Souvenir d'une expérience partagée entre amis.

- Par l'auteur HDS H29ansLyon -
Récit érotique écrit par H29ansLyon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Souvenir d'une expérience partagée entre amis. Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2022 dans la catégorie Plus on est
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Souvenir d'une expérience partagée entre amis.
C’était une après midi d’été, mon meilleur ami Sylvain nous avait invité Marie et moi pour passer la soirée dans son appartement de Lyon.

Marie comme je l’ai déjà décrite lors de ma première aventure avec elle (Cf : un soir, une aventure) est une femme, brune, cheveux arrivant en dessous des épaules, très souriante, avec de belles formes (90D) et de belles fesses bien charnues et fermes à la fois. Elle était âgée de 25 ans pendant cette soirée.
Sylvain quant à lui est un homme noir avec une peau pas trop foncée ni trop claire. Il a toujours été un considéré comme un bon coup par toutes nos amies en commun qu’il avait baisé. Il devait être aussi grand que moi soit environ 1m83. Je le savais bien monté sans en avoir jamais vu le morceau. Il avait à l’époque 28 ans.
Pour ma part, j'ai un léger ventre, pas fait de muscles ni de gras et on me dit bien pourvu par la nature aussi. Et j’avais aussi 28 ans.

Tous deux sont hétéro alors que je suis bisexuel.

Marie et moi sommes arrivés en fin d’après mdi, j’avais pris une bouteille de téquila pour faire des teq paf tout en aillant une idée derrière la tête et pour rejouer la scène de la dernière fois mais en compagnie de mon ami.
Sylvain avait prévu 5L de punch et de la bière.

« Salut les amis vous allez bien ? » nous dit-il en nous voyant arriver.
« Ça va on est prêt pour ce soir, j’espère qu’on va bien rigoler comme d’habitude et puis ça change de faire ça chez toi Sylvain » dit-elle.
« Allez on va s’assoir sur le canapé autour de la table basse. » dit-il en nous invitant à nous mettre à l’aise.

Sylvain été vêtu d’un chino et d’une chemise un peu ouverte au niveau du col. J’étais en jean, avec une chemise en jean. Marie était en robe à bouton assez courte mais tout en étant élégante on ne distinguait rien sauf son décolleté profond et invitant à la découverte de son énorme paire de seins.

Sylvain et Marie étaient assis côte à côte tandis que j’étais face à Marie sur le canapé d’angle que nous occupions.

La soirée se déroule tranquillement jusqu’à ce que je propose de jouer à un jeu de téléphone intitulé picolo. Le but étant d’avoir des défis ou des petits jeux à réaliser entre nous.

Ils étaient tous les deux d’accord. Je lance donc le jeu.

« On doit dire chacun son tour des marques de voiture, celui qui ne trouve pas bois deux gorgées…. Qui a déjà fini bourré au point de ne pas s’en souvenir ? Bois 1 gorgée … etc » Les questions basiques s’enchainent assez facilement jusqu’à nous mettre dans un état second alcoolique.
« Passe au mode caliente, on va vraiment plus s’amuser » a lancé Marie un peu éméchée.

Je change alors de mode, et passe sur le mode caliente ou vraiment très chaud de l’application.

« Ceux qui ont déjà eu, une expérience sexuelle avec une personne autour de la table boivent 2 gorgées », tout le monde se m’y à boire. Sylvain me demanda si j’avais couché avec Marie car il était étonné que je boive car lui l’avait déjà baisé plus d’une fois mais ne savait pas pour moi. Je lui répondais sans lui raconter vraiment ce qu’il s’était passé :
« Oui c’était cet hiver, chez moi, on a baisé ensemble, c’était vraiment merveilleux, Marie est très chaude et sexy je n’ai pas pu me retenir… » Lui disais-je.

Marie se mit à rougir rapidement et acquiesça en me faisant un clin d’œil.

« Allez question suivante » dit-elle.

