Souvenirs de vacances
Récit érotique écrit par The watcher [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenirs de vacances
Je ne crois pas être ce qu’on appelle généralement un voyeur. J’ai vécu longtemps en appartement sans jamais éprouver le besoin d’acheter une paire de jumelles ou de passer la soirée sur le balcon à épier le voisinage dans son intimité. Toutefois, il m’est arrivé d’être le témoin assez privilégié d’exhibitions assez particulières !
Laissez-moi vous les raconter…
Dans le désordre, un matin j’allais à pied chercher le pain à la boulangerie, en empruntant la rue la plus directe pour cela. Sur le chemin, désert, mon attention fut attirée par une voix féminine venant de ma droite. Je me retournais. Là, je vis une jeune femme de 22-23 ans vêtue d’un tee-shirt descendant à mi-cuisse et d’une petite culotte qui ne cachait rien de sa féminité. Assise sur la plus haute marche des escaliers menant à son immeuble elle téléphonait avec un sans fil en gardant ses jambes bien écartées. Par politesse, je me suis arrêté lui dire bonjour. Son entre-jambe était à auteur de mes yeux. Je lui adressais le plus sympathique des sourires en lui disant bonjour. Elle s’excusa alors auprès de son correspondant et me rendis le sourire et le bonjour…Je me rendais compte que ses seins, un 90 C, sans le moindre doute, pointaient sous son tee-shirt ! Je lui montrais le sac à pain, pour lui faire comprendre que je devais partir… Avant je lui adressais un : "peut-être à tout à l’heure", auquel, sans jamais croiser ses jambes, elle me répondit par un clin d’œil et un "peut-être ? ! "
Quelques mois plus tard, début Juillet, je traînais avec des voisines et une de leurs amies, dans la salle des jeunes
C’était un mois de Juillet, comme souvent par ici, assez chaud. Mais la chaleur de la situation n’eut rien à voir avec le soleil ! Nous étions assis sur des chaises disposées en carré. Nos discussions nous amenaient à nous tourner de droite et de gauche. J’ignore pourquoi, mais mon regard fut attiré par l’entre-jambes de M. assise à ma droite. Celle-ci ne portait qu’un caleçon en guise de short et un tee-shirt. Or dans sa position, une jambe croisée sur l’autre, elle m’offrait le spectacle de son minou et de la fine toison de ses 19 ans qui l’encadrait. En discutant, je me permis de faire quelques allusions érotiques et je voyais aux seins qui pointaient sous le tee-shirt de M. et à l’humidité qui couvrait son bas ventre qu’elle commençait à s’exciter. Puis, miracle, mes deux voisines eurent soif et décidèrent d’aller chez elles, chercher des rafraîchissements. On sera de retour dans 30 minutes nous dirent-elles pour ne pas que l’on s’inquiète. J’en profitais donc pour rapprocher ma chaise de celle de M. Je m’assis à califourchon sur celle-ci, rapidement imité par M. certainement amusée par la situation. Nos genoux se touchèrent. J’en profitais pour caresser une cuisse parfaitement épilée de M. Celle-ci ne n’eut aucun mouvement de recul ! Je lui dis alors que je n’avais jamais vu de femme totalement imberbe ou totalement pilée ? Très vite, elle régit : "mais je ne sis pas imberbe ! " Et moi : "prouves-le". Elle regarda tout autour et me dis : pas ici, quelqu’un pourrait rentrer… Je lui proposais d’aller aux sanitaires, dans une autre partie du bâtiment. Sur place elle me proposa de retirer mon tee-shirt afin de pouvoir s’assurer que j’avais moi aussi des poils, sur le torse ou le ventre… Elle tira vers le haut le vêtement, avant de se mettre à rire, "Bon d’accord, c’est pas la forêt tropicale, mais tu as quelques poils ! ". Je m’approchais d’elle, saisissant à mon tour son tee-shirt pour le lui retirer. Dessous, elle ne portait aucun soutien-gorge ! Passant la main sur son ventre lisse , je remontais vers ses seins avant d’emprisonner le gauche dans ma main. Mes massages semblaient faire de l’effet ! De l’autre main je saisis l’autre mamelon que je faisais