Streaptease imprévu

- Par l'auteur HDS Bigmateur -
Récit érotique écrit par Bigmateur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Streaptease imprévu Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2004 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Streaptease imprévu
Je tiens à vous raconter une histoire qui a
bouleversé ma relation avec ma femme .. Il y a de cela
deux ans, nous étions chez un de mes amis, ancien
camarade de lycée , aujourd'hui médecin. Le repas
était terminé, son épouse, Myriam avait couché les
enfants et nous bavardions au salon. Jacques posait
avec insistance son regard sur mon épouse depuis le
début de la soirée : nous nous étions peu vus ces
dernières années et ce soir là de plus Patricia avait
mis une jupe, ce qu'elle fait très rarement et Jacques
jetait des coups d'oeil prononcés quand ma femme
décroisait ses jambes : elle portait des collants
foncés sous sa jupe qui lui arrivait à mi-genoux et
par moment elle tirait nerveusement sur le bas de
cette jupe ne faisant qu'attirer encore plus ses
regards . La vue de Jacques se portait aussi vers le
buste de mon épouse, car son chemisier blanc assez
léger laissait deviner par moment les motifs de sa
combinaison et des bretelles de son soutien-gorge
d'autant que sa poitrine plutôt forte tendait bien le
tissu du chemisier. Ma femme est du genre très
classique, avec ce genre de lingerie comme une
combinaison et surtout très pudique, or elle portait
curieusement ce corsage plutôt transparent qui
attirait l'oil et mettait c'est vrai en valeur sa
poitrine. La conversation porta sur un examen qu'elle
devait passer sur Toulouse ce qui nous obligeait à
faire plus de six cents kilomètres en une journée le
mercredi suivant , trajet qui pour l'instant posait
des problèmes encore non résolus. Jacques après s'être
enquérit sur la nature de cet examen de routine pour
un certificat nécessaire au travail de mon épouse
s'exclama alors : « Mais je suis parfaitement habilité
à produire ce certificat ! » Muriel confirma et quand
Jacques nous proposa de passer dans son cabinet
attenant à l'appartement je me suis souvenu après coup
d'un regard entendu entre lui et Myriam. Myriam et
Patricia étaient très différentes, elle exubérante et
ma femme réservée, et j'avais remarqué qu'elles se
chamaillaient parfois sur des broutilles. Quand
Jacques nous fit asseoir dans les deux fauteuils en
face de son bureau je m'attendais à ce qu'il nous
remplisse ce certificat sans tarder. Myriam, elle,
avait pris place sur une chaise sur le coté. Jacques
posa quelques questions relatives à l'examen à ma
femme tout en continuant de par sa position surélevée
derrière le bureau à fixer ses jambes.
Je sentais Patricia gênée comme si elle avait anticipé
la phrase qu'il prononça alors à mon intention : « Tu
comprendras, Patrick, qu'avant de signer ce certificat
je doive procéder au moins à un examen sommaire de ta
charmante épouse - il avait appuyé sur ces derniers
mots - aussi dois-je demander à Patricia de se
déshabiller. »
Je suis restée interloqué, mais mon regard fut tout
de suite attiré par la réaction de ma femme : Patricia
avait sursauté et s'était retournée vers moi en
faisant non de la tête... J'allais répondre à Jacques
que c'était trop gênant, quand Patricia me devança
finalement mais elle bafouillait comme saisie par une
émotion forte : «C'est une plaisanterie, Pas question,
dis-lui ; Patrick... enfin c'est pas possible »
J'obtempèrais dans ce sens : « Ca me semble plus que
gênant pour elle, Jacques... » Mais disant ces mots je
ressentais l'ambiance équivoque qui d'un coup s'était
installée...
C'est l'intervention de Myriam qui me décida si je
puis dire à ne plus prendre le parti de ma femme :
d'une voix douce elle expliqua à Patricia que c'était
impossible pour Jacques de faire ce certificat sans
l'ausculter et qu'il ferait très vite pour ne pas
l'embarrasser, mais qu'elle devait pour cela se
dévêtir entièrement. Ce dernier mot - entièrement- fit
un effet terrible sur ma femme qui devint toute rouge,
mais provoqua alors chez moi je dois le reconnaître
l'envie de voir Patricia obligée de se dénuder devant
mon ami et sa femme...
