Soumission de Blandine, ma belle mère

- Par l'auteur HDS Dominateur toulousain -
Auteur homme.
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Récit libertin : Soumission de Blandine, ma belle mère Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumission de Blandine, ma belle mère
Bonjour à tous. Je suis un homme de 40 ans, d’1m75 pour 70kg au crane rasé. La gent féminine dit généralement de moi que je fais mâle. Mais, ce qui importe surtout, c’est que je suis dominateur et vicieux, pour le plus grand plaisir de ces dames. Et l’histoire que je vais vous conter m’est réellement arrivée…
Je sortais donc avec une charmante demoiselle de 25 ans depuis quelques mois. Sa mère, Blandine (j’ai modifié le prénom), âgée de 45ans, avocate de son état, était une très belle bourgeoise fort bien entretenue. Cette dernière, voyant quelle était ma relation avec sa fille, ne pouvait absolument pas me voir... Toutefois, ayant rapidement compris quel type de relation elle entretenait avec son époux très gentil et qui n’était d’ailleurs que gentil, j’étais persuadé de pouvoir soumettre cette femme hautaine et souvent méprisante.
Je décidais donc de passer à l’acte un soir où ma copine m’avait invité à un repas qu’organisait ses parents, en leur demeure. Ma copine avait demandé à son père si je pouvais venir et avait caché à sa mère ma présence jusqu’au dernier moment.
J’ai donc soumis Blandine durant cette soirée et, afin de l’humilier un peu plus, je lui ai déjà fait parvenir ce texte en l’informant qu’il serait publié prochainement sur ce site. Car j’ai effectivement déjà écrit ce texte pour Blandine, afin qu’elle garde bien en mémoire tous les détails de cette soirée.
Dernières petites précisions : afin que vous puissiez mieux imaginer les scènes qui vont suivre, je vous informe que Blandine ressemble à la rousse qui joue dans « Desperate housewifes », en plus pulpeuse. Par ailleurs, je laisse mon e-mail afin que les dames habitant en région toulousaine puissent me joindre. A dire vrai, je ne lirais pas les messages masculins…