rouler entre mes doigts… Sa respiration, ses battements de cœur allaient en s’accélérant… Prétextant que je voulais voir de plus près, j’approchais ma bouche du sein droit pour laper le téton bien tendu à grands coups de langue. Ce qui devait arriver arriva, après une bonne séance d’excitation, elle eut un premier orgasme. Afin d’éviter que ses cris n’attirent l’attention, je plaquais ma bouche sur la sienne et notre baiser me sembla durer des heures ! ! ! Nous étions collés l’un contre l’autre, appuyés sur les lavabos. Sans couper le contact entre nos bouches, je soulevais M. pour que ses fesses reposes sur le bord du lavabo. Celle-ci abandonnée au plaisir laissait ses épaules reposer sur le miroir mural. Je saisis alors le bord de l’élastique de son caleçon avant de le faire lentement glisser sur ses cuisses jusqu’au sol. Plutôt que de serrer les cuisses ou de se relever, M. glissa un peu plus vers l’arrière et vint emprisonner ma tête entre ses cuisses. Serrant juste assez pour laisser ma tête progresser vers sa toison dorée dont les poils étaient collés aux lèvres par la mouille ! Je lui fis un cunnilingus qu’elle a apprécié autant que mes premières caresses…
Revenue de son second orgasme, M. se redressa et m’attira à elle par l’élastique de mon short. Une fois celui-ci à terre, elle défit les boutons de mon caleçon et ce qui devait arriver arriva. Alors qu’elle écartait les pans du sous-vêtement, mon sexe en érection jaillit devant ses yeux. Elle poussa un Oh ! évocateur. Je lui demandais si elle voulait goûter et alors que je terminais ma phrase, mon gland tout entier disparaissait dans sa bouche…
J’attendais qu’elle retire mon sexe de sa bouche d’un air dégoûté, quand, au contraire elle accéléra son mouvement. Sa main droite et sa bouche parfaitement coordonnées et les caresses prodiguées sur mes couilles provoquèrent sur moi une érection formidable ! J’allais jouir quand elle se retira. J’étais encore tellement excité qu’il m’a fallu quelques secondes pour réaliser ! Quand je repris mes esprits, elle était debout collée contre moi. Elle déposa un baiser sur mes lèvres avant de me dire : "qu’est-ce que t’attends ? que ça refroidisse ? " A ce moment là, on entendit clairement les voix de mes deux voisines, probablement de retour dans la salle avec les rafraîchissements et qui nous cherchaient… Pour éviter que le moindre bruit ne trahisse notre présence, M. plaça son index sur ma bouche et de l’autre main dirigea vers son bas ventre, mon sexe qui avait quelque peu perdu de sa vigueur ! Juste le temps d’enfiler un préservatif et je lui soulevais les fesses afin de pouvoir pénétrer d’un coup d’un seul en elle. Elle poussa un petit cri dans lequel se mêlaient douleur et excitation. A première vue, mes voisines avaient abandonné leurs recherches, ce qui nous permis de donner du son à notre relation ! Pendant qu’elle montait et descendait le long de ma verge je laissais mes lèvres aller de sa bouche à ses seins, lui soutirant des plaintes chaque fois qu’elles allaient des unes aux autres… Je sentais la sève monter en moi ! Avant de jouir en elle, je lui dis juste "ça vient". Je la reposais sur le sol quand j’eus la surprise de la voir s’agenouiller et, écartant ses fesses, me dire "tu as vu, de là nous plus je ne suis pas épilée. Tu peux t’approcher et voir de plus, près, en profondeur même ! " J’acceptais l’invitation et présentais mon gland devant son anus dilaté… Il n’eut aucune difficulté à rentrer. Alors que je saisissais ses tétons entre mes doigts, j’allais et venais en elle vers notre bonheur commun ! Je me suis rendu compte tout d’un coup que cette coquine était en train de se doigter le minou pendant que m’occupait de son derrière et de ses seins ! Je me croyais dans un rêve. Elle était géniale cette fille, géniale et si douce sous mes doigts ! Au bout de quelques minutes qui semblaient être des heures, nous avons joui en même temps.