Patricia s'était levée pour quitter la pièce mais je
l'arrêtais, pris d'une étrange sensation,
indéfinissable mais je ressentais le désir de la
pousser à l'humiliation et surtout devant Jacques qui,
maintenant je le savais, n'attendait qu'une chose : se
rincer l'oeil avec elle.
« Il faut profiter de l'occasion d'avoir ce
certificat, ce serait trop bête autrement... »
Patricia se fâcha alors : « Mais tu te rends comptes
de ce qu'il me demande... et toi tu veux que je me
déshabille devant lui ! ! » « Mais enfin il est
médecin, c'est normal pour un examen » rétorquais-je
et je m'étais levé face à elle pour lui barrer le
passage...
Les yeux embués, Patricia laissa échapper un «je t'en
prie... » qui mourut au fond de sa gorge... puis elle
ajouta «je ne suis pas habillé pour un examen »...
allusion au fait qu'elle était en jupe, et je savais
parfaitement qu'elle ne se mettait ni en jupe, ni en
robe pour les visites médicales... Patricia
m'interrompit à nouveau dans mes pensées : »Tu ne
peux pas me faire ça. Pas ça, ....non, j'aurais trop
honte « Elle commençait à paniquer, à la limite du
ridicule, Myriam se retenait de rire, je m'en
souviens.tout cela était incroyable : je trouvais ma
femme si attirante dans sa pudeur. Une phrase absurde
me traversa la tête : « Si tu veux, je sors... »
Patricia les yeux suppliants me demanda au contraire
de rester « Si je me déshabille je veux que tu sois là
» Je me rassis alors comme pour assister à ce qui
allait suivre, regarder ma femme se déshabiller, chose
aussi dont je n'avais pas le loisir chez nous,
Patricia allant toujours s'enfermer quand elle se
changeait .
Je me rendis compte combien la situation était
humiliante pour elle et je commençais à ma grande
surprise à ressentir un début d'érection. Jacques lui
salivait littéralement enfoncé dans son fauteuil, les
yeux exorbités par le désir... Patricia semblait
ailleurs, puis elle demanda juste à Jacques si elle
devait vraiment se déshabiller complètement... Jacques
sentant que peut-être ma femme allait se raviser et
refuser définitivement cet examen, les yeux rivé sur
son chemisier puis sur ses jambes lui répondit : «
Rassures-toi, tu pourras garder ta culotte sans doute
si je n'ai pas l'utilité d'un examen plus poussé. »
Patricia eut un sursaut en entendant ces mots, elle
n'arrivait à se faire à l'idée finalement d'offrir un
strip-tease à Jacques et à sa femme qui la fixait d'un
air narquois, elle se tenait toujours debout et elle
eut comme un tremblement quand elle voulut défaire le
premier bouton attaché de son chemisier. « c'est pas
possible, vous êtes tous les trois à me regarder ! »
Cette fois je haussais le ton : « assez, tu fais
perdre son temps à tout le monde. ! » Elle retendit
ses mains vers son col, puis laissa retomber ses bras
: « non , je ne peux pas. » Myriam lui coupa la parole
: « ce sera très vite fait avec moi ! » Elle s'était
levée d'un coup pour se placer devant ma femme.
Jacques rétorqua : « pas trop vite, tout de même »
Myriam avait aussitôt attaqué le premier bouton du
chemisier, puis un a un avec dextérité elle
déboutonnait tout en ne quittant pas des yeux le
visage de Patricia qui se décomposait : je n'en
revenais pas : Patricia se laissa faire. Les boutons
sautèrent les uns après les autres et d'un geste sec
Myriam avec un grand sourire entendu en direction de
son mari tira en arrière sur le chemisier tout en
tournant autour de sa victime : elle tira le vêtement
le long des bras de Patricia dévoilant son buste serré
dans le haut de la combinaison soyeuse . Le mouvement
lui fit même redresser les seins et tendit les
brettelles de la combinaison et du soutien gorge blanc
qu'elle portait dessous. Le visage de ma femme était
cramoisi : Myriam par ce geste l'offrait aux regards
de son mari.
