Souvenirs d'été
Récit érotique écrit par Marco84 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenirs d'été
Partis sous cette chaleur d'aout pour la piscine municipale, nous traversons le
parking à grandes enjambées.
Mon regard ne lâche pas les longues jambes de Laure auxquelles sa jupette rose donne
une sensualité folle.
Je repense à cette nuit, à nos ébats et je sens déjà que l'excitation renait. J’ai
adoré ouvrir les yeux dans la nuit moite, la regarder dormir à plat ventre, le drap
sur le côté. J’ai passé ma main le long de son dos, de ses reins puis de ses fesses,
elle n’a pas bougé. En prenant son bras je l’ai incitée à se retourner sur le dos.
Elle s’est donc retrouvée offerte à ma vue impudique. J’ai observé ses petits seins
avec un regard sadique voire même méchant. J’aurai bien aimé qu’ils soient un peu plus
gros mais ils sont très sensibles alors je m’en contente, me suis-je dis. Et oui un
goujat quand j’y repense. Bref, n’y tenant plus, je me suis installé entre ses jambes
et l’ai réveillé en venant en elle. Ca n’a pas été exceptionnel, ca n’a pas été
acrobatique et ca a été rapide mais intense, inattendu et donc génial. Pas un mot,
juste du sexe avant de retomber l’un près de l’autre dans le sommeil.
Ce souvenir m’émoustille et si nous n'étions pas au milieu d'un parking en pleine
après midi, je l'aurai attirée à moi en soulevant sa jupe pour m’immiscer entre ses
cuisses sans enlever son string et retrouver ces moments quick-sex qu’on affectionne
tant.
La piscine est là, je suis déjà en sueur tellement il fait chaud. Nous entrons, la
caissière a la vingtaine, de longs cheveux bruns en chignon avec quelques anglaises
qui courent le long de son visage. Sous
Son t-shirt estampillé « piscine des saules » je distingue la trace de son maillot de
bain et le galbe de sa poitrine. Y a-t-il des mecs qui la branchent ? me dis-je. C’est
certain mais y en a-t-il qui sont capable de l’entrainer dans un cagibi ? Là tout de
suite ? Le fantasme de tout homme, je crois ... Et peut-être bien de toute femme
également. Qui me dit qu’elle n’attend pas que quelqu’un ose, elle doit se dire que
s’est impossible et qu’elle ne sait même pas si elle oserait dire oui.
Je reviens à la réalité en espérant que ma copine n’a pas remarqué cette digression.
Mais elle finit par nous connaitre les mecs... Enfin, bref, nous payons et entrons.
Vestiaires communs, ca j’aime bien. De petites cabines, écouter les gens qui passent à
côté, c’est un peu la même sensation qu’être nu derrière ses volets... Nous pénétrons
à l’intérieur. Elle pose le sac, retire son haut, sa jupe. Je commence à faire pareil
mais c’est elle qui descend mon caleçon. Elle s’agenouille, prend mon sexe à travers
le tissu du maillot de bain, un boxer. Il durcit tout de suite. J’adore ces
initiatives qui transforment la vie en une partie de sexe géante et où l’on sent le
désir de l’autre pour soi. Elle écarte l’élastique de quelques centimètres afin de
libérer mon gland pour l’engloutir une seconde dans ses lèvres. Puis elle se relève et
me dit : « on y va ? ». Ca y est je n’en peux plus ! Avec mes délires salaces sur le
parking et à la caisse, j’étais déjà un peu excité, là ce sadisme de sa part est un
comble.
Je sors de la cabine pas très fier avec ma demi-érection qui se voit pas mal. Mais
elle marche devant moi et les regards que nous croisons vont naturellement plus vers
elle. La froideur de la douche m’aide à retrouver une morphologie plus normale. Nous
arrivons dans le bassin et partons pour quelques longueurs, Laure sort du bassin un
instant. Je sens encore la sensation de ses lèvres sur moi, on devrait repartir à
l’appartement immédiatement !
Mes idées se dispersent dans l’eau et l’effort me ramène à la réalité. Dans la ligne
d’eau adjacente, une fille nage, je détourne le regard mais il est déjà temps de faire
demi-tour. Je recherche des yeux cette silhouette trop vite aperçue mais personne.
