Souvenirs / 5 et 6
Récit érotique écrit par Coolenjoie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 6 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenirs / 5 et 6
Petit rappel, tous ces textes sont vrais, issus de ma liaison avec M.. qui a durée près de 30 mois. Un amour sincère et profond...
Quelle soirée ! Toutes ces femmes très jolies dans leur robe dévoilant succinctement leurs charmes. Tu es gaie, tu es courtisée et je m'amuse de cela. J'ai bien vu que ça te plait qu'on te fasse un doigt de cour. Tu es superbe dans ta robe longue, fendue sur le coté jusqu'à mi-cuisse. Les hommes ne manque de te regarder, de t'admirer. Moi aussi ! Avec envie, avec plaisir, avec fierté de me dire que tu es à moi, que c'est à moi que cette nuit tu te donneras. Tu ris aux éclats, tes yeux brillants de plaisir et de malice. Je t'admire. Tu es belle !
Tu allumes un peu ma jalousie à te voir rire avec ces hommes qui tournent autour de toi. Tu me regardes et je te fais un clin d'oeil, pour te montrer que j'ai compris ton jeu.... Je me rapproche de toi et d'un geste anodin je passe mon bras autour de ta taille, pour marquer mon territoire, montrer aux autres ce qu'ils savent déjà, que nous sommes ensemble. Tu me tends tes lèvres pour un baiser furtif tout en écoutant tes séducteurs. Dès qu'un temps mort s'installe, je t'extirpe et t'emmène dans le parc de ce lieu magique.
Tu as un peu bu et j'aime te voir rire, pétillante, heureuse de partager cette soirée avec moi parmi tout ce monde. Nous nous enfonçons dans le parc au gré des allées qui deviennent de moins en moins éclairées. Notre marche est jalonnée de baisers, de plus en plus fougueux. Une alcove dans une haie, et je t'y pousse. Nous voilà seuls au milieu de la nuit. Au loin les bruits de la soirée. Musique, paroles, couvrent encore nos souffles courts. Je tombe à tes genoux et mes mains écartent avec difficulté les pans de ta robe. Tu la remontes un peu pour m'aider et j'enfuie ma tete près ton de temple. Je sens l'humidité de ton intimité, ton odeur qui appelle l'amour, je glisse un puis deux doigts dans ta culotte et rapidement je te pénètre. Tu gémis, et je te branle avec passion, tes mains accrochées à ma tête, les cuisses à peine écartées. Ma langue enfin vient sucer ton clitoris et glisse entre tes lèvres. Tes râles sont de plus en plus audibles et j'adore. Tu guides meme ma tête de tes mains comme pour me montrer le chemin de ton plaisir. J'aime quand tu m'offres ainsi tes trésors. Mes doigts sont de plus en plus volontaires, pénétrants, et d'un coup ton geyser jaillit, m'éclaboussant le visage, tu t'affaisses légèrement sur la main qui te possède. Spasmes d'orgasme, violents. Récompense sublime que tu m'accordes, que tu donnes à la vie, à cette superbe soirée. Ma bouche a retrouvé la tienne, nos langues et nos souffles se mélange. Rapide remise en état de nos tenues, et nous retournons nous enlacer parmi les invités dans un slow complice. "Tout à l'heure ce sera moi qui te ferait plaisir"... merci mon amour !
--- Souvenirs / 6
HUm HUm, aie ! je n'entends que des plaintes étouffées car je t'ai bailnonnée, déculottée, et courbée sur l'accoudoir du fauteuil. La fessée que je t'administre n'est pas douce, et je vois tes fesses rougir de plus en plus. J'alterne, un coup l'une, l'autre vient ensuite. Cela fait bien 20 coups que je donne et tu te tortilles sur le siège. Je crois entendre que tu me supplies d'arrêter, mais je suis insensible à tes plaintes. Ah tu te sens vivante là au moins ! et vlan, une de plus ! je laisse glisser deux doigts jusqu'à ta fente et je constate que la punition ne t'est pas désagréable, tu es mouillée. Je te fouille de mes doigts inquisiteurs et tu inondes ma main et même le fauteuil de ton jus d'amour. Pour te punir, une claque supplémentaire ! Ma main reste sur ta fesse et mon doigt par flatter ton anus. Ta position m'offre une vue provocante sur tes charmes cachés. Je vrille mon doigt dans ton tunnel qui l'accueille sans difficulté.
