Souvenirs : Mathilde 1 - histoire érotique

Tout ce qui suit est absolument vrai (meme si les prénoms qui suivent ont été changés)
J ai rencontré Mathilde j avait 19 ans.C a été le flash de suite: 1m76, 18 ans dans quelques jours un corps de manequin,des grands yeux bleus,de longs cheveux blonds bouclés...vraiment trés trés belle.
On s est rencontré dans l avion du retour a la fin d un voyage d étude (une dizaine d heures).Elle était assise a coté de moi et avec un pote que je m était fait pendant le trip , on a commencé a sympatiser.On a rigolé tout le long du voyage et tout les deux on se trouvait plein de points commun.Mine de rien on se rapprochait de plus en plus (meme physiquement).Moi perso (et comme d'ab') j'avait rien capté.Mon pote se leve pour aller aux chiottes et je le suis .
-putain! On dirait que ca marche tout les deux" s'esclaffe t-il.
-tu trouves?
Cest vrai que quand je suis en forme j ait un humour qui en général plait bien aux filles.A l aéroport on s échange les numéros .Elle habite Paris et moi marseille ,mais trés vite on reprend contact au téléphone et on arrive a bien délirer.Ca continue comme ca pendant a peu pres 3 mois et je désespérait de la revoir.Malgrés le fait qu on soit loin tous les deux , j arrivait pas a l'oublier et si on s appelait pas de 3 jours j en était malade.Se pouvait t il que je tombe amoureux alors que je ne la connaissait physiquement que de quelques heures? J avait bien l impression que je ne la laissait pas indifférente mais j y croyait pas.
Un jour elle m annonce qu elle vient passer quelques jours dans le sud chez sa tante, a Rognes a 1/2 heure de Marseille !!!
Dès son arrivée je lui telephone afin de lui proposer de visiter la région.Ni une ni deux , je plaque rapide l anniv' de ma soeur .Il est 13h quand je sonne enfin chez sa tante .J'ai le coeur qui bat la chamade. La porte s ouvre : c est elle !!! Plus resplendissante que jamais , ses longs cheveux bouclés s illuminant au soleil , elle est plus belle que jamais.
Mathilde me presente mes hotes : Sa soeur Magdalena (plutot jolie, la vingtaine,plus fine, brune) , sa mère (plus jeune on comprend qu elle avait du etre tres belle ,la cinquantaine) et sa tante ( rien a voir !!! moche ,petite , plutot ronde , la soixantaine).On boit le café en sortant des banalités sur la region , tout ca...Je comprend que toute la petite famille va partir aux commissions et bientot il ne reste plus que Mathilde et moi a la maison. Restés tout les deux on continue a blaguer en riant de plus en plus fort, quand je lui propose d aller faire un tour en voiture pour balader .
On se lève et tout en parlant , nous somme tout a coup tres proche l un de l autre.
Je ne sait encore comment , je me retrouve a l embrasser tendrement , baisers qu elle me rend de plus en plus fougueusement !!! Je me rappelle l avoir bloquée contre la table de la salle a manger et tout en couvrant le haut de son corps de baisers , tout fievreux je commencait a lui masser les seins a travers ses vetements . Mathilde se laissa enlever son pull , ses yeux plantés dans les miens; Pour la premiere fois je la comtemplait en soutient-gorge (elle portait toujours sa légere jupe longue) : fine , des seins bien ronds et gonflés,tendus ( 85-D !! je l ait appris par la suite) . Le soutient ne dure pas longtemps et je me retrouve alors ,là , debout en train de lui petrir les seins quand , Mathilde , tout en continuant a me regarder droit dans les yeux d un air mi-étonné mi décidé , commence a défaire la ceinture de mon jean !!! N osant encore y croire je sent pourtant sa main qui essait de se refermer sur mon sexe a l interieur du pantalon.J ouvre les yeux quand je sens qu elle le sort avec difficultes .Dans ses yeux je vois comme de la surprise d etre dans cette situation , a moitié a poil ,au beau milieu de la cuisine provencale de sa tante , en pleine apres midi , pendant que sa mère partie aux commissions, elle branle doucement la bite de 20 cm d'un gars qu elle connait si bien et si peu a la fois.
Baissant le regard vers mon bas ventre , elle est comme hypnotisée par le mouvement de sa main .Alors que son regard se replonge droit dans le mien , elle recule et se penche doucement en avant . Elle me murmure tout bas , tres serieuse:
-Regarde ...ce que tu ...me fais..... faire ...
Ce dernier mot , je l ait plus deviné que réellement entendu.