On se rhabille mutuellement, on rentre chacun chez soi. Devant chez elle, elle donne rendez-vous chez elle le lendemain. Je rentre ensuite chez moi. Le lendemain j’arrive chez elle. On monte dans sa chambre et sur le lit, je découvre une poche de rasoirs une paire de ciseau et de la mousse à raser… On s’épile mutuellement, puis on fait l’amour…
Nus dans les sanitaires, il fallait vite nous rhabiller, avant d’être effectivement surpris ! Mais avant de prétendre, se rhabiller, une petite toilette s’imposait ! Pour cela, M. entrepris de me nettoyer la verge, d’habiles coups de langue ! de sa main gauche elle essuyait les poils sur mes bourses alors que la droit décalottait mon gland pour tout nettoyer ! Vous pouvez croire qu’un tel nettoyage a eu pour effet de provoquer chez moi une autre érection ! M. éclata de rire en me disant ! C’est une bête de concours ta bite, elle n’en a jamais assez ! Elle enfila mon caleçon qu’elle fit remonter le long de mes cuisses Pour s’amuse elle ne reboutonna celui-ci que de part et d’autre de ma tige tendue ! Puis elle remontant le short jusqu’en haut ! Elle rigolait de voir le vêtement déformé par mon érection ! Puis, je la pris par les hanches pour la placer sur le rebord du lavabo. Une idée me vint à l’esprit. Je la transportais de manière à ce que ses fesses soient devant la boule de savon. Elle se retournant puis, un sourire aux lèvres me dit ! Ca pourra pas rentrer… ! La maintenant en équilibre el lui tenant les cuisses, je lui déposait une bise sur la bouche. Puis, je fis couler un peu d’eau sur mes mains, avant de les savonner. J’entrepris alors de lui nettoyer les fesses et l’anus proprement. J’essuyais proprement le tout avec quelques feuilles d’essuie-mains ! Elle sauta alors du lavabo en disant, voilà, je suis propre ! Et moi, la remontant sur le bord de fonte : pas tout à fait ! Je luis ais alors nettoyé le minou, comme elle venait de faire avec ma verge. Je léchais le jus qui avait coulé sur ses cuisses avant de lécher ses lèvres jusqu’au clitoris ! Elle laissa ses mollets reposer sur mon dos pendant que de la main droite, je maintenais sa position en enfermant son sein ! Son orgasme ne tarda pas à venir ! Une fois ses esprits retrouvés, je l’aidais à descendre du bord du lavabo. Puis, je remontais son caleçon si haut, qu’il pénétra dans sa fente encore un peu humide. Elle éclata de rire et m’embrassa tendrement. Puis, nous décidons de rentrer enfin. Quelle heure pouvait-il être ! Nous marchions cote à cote et tout, d’un coup sa main, vint se placer sur mes fesses, son majeur cherchant mon entrée secrète ! J’en fis de même avec ses fesses avec l’avantage, comme elle ne portait qu’un caleçon de trouver le chemin plus vite ! C’est la première fois que je doigtais une fille marchant à mes cotés. Elle semblait aimer ça ! Ses seins pointaient toujours dans son tee-shirt. Nous nous sommes vite retrouvés devant chez ses amies. Là, après s’être assurée que personne ne nous verrait, elle m’embrassa sur la bouche. Elle m’expliqua ensuite, que le lendemain, elle serait seule l’après-midi. Elle me proposa alors de la retrouver devant le portail à 14 H 00. Un rendez-vous que je ne devais pas manquer ! Elle aurait alors une surprise pour moi !
