sportez vous bien sur le campus 974

- Par l'auteur HDS Yenaki -
Récit érotique écrit par Yenaki [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : sportez vous bien sur le campus 974 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2011 dans la catégorie Plus on est
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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sportez vous bien sur le campus 974
Lorsque j’étais étudiant, A l univeristé de Saint Denis, à chaque fin d année, les volontaires participaient à un spectacle de fin d’année avec le service universitaire des activités physiques et sportives. Et chaque année des couples se faisaient à ce moment. Pratiquant régulier en sport , j allais donc participer à cette méga fête. Depuis 3 semaines avant le final , il y a avait les répétitions par petits groupes. J’y allais en kimono, ce qui était normal vu ma discipline, et bien qu’il y avait des filles sympas dans notre activité, à chaque pause je lorgnais plus vers les danseuses de salons ? De vrais tentatrices avec leurs tenues hautement colorées, pleines de paillettes, des collants et des décolletés affolants. Parfois même pour des tableaux, on apercevait des costumes et des plumes, un peu comme pour le french cancan. Entre différents passages, avec d’autres copains guerriers, on se régalait du spectacle de toutes ces jolies filles, et on comprenait bien aussi que cela leur plaisait beaucoup de nous sentir venus mater. Avec Gilbert un lourd de plus de 100 kg, on a vite sympathisé avec quelques filles dont Julie et Simone, deux brunes menues et mignonnes, très mignonnes. De discussions en taquineries, les filles ont confirmé être célibataire pour l une et avoir un copain qui habite bien loin dans le sud de l ile. Tiens en cas de doute, çà c’était dit et clair. Un jour elle nous ont sollicité pour les ramener après une répétition qui finirait un peu tard, vers 21h. Gilbert était ravi Simone était tout à son goût , elle ne manquait pas de rire à chacune de ses blagues, quand à moi je dois avouer que Julie j en rêvais déjà depuis quelques jours. Je me doutais bien qu’elle ne faisait pas qu’accompagner son amie pour que celle ci apprivoise ce gros tas de muscles nommé Gilbert.
Sur une aire gazonnée en allant vers le parking voitures, Simone à Gilbert :
-« si on t attaquait en vrai, tu saurais te défendre ? »
_ oui je crois que oui. Faut être certain, ce soir tu es mon body-Guard. On va tester.
Et de chamailleries en bousculades plus amusantes que dangereuses, la Simone qui attaquait s’est retrouvée en travers sur les épaules du Gilbert qui une main entre ses cuisses et l autre à un poignet, la soulevait de terre et amorçait un kataguruma : Le combat de David et Goliath. Et les petits poings tambourinant son épaule, ressemblait plus à un massage énergétique qu’à autre chose… on en riait tous, sauf Simone qui hurlait lorsqu’elle le sentit tourner et la saouler à bien 1m70 du sol (Gilbert mesure 1m87). Gilbert criait aie aie aie ? Il ne sentait rien si ce n est ses battements de cœur en accélération, non pas du fait du poids léger de sa miss mais de ses émotions en débordement. A 19 ans Il n avait jamais eu de copine !!! il voulait la garder le plus longtemps contre lui.
et Julie de me défier :
- j ai un vieux tour de ma grand mère, je vais le tester sur toi… ni une ni deux elle se met en garde puis brusquement, me fixe dans les yeux : des yeux de biche, maquillés et prolongés de grands cils noirs, un sourire gracieux et là plissant les yeux de malice, (là je bandait déjà, vive les pantalons amples de kimono) elle soulève sa jupe à me montrer sa culotte, et pendant que scotché je fixais l objet de mes rêves, une culotte noire échancrée et ajourée avec un liseré rouge, elle abusa de mon état de paralysie momentanée et m asséna deux coups qui firent mouche avec ses petits poings mal fermés. Et d’un éclat de rire elle me tournait autour avec un j ai gagné, j ai gagné…
- C’est de la triche
- Mauvais joueur, tu veux une revanche ?
- Ben sûr que oui et là, Simone et Julie, complices en un clein d œil, elles avaient évidement prémédité leur coup nous préviennent que ce sera une attaque simultanée, elle sur Gilbert et Sylvie contre moi.
Les grands yeux ronds, Gilbert dépassé par la situation, m interroge du regard, je lui dis :
- J ignore de quoi elles seraient capables, alors je lui dis, faussement sérieux « gamae » (en garde !). En face en bataille rangée, à un signal convenu, le classique banzaï, les deux filles se jettent à notre cou, les lèvres en avant et nous agressent de leur baiser le plus fougueux. Un vrai pelotage en règle s’en suit et dans une pseudo lutte nous sommes renversés à même le gazon, chevauché chacun par une déesse semblant ne jamais vouloir reprendre leur souffle. Et la Simone de se vanter,
- -et comment dites vous je me rend en japonais ?
- Je vais te montrer. Et v’la le Gilbert qui tapote les fesses de son amie, par série de deux claques
- Arrêtes de te battre , rends toi,
- C est ce que je fais mais tu continue tes bisous, je continue à me rendre.. on tape deux fois au sol ou sur son adversaire car parfois on ne peut même pas parler. En guise de se rendre il était clair qu’il lui pelotait maintenant les fesses plus qu’autre chose. Et la Julie de poser mes mains sur ses petits nichons fermes et pointus d agressivité et me demandant toi aussi tu te rends ?
- Oui j avoue être vaincu , je suis votre esclave…

