Suite cocufiage malgé lui

- Par l'auteur HDS Derius -
Récit érotique écrit par Derius [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Suite cocufiage malgé lui Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Suite cocufiage malgé lui
Suite cocu malgré lui.

Une fois rentré à la maison, toujours très excité par la vue de ma femme se faire baiser, je commençais à la tripoter en lui malaxant les seins au-dessus de sa robe. Je la vis gênée, je lui ai saisis les fesses des deux mains, comme elle aime, j’ai essayé de me glisser mes doigts sous sa robe, elle referma de suite ses jambes et tenta de se dégager de moi, elle voulait sans doute me cacher son infidélité et prétexta de n’être pas forme.

Je la pris dans mes bras, l’embrassa longuement, et la rassura sur notre soirée en lui avouant que j’avais tout vu du début jusqu’à la fin. Ma femme, à ce moment-là, était totalement désemparée, je la retournais, mis ses mains sur la table, souleva sa robe et je me suis baissé pour bien voir sa chatte remplie du sperme d’un autre, j’allais être servi : ses fesses avaient les traces des grosses mains de l’ouvrier, il lui avait pincé si fort que s’en était bleu.
Sans savoir comment, je me suis mis à lécher sa chatte, ça sentait la bonne mouille, j’y introduis un doigt pour racler les bords et voir la crème couler, aspirant tout le liquide salé qui sortait de sa chatte totalement épilée et rougie par la queue de son amant ; j’avais presque terminé de la nettoyer quand je vis du liquide couler de son anus ! Il faut dire que je n’avais pas remarqué qu’il l’avait enculé, Nadia m’expliqua que le bougre avait éjaculé une fois dans sa chatte et sans s’arrêter, l’encula jusqu’à se décharger une deuxième fois dans son anus.

Je comprenais mieux son endurance (environ 10 minutes de baise non-stop) et surtout pourquoi me femme, sur la fin, avait sa bouche dans la sienne : pour éviter de crier. Moi ni une ni deux j’entrepris de continuer mon nettoyage tout autour de son anus, et surprise, ma langue entrait entièrement, sans aucune résistance : il l’avait bien écarté son cul. Une fois terminé, je retirais mes habits et entrepris de la baiser dans la même position qu’Ahmed : une pure merveille son minou : lubrifié comme avec du gel, gonflé à souhait, je ressentais un plaisir jusque-là inconnu, mais l’excitation ne me permis pas d’en profiter longtemps, l’orgasme arriva très vite, et je mêlais mon sperme à celui de son amant, quelle extase !! On resta quelques instants collé l’un à l’autre sans rien dire, ma femme alla se doucher, moi je restais sur mon nuage.
On avait plusieurs fois parlé de plan à trois, ma femme connaissait mes fantasmes de la voir prendre du plaisir avec d’autres mâles, fantasme qui découle, entre autre du fait, que je trouve ma bite petite et pas assez virile (14 cm mais 14 cm de circonférence, un carré en somme 😊), et donc je voulais voir ma femme, qui n’a connu que moi sexuellement, se faire prendre par des gros et longs dards, et connaitre leur puissance, tout comme moi je l’avais fait auparavant, secrètement bien sûr, mais laissons cela pour une autre histoire.
Ma femme avait toujours eu de l’appréhension de sauter le pas pour un plan à trois, même si je lui avais proposé de le faire toute seule la première fois, histoire de ne pas être gênée par ma présence.
Cette fois elle l’avait fait sans que j’ai eu besoin de faire quoique ce soit, et elle avait pris son pied, elle m’avoua qu’il l’avait fait jouir de ton son corps, et à plusieurs reprises, allant jusqu’à en perdre ses esprits, et ce même quand il l’a sodomisé !
Une fois sortie de la douche elle me questionna sur ce qu’avais le plus aimé dans la soirée, je lui répondis : tout, depuis qu’il l’avait suivi aux toilettes jusqu’à ce que moi j’éjacule en elle après lui, c’était parfait. Elle insista : « même quand tu as léché le sperme en moi, ça t’a plu ?» J’enchainais que pour moi c’était le dessert et la preuve qu’elle s’était faite baiser par un autre. Elle me paru étonnée, et m’embrassa tout en me remerciant de mon ouverture d’esprit avant de se coucher.