Blandine,


L’apéritif a débuté depuis une heure et, après que tu aies bu trois verres, tu es détendue, voire gaie. Ton tailleur te va très bien, tu es superbe. Voyant que ta fille est prise dans une discussion, c'est le moment que je choisis pour t'aborder.
- Madame, pourriez vous s'il vous plait me montrer discrètement la chambre de votre fille car je voudrais lui faire une surprise.
L'alcool aidant, je semble t'apparaitre un peu plus sympa. Tu me conduis devant la chambre et au moment de repartir, je te demande d'entrer avec moi car j'ai besoin de ton aide.
A peine entré, (je suis derrière toi) je me colle à toi en posant fermement ma main sur ta bouche. Tu me sens bander contre tes fesses. Tu tentes de te débattre, en vain. D'ailleurs, avec ma main libre, je passe dans ton large décolleté pour aller pincer un téton.
- Dès que je t'ai vue la première fois, j'ai eu envie que tu deviennes ma chienne ! Et tu vas le devenir. Je suis sur que t'es une grosse salope refoulée.
Et pendant cinq bonnes minutes je continue de te pincer, mon autre main sur ta bouche, tout en frottant ma grosse queue contre tes fesses.
- Je suis sur que cette situation t'excite petite salope.
Tu secoues la tête négativement.
- On va voir... Je vais passer ma main dans ta culotte et je vais vérifier si tu es mouillée.
Tu te débats à nouveau, mais je te maintiens fermement. Ma main quitte ton
téton, passe sous ta jupe, remonte, arrive à hauteur de ton string, l'écarte...
- J'en était sur que tu adorais ça. Tu es trempée grosse chienne !
Et je te doigte... Au moment où tu commences à gémir :
- Je vais enlever ma main de devant ta bouche, si tu cries, je dis à tout le monde que c'est toi qui m'as entrainé ici, en précisant à ton cher mari qu'il vérifie illico comme tu dégoulines.
J'ôte ma main de ta bouche et te doigte encore plus fort. Malgré toi, tu te régales. Et tu entends que je défais maintenant ma braguette. Je sens que tu vas jouir, mais juste avant je retire mon doigt.
- T'as pas encore mérité de jouir. Maintenant tu vas me sucer ou je vais voir ton mari...
Tu me traites de salaud, mais tu obéis. Tu commences à me sucer et, petit à petit, je vois que tu te régales.
- J'étais sûr, grosse salope, que tu aimerais bouffer ma grosse queue.
C'est alors que, sans que tu le vois, je sorts mon portable de ma veste. J'appuie d'une main sur ta tête et me mets à imprimer le rythme, tant et si bien qu'en fin de compte je baise ta bouche comme un sauvage. Juste avant de jouir :
- Quand t'auras avalé, Soumise, t'iras de suite embrasser ton mari à pleine bouche.
Et je jouis abondamment en enfonçant ma queue au fond de ta gorge tout en
prenant une photo avec mon portable.
On reprend nos esprits, tu te rajustes sans un mot, et au moment de quitter la chambre, je t'ordonne :
- N'oublies pas d'aller embrasser ton cocu ! Sinon... ET je te montre la photo… Tu vois que tu seras ma soumise..
Et tu quittes la chambre, la rage dans les yeux. Mais tu sais aussi que tu seras à ma merci. Je te suis à quelques mètres et te vois aller embrasser ton mari. Celui-ci, ravi :
- N'ai-je pas une femme merveilleuse ?
- Je suis sur que vous êtes un homme comblé, dis je...
Tu baisses la tête...
La soirée se poursuit... Puis à moment donné, alors que je te croise, je te souffle discrètement :
- J’exige de manger en face de toi, sinon… Et m'éloigne aussitôt.
Quelques minutes après, nous passons à table. A peine sommes nous tous
installés que tu sens un pied (j'ai discrètement ôté ma chaussure) caresser ton mollet. Tu ne dis rien, rougis, ne participe plus à la conversation. Mon pied monte, arrive contre tes
cuisses que tu serres. Puis, tu m'entends poser une question à ton mari :
- Aimez vous la photo ?
Alors que je ne prête pas attention à sa réponse, tu as levé la tête pour me regarder et comprends que tu dois écarter... Ce que tu fais. Mon pied monte et au moment où il arrive à hauteur de ta culotte, ta fille se penche vers moi pour m'embrasser. Je l'embrasse et appuie fort mon pied contre ta chatte tout en bougeant mes orteils.
Une fois le baiser fini je poursuis, et, cinq minutes plus tard, je vois que tes yeux se troublent, je continue jusqu'au moment où je sens que ça devient très très bon pour toi. C'est alors que je retire mon pied...
Tu m'en veux intérieurement de ne pas t'avoir laissé jouir. Puis, peu à peu tu reprends tes esprits. Et quelques instants après tu te lèves, débarrasses et pars chercher la suite. Tu es dans la cuisine et pendant ce temps je dis à ta fille que je vais t'aider. Elle est ravie, connaissant tes sentiments à mon égard. Tu me vois débarquer…
- Donnes moi ta culotte !
- Non, arrêtez, laissez moi.
- Obéis ou je montre la photo !
Tu baisses la tête, t'exécute, me la tend, je la saisis...
- Tu mouilles que tu en peux plus. T’es vraiment une grosse salope !
Je te saisis par le bras et t'attire à moi. Je passe aussitôt une main sous ta jupe et te doigte sans ménagement. Tu apprécies une fois de plus et commence à m'enlacer...
- Dis que tu veux devenir la pute soumise de ton gendre.
- ...
Je te doigte encore plus fort, tu commences à gémir...
- Dis le !
Et tu t'exécutes… Juste avant que tu ne jouisses, je sors mon doigt.