Ses yeux a hauteur de mon sexe tendu a craquer , elle fixe quelques instant du regard sa main qui continue son vas et viens , tout doucement. D un air dur , Mathilde pose alors ses jolies levres presque fermées sur mon gland , et au bout d interminables secondes , commence a l enfoncer millimetre par millimetre dans sa bouche. Le cerveau disjoncté , je suis incapable de bouger , les bras le long du corps . Arrivée a mi-longueur , elle s arrete , essaie de respirer un grand coup , ce qui fait inconsciemment bouger sa langue. Mes yeux , que je devine révulsés, la scrute. D'un air concentré , elle recule tout doucement , le regard fixé sur la base de mon sexe. De nouveau face a celui ci , elle lève enfin les yeux. Je me sens péter un cable face a ce regard embrumé et ces lèvres légerement humides.Je suis debout , droit comme un I . Mon regard tombe alors sur son dos nu et sur le haut de ses fesses dont la jupe épouse parfaitement les courbes .Elle est toujours penchée en avant , bien cambrée , de nouveau en train de regarder sa main s affairer lentement , quand je vois mes mains plaquées de chaque cotés de son dos descendrent doucement puis , s aggripant a sa jupe , la font remonter , découvrant ses jambes fines , puis ses fesses parfaites,galbées , ornées de deux magifiques fossettes.Dans un demi reve ,légerement courbé vers l avant , ,j accroche alors délicatement mes mains au milieu de chacune de ses fesses le plus bas possible , passant sous sa culotte et la repoussant , pendant que Mathilde renfonce doucement mon membre dans sa gorge. Une nouvelle fois a mi longueur , elle s'arrete.Je sens mon gland buter sur quelque chose ,ce qui me donne un frisson qui m electrise et me fait me redresser d un coup ,m enfoncant malgres moi de quelques cm supplementaires dans sa bouche , forcant cette barriere invisible . Je remarque une fraction de seconde son haut le coeur , ses sourcils froncés ,mais reculant doucement elle se maitrise puis d un regard vitreux , me murmure une fois dégagée:
-doucement ...j ai pas trop l habitude ...
Devant mon absence de reaction (j avais le cerveau en fusion) ,et ce membre tendu face a elle , Mathilde m aggrippe d une main la fesse a travers mon pantalon et de l autre tire sur la base du sexe , et engloutie une nouvelle fois ma bite .Elle commence a l aide de sa bouche finement dessinée a me pomper legerement plus vite , sans bouger sa main , toujours sans brusquerie .Là , je glisse mes mains de chaque cotés de son dos et par dessous lui englobe chaque sein .Il sont lourds , bien pleins et bien ronds . Mon regard enfievré tombe sur son petit cul decouvert , la jupe haute sur ses hanches et la culotte au niveau du haut des jambes et , posant une main sur sa nuque , je ne peux m empecher de donner un coup de rein ,lent mais puissant , un bref instant .
Elle s arrete alors, déglutit puis continue , toujours sur le meme rythme : elle ressort ma queue la regarde longuement puis me regarde d un air mysterieux ,et replonge.
Elle essayait de pousser encore plus loin ma bite dans sa gorge , les yeux grands ouverts fixant un point imaginaire sur mon bas ventre , tout doucement ,millimetre par millimetre , quand nous entendimes clairement une clef tourner dans la serrure de la porte d entrée : ils était déja de retour !!!
Rapidemment elle se releva et ,rabaissant sa jupe et renfilant son pull qu elle portait a meme la peau , elle me murmura rapidemment :
-Vite , vite !!
J eut a peine le temps de me rajuster quand sa petite famille entra dans la cuisine , toute surprise de nous trouver encore là. Le feu aux joues et le regard brillant mathilde bredouilla qu on regardait des photos du voyage d étude mais que ceci étant fait nous nous appretions a partir .Bien ; personne ne trouvait ca suspect .Je surpris alors le regard de Magdalena qui glissa une fraction de seconde sur la protubérance saillante de mon jean .Nous sortimes de chez sa tante , sourires crispé , avec la promesse de revenir pour le diner .Sur le chemin de la voiture elle me donna la main et , pressant sa bouche contre mon oreille , me murmura :
-Je sais pas ce qui nous a pris , c était moins une ...
En réalité , ai-je pensé a cet instant :"je sais pas ce qui T'AS pris ..." mais j ai rien dis , incapable d analyser la situation que je venais de vivre.
Arrivés a la voiture , nous nous embrassames furieusement et nous primes la route en plein campagne .
Je regardais la montre la main sur sa cuisse quand elle me dis:
-Qu est ce qu on fait maintenant ?
Mon sang ne fit qu un tour mais ca ...c est une autre histoire...