelles qui ont nourri mes envies pour la suite.
Aux yeux de tous ceux qui me connaissent, je suis un pur hétéro, avec plusieurs relations, longues ou courtes, et des pratiques sexuelles plutôt standards. Mais il y a une facette de moi que personne ne connaît : je suis accro à l’anal, à la queue et au jus d’homme.
Depuis environ dix ans, je fais pas mal de plans avec des hommes. Ça a commencé doucement, par la découverte, puis j’ai vite compris mes envies : être la salope d’un, et surtout de deux mecs actifs, un peu dominants, et ne rien leur refuser. J’ai fait pas mal de plans de ce genre. J’ai découvert aussi que j’aimais être dominé et baisé par des femmes, et j’ai réussi à faire quelques plans avec des femmes seules ou des couples H/F, toujours en tant que passif.
Je travaille dans une grosse boîte, sur un site important (plus de 500 personnes). J’y ai beaucoup d’amis et de collègues. Parmi eux, Corinne, une amie depuis plusieurs années. Elle a mon âge, elle est super mignonne, avec un regard irrésistible, des cheveux mi-longs châtain clair, environ 1,65 m, des seins bien dessinés et un cul superbement moulé. Ce n’est pas une taille mannequin, mais moi, elle me fait craquer ! J’ai bien essayé de la draguer, mais madame est mariée, elle a un enfant de 13 ans et elle est totalement heureuse et épanouie. Elle m’a calmé net, et malgré mes insistances, mes espoirs sont tombés à néant : elle a toujours été très claire. Je sais que je lui plais, mais hors de question qu’il se passe la moindre chose. Depuis, je me suis fait une raison : c’est devenu ma meilleure amie. On se confie tout. Je connais très bien son mari et sa fille. Tout est très clair.
Un matin, je reçois un mail d’elle vers 8 h, comme tous les jours, mais cette fois le contenu est…
« Salut Franck, j’espère que ça va bien ? Tu as passé un bon week-end ? Tu as fait quoi ? Nous, on est sortis tous les trois au cinéma puis au resto, c’était génial. J’ai une question indiscrète à te poser, on se dit tout alors j’y vais : ça t’arrive de faire des cunis à tes copines ou conquêtes ? Si oui, pourquoi ? Si non, pourquoi ? »
Je lui réponds : « Salut, oui ça va très bien. J’ai vu des potes samedi soir (en fait j’avais fait un plan avec deux gars), et dimanche tranquille à la maison. Oui, bien sûr que je fais des cunis. Pourquoi ? Parce que j’adore ça. Pourquoi tu me demandes ça ? »
Elle ne répond pas à ma question, mais enchaîne : « Ah oui ? Tu le fais souvent ? »
Je lui réponds honnêtement : « Oh oui, à chaque rapport, quasiment. Voire même sans rapport parfois. J’adore. Et en plus j’ai de très bons talents “cuninaires” (comme disait l’une d’elles), d’après ce qu’elles me disent. Pourquoi toutes ces questions ? Tu n’aimes pas que Mathieu te le fasse ? »
Elle : « Oh non, c’est le contraire ! C’est lui qui n’aime pas, alors je me pose des questions. J’en ai parlé à deux amies, mais je me suis dit que l’avis d’un homme, c’était mieux. Et vu qu’avec toi on se dit tout… »
« Pourquoi il n’aime pas ça ? Elles t’ont dit quoi, tes copines ? »
« En fait, il a un blocage depuis que j’ai accouché. Il était présent et il a vu quand notre fille est sortie. Depuis, il est totalement bloqué. »
« Totalement bloqué ? Tu veux dire qu’il ne t’en a pas fait depuis 13 ans ? »
« Oui. »
« T’es sérieuse ? »
« Oui. »
« Et tes copines, elles ont dit quoi ? »
« L’une, c’est un peu pareil pour les mêmes raisons, mais il fait l’effort de temps en temps pour lui faire plaisir. L’autre n’a pas de problème : son mec la mange bien, mais pas comme toi à chaque rapport, lol. »
« C’est fou, et tu veux dire que depuis 13 ans, personne ne te l’a fait ? »
« Ah si, on me l’a quand même fait… »
« Qui, du coup ? »