- Maintenant, Chienne, voici ton premier ordre que tu as intérêt d'exécuter ! Ce soir, je vais baiser ta fille dans sa chambre. Je ferai exprès de laisser la porte entrouverte. Tu viendras mater et tu te branleras en voyant comme je la traite... En attendant, quand tu reviendras t'asseoir t'as intérêt de bien écarter !
Puis, je prends deux plats et retourne rejoindre les convives. Deux minutes
après, tu arrives. Tout le monde te félicite pour la qualité des mets et tu rejoins ta place.
Aussitôt mon pied revient entre tes jambes, que tu n'ouvres pas trop. Je te lance un air sévère et tu obtempères. Mes orteils jouent à l'entrée de ta chatte. Tu ne participes plus à la soirée car tu es en chaleur, jusqu'au moment ou tu entends ton mari :
- Chérie, ça va pas ? Tous les regards se tournent vers toi
C'est le moment que je choisis pour introduire le gros orteil... Tu es sur le point de vaciller et dis d'une voix hésitante, tremblotante, que tu ne te sens pas bien mais que ça va passer tandis que je fais des allées et venues avec mon orteil... Voyant que tu es sur le point de jouir, je retire mon orteil encore une fois. Tu n'en peux plus et je te sens prête à tout...
Pourtant, je ne fais plus rien, jusqu'à ce que les convives partent. C'est alors que je dis à ta fille que je veux dormir ici, avec elle.
- Mais tu sais bien que maman ne veut pas.
- Insistes.
Ta fille part demander à ton mari qui n'y voit pas d'inconvénients. Puis elle se dirige vers toi et te pose la question. Je te dévisage sévèrement en attendant ta réponse. Tu acceptes les yeux baissés et ta fille te saute au coup pour te remercier. Puis nous prenons tous les deux la direction de la cuisine. Au moment ou tu nous rejoins (je te vois et tu nous vois, mais ta fille ne te vois pas), tu m'entends lui dire :
- Tu sais que ce soir je vais te traiter comme une chienne sur ton lit de jeune fille, n'est ce pas ?
- Oui Maitre.
- Tu crois que ta mère a compris que tu es ma pute soumise ?
- Je ne sais pas Maitre.
Et tu t'éloignes... Cinq minutes plus tard, ta fille vient te dire bonsoir puis va en faire de même avec ton mari. Nous sommes un instant seul dans la cuisine.
- Salaud, vous n'êtes qu'un salaud...
Je m'approche, empoigne tes cheveux, mets mon visage à dix cm du tien...
- C'est ce dont tu rêves, grosse chienne ! Et je te crache au visage. T'as intérêt de venir voir, sinon... Et je m'éclipse.
Ton mari s'endort de suite et tu te lèves. Tu approches de la chambre de ta fille, la porte est entrouverte. Tu regardes, vois ta fille en levrette, mains menottées dans le dos, moi en train de lui caresser les fesses avec une cravache. Je te vois et lui ordonne tout en te matant dans les yeux :
- Comptes petite pute !
Elle compte les dix coups qu'elle reçoit et je te fais discrètement signe de te branler. Tu obéis.
- Avoues pette pute que tu aimes avoir le cul rouge !
- Oui Maitre.
- Tu crois que ta mère aimerait savoir ce que tu as fait hier soir, petite pute ?
- Oh non Maitre.
Je l'attrape par les cheveux et la doigte en même temps.
- Tu crois qu'elle aimerait savoir que je t'ai amené à l’orée d’un bois et que je t'ai baisé à l'arrière de la voiture pendant qu'une flopée de pervers se branlaient autour ?
- Non Maitre. Sa voix chevrote, elle n'est pas loin de la jouissance.
- Et tu crois qu'elle aimerait savoir que quand j'ai ouvert la vitre tu les as tous sucé et qu'ils t'ont tous giclé sur le visage ?
- Non Maitre. Elle est de plus en plus excitée et toi aussi.
- Avoues que tu es une grosse salope !
- Je suis une grosse salope, Maitre.
Dans ce cas, je peux baiser qui je veux, même ta mère si j'en ai envie...
- OUOUIIII !!!! jouit elle...
- Puisqu'hier soir tu t'es conduit comme la dernière des putains, je vais te dépuceler le cul sur ton lit de jeune fille.
- Non Maitre, pitié, pas ça.
- Tu choisis : c'est ça ou je t’administre 100 coups de cravache.
- ...
Je m'empare de la cravache
- Choisis !
- J'accepte, Maitre.
- Alors, demandes moi de t'enculer !
- Enculez moi, Maitre.
J'écarte alors ses fesses, crache plusieurs fois sur son anus, puis y introduit deux doigts. Une fois préparée, je la positionne de façon à ce que tu me vois bien lui casser le cul...
- Je vais te détacher et tu vas te branler pendant que je t'encule, compris Soumise ?
- Oui, Maitre.
Et d'un coup je la prends, alors que je vois que tu te branles de plus en plus fort. Je la défonce, elle hurle, à un tel point que je suis obligé de mettre ma main devant sa bouche de peur qu'elle ne réveille ton mari. Elle jouit plusieurs fois et tu en fais autant, lorsque je jouis à mon tour en disant :
- Pour que tu sois aussi salope, ta mère doit être une sacrée chienne !
Deux mn plus tard, je vois que tu reprends aussi tes esprits. Je dis à ta fille de m’attendre car je vais me nettoyer. Sitôt hors de la chambre je t’entraine vers le salon, te fais asseoir sur le divan, et tandis que je te doigte sauvagement :
- Nettoies ma queue avec ta bouche !
Tu obéis, goulument, et lorsque tu es sur le point de jouir,
- Demain je suis dispo et je reste chez moi. Demmerdes toi pour venir me voir.
Je sors mon doigt et te laisse là, en feu.

Ton maitre.

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