Arrêtée en bout de ligne, je dois attendre un aller retour de plus pour constater que
son maillot une pièce semble abriter une très jolie paire de seins et que son corps
doit être assez ferme et élancé. Je m’imaginerai très bien dévorer son sexe dont la
forme se dessine sur le lycra. Nouvel aller retour. Elle chahute avec quelqu’un, je la
trouve sexy. J’aperçois ma copine qui revient. Il faut que je me calme, je ne sais pas
si c’est l’été, les maillots, la moiteur mais je désire tout le monde, lol. La séance
se termine, nous quittons le bassin. En allant chercher le gel douche et les
serviettes aux vestiaires, je croise la fille de la ligne d’eau. Il suffirait d’un mot
peut-être... Il ne viendra pas.
Je rejoins Laure dans la cabine de douche. Nous nous déshabillons en même temps, en
observant l’autre et en sentant nos corps s’échauffer. Juste derrière la fine paroi,
des enfants jouent dans les douches, des personnes reviennent du bassin en discutant.
Je la regarde et lui dit : « finis ...». Elle se baisse et se lance dans une pipe
mémorable. Partant du bas de mon sexe, sa langue le remonte jusqu’au sommet lentement
avant de m’engloutir violemment. Ses mains prennent mes bourses et la base de mon
sexe, elle me branle et me suce en variant de rythme. Je regarde ce spectacle, je
prends ses cheveux par moments pour lui imposer mon tempo, pour reprendre la main. Des
mots crus me viennent à l’esprit, je regarde son corps nu en lui promettant de ne pas
l’épargner. Nous nous regardant fixement, elle semble me dire : « j’t’aurai, t’es en
mon pouvoir, c’est moi qui contrôle, je te tiens », moi je pense : « t’es douée,
t’aime ca, sal.pe ». Mais pas au sens insulte, au sens « compliment » si on peut dire
ainsi car faut bien se l’avouer : qu’y a-t-il de mieux qu’une femme qui adore le sexe
et qui nous en fait profiter ?
Des conversations totalement banales nous parviennent, nous rigolons : s’ils savaient
! Je lui prends le bras et la relève. Elle se retourne, s’appuie sur le carrelage.
Mon sexe pénètre en elle. Nous n’osons y aller trop fort car le bruit caractéristique
nous compromettrait trop vite. Nous discutons même comme si nous prenions une douche
normale, ca nous amuse beaucoup et nous trompons l’ennemi... J’attrape le gel douche.
Elle s’amuse à serrer très fort son vagin pour me faire craquer. En représailles
j’attrape ses hanches comme je peux avec le flacon de gel douche dans les mains.
J’impose un rythme fort avec des mouvements très amples. Bingo ! Elle se mort les
lèvres pour s’empêcher de gémir. Je relâche un peu, et lui glisse à l’oreille : « tu
fais moins la maline, hein ». Je verse du gel douche dans son dos. Le parfum nous
enivre et les caresses deviennent aériennes. Profitant que je suis occupé, elle donne
de grands coups de reins vers l’arrière. Des éclairs de plaisir me transportent,
j’observe ma bite disparaitre dans sa chatte à chaque mouvement. Puis on entend : «
hey, que faites-vous la dedans ! ». Silence, on ne bouge plus, ce n’est pas possible,
on nous a surpris, la honte ! On ne bouge toujours pas, je suis toujours en elle mais
le temps est suspendu, cette seconde dure une heure ! Puis encore : « Sortez tout de
suite de là !». On n’ose y croire ! Ce n’est pas vrai !
Un bruit vient nous délivrer, un loquet s’est ouvert et on entend un couple sortir et
se faire sermonner ! L’adrénaline redescend brusquement et la peur laisse place à une
excitation sans précédent lorsqu’on réalise ce qu’il se passe et qu’on se sent l’un en
l’autre. Laure se remet à boucher le long de moi, elle me lance des regards pervers
par-dessus mon épaule. L’engueulade se poursuit dehors et je la défonce littéralement.
Ses lèvres doivent être rouges de douleur tellement elle doit les mordre pour éviter
de crier l’intensité de nos ébats. Ramenant du gel douche entre ses fesses, je me
retire de son ventre et présente mon gland à son petit trou. Elle me regarde en me
disant non de la tête mais oui du regard. C’est de la folie, on craque complètement.
Sa chair s’écarte doucement, je prends le temps pour la laisser s’ouvrir à moi, je me
retire après avoir mis le gland, puis après le premier centimètre mais alors que je
vais me retirer une troisième fois, Laure pousse de tout son corps et se retrouve
empalée sur moi. Je retiens un râle soudain et manque de jouir immédiatement. Sentant
la fin si proche, je glisse ma main gauche entre ses cuisse et prend possession de son
sexe. Ma main droite se glisse vers son visage et un doigt vient se faire sucer. Je la
possède entièrement. Je sens ses jambes trembler, mes doigts brulent en elle, je jouis
à mon tour en oubliant le monde et le temps.
parking à grandes enjambées.