« Vic, choisis deux personnes qui vont finir leur verre puis s’embrasser avec la langue… » Je désignai bien sur Sylvain et Marie. J’adore jouer au voyeur c’était peut-être l’occasion unique que cela arrive. Les deux finir leur verre d’une traite et s’embrassèrent sous mes yeux. Marie lui mordait les lèvres alors que Sylvain la tenait par la gorge. Cela a duré plusieurs minutes jusqu’à ce que leur bouche s’écarte laissant un filet de bave couler le long des lèvres de Marie.

« Vic lèche la langue d’un des joueurs ou fini ton verre. » Ayant déjà gouté à Marie je voulais gouter à Sylvain alors qu’il est hétéro. J’avais envie de le mettre mal à l’aise pour lui faire embrasser un autre homme. Je me suis levé pour lui demande si je pouvais, il était très retissant mais fini par accepter. Il était encore assis sur le canapé, je me penchai pour m’appuyer sur ses cuisses tout en mettant mes mains le plus près de son sexe. Il tira la langue et je lui léchai et en profitait pour lui sucer le bout humide de sa langue. Je revins à ma place. Marie avait adoré le spectacle.

« Sylvain ton joueur de droite doit embrasser ton sexe, et ton joueur de gauche doit lui tenir » Pas de chance pour Sylvain j’étais le jour de droite. Je viens vers lui, il n’osait pas sortir son sexe de son boxer. Marie se rapprocha et le supplia de le faire. Il fini par ouvrir sa braguette, elle mit la main pour aller chercher son sexe que je rêvais de voir car j’ai toujours aimé mater des bites de noir sur les films x que je regardais. Le morceau sorti, j’étais stupéfait. Son était déjà énorme alors qu’il était au repos. Ses bourses semblaient bien lourdes aussi. J’avais envie de le lécher, de le sucer, de l’aspirer tout entier dans ma bouche et dans ma gorge mais la règle disait que je devais juste l’embrasser. Marie me la tenait bien droite, et je me mis à l’embrasser tout du long. Je m’attardais sur son gland foncé, j’avais sortie ma langue pour lui lécher le trou de sa pine, mais au contact de ma langue, Sylvain rangea sa queue dans son boxer. Puis nous sommes allés nous rassoir. Marie était chaude nous le sentions tous les deux. Ils nous semblaient qu’elle avait ouvert un bouton de sa robe.

« Les joueurs en chemise la déboutonnent et prennent une gorgée pour chaque bouton qui resteront fermés. » Sylvain et moi, nous avons complétement déboutonné et retiré nos chemises pour ne pas prendre de gorgée. Marie quant à elle hésita un instant puis déboutonna tous ses boutons doucement jusqu’en avoir plus un seul de fermé. Sa robe était complètement ouverte : « Je la retire si vous retirer vos pantalons les garçons » dit-elle. Sylvain et moi nous sommes regardés rapidement, et nous avons aussi retiré nos pantalons ensemble. Marie fit de même et laissa sa robe au sol. Elle avait mis un ensemble en dentelle noir, il laissait entrevoir ses beaux tétons que j’avais déjà léché la dernière fois. A la vue de cette énorme paire de seins, je ne pu me retenir de bander dans mon boxer. Je ne pris pas la peine de cacher au vu de ce qu’il s’était passé avant.

« Vic, choisis qui devra enlever un vêtement, 4 gorgées si refusé. » Je regardais mes deux comparses : « Marie retire ton soutif de toutes façons il ne cache rien, et puis j’aimerais que tout le monde soit à égalité ». Marie se leva, vint jusqu’à moi, déboutonna son soutif, et l’ouvrit devant mes yeux pour ensuite me le donner directement. Ses seins étaient si lourd et les tétons pointaient fortement dans ma direction, j’avais envie de les prendre et de les sucer.
Marie se rassis à sa place.