« Je vais rester un peu vague là-dessus, si ça ne te gêne pas, mais deux mecs me l’ont fait quelques fois (en présence de Mathieu) et une fois une fille, mais je n’ai pas trop aimé, je ne me sentais pas très à l’aise. »
« Ok… Tu m’émoustilles en me disant tout ça, mais je respecte que tu n’en dises pas plus. »
« Merci. Je te raconterai un jour, mais pas là. Tu sais, Mathieu est aussi désolé de cette situation. Il a un blocage, ce n’est pas facile pour lui non plus. »
« Oui, je sais. Et toi, tu t’occupes de lui ? »
« Bien sûr. J’aime m’occuper de son sexe. Bon, même si je ne le finis pas en bouche (waouh, je suis folle de t’écrire ça !), j’aime pas ça. »
« Désolé de t’avoir posé la question, lol. Ça fait combien de temps que tu n’as pas eu droit à un cuni ? »
« Ouh là, ça remonte ! En fait, il y a deux ans, en discutant de ça tous les deux, Mathieu m’a demandé si trouver un mec sur un site libertin pour me lécher pourrait m’aller. »
« Franchement, je ne savais pas trop. J’y ai beaucoup réfléchi, j’ai dit oui. »
« Et ? »
« On a passé des heures et des heures à chercher. Les mecs voulaient plus, pas juste me manger la chatte. On a fini par en trouver trois : un faux plan, et les deux autres ont voulu que je les suce avant de me manger, alors que dans nos échanges on avait clairement dit que c’était juste pour un cuni. Du coup, on a arrêté. Trop de temps et d’énergie perdus. »
« Donc ça fait plus de deux ans ? »
« Oui… ça craint. »
« Je sais très bien ce que tu vas me dire, mais moi je te mangerais où tu veux et quand tu veux, sans rien te demander de plus. »
« C’est une blague ? »
« Euh… peut-être que ça aurait dû l’être, mais non, ce n’en est pas une. »
Là, elle ne répond plus. Ça dure 2, 5, 10, 30 minutes. Je me dis que je l’ai vexée, que je n’aurais jamais dû lui dire ça, qu’elle va m’en vouloir. Je n’ose pas bouger de mon bureau pour ne pas la croiser. J’essaie de me concentrer sur mon travail, mais j’ai du mal.
Au bout d’une heure, je reçois juste ça :
« Bon, ta réponse tout à l’heure m’a mis une claque ! Ça m’a énervée que tu me dises ça. Je pensais que notre relation était saine et que tu en avais fini de vouloir me séduire ! Je suis partie boire un café, j’étais hors de moi. Puis, à force de relire ton message (au moins 100 fois, je pense), je me suis calmée. J’ai repensé à tout ce qu’on s’est dit depuis ce matin, notamment au fait que j’ai failli me faire manger la chatte par de parfaits inconnus quand on a essayé de trouver un mec sur les sites libertins… et toi, en qui j’ai toute confiance, tu me le proposes. Tu dis que tu aimes ça, que tu es doué ; je serais folle de ne pas essayer. Mais il y a beaucoup de choses à prendre en compte !
1. Tu es vraiment sûr de vouloir me le faire ? Tu as bien compris qu’il n’y aura rien d’autre que le cuni ? Tu resteras bien habillé.
2. Il faut que Mathieu soit ok.
3. Notre amitié va-t-elle résister à ça ? Ça me fait peur, même si ma culotte commence à s’humidifier à t’imaginer entre mes cuisses… (ohlala, faut que j’arrête de t’écrire des choses comme ça !) »
Je réponds : « 1) Oui et oui. 2) J’espère que ce sera oui aussi. 3) Je suis sûr que notre amitié va résister. Comme tu le dis, ce ne sera “qu’un” cuni. Ça fera bizarre, mais je ne m’inquiète pas pour nous. »
Dans ma tête, je n’en étais pas si sûr, mais je ne pensais plus qu’à la manger, la lécher, la faire jouir avec ma langue et ma bouche.
Elle : « Bon, je demande à Mathieu. Je ne sais pas trop comment je vais lui dire ça ! Ça craint, on est fous ! Lol. Je te tiens au courant. »
« Ok. »
Plus de message. Je me dis qu’elle va lui en parler le soir ou dans la semaine, le temps de trouver le bon moment. Quinze minutes plus tard, je reçois :
« C’est OK » en caractères énormes, avec un emoji langue et un abricot.