Jacques était devenu rougeaud à son tour en plongeant
ses yeux sur les dessous de ma femme. Moi aussi je
prenais un plaisir nouveau en détaillant cette
combinaison ouvragée et ce que l'on voyait du
soutien-gorge aux larges bretelles qu'elle recouvrait
en haut. Myriam après avoir tombé le chemisier
s'attaquait déjà à la fermeture de la jupe. Patricia
était comme une marionnette, elle tourna la tête en se
mordant la lèvre inférieure quand Myriam tira sur la
jupe grise pour la faire tomber à ses pieds. Patricia
était si désirable en combinaison blanche, elle était
ainsi offerte aux regards du couple dans cette fine
lingerie , jusqu'à la lisière de fines dentelles
au-dessus de ses genoux Jacques passait en revue toute
sa silhouette sous la combinaison ajourée et
transparente, il prenait son pied d'apercevoir au
travers le collant sombre qui épousait ses hanches de
femme mûre et un flou blanchâtre qui laissait deviner
une large culotte. La combinaison collante bombait
légèrement au niveau du ventre, de face Jacques devait
mieux distinguer la culotte avec des liserés crèmes,
assortie au soutien-gorge... Mon ami ne put s'empêcher
de faire un commentaire «ton épouse est vraiment
charmante » Patricia les bras ballants baissait la
tête de honte. Myriam en rajouta une couche : »Jacques
veut dire que toutes ses patientes n'ont pas de tels
dessous. » « Plutôt vieux jeu, non , tu trouves pas !!
» Et mon ami de répondre : « Ah, non j'aime beaucoup
... » Les cheveux de mon épouse cachait en partie son
visage et tombait sur le décolleté ajouré de dentelles
de la combinaison. elle ne répliqua pas.
Quand Myriam voulu tirer sur les bretelles de la
combinaison, Patricia se rebiffa... Myriam recula et
lui souffla au visage : « alors, enlève là toute seule
! » Patricia éclata presque en sanglots retenus, elle
se retourna pour ne pas leur montrer son trouble puis
me tendit les mains comme pour me dire qu'elle ne
voulait pas aller plus loin mais d'une voix froide et
sans me reconnaître je lui intimais l'ordre à nouveau
de ne pas perdre de temps : elle suffoqua, Myriam
exultait. Alors Patricia comme hagarde se pencha et
attrapant la lisière de sa combinaison la remonta le
long de son corps... Mon érection était à son comble,
celle de Jacques aussi qui s'activait semblait-il sous
le bureau les yeux fixés sur les cuisses qui se
dévoilaient, puis sur la taille haute du collant noir
avec la large culotte blanche et chair, ma femme se
retrouva à ce moment à moitié en collant et les bras
engoncés dans la combinaison qu'elle tentait de faire
passer par-dessus son soutien gorge. Jacques lui se
rassasiait de ce spectacle, Myriam lui désignait avec
des gestes équivoques et sans se gêner devant moi le
haut du collant et la large culotte renforcée... puis
ce fut au tour du soutien-gorge d'apparaître laissant
mesurer la forte poitrine de ma femme.
Enfin libérée de la combinaison, qu'elle fit tomber
par terre en tremblant, Patricia se tenait là les bras
ballant en collant noir et soutien-gorge blanc, le
collant dont l'élastique rectiligne ceinturait en un
trait parfait son ventre au-dessus du nombril et sous
lequel apparaissait la culotte large marquée d'un
liseré fantaisie que la maille synthétique plaquait
sur son bas ventre , plus haut le soutien gorge avec
armatures et bretelles larges à frise de dentelle et
dont les bonnets laissaient toutefois deviner les
bouts des seins visiblement durcis par l'émotion. Les
yeux fermés, offerte, elle était mortifiée de
honte...Je n'avais jamais pu observer ma femme en
sous-vêtements comme ça... Il y eu un long silence. Je
regardais Jacques qui se délectait littéralement en
s’attardant sur chaque détail … car j'avais bien
compris qu'il trouvait Patricia trés attirante lors de
nos précédentes rencontres, mais aurait-il pu imaginer
assister comme cela à un strip-tease sous ses yeux...
je ressentais de plus combien la gêne qui étouffait me
femme pouvait renforcer le plaisir de la voir ainsi en
sous-vêtements .
Car Patricia vivait un véritable cauchemar, je le
voyais sur son visage, d’être contrainte à s’exposer
en culotte, collant et soutien-gorge devant un autre
homme et devant sa femme qui mettait à profit cette
situation pour rabaisser avec ses commentaires ou de
petits narquois.