Cette après-midi là fera peut-être l’objet d’un prochain témoignage. Bon appétit à vous…
Ce que je peux vous dire c’est que personne M. comme moi n’est près à l’oublier …
Laissez-moi vous les raconter…
Dans le désordre, un matin j’allais à pied chercher le pain à la boulangerie, en empruntant la rue la plus directe pour cela. Sur le chemin, désert, mon attention fut attirée par une voix féminine venant de ma droite. Je me retournais. Là, je vis une jeune femme de 22-23 ans vêtue d’un tee-shirt descendant à mi-cuisse et d’une petite culotte qui ne cachait rien de sa féminité. Assise sur la plus haute marche des escaliers menant à son immeuble elle téléphonait avec un sans fil en gardant ses jambes bien écartées. Par politesse, je me suis arrêté lui dire bonjour. Son entre-jambe était à auteur de mes yeux. Je lui adressais le plus sympathique des sourires en lui disant bonjour. Elle s’excusa alors auprès de son correspondant et me rendis le sourire et le bonjour…Je me rendais compte que ses seins, un 90 C, sans le moindre doute, pointaient sous son tee-shirt ! Je lui montrais le sac à pain, pour lui faire comprendre que je devais partir… Avant je lui adressais un : "peut-être à tout à l’heure", auquel, sans jamais croiser ses jambes, elle me répondit par un clin d’œil et un "peut-être ? ! "
Quelques mois plus tard, début Juillet, je traînais avec des voisines et une de leurs amies, dans la salle des jeunes
C’était un mois de Juillet, comme souvent par ici, assez chaud. Mais la chaleur de la situation n’eut rien à voir avec le soleil ! Nous étions assis sur des chaises disposées en carré. Nos discussions nous amenaient à nous tourner de droite et de gauche. J’ignore pourquoi, mais mon regard fut attiré par l’entre-jambes de M. assise à ma droite. Celle-ci ne portait qu’un caleçon en guise de short et un tee-shirt. Or dans sa position, une jambe croisée sur l’autre, elle m’offrait le spectacle de son minou et de la fine toison de ses 19 ans qui l’encadrait. En discutant, je me permis de faire quelques allusions érotiques et je voyais aux seins qui pointaient sous le tee-shirt de M. et à l’humidité qui couvrait son bas ventre qu’elle commençait à s’exciter. Puis, miracle, mes deux voisines eurent soif et décidèrent d’aller chez elles, chercher des rafraîchissements. On sera de retour dans 30 minutes nous dirent-elles pour ne pas que l’on s’inquiète. J’en profitais donc pour rapprocher ma chaise de celle de M. Je m’assis à califourchon sur celle-ci, rapidement imité par M. certainement amusée par la situation. Nos genoux se touchèrent. J’en profitais pour caresser une cuisse parfaitement épilée de M. Celle-ci ne n’eut aucun mouvement de recul ! Je lui dis alors que je n’avais jamais vu de femme totalement imberbe ou totalement pilée ? Très vite, elle régit : "mais je ne sis pas imberbe ! " Et moi : "prouves-le". Elle regarda tout autour et me dis : pas ici, quelqu’un pourrait rentrer… Je lui proposais d’aller aux sanitaires, dans une autre partie du bâtiment. Sur place elle me proposa de retirer mon tee-shirt afin de pouvoir s’assurer que j’avais moi aussi des poils, sur le torse ou le ventre… Elle tira vers le haut le vêtement, avant de se mettre à rire, "Bon d’accord, c’est pas la forêt tropicale, mais tu as quelques poils ! ". Je m’approchais d’elle, saisissant à mon tour son tee-shirt pour le lui retirer. Dessous, elle ne portait aucun soutien-gorge ! Passant la main sur son ventre lisse , je remontais vers ses seins avant d’emprisonner le gauche dans ma main. Mes massages semblaient faire de l’effet ! De l’autre main je saisis l’autre mamelon que je faisais rouler entre mes doigts… Sa respiration, ses battements de cœur allaient en s’accélérant… Prétextant que je voulais voir de plus près, j’approchais