Je suis fou. Je me demande si elle ne me fait pas une blague. Je repense à tous nos échanges : elle aurait pu me faire marcher depuis le début… Je doute. Puis je reçois un mail de son mari :
« Salut Franck, je viens d’avoir Corinne. Je ne peux pas lui refuser ça, mais je compte sur toi pour t’en tenir à ce qui est prévu ! Je te fais confiance. »
Je lui réponds : « Merci de ta confiance. Tu peux compter sur moi. »
Wouah, c’est vrai ! Je suis excité, grave. Corinne m’envoie un message :
« Alors, tu ne dis plus rien ? »
« Pardon. Mathieu m’a écrit pour me dire ok, mais juste ce qui est prévu, rien de plus. Je lui ai dit ok. »
« Je ne tiens plus en place. Tu vas me manger la chatte et mon mari est ok. Ma culotte est totalement trempée ! »
« Bon, alors tu le veux quand, ton cuni ? »
« Je te ferais bien venir sous mon bureau là tout de suite, mais… impossible avec le monde. »
« Et pourquoi pas chez moi ce midi ? Tu es libre ? Tu as le temps ? » (J’habite à 15 minutes du travail)
« T’es sérieux ? »
« Oui. »
« J’avais un resto prévu avec mes collègues, mais je vais annuler tout de suite ! »
« On se retrouve devant le bâtiment à 12 h ? »
« Ok. Je pourrai prendre une douche chez toi ? Je l’ai prise hier soir, mais avec la nuit un peu chaude et l’état d’humidité de mon entre-jambe, ça craint ! »
« Oui, bien sûr. Mais fais-moi plaisir : garde ton entre-jambe comme il est, s’il te plaît. Je veux sentir ton odeur et ton excitation. »
« Oulàlà, c’est de pire en pire, mon état, lol. Mais ok : juste une petite douche pour sentir bon, je ne touche pas à l’essentiel. À toute. »
« Ok, j’ai hâte. »
« Franchement, je vais être super mal à l’aise quand on va se voir… jusqu’à ce que… »
« Ça va être un peu pareil pour moi, t’inquiète. »
Les minutes sont des heures jusqu’à midi. Enfin ! Je quitte mon bureau à moins cinq et file devant le bâtiment. Elle est déjà là, en robe bleue et blanche, jusqu’à mi-mollets. On se voit ; je ne sais pas qui est le plus rouge des deux, peut-être elle, plus timide d’habitude. On se fait la bise.
« Allez, go. »
« Oui… » répond-elle tout bas.
On va à ma voiture sans dire un mot. On monte, toujours pas un mot. Je décide de briser la glace :
— Ça va ? Excitée ? Stressée ?
— Oui, oui et oui, dit-elle, complètement stressée. Je n’arrive pas à croire ce qu’on va faire.
— Tu sais, c’est surtout moi qui vais faire quelque chose, dis-je en plaisantant pour la détendre.
— Oui. Vivement qu’on y soit, parce que là, je ne tiens plus. Depuis que j’ai l’ok de Mathieu, je ne pense qu’à ta langue et ta bouche entre mes cuisses.
— Moi aussi, tu sais. Je vais bien m’occuper de toi et te donner un max de plaisir.
Elle se mord les lèvres. On arrive enfin chez moi, on monte rapidement (j’habite un studio). J’ouvre et la laisse entrer la première.
— Tu as une grande serviette, s’il te plaît ?
— Oui. Tiens. La salle de bains est à toi. Je t’attends.
Elle met quelques minutes et revient au salon, simplement couverte de la serviette enroulée autour d’elle. Elle cache sa poitrine et la serviette descend à mi-cuisses. Ses cheveux sont encore un peu mouillés. Elle est à croquer. Elle s’installe sur le canapé et remonte un peu la serviette, sans rien laisser paraître. Je me mets à genoux, devant elle.
— Ça va ?
— Oui. Vas-y, mange-moi. Je te laisse faire.
Elle entrouvre la serviette en bas, jambes serrées, seins toujours cachés. Je lui prends une jambe puis l’autre pour les écarter doucement.
— Humm…
Je découvre une chatte totalement rasée, un petit clito, de belles lèvres encore bien collées, et une odeur qui m’excite encore plus.
Je m’approche et j’embrasse son minou.
— Ohhh…
Elle soupire tout de suite, ne lâche pas mon regard, et je sens son corps se détendre, le stress partir.
Je la mange bien : je lèche ses lèvres, je titille son clito, j’embrasse et je suce ses lèvres. Je mets en œuvre toutes mes techniques pour lui faire du bien. Je me régale, le parfum de son intimité m’enivre. Elle soupire, lance de petits couinements. Je sens sa mouille, je l’aspire, je lui rentre bien la langue. J’attrape ses cuisses pour me blottir contre sa chatte.
— Ouuuiiiii… continue… oh oui…
Elle me prend les cheveux d’une main, la serviette s’ouvre un peu et j’aperçois ses seins par instants.
Je continue, je la dévore, je lui suce le clito. Je sens qu’elle adore. Son autre main se crispe sur le drap que j’ai posé sur le canapé.