J'entreprends de te "branler" l'anus, longuement, profondement. Tes plaintes se sont transformées depuis un moment en gémissement. J'attrape le tube de gel sur la table basse et j'en fais couler plusieurs doses sur mes doigts et sur ton anus. Je reprends mon expédition, et un doigt supplémentaire prend possession de ton tunnel. Je suis fasciné de les voir entrer et sortir de tes reins. Je me dis que ma bite va y être bien, serrée à souhait, ta corolle épousant parfaitement mon membre. Je glisse un préservatif sur ma queue, une touche de gel, et sans aucune difficulté je t'encule jusqu'à la garde.
Je t'ai bien préparée et tu m'acceptes dans un soupir de bien être. « Enculée !" je te dis, j'aime te le dire, te le faire. Voir ma queue entre tes fesses m'excite au possible. Je m'appuie sur tes épaules et je te laboure les fesses de coups de reins amples et profonds. Tu ondules un peu, veux tu fuir ? aimes tu ? Peu importe, moi jesuis bien, ma queue est bien, elle se gonfle d'aise, elle a des spasmes de bonheur... Je t'encule ma M.... Tu es belle ainsi, le cul rouge et ma queue dedans, c'est provocant, bandant. Je tends la main pour caresser ta fente, ton clitoris, tu coules abondamment. Je te pénétre d'un doigt et tu roucoules de bonheur, prise des deux cotés par ton amant. Je veux que tu me donnes ton plaisir, ton orgasme. Je fouette à nouveau tes fesses de ma main libre, et je t'entends crier ton plaisir malgré le baillon… Je m'affale sur ton dos en libérant ma semence dans tes reins… Je t'aime amour, j'aime ton corps, le posséder. Tu es ma princesse, ma soumise et je veux te conduire en permanence sur les chemins de la volupté...
JE T'ADORE
Quelle soirée ! Toutes ces femmes très jolies dans leur robe dévoilant succinctement leurs charmes. Tu es gaie, tu es courtisée et je m'amuse de cela. J'ai bien vu que ça te plait qu'on te fasse un doigt de cour. Tu es superbe dans ta robe longue, fendue sur le coté jusqu'à mi-cuisse. Les hommes ne manque de te regarder, de t'admirer. Moi aussi ! Avec envie, avec plaisir, avec fierté de me dire que tu es à moi, que c'est à moi que cette nuit tu te donneras. Tu ris aux éclats, tes yeux brillants de plaisir et de malice. Je t'admire. Tu es belle !
Tu allumes un peu ma jalousie à te voir rire avec ces hommes qui tournent autour de toi. Tu me regardes et je te fais un clin d'oeil, pour te montrer que j'ai compris ton jeu.... Je me rapproche de toi et d'un geste anodin je passe mon bras autour de ta taille, pour marquer mon territoire, montrer aux autres ce qu'ils savent déjà, que nous sommes ensemble. Tu me tends tes lèvres pour un baiser furtif tout en écoutant tes séducteurs. Dès qu'un temps mort s'installe, je t'extirpe et t'emmène dans le parc de ce lieu magique.