« Marie fais toi masser la partie du corps que tu veux par le joueur que tu veux. S’il refuse il boit 4 gorgées. » Marie regarda directement Sylvain « Masses mes seins, insiste bien sur mes tétons, je veux vous voir bander tous les deux. » Sylvain s’exécuta sans se faire prier. Il prit les énormes seins de Marie dans ses mains et se mit à les pétrir. Il tirait ses tétons, puis sa tête et sa langue vinrent l’aider dans ce massage, il prit ses seins en pleine bouche, les léchait, les suçait, il mordait ses tétons, il tirait dessus. Marie glissa sa main dans le boxer de Sylvain, et sorti son énorme sexe qui était dur et encore plus gros et long que tout à l’heure. Elle se mit à faire des vas et viens avec, je vis son énorme gland apparaître. Je ne pouvais plus me retenir, j’ai retiré mon boxer et je me suis branlé en regardant ce spectacle qui s’offrait à moi. Sylvain qui continuait de s’occuper des tétons de Marie avec sa langue, descendit une de ses mains dans sa culotte, pour la caresser et glisser un doigt en elle. La situation étant ultra excitante depuis une bonne heure avec notre petit jeu précédant. Marie se mit à jouir rapidement. Elle se leva pour aller pisser mais laissa son string à coté de nous, et partie nue. Nous en avons profité pour mater son cul bien rond et assez gros osciller de gauche à droite.

Je chuchotais à mon ami : « Sylvain, Marie a toujours voulu un plan à 3, on devrait se la faire tout les deux c’est l’occasion ! » « Ok, on attend qu’elle revienne et on va dans ma chambre, au faite tu as une belle queue toi aussi » m’a-t-il dit avec un clin d’œil.
Marie revenait vers nous, la chatte à l’air, brillante de cyprine et aussi surement d’un peu de pisse. Nous, nous n’avions pas débandé.
« Marie viens on va dans ma chambre, Vic viens aussi ! »
On se leva pour rejoindre Marie, nue au milieu du salon. On l’embrassait chacun notre tour, puis nous nous dirigeâmes vers la chambre de Sylvain. Il avait un simple matelas posé au sol. Nous sommes restés debout, chacun d’un coté de Marie, ma queue était contre son cul posé sur sa raie et Sylvain avait sa queue contre son bas ventre qui montant jusqu’à son nombril. Marie se baissa pour se mettre à genoux sur le matelas puis elle prit en bouche mon gland. Elle se mit à me sucer, à me lécher, à aspirer tout ce qu’elle pouvait, je sentais de la salive couler le long de ma queue. Une de ses mains malaxait mes boules pendant que l’autre masturbait la bite de mon pote. Elle se tournait ensuite vers lui pour qu’à son tour il soit aspiré par sa bouche experte. Je me surpris à pousser sa tête sur son énorme queue noire pour qu’elle fasse une gorge profonde. Elle ne semblait pas gênée par cette intention. Au bout de quelques minutes, elle me tira de nouveau à elle pour sentir nos deux glands dans sa bouche. Je sentais ma queue toucher celle de mon pote. Cela m’excitait tellement. Je tendis ma main vers son sexe pour le branler aussi. Il me laissait faire. J’adorais sentir ses veines et sa queue puissante de noir dans ma main. Je sentais aussi la salive de Marie qui m’aidait dans la branlette que je lui donnais. Il avait l’air de prendre son pied. Moi aussi.

Je me suis allongé sur le matelas et Marie vint se mettre sur mon sexe, je sentais la chaleur de sa chatte venir recouvrir mon sexe humide. Mon gland frottait sur les parois internes, et j’étais parcouru de frisson à chaque vas et vient. Je lui mettais parfois des fessées ou bien je l’agrippais par les hanches pour que je puisse donner le rythme de cette pénétration. Pendant ce temps, Sylvain était debout au-dessus de moi, et son sexe était encore gobé par Marie. J’avais une vision de rêve. Marie que je prenais sans vergogne et les couilles de Sylvain qui se balançait au-dessus de moi. Je n’avais qu’une envie sentir sa queue en moi.