ma bouche du sein droit pour laper le téton bien tendu à grands coups de langue. Ce qui devait arriver arriva, après une bonne séance d’excitation, elle eut un premier orgasme. Afin d’éviter que ses cris n’attirent l’attention, je plaquais ma bouche sur la sienne et notre baiser me sembla durer des heures ! ! ! Nous étions collés l’un contre l’autre, appuyés sur les lavabos. Sans couper le contact entre nos bouches, je soulevais M. pour que ses fesses reposes sur le bord du lavabo. Celle-ci abandonnée au plaisir laissait ses épaules reposer sur le miroir mural. Je saisis alors le bord de l’élastique de son caleçon avant de le faire lentement glisser sur ses cuisses jusqu’au sol. Plutôt que de serrer les cuisses ou de se relever, M. glissa un peu plus vers l’arrière et vint emprisonner ma tête entre ses cuisses. Serrant juste assez pour laisser ma tête progresser vers sa toison dorée dont les poils étaient collés aux lèvres par la mouille ! Je lui fis un cunnilingus qu’elle a apprécié autant que mes premières caresses…
Revenue de son second orgasme, M. se redressa et m’attira à elle par l’élastique de mon short. Une fois celui-ci à terre, elle défit les boutons de mon caleçon et ce qui devait arriver arriva. Alors qu’elle écartait les pans du sous-vêtement, mon sexe en érection jaillit devant ses yeux. Elle poussa un Oh ! évocateur. Je lui demandais si elle voulait goûter et alors que je terminais ma phrase, mon gland tout entier disparaissait dans sa bouche…
J’attendais qu’elle retire mon sexe de sa bouche d’un air dégoûté, quand, au contraire elle accéléra son mouvement. Sa main droite et sa bouche parfaitement coordonnées et les caresses prodiguées sur mes couilles provoquèrent sur moi une érection formidable ! J’allais jouir quand elle se retira. J’étais encore tellement excité qu’il m’a fallu quelques secondes pour réaliser ! Quand je repris mes esprits, elle était debout collée contre moi. Elle déposa un baiser sur mes lèvres avant de me dire : "qu’est-ce que t’attends ? que ça refroidisse ? " A ce moment là, on entendit clairement les voix de mes deux voisines, probablement de retour dans la salle avec les rafraîchissements et qui nous cherchaient… Pour éviter que le moindre bruit ne trahisse notre présence, M. plaça son index sur ma bouche et de l’autre main dirigea vers son bas ventre, mon sexe qui avait quelque peu perdu de sa vigueur ! Juste le temps d’enfiler un préservatif et je lui soulevais les fesses afin de pouvoir pénétrer d’un coup d’un seul en elle. Elle poussa un petit cri dans lequel se mêlaient douleur et excitation. A première vue, mes voisines avaient abandonné leurs recherches, ce qui nous permis de donner du son à notre relation ! Pendant qu’elle montait et descendait le long de ma verge je laissais mes lèvres aller de sa bouche à ses seins, lui soutirant des plaintes chaque fois qu’elles allaient des unes aux autres… Je sentais la sève monter en moi ! Avant de jouir en elle, je lui dis juste "ça vient". Je la reposais sur le sol quand j’eus la surprise de la voir s’agenouiller et, écartant ses fesses, me dire "tu as vu, de là nous plus je ne suis pas épilée. Tu peux t’approcher et voir de plus, près, en profondeur même ! " J’acceptais l’invitation et présentais mon gland devant son anus dilaté… Il n’eut aucune difficulté à rentrer. Alors que je saisissais ses tétons entre mes doigts, j’allais et venais en elle vers notre bonheur commun ! Je me suis rendu compte tout d’un coup que cette coquine était en train de se doigter le minou pendant que m’occupait de son derrière et de ses seins ! Je me croyais dans un rêve. Elle était géniale cette fille, géniale et si douce sous mes doigts ! Au bout de quelques minutes qui semblaient être des heures, nous avons joui en même temps.
