Souvenir
Récit érotique écrit par Grégoire [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenir
J'étais allé au ciné, non pour aller voir un film, mais pour passer une soirée en dehors de la télé. J'ai la quarantaine, les femmes disent que j'ai du charme, je suis plutôt grand 1,82 m et mince.
Je décide d'aller voir un film d'Almodovar, en général c'et bien fait et on ne s'endort pas
ce qui est un signe de bon film pour moi. J'étais seul sur ma rangée à l'extinction des lumières. Quand quelques minutes plus tard, une femme la trentaine arrive accompagnant une personne agée, j'ai suposé que c'était sa mère... Dans la pénombre, je vis cette femme debout, délaissant son imperméable pour le poser sur ses genoux. Elle portait une robe arrivant à mi-cuisse qu'elle appliqua sur ses fesses avant de s'asseoir. La silhouette me plaisait, allure sportive, jambes longues. Elle se plaça entre sa (mère) et moi. Mon troisième oeil, que je dois avoir sur le côté, vit qu'au bout de quelques minutes qu'elle m'observait. A chaque fois que j'essayais de la regarder ses yeux se détournaient vers l'écran. Au bout d'une bonne demie-heure, je tentais le coup et j'allais glisser ma main gauche (la plus près) sur sa cuisse en passant sous l'imperméable. Lentement, sa main rejoignit la mienne à l'abri des regards et surtout celui de sa mère.
Elle prit donc ma main et l'attira vers le bas de sa robe. Mes doigts arrivèrent sur la peau lisse de sa cuisse. Puis remontèrent lentement en passant sur le gras de la cuisse, très lentement. Enfin, le bout de mes doigts sentirent la toison douce et bouclée de sa chatte, confirmant qu'elle n'avait pas de culotte. Moi, dès le début, je bandais comme un malade.
L'extrémité de ma main caressèrent les lèvres de ce sexe qui s'entrouvrirent aussitôt, et rencontrèrent une corolle pleine de cyprine. Elle mouillait terriblement, ce qui m'excita encore plus. Deux doigts prirent le chemin du vagin et n'eurent aucun mal à y pénétrer. Je sentais son bassin onduler, et j'entendais le floc-floc de ma main dans sa chatte. Ses ondulations du bassin se firent de plus en plus rapides et soudain sa chatte se tendit et je reçus un flot de jus dans ma main, jus qui avait dû tacher sa robe.
Je me suis levé, et je me suis dirigé vers les toilettes. Trois minutes après, ma voisine arriva et m'attira vers un wc. Dans une fièvre et une frénésie incalculable, elle se retrouva nue devant moi. Elle m'arracha mes vêtements et se jeta sur mon sexe pour le prendre à pleine bouche. Elle me pompa, me suça avec une telle envie que j'eus du mal à me contenir pour ne pas jouir tout de suite. Elle se retourna, ferma la lunette du wc puis posa ses mains sur le couvercle et tendit son cul en offrande.
Je plantais ma queue dans sa chatte lubrifiée, qui nageait dans la cyprine, puis je la resortit et la posais sur sa rondelle à moitié dilatée. Une simple pression, mon membre pénétra dans ce tunnel resserré, elle lançait quelques glapissements à chaque progression, puis arrivé au bout j'entrepris quelques va et vient. Elle avait relevé la tête sa crinière fouettait ma poitrine. Je ne pus retenir la sève qui montait et je lâchais tout mon jus dans le fond de son ventre. C'était délicieux et merveilleux. Je restais un moment en elle, puis ma queue qui avait repris une dimenssion plus restreinte glissa hors de sa chatte. Je finis par me rhabiller, elle aussi. Une fois remis elle s'avança vers moi et m'embrassa longuement. Epuisé, je ressortis du cinéma et elle revint dans la salle avec (sa mère). C'est une histoire vraie et qui s'arrêta là, car je ne l'ai jamais revue, sauf en souvenir.
Je décide d'aller voir un film d'Almodovar, en général c'et bien fait et on ne s'endort pas
ce qui est un signe de bon film pour moi. J'étais seul sur ma rangée à l'extinction des lumières. Quand quelques minutes plus tard, une femme la trentaine arrive accompagnant une personne agée, j'ai suposé que c'était sa mère... Dans la pénombre, je vis cette femme debout, délaissant son imperméable pour le poser sur ses genoux. Elle portait une robe arrivant à mi-cuisse qu'elle appliqua sur ses fesses avant de s'asseoir. La silhouette me plaisait, allure sportive, jambes longues. Elle se plaça entre sa (mère) et moi. Mon troisième oeil, que je dois avoir sur le côté, vit qu'au bout de quelques minutes qu'elle m'observait. A chaque fois que j'essayais de la regarder ses yeux se détournaient vers l'écran. Au bout d'une bonne demie-heure, je tentais le coup et j'allais glisser ma main gauche (la plus près) sur sa cuisse en passant sous l'imperméable. Lentement, sa main rejoignit la mienne à l'abri des regards et surtout celui de sa mère.
Elle prit donc ma main et l'attira vers le bas de sa robe. Mes doigts arrivèrent sur la peau lisse de sa cuisse. Puis remontèrent lentement en passant sur le gras de la cuisse, très lentement. Enfin, le bout de mes doigts sentirent la toison douce et bouclée de sa chatte, confirmant qu'elle n'avait pas de culotte. Moi, dès le début, je bandais comme un malade.
L'extrémité de ma main caressèrent les lèvres de ce sexe qui s'entrouvrirent aussitôt, et rencontrèrent une corolle pleine de cyprine. Elle mouillait terriblement, ce qui m'excita encore plus. Deux doigts prirent le chemin du vagin et n'eurent aucun mal à y pénétrer. Je sentais son bassin onduler, et j'entendais le floc-floc de ma main dans sa chatte. Ses ondulations du bassin se firent de plus en plus rapides et soudain sa chatte se tendit et je reçus un flot de jus dans ma main, jus qui avait dû tacher sa robe.
Je me suis levé, et je me suis dirigé vers les toilettes. Trois minutes après, ma voisine arriva et m'attira vers un wc. Dans une fièvre et une frénésie incalculable, elle se retrouva nue devant moi. Elle m'arracha mes vêtements et se jeta sur mon sexe pour le prendre à pleine bouche. Elle me pompa, me suça avec une telle envie que j'eus du mal à me contenir pour ne pas jouir tout de suite. Elle se retourna, ferma la lunette du wc puis posa ses mains sur le couvercle et tendit son cul en offrande.
Je plantais ma queue dans sa chatte lubrifiée, qui nageait dans la cyprine, puis je la resortit et la posais sur sa rondelle à moitié dilatée. Une simple pression, mon membre pénétra dans ce tunnel resserré, elle lançait quelques glapissements à chaque progression, puis arrivé au bout j'entrepris quelques va et vient. Elle avait relevé la tête sa crinière fouettait ma poitrine. Je ne pus retenir la sève qui montait et je lâchais tout mon jus dans le fond de son ventre. C'était délicieux et merveilleux. Je restais un moment en elle, puis ma queue qui avait repris une dimenssion plus restreinte glissa hors de sa chatte. Je finis par me rhabiller, elle aussi. Une fois remis elle s'avança vers moi et m'embrassa longuement. Epuisé, je ressortis du cinéma et elle revint dans la salle avec (sa mère). C'est une histoire vraie et qui s'arrêta là, car je ne l'ai jamais revue, sauf en souvenir.
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