D’ailleurs Myriam qui au bout d'un moment voyant que
Jacques se caressait sous son bureau est passé
derrière ma femme pour dégrafer son soutien gorge.
Patricia sans s'y opposer d'abord, s'est brusquement
retourné.. « Je t'en prie, non » Myriam n'en avait
cure et a d'un geste sec défait l'agrafe, ma femme a
alors essayé de retenir les bonnets sur sa poitrine en
croisant ses bras mais Myriam a tiré violemment sur le
tissu élastique tout en criant : « les seins à l'air
pour l'examen ! » Cette phrase brutale a achevé
Patricia qui a laissé partir son sous-vêtement , sa
lourde poitrine s'est alors balancée et Jacques a
laissé échapper un son rauque de plaisir..laissant
présager une éjaculation / Mon ami ne quittait plus
des yeux les deux seins mis à nu, une poitrine toute
en rondeur, ferme mais un peu tombante avec des
pointes charnues... C'est alors que la porte du
cabinet s'est ouverte par surprise et que Jean Daniel
le grand fils du couple est entré : il n'avait pas été
du repas ; il était allé à une soirée, Patricia ne
l'avait vu qu'une fois auparavant, un grand gaillard
boutonneux de 17 ans .
Bien évidemment il resta bouche bée devant la scène,
tout en profitant de ce qu'il voyait et de mater un
max Patricia seins nus et en collant. Patricia
interloquée qui en écartant les bras au lieu justement
de cacher sa poitrine ne savait plus quoi faire, elle
parvint juste a articuler «arrêtez... faites le
sortir, je vous en. », mais Myriam ne lui laissa pas
le temps de finir et s'adressant a son fils : «
Installe-toi, elle va enlever son collant à présent,
et si Jacques trouve que c'est nécessaire pour
l'examen Madame enlèvera aussi sa culotte. » Elle
avait presque sifflé ses derniers mots, Patricia
s'était retournée en mettant sa tête dans les mains et
en trépignant d'humiliation , elle nous offrait ses
fesses moulées dans le collant et son dos nu qui
tremblait . Jacques, comme moi d'ailleurs, dut avoir
peur que la petite partie se termine ainsi. Il se leva
tant bien que mal et intimant l'ordre à son fils de
sortir il s'approcha de Patricia pour la réconforter
et lui assurer qu'on allait vite terminer l'examen.
Inutile de préciser que Jean Daniel quitta la pièce en
reculant gravant dans sa mémoire l'image de Patricia à
demi nue et en collant.
Ma femme ne cessait de répéter «c'est pas possible,
c'est pas possible... » pendant que Jacques lui
parlait doucement non sans la regarder de prés... puis
sans qu'on ne lui dise rien, après avoir essuyé ses
yeux rougis du revers de sa main gauche, comme un
automate elle baissa son collant et le retira. Nous
nous sommes regardés, Jacques, Myriam et moi. Le
couple échangea un sourire et Myriam murmura : »cette
fois c'est elle qui a envie... » Mais ma femme avait
surtout envie que tout cela finisse et après avoir
retiré automatiquement son collant, elle attendait en
culotte qu'on lui dise quoi faire, les bras croisés
sur sa poitrine les yeux baissés comme soumise...
Après tous ces événements je pouvais à peine bouger
tant mon sexe était dur... Jacques sous prétexte d'une
inspection mammaire lui fit mettre alors les mains sur
la tête et sans aucune retenue il palpa ses seins tout
se reculant pour la jauger des pieds à la tête
s'arrêtant bien évidemment sur la culotte : la vue de
ma femme seins nus en culotte , les mains sur la tête
en train de se faire peloter par mon ami me fascinait.
C'est Myriam qui annonça la suite en rappelant à son
mari que ma femme devait s'allonger sur la table
d'auscultation.
Je l'encourageais en lui promettant que tout serait
fini bientôt... mais elle ne me répondit pas en se
laissant conduire par Jacques dans la demi-pièce
voisine du cabinet. Je me demandais bien ce qu'ils
allaient inventer où plutôt je n'osais l'imaginer en
me demandant si maintenant on allait pas trop loin...
Patricia était amorphe, comme résignée...