Mon regard ne lâche pas les longues jambes de Laure auxquelles sa jupette rose donne
une sensualité folle.
Je repense à cette nuit, à nos ébats et je sens déjà que l'excitation renait. J’ai
adoré ouvrir les yeux dans la nuit moite, la regarder dormir à plat ventre, le drap
sur le côté. J’ai passé ma main le long de son dos, de ses reins puis de ses fesses,
elle n’a pas bougé. En prenant son bras je l’ai incitée à se retourner sur le dos.
Elle s’est donc retrouvée offerte à ma vue impudique. J’ai observé ses petits seins
avec un regard sadique voire même méchant. J’aurai bien aimé qu’ils soient un peu plus
gros mais ils sont très sensibles alors je m’en contente, me suis-je dis. Et oui un
goujat quand j’y repense. Bref, n’y tenant plus, je me suis installé entre ses jambes
et l’ai réveillé en venant en elle. Ca n’a pas été exceptionnel, ca n’a pas été
acrobatique et ca a été rapide mais intense, inattendu et donc génial. Pas un mot,
juste du sexe avant de retomber l’un près de l’autre dans le sommeil.
Ce souvenir m’émoustille et si nous n'étions pas au milieu d'un parking en pleine
après midi, je l'aurai attirée à moi en soulevant sa jupe pour m’immiscer entre ses
cuisses sans enlever son string et retrouver ces moments quick-sex qu’on affectionne
tant.
La piscine est là, je suis déjà en sueur tellement il fait chaud. Nous entrons, la
caissière a la vingtaine, de longs cheveux bruns en chignon avec quelques anglaises
qui courent le long de son visage. Sous
Son t-shirt estampillé « piscine des saules » je distingue la trace de son maillot de
bain et le galbe de sa poitrine. Y a-t-il des mecs qui la branchent ? me dis-je. C’est
certain mais y en a-t-il qui sont capable de l’entrainer dans un cagibi ? Là tout de
suite ? Le fantasme de tout homme, je crois ... Et peut-être bien de toute femme
également. Qui me dit qu’elle n’attend pas que quelqu’un ose, elle doit se dire que
s’est impossible et qu’elle ne sait même pas si elle oserait dire oui.
Je reviens à la réalité en espérant que ma copine n’a pas remarqué cette digression.
Mais elle finit par nous connaitre les mecs... Enfin, bref, nous payons et entrons.
Vestiaires communs, ca j’aime bien. De petites cabines, écouter les gens qui passent à
côté, c’est un peu la même sensation qu’être nu derrière ses volets... Nous pénétrons
à l’intérieur. Elle pose le sac, retire son haut, sa jupe. Je commence à faire pareil
mais c’est elle qui descend mon caleçon. Elle s’agenouille, prend mon sexe à travers
le tissu du maillot de bain, un boxer. Il durcit tout de suite. J’adore ces
initiatives qui transforment la vie en une partie de sexe géante et où l’on sent le
désir de l’autre pour soi. Elle écarte l’élastique de quelques centimètres afin de
libérer mon gland pour l’engloutir une seconde dans ses lèvres. Puis elle se relève et
me dit : « on y va ? ». Ca y est je n’en peux plus ! Avec mes délires salaces sur le
parking et à la caisse, j’étais déjà un peu excité, là ce sadisme de sa part est un
comble.
Je sors de la cabine pas très fier avec ma demi-érection qui se voit pas mal. Mais
elle marche devant moi et les regards que nous croisons vont naturellement plus vers
elle. La froideur de la douche m’aide à retrouver une morphologie plus normale. Nous
arrivons dans le bassin et partons pour quelques longueurs, Laure sort du bassin un
instant. Je sens encore la sensation de ses lèvres sur moi, on devrait repartir à
l’appartement immédiatement !
Mes idées se dispersent dans l’eau et l’effort me ramène à la réalité. Dans la ligne
d’eau adjacente, une fille nage, je détourne le regard mais il est déjà temps de faire
demi-tour. Je recherche des yeux cette silhouette trop vite aperçue mais personne.