Tu as un peu bu et j'aime te voir rire, pétillante, heureuse de partager cette soirée avec moi parmi tout ce monde. Nous nous enfonçons dans le parc au gré des allées qui deviennent de moins en moins éclairées. Notre marche est jalonnée de baisers, de plus en plus fougueux. Une alcove dans une haie, et je t'y pousse. Nous voilà seuls au milieu de la nuit. Au loin les bruits de la soirée. Musique, paroles, couvrent encore nos souffles courts. Je tombe à tes genoux et mes mains écartent avec difficulté les pans de ta robe. Tu la remontes un peu pour m'aider et j'enfuie ma tete près ton de temple. Je sens l'humidité de ton intimité, ton odeur qui appelle l'amour, je glisse un puis deux doigts dans ta culotte et rapidement je te pénètre. Tu gémis, et je te branle avec passion, tes mains accrochées à ma tête, les cuisses à peine écartées. Ma langue enfin vient sucer ton clitoris et glisse entre tes lèvres. Tes râles sont de plus en plus audibles et j'adore. Tu guides meme ma tête de tes mains comme pour me montrer le chemin de ton plaisir. J'aime quand tu m'offres ainsi tes trésors. Mes doigts sont de plus en plus volontaires, pénétrants, et d'un coup ton geyser jaillit, m'éclaboussant le visage, tu t'affaisses légèrement sur la main qui te possède. Spasmes d'orgasme, violents. Récompense sublime que tu m'accordes, que tu donnes à la vie, à cette superbe soirée. Ma bouche a retrouvé la tienne, nos langues et nos souffles se mélange. Rapide remise en état de nos tenues, et nous retournons nous enlacer parmi les invités dans un slow complice. "Tout à l'heure ce sera moi qui te ferait plaisir"... merci mon amour !
--- Souvenirs / 6
HUm HUm, aie ! je n'entends que des plaintes étouffées car je t'ai bailnonnée, déculottée, et courbée sur l'accoudoir du fauteuil. La fessée que je t'administre n'est pas douce, et je vois tes fesses rougir de plus en plus. J'alterne, un coup l'une, l'autre vient ensuite. Cela fait bien 20 coups que je donne et tu te tortilles sur le siège. Je crois entendre que tu me supplies d'arrêter, mais je suis insensible à tes plaintes. Ah tu te sens vivante là au moins ! et vlan, une de plus ! je laisse glisser deux doigts jusqu'à ta fente et je constate que la punition ne t'est pas désagréable, tu es mouillée. Je te fouille de mes doigts inquisiteurs et tu inondes ma main et même le fauteuil de ton jus d'amour. Pour te punir, une claque supplémentaire ! Ma main reste sur ta fesse et mon doigt par flatter ton anus. Ta position m'offre une vue provocante sur tes charmes cachés. Je vrille mon doigt dans ton tunnel qui l'accueille sans difficulté.
J'entreprends de te "branler" l'anus, longuement, profondement. Tes plaintes se sont transformées depuis un moment en gémissement. J'attrape le tube de gel sur la table basse et j'en fais couler plusieurs doses sur mes doigts et sur ton anus. Je reprends mon expédition, et un doigt supplémentaire prend possession de ton tunnel. Je suis fasciné de les voir entrer et sortir de tes reins. Je me dis que ma bite va y être bien, serrée à souhait, ta corolle épousant parfaitement mon membre. Je glisse un préservatif sur ma queue, une touche de gel, et sans aucune difficulté je t'encule jusqu'à la garde.
Je t'ai bien préparée et tu m'acceptes dans un soupir de bien être. « Enculée !" je te dis, j'aime te le dire, te le faire. Voir ma queue entre tes fesses m'excite au possible. Je m'appuie sur tes épaules et je te laboure les fesses de coups de reins amples et profonds. Tu ondules un peu, veux tu fuir ? aimes tu ? Peu importe, moi jesuis bien, ma queue est bien, elle se gonfle d'aise, elle a des spasmes de bonheur... Je t'encule ma M.... Tu es belle ainsi, le cul rouge et ma queue dedans, c'est provocant, bandant. Je tends la main pour caresser ta fente, ton clitoris, tu coules abondamment. Je te pénétre d'un doigt et tu roucoules de bonheur, prise des deux cotés par ton amant. Je veux que tu me donnes ton plaisir, ton orgasme. Je fouette à nouveau tes fesses de ma main libre, et je t'entends crier ton plaisir malgré le baillon… Je m'affale sur ton dos en libérant ma semence dans tes reins… Je t'aime amour, j'aime ton corps, le posséder. Tu es ma princesse, ma soumise et je veux te conduire en permanence sur les chemins de la volupté...
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