Une fois allongée Jacques continua à lui palper les
globes des seins à pleines mains et faisait rouler les
bouts sous ses doigts, Myriam lui souffla quelque
chose à l'oreille... Il n'osait aller plus loin mais
se résolu à dire : » Pour terminer il faudrait juste
que je pratique un court examen gynécologique... je
n'osais comprendre mais Patricia qui avait compris
sortit aussitôt de sa léthargie :.. » Non, pas ça
....Patrick, ou es-tu ? » Je m'avançais tandis qu'elle
ajoutait : » je veux partir... me rhab... » Myriam
qui avait senti sans doute que j'allais flancher avait
à ce moment précis d'un coup sec tiré et descendu la
culotte blanche et crème sur les cuisses de Patricia.
Celle-ci plus que surprise hurla dans ma direction :
je ne trouvais qu'à lui dire en lui prenant une main :
» C'est bientôt fini, ma chérie, c'est bientôt fini...
» Mais elle m'agrippait la main a présent, les mots
se bousculant : « ils m'ont baissé ma culotte,
regarde, ils m'ont baissé ma culotte. ! » Des larmes
jaillirent mais soudain elle eut un spasme... Je
n'avais plus fait attention aux gestes de Jacques et
Myriam depuis l'action surprise de la culotte
baissée... J'avais juste aperçu le coup d'oeil soutenu
de Jacques sur la toison brune mise à jour, mais en
regardant vers eux je les vis affairés entre les
cuisses de leur patiente forcée : Myriam avait écarté
les grandes et petites lèvres du sexe et Jacques la
touchait au plus profond de son intimité... Patricia
tenta de se relever en se crispant... Myriam dit cette
phrase à son mari : « Remplace -moi, elle est à point
« Je n'en croyais pas mes yeux... : Myriam avait
plongé sa bouche dans le sexe de ma femme et sa langue
fouillait l'intérieur. Je criais : « Arrêtez c'est
dégueulasse ! ! ! »
Mais aucun des deux n'avait prêté attention à ma
réaction et encore moins Patricia qui se cabra sous la
caresse buccale en laissant échapper un long
gémissement aigu et plaintif : elle se mit à glousser
de plaisir tout se contorsionnant sur la table
d'auscultation. Je n'avais jamais vu ma femme dans un
tel état....les yeux presque révulsés, la bouche
entrouverte à gémir sous la précision de la caresse
qu'on lui infligeait.
Myriam avait relevé la tête avec un grand sourire et
s'adressant à Jacques : « Occupe-toi de ses nichons
».. puis à moi : « elle ne fait plus la malheureuse à
présent : » J'étais stupéfait : Patricia se cambrait
le bassin en avant en murmurant me semblait-il ! «
oui, encore, encore... » Myriam repris de plus belle
tandis que Jacques lui pincait le bout des seins
qu'elle dressait comme pour réclamer... Patricia
gémissait à présent sans retenue et dans un sursaut ou
son corps se tendit comme un arc elle eut un orgasme
comme jamais je lui avais vu... Je n'en revenais pas,
dépassé par la situation... Ils la laissèrent à demi
inconsciente... Myriam s'était plaqué contre le mur et
avait baissé son jean pour demander à Jacques de se
mettre à genoux et lui donner du plaisir. J'aidais ma
femme à se relever, remontais sa culotte et la
conduisis vers le bureau : Patricia avait de petits
tremblements quand elle se rhabilla sans remettre ni
la paire de collant ni sa combinaison... Elle ne
disait pas un mot, les yeux baissés, piteuse, tandis
que l'on entendait les râles de plaisir de Myriam...
Ils revinrent avant que nous ayons eu le temps de nous
éclipser. Myriam me dit : « Ton épouse a pris son
pied comme jamais, tu vois ! » Patricia le chemisier
mal rajusté voulut la gifler, Jacques s'interposa et
c'est lui qui reçut la gifle. J'emmenais vite ma femme
sans écouter mon ami qui voulait qu'on attende qu'il
rédige le fameux certificat. En avait-il la capacité,
nous ne le saurons jamais... En sortant nous avons
croisé Jean Daniel dans le salon qui nous a apostrophé
d'un «elle est bien roulée ! ! » puis nous sommes
sortis dans la rue en nous demandant ce qu'il nous
était arrivé. Après cette aventure curieusement
Patricia a accepté que je me livre à quelques petits
jeux érotiques avec elle , tout cela à cause d'amis
que nous n'avons bien sûr jamais revu.

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Texte coquin : Streaptease imprévu
Histoire sexe : Une rose rouge
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