— Hummm… ouiii…
Elle se cambre un peu, pose ses mains de chaque côté de ma tête et me tire encore plus pour coller ma bouche à sa chatte. J’adore ça ; la sentir me tenir la tête m’excite beaucoup. La serviette s’ouvre complètement : ses seins sont superbes, peut-être encore plus avec l’excitation.
Tout à coup, elle lâche ma tête :
— Oh, pardon, désolée.
Elle ne s’était même pas rendu compte.
— Non, non, vas-y, j’adore.
— T’es sûr ?
— Oui. C’est très excitant.
Elle remet sa main dans mes cheveux et me tire encore.
— Oh oui, bouffe-moi, tu vas me faire jouir.
— Je peux utiliser mes doigts ?
— Un cuni sans doigts, ce n’est pas un cuni !
— Fallait me le dire plus tôt !
Je mouille mon doigt… pas besoin : elle est trempée, même après dix bonnes minutes de lèche.
— Je t’ai dit que je te laissais faire. Humm… Pour le moment, c’est divin. Tes copines n’ont pas menti : tu es un bouffeur de compétition. J’ai l’impression d’avoir de petites jouissances toutes les deux minutes !
Elle lâche ma tête et pose ses mains sur ses seins. J’aimerais tant m’en occuper…
— Ah ça, tu n’as pas le droit. Tu n’aurais même pas dû les voir.
— Ils sont superbes.
— Merci, mais tu connais la règle.
— Oui, oui.
Ma bouche, ma langue et mes doigts s’activent sur et dans la chatte de mon amie, ma confidente. J’utilise tout mon savoir-faire. Quel bonheur d’être entre ses cuisses. J’espère pouvoir lui prodiguer d’autres séances comme ça, si elle est ok… et Mathieu aussi.
— Je commence à avoir un peu mal aux cuisses, dit-elle.
Ça fait bien vingt minutes que je suis entre ses cuisses.
— Tu veux te mettre comment ?
— Tu veux continuer ?
— Quoi ? Tu veux arrêter ? Tant que tu n’as pas joui, je ne m’arrête pas.
— Oh non, je ne veux pas arrêter. Je te laisserais me manger comme ça des heures, mais c’est toi qui bosses. Tu n’es pas fatigué ?
— Pas du tout. Tu veux changer de position ?
— Oui.
Elle se lève, toute nue. Je mate encore ses seins. Elle se met à quatre pattes sur le canapé, les fesses bien relevées : un appel à la débauche. L’état de ma queue dans mon jean est en mode SOS, mais il y a une confiance et des règles bien définies ; si je dérape, tout s’arrête. Je vois son petit trou quand elle écarte les genoux. Olala, c’est dur de résister à l’envie de déboutonner mon pantalon.
— Bon, tu as bien maté mon cul, c’est bon ? Ma chatte a besoin de ta langue.
— Oups. Désolé, c’est ultra dur. Toutes ces années à fantasmer sur toi… Et même si c’est fini depuis longtemps, te voir comme ça, c’est un supplice.
— Je sais. Mais tu as promis de ne rien faire de plus.
— Oui, et je tiendrai parole. Mais mes yeux, eux, sont ouverts, et c’est impossible de ne pas contempler tes courbes.
— Merci. Tu préfères qu’on arrête ? Tu penses avoir du mal à te contrôler ? Si tu as un doute, on arrête. Je veux zéro dérapage.
— Non, ça va. Je me contrôle.
Je m’approche, elle m’arrête :
— Attends, on va se mettre autrement. Si tu me manges comme ça, tu vas forcément me toucher le petit trou. Allonge-toi sur le canapé.
Je m’allonge. Elle vient face à moi et s’accroupit sur mon visage, son sexe à quelques centimètres. J’attrape ses cuisses et la guide. Et c’est reparti. Je lui fais un cuni pendant environ dix minutes. Elle soupire, se malaxe les seins, se cambre par moments. Elle remonte un peu et m’attrape les cheveux pour me tirer vers sa chatte.
— Désolé, impossible pour moi d’utiliser mes doigts dans cette position.
— C’est ta langue et ta bouche que je veux !
Elle s’assoit sur moi, ma langue dans son intimité. J’imagine que c’est ma queue, elle a l’air d’imaginer la même chose, car elle commence à faire des va-et-vient dessus.
— Fais-moi jouir !