Marie se retira de mon gland, Sylvain était maintenant couché sur le dos, elle se mit sur lui mais dos à lui. Je pouvais voir son sexe entrer et sortir de Marie. Je me penchais alors en avant pour délaisser la bouche de Marie avide pourtant d’une queue à lécher. Et je me suis mis à lécher sa vulve ainsi que la queue de Sylvain. Parfois je la sortais pour la prendre complétement en bouche et lécher le jus de Marie et parfois je la remettais en place. J’adorais me sentir étouffé par son énorme pénis. Il n’avait pas l’air d’être dérangé par la situation surement dû à tout l’alcool que nous avions bu.

Après plusieurs minutes à se faire pilonner ainsi. Sylvain demanda à Marie de se tourner face à lui pour que nous réalisions son fantasme. Marie enfournait alors de nouveau la queue notre ami, et de ses mains il lui écartait le cul alors qu’elle se cambrait au maximum. Je compris ce qu’ils voulaient, je crachai sur mon gland, et sur sa rondelle. Mon sexe vint pousser son petit trou pour que je la prenne ainsi. C’était ma première sodomie mais pas pour elle. J’eu un peu de mal au début, mais au bout d’une bonne minute mon gland puis mon sexe entier rentrait et sortait de sa rondelle interdite. Mes couilles frottaient sur la queue de Sylvain qui s’occupait encore de son autre trou. Nos deux queues se ressentaient l’une et l’autre à travers la fine paroi vaginale de Marie. C’était comme si nous nous branlions mutuellement dans le corps de Marie.

Marie criait de plaisir, elle était enfin remplie comme elle l’avait toujours voulu. J’aurais aimé être à sa place mais ce n’était pas possible. Sucer ok mais me faire prendre par lui j’avais des doutes. Après plusieurs minutes à la prendre, Marie cria de toutes ses forces et se mit à trembler, elle avait eu son premier orgasme en double pénétration. Elle était transie de plaisir et fatiguée. Elle se retira de nos deux gros chibres. Et se coucha sur le dos les jambes écartés. Je me suis agenouillé à coté d’elle, et je me branlais au-dessus de sa bouche. Sylvain lui était encore bien chaud, et n’avait pas encore fini. Il me poussa alors à 4 pattes, ma queue était alors à hauteur de bouche de Marie. Même fatiguée, elle se mit à me sucer, Je sentais dans la façon de me sucer que la situation qui se profilait l’excitait encore un peu.

Je senti doucement le sexe de Sylvain venir cherche l’entrée de mon trou défendu. Il fini par rentrer son gland en moi, puis son sexe entier. Je ne comprenais rien à la situation, lui qui était si gêné un peu plus tôt que je lui embrasse le gland, là il venait de me prendre. Sous ses coups de butoir, je me suis mi à jouir dans la bouche de Marie qui avalait mon sperme.

Sylvain a alors retiré cette énorme tige puis se mit lui aussi à jouir dans la bouche de Marie. J’étais déçu je pensais qu’il viendrait en moi ou sur moi mais non, peut être avait il réalisé l’étrangeté de la situation. Au vu du sperme coulant dans la bouche de Marie, je me suis approché d’elle et je l’ai embrassé. Je voulais gouter le sperme de l’homme qui m’avait pris par le cul ce soir. Son sperme était encore bien chaud. Marie si excitée par la situation m’embrassait à pleine bouche. Nos langues jouaient encore ensemble.

Je me suis levé, puis je suis allé me coucher sur le canapé du salon Je les ai encore entendu baiser quelques fois dans la nuit, et à chaque fois je me suis branler en repensant à la situation que j’avais vécu. Tout en sentant le string que Marie avait laissé dans le salon.





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