-On vous garde quand même en garde du corps mais, faudra assurer mieux que çà dit elle coquinement, passant la main dans ses cheveux accompagné d un roulis de hanche très suggestif et d un sourire à nous stupéfier à nouveau.
Gilbert se met au volant invitant Simone a ses cotés, elle monte, s assoit et laisse sa jupe remontée sur les cuisses, pendant que Julie me pousse à l arrière de la petite voiture, me tapotant les fesses au passages et commentant, c’est bien ferme tout çà, musclé, humm.
A peine elle s assoit à mes coté qu’elle continue, « et pas que les fesses qui sont bien dures », et joignant le geste à la parole elle me roule une autre pelle tout en caressant ma bite toute raide, Je lui prends la nuque d une main, répond à son baiser profond et caresse ses cuisses et commence à remonter . Une tape et j entends, « vilain petit coquin patience. Après la douche ».
- Merci sinon c’était pas juste, moi le mien il n est pas encore dispo, il conduit , dit notre copilote qui ne se prive pourtant pas d’affoler notre Goliath avec une main baladeuse.
On monte dans leur appartement, et chacune des colocataires nous disent on va prendre une douche, servez vous de bières dans le frigo, et les voilà s’enfermant en même temps dans la salle de bain..
- Voulez de l aide ? les filles ?
- Patience, j ai déjà ma chérie pour me frotter le dos
- On peut regarder ?
- Non répondent elles en cœur.
Elles en rajoutaient pour nous exciter et cela marchait à fond,
A peine rincées, encore provocatrices, on fait vite, encore deux minutes nos beaux guerriers, préparez vos armes , vous en aurez besoin . Pour sur on n’allait pas partir :
-Elles sont chaudes, je sens que je vais me régaler, murmurait Gilbert, et moi j avais pas prévu que çà marcherait dès ce soir tu as des capotes ?
-Z’inquiétez pas, tout est prévu, répondirent elles en gloussant de leur bonne répartie
-Les salopes, m’exclamais-je d un ton rieur .
- on assume, à vous d assurer !!!
elles sortirent ensemble habillées de la même nuisette, les mêmes lacets dans le dos, la même ceinture en tissu, très calculé très provoc, et là, un smack entre elles et un « maintenant chacun sa chambre ». Etaient elles gouines ou bi, était juste un jeu pour nous allumer encore ? elles se séparèrent pour nous rejoindre.
Avec Julie, on s’est caressé tout en se déshabillant, enfin surtout moi, car elle a spontanément gardé son déshabillé transparent et si bandant, et même son string je l ai invité à le garder :
je le pousserais sur le côté » c’est encore plus excitant, les yeux brillants elle a aussi apprécié ce délice, on s’est vite retrouvé en 69, à rouler et se dévorant l’un l’autre, moi nu comme un verre , la verge dans sa bouche si douce, pendant que ma langue parcourait son sillon. D’une main je lui agrippais une fesse de l autre j’écartais son string mouillé. Elle me suçait le gland descendait aux boules et remontait avec un tel savoir faire que je n ai pas tardé à lui juter le tout en bouche. J’ai joui très fort en criant mon plaisir, elle aussi manifestait bruyamment le sien mais sans réclamer de répit. Elle a tout avalé et je me suis un peu reposé en continuant à la dévorer en posant cette fois ses mollets à mes épaules, elle sur le dos. ‘j étais alors plus à l aise pour débusquer son bouton d’amour, pour froisser défroisser ses grandes lèvres, aspirer, mordiller et déclencher chez Julie ces cris qui ml encourageaient tant. Un peu après elle a joui si fort qu’en serrant les cuisses on aurait cru à une tentative d’étranglement avec les jambes. En combat cela n’aurait as été réglementaire, je n’avais pas de bras pris entre ses cuisses. Je m activais encore plus sur son clitoris tout dressé et sorti. Ensuite elle m’a resucé un peu et à peine ragaillardi, on a baisé dans toutes les positions qu’une danseuse souple et un sportif musclé peuvent combiner.
La levrette, le classique missionnaire bien évidemment. J ai surtout adoré la faire glisser debout sur ma verge, elle de dos les pieds en crochet à l’arrière de mes cuisses et et les mains dans mes cheveux pendant qu’on s embrassait. Ses cris de jouissance de « c’est trop bon continue, c’et encore meilleur qu’avec mon copain », m encourageaient.
Je la portais debout, tenant sous ses cuisses à la base des fesses, elle était si légère que cela m’était facile . Si bon qu’elle en trouvait encore la souplesse de bassin à onduler pendant mes montées descentes dans sa chatte si accueillante et lubrifiée. A un moment on a quand même rechangé de position et de face, elle s activait sur ma queue bien plantée, moi assis sur sa chaise de bureau. A chaque montée descente ses petits seins se frottaient au rares poils de mon torse et m électrisaient. On a fini dans un râle de jouissance, tout en sueur, collés et allongés l’un contre l’autre. On est restés un long moment en silence, le sourire aux lèvres à s’embrasser encore et encore, et en recommençant à parler elle me dit : j espère que Gilbert , avec son poids n aura pas écrasé ma petite chérie ? on en a rit en pariant sur nos prouesses de position, à deviser sur celles qu’ils ont pu tester ou pas de leur côté. On s’est promis de recommencer, et je lui ai alors dit j ai vu que tu es souple, très souple, moi aussi je sais faire le grand écart…
Quand on les a rejoint dans le salon le sourire de Simone n’avait d égal que les yeux brillants de celui qu’elle appelait déjà son Doudou.
Yenaki 974

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T'as trop de la chance, je suis dans l'autre université de l'île et ça ne m'est jamais arriver.

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