On se rhabille mutuellement, on rentre chacun chez soi. Devant chez elle, elle donne rendez-vous chez elle le lendemain. Je rentre ensuite chez moi. Le lendemain j’arrive chez elle. On monte dans sa chambre et sur le lit, je découvre une poche de rasoirs une paire de ciseau et de la mousse à raser… On s’épile mutuellement, puis on fait l’amour…
Nus dans les sanitaires, il fallait vite nous rhabiller, avant d’être effectivement surpris ! Mais avant de prétendre, se rhabiller, une petite toilette s’imposait ! Pour cela, M. entrepris de me nettoyer la verge, d’habiles coups de langue ! de sa main gauche elle essuyait les poils sur mes bourses alors que la droit décalottait mon gland pour tout nettoyer ! Vous pouvez croire qu’un tel nettoyage a eu pour effet de provoquer chez moi une autre érection ! M. éclata de rire en me disant ! C’est une bête de concours ta bite, elle n’en a jamais assez ! Elle enfila mon caleçon qu’elle fit remonter le long de mes cuisses Pour s’amuse elle ne reboutonna celui-ci que de part et d’autre de ma tige tendue ! Puis elle remontant le short jusqu’en haut ! Elle rigolait de voir le vêtement déformé par mon érection ! Puis, je la pris par les hanches pour la placer sur le rebord du lavabo. Une idée me vint à l’esprit. Je la transportais de manière à ce que ses fesses soient devant la boule de savon. Elle se retournant puis, un sourire aux lèvres me dit ! Ca pourra pas rentrer… ! La maintenant en équilibre el lui tenant les cuisses, je lui déposait une bise sur la bouche. Puis, je fis couler un peu d’eau sur mes mains, avant de les savonner. J’entrepris alors de lui nettoyer les fesses et l’anus proprement. J’essuyais proprement le tout avec quelques feuilles d’essuie-mains ! Elle sauta alors du lavabo en disant, voilà, je suis propre ! Et moi, la remontant sur le bord de fonte : pas tout à fait ! Je luis ais alors nettoyé le minou, comme elle venait de faire avec ma verge. Je léchais le jus qui avait coulé sur ses cuisses avant de lécher ses lèvres jusqu’au clitoris ! Elle laissa ses mollets reposer sur mon dos pendant que de la main droite, je maintenais sa position en enfermant son sein ! Son orgasme ne tarda pas à venir ! Une fois ses esprits retrouvés, je l’aidais à descendre du bord du lavabo. Puis, je remontais son caleçon si haut, qu’il pénétra dans sa fente encore un peu humide. Elle éclata de rire et m’embrassa tendrement. Puis, nous décidons de rentrer enfin. Quelle heure pouvait-il être ! Nous marchions cote à cote et tout, d’un coup sa main, vint se placer sur mes fesses, son majeur cherchant mon entrée secrète ! J’en fis de même avec ses fesses avec l’avantage, comme elle ne portait qu’un caleçon de trouver le chemin plus vite ! C’est la première fois que je doigtais une fille marchant à mes cotés. Elle semblait aimer ça ! Ses seins pointaient toujours dans son tee-shirt. Nous nous sommes vite retrouvés devant chez ses amies. Là, après s’être assurée que personne ne nous verrait, elle m’embrassa sur la bouche. Elle m’expliqua ensuite, que le lendemain, elle serait seule l’après-midi. Elle me proposa alors de la retrouver devant le portail à 14 H 00. Un rendez-vous que je ne devais pas manquer ! Elle aurait alors une surprise pour moi !
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