Elle est au bord. Je redouble de langue, puis je me cale sur son clito. Elle est à bout de souffle, elle transpire, elle me tient toujours les cheveux… et elle jouit. Je garde la même cadence le temps de son orgasme. Quand sa respiration ralentit, je ralentis aussi, tout doucement, pendant quelques minutes, calé sur elle. Elle se lève, puis s’assoit à côté de moi, encore un peu essoufflée.
— Waaaouh…
— Ça va ?
— Oui. Oui, oui, oui. Tu m’as fait jouir un truc de fou.
— Tant mieux, c’était le but, dis-je en plaisantant.
— Non mais sérieux, je n’ai jamais connu ça. J’ai rarement été autant excitée pendant un rapport, et jamais pris autant de plaisir sans pénétration.
— Merci. Je n’ai jamais été aussi excité non plus—avec le contexte, et le fait que ce soit toi. Même si je n’ai pas joui, ni même sorti mon sexe, j’ai pris un plaisir extrême à m’occuper de toi.
— Oh, c’est gentil. Tu dois être frustré. Désolée, je ne peux pas te donner plus. On s’est fixé des règles.
— Ne t’inquiète pas, ça va. J’ai pris énormément de plaisir. Et je t’ai vue en prendre beaucoup, donc je suis très satisfait.
— Oh oui, tu m’as donné du plaisir au plus haut point, tu ne peux pas savoir. Enfin… tu as un peu vu, dit-elle en éclatant de rire.
— Oui, un peu beaucoup.
— Je vais aller me doucher, parce que tu m’as mise dans un état…
Elle part toute nue, sans la serviette. Ses fesses sont divines.
Elle revient dix minutes plus tard, habillée de sa robe.
— Tu veux manger ou boire un truc ?
— Oui, un petit truc à grignoter et une bière. Il est quelle heure ?
— 13 h 15. Des chips et des gressins, ça te va ?
— On a un peu de temps encore. Parfait.
Je pose le bol entre nous, je lui tends sa bière.
— Chin !
— Chin ! À quoi ?
Elle réfléchit cinq secondes.
— À ta langue magique.
— À ma langue magique, alors.
Elle grignote.
— Tu ne manges pas ?
— Si.
— Pourquoi tu ne manges pas ?
— J’ai faim d’autre chose.
— T’es sérieux ?
— Oui. J’ai encore envie de te manger.
— Maintenant que je connais tes talents, je ne peux pas te dire non, dit-elle en remontant sa robe et en écartant les cuisses. Je n’ai pas remis de culotte, vu son état. Viens me manger.
Je me remets à genoux et je lui rebouffe la chatte. Elle pose aussitôt sa main sur mes cheveux.
— Humm… tu l’aimes, ma chatte, toi.
— Hmmm, oui.
— Vas-y, lèche, mange, doigte-moi.
— Tu en veux une autre, de bière ?
— Oui, pourquoi pas. Merci.
Je lui apporte et me remets entre ses cuisses.
— C’est divin ! Je n’ai pas eu de cuni pendant des années, et là, tu me bouffes depuis une heure pendant que je bois une bière. Trop jouissif.
Je sors la tête :
— Je te mange où et quand tu veux.
— Tu voudras bien me le refaire ?
— Oui. Où et quand tu veux. Enfin… tant que je suis célibataire.
— C’est vrai, ça ?
— Oui.
— J’espère que Mathieu sera d’accord.
— Moi aussi.
— Tu deviendrais mon lécheur, mon “cuniman”… humm.
— Oh oui, j’adorerais.
— Il est bientôt l’heure.
— Laisse-moi cinq minutes, et je te refais jouir.
— Hummm…
En moins de cinq minutes, je la fais repartir.
— T’as une langue de fou, toi !
— Merci.
— Je passe vite fait à la salle de bains et on y va ?
— Ok.
On repart au travail. Dans la voiture, la tension de l’aller a laissé place à une excitation complice.
— Ça va, ça ne se voit pas que j’ai passé mon midi à jouir ? dit-elle en s’arrangeant les cheveux.
— Non. Tu es très belle. Juste… le fait que tu n’aies pas de culotte.
— Ah ah !
On arrive, on se gare.
— Bon, faut que je parle à Mathieu ce soir.
Avant d’aller chacun à son bureau, on se fait la bise. Elle me glisse à l’oreille :
— J’ai laissé mon string dans ta voiture, en souvenir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sublime, il y a une suite?
Enfin un récit très original, parfaitement écrit (ce qui est rare...), parfaitement respectueux, et bien sûr très érotique !
Merci et bravo Marcus, tu n'as bien bien sûr qu'à continuer !!!
Philippe
Merci et bravo Marcus, tu n'as bien bien sûr qu'à continuer !!!
Philippe