Arrêtée en bout de ligne, je dois attendre un aller retour de plus pour constater que
son maillot une pièce semble abriter une très jolie paire de seins et que son corps
doit être assez ferme et élancé. Je m’imaginerai très bien dévorer son sexe dont la
forme se dessine sur le lycra. Nouvel aller retour. Elle chahute avec quelqu’un, je la
trouve sexy. J’aperçois ma copine qui revient. Il faut que je me calme, je ne sais pas
si c’est l’été, les maillots, la moiteur mais je désire tout le monde, lol. La séance
se termine, nous quittons le bassin. En allant chercher le gel douche et les
serviettes aux vestiaires, je croise la fille de la ligne d’eau. Il suffirait d’un mot
peut-être... Il ne viendra pas.
Je rejoins Laure dans la cabine de douche. Nous nous déshabillons en même temps, en
observant l’autre et en sentant nos corps s’échauffer. Juste derrière la fine paroi,
des enfants jouent dans les douches, des personnes reviennent du bassin en discutant.
Je la regarde et lui dit : « finis ...». Elle se baisse et se lance dans une pipe
mémorable. Partant du bas de mon sexe, sa langue le remonte jusqu’au sommet lentement
avant de m’engloutir violemment. Ses mains prennent mes bourses et la base de mon
sexe, elle me branle et me suce en variant de rythme. Je regarde ce spectacle, je
prends ses cheveux par moments pour lui imposer mon tempo, pour reprendre la main. Des
mots crus me viennent à l’esprit, je regarde son corps nu en lui promettant de ne pas
l’épargner. Nous nous regardant fixement, elle semble me dire : « j’t’aurai, t’es en
mon pouvoir, c’est moi qui contrôle, je te tiens », moi je pense : « t’es douée,
t’aime ca, sal.pe ». Mais pas au sens insulte, au sens « compliment » si on peut dire
ainsi car faut bien se l’avouer : qu’y a-t-il de mieux qu’une femme qui adore le sexe
et qui nous en fait profiter ?
Des conversations totalement banales nous parviennent, nous rigolons : s’ils savaient
! Je lui prends le bras et la relève. Elle se retourne, s’appuie sur le carrelage.
Mon sexe pénètre en elle. Nous n’osons y aller trop fort car le bruit caractéristique
nous compromettrait trop vite. Nous discutons même comme si nous prenions une douche
normale, ca nous amuse beaucoup et nous trompons l’ennemi... J’attrape le gel douche.
Elle s’amuse à serrer très fort son vagin pour me faire craquer. En représailles
j’attrape ses hanches comme je peux avec le flacon de gel douche dans les mains.
J’impose un rythme fort avec des mouvements très amples. Bingo ! Elle se mort les
lèvres pour s’empêcher de gémir. Je relâche un peu, et lui glisse à l’oreille : « tu
fais moins la maline, hein ». Je verse du gel douche dans son dos. Le parfum nous
enivre et les caresses deviennent aériennes. Profitant que je suis occupé, elle donne
de grands coups de reins vers l’arrière. Des éclairs de plaisir me transportent,
j’observe ma bite disparaitre dans sa chatte à chaque mouvement. Puis on entend : «
hey, que faites-vous la dedans ! ». Silence, on ne bouge plus, ce n’est pas possible,
on nous a surpris, la honte ! On ne bouge toujours pas, je suis toujours en elle mais
le temps est suspendu, cette seconde dure une heure ! Puis encore : « Sortez tout de
suite de là !». On n’ose y croire ! Ce n’est pas vrai !
Un bruit vient nous délivrer, un loquet s’est ouvert et on entend un couple sortir et
se faire sermonner ! L’adrénaline redescend brusquement et la peur laisse place à une
excitation sans précédent lorsqu’on réalise ce qu’il se passe et qu’on se sent l’un en
l’autre. Laure se remet à boucher le long de moi, elle me lance des regards pervers
par-dessus mon épaule. L’engueulade se poursuit dehors et je la défonce littéralement.
Ses lèvres doivent être rouges de douleur tellement elle doit les mordre pour éviter
de crier l’intensité de nos ébats. Ramenant du gel douche entre ses fesses, je me
retire de son ventre et présente mon gland à son petit trou. Elle me regarde en me
disant non de la tête mais oui du regard. C’est de la folie, on craque complètement.
Sa chair s’écarte doucement, je prends le temps pour la laisser s’ouvrir à moi, je me
retire après avoir mis le gland, puis après le premier centimètre mais alors que je
vais me retirer une troisième fois, Laure pousse de tout son corps et se retrouve
empalée sur moi. Je retiens un râle soudain et manque de jouir immédiatement. Sentant
la fin si proche, je glisse ma main gauche entre ses cuisse et prend possession de son
sexe. Ma main droite se glisse vers son visage et un doigt vient se faire sucer. Je la
possède entièrement. Je sens ses jambes trembler, mes doigts brulent en elle, je jouis
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