Tous les week-ends suivants, je lui proposai de sortir pour chercher quelqu’un dans une boîte ou sur internet (au Maroc nous n’avons pas encore de club échangiste), elle refusait systématiquement.
Quelques mois après, j’avais un déplacement à Tanger pour le travail pour quatre jours, avec ma femme on décida d’en profiter pour qu’elle me rejoigne en fin de semaine afin de passer le week-end là-bas. Nadia arriva le vendredi un peu tard le soir, nous avions décidé de dîner rapidement et de rentrer nous coucher pour profiter de la journée du samedi et de sa soirée…
Le samedi soir nous décidâmes de partir dans une toute nouvelle boite branchée de la ville. Mon épouse, comme à son habitude, s’apprêta sexy mais pas vulgaire, petite jupe droite rouge en cuir, chemisier transparent en mousseline noir et dessous en dentelle noir. Je vous rappelle que son décolleté à lui seul est super bandant, quant à son cul, une vraie merveille. Arrivé sur place nous prenions une table, une bouteille de vodka et nous voilà partis pour une bonne beuverie. Vers 3h00 du matin, la soirée battait son plein, ma femme bien entamée par la vodka, s’amusait à agricher les jeunots sur la piste par des pas de danse envoutants : une vraie tiktokeuse, allant même jusqu’à se laisser aborder par quelques-uns qui ne manquaient pas de lui toucher les hanches ou de lui parler dans le creux de son oreille, bref je ne reconnaissais pas la Nadia prude mais je découvrais avec plaisir une femme qui assume sa féminité.

Une fois revenue à notre table, le gérant de la boîte, Bassem un libanais brun d’1m80, barbe bien rasée, yeux bleus, aussi beau que les mannequins de magazines, est venu « nous » féliciter pour notre dynamisme qui selon lui, manquerait aux jeunes d’aujourd’hui. Il resta un instant parlant plus à ma femme (musique forte, creux de l’oreille) qu’à moi et repartit en demandant au serveur de bien s’occuper de nous.
Quelques instants après Nadia partit aux WC, elle revint 5 minutes plus tard, toute rouge, m’expliqua que les toilettes étaient bondées et qu’il y avait une file d’attente énorme, et que Bassem lui a proposé d’aller à celles de son bureau.
Je répondis que s’était gentil de sa part, mais elle craignait qu’il tente quelque chose dans son bureau, je la rassurais en lui demandant que si c’était le cas, qu’elle me raconte tout en détail. Je la vois encore me demander : tu es sûr ? ça ne te dérange pas ? Moi rien que l’idée qu’elle se fasse baiser dans la boîte m’excitait au point de faire naître en moi une érection, je pris alors sa main que j’ai posé sur ma bite, elle a pu constater que je bandais dur, et là avec un sourire coquin elle répondit : tu me rassures ! Elle me demanda de lui servir un verre et repartit.
Au bout de 10 minutes j’avais compris qu’il s’occupait d’elle, et que Nadia allait revenir pleine de sperme. Je suis passé par tous les sentiments possibles : l’excitation au début, la jalousie parce que je pensais qu’elle s’éclatait sans se soucier de moi, la colère ensuite évidemment, la peur qu’il lui arrive quelque chose, je scrutais mon téléphone toute les secondes espérant qu’elle me fasse signe, au bout de 20 minutes je décidais de voir près du bureau, la porte était fermée et un videur était devant, je lui posais la question s’il avait vu une femme rentrer à l’intérieur, il me sourit et me répondit : elle arrive tout de suite va reprendre un verre. Je sentis un sceau d’eau me tomber sur la tête, même lui savait que ma femme se faisait éclater par Bassem, je retourne à ma table, me verse un bon verre, tente de me calmer, et attendis sagement le retour de mon épouse infidèle, qui réapparu un quart d’heure plus tard.
Nadia arriva un peu décoiffée, avec son verre à la main entouré d’un papier serviette, me roula une pèle magistrale avant que je puisse dire quoique ce soit. Je sentis l’odeur de sa chatte sur sa bouche, je devinais déjà qu’ils avaient dû alterner entre baise et pipe, elle attrapa la bouteille de vodka, indiqua au serveur qui s’approchait pour remplir le verre qu’elle s’en occuperait, me donna son verre en me demandant de voir à l’intérieur ce qu’il y avait, et incroyable, il était rempli de sperme, un verre long et fin rempli au moins au trier de liquide blanchâtre. Elle se baissa et me chuchotait à l’oreille que : « son amant était un vrai taureau dans tous les sens du terme, et qu’au moment de sortir sa bite de sa petite chatte, elle avait mis sa main pour bloquer et récupérer le sperme pour moi, elle est rentrée aux toilettes juste après, et a recueilli tout sa semence y compris celle sur sa main, celle qui avait coulé le long de ses jambes et le cacha à Bassem en l’entourant de papier toilette. Cela remplissait 30% du verre ! Elle me demanda la quantité de vodka que je désirais avec », je remplissais le verre avec la même quantité de liquide présente mais sans tonic cette fois. Ce fut le meilleur verre de la soirée.

Juste après elle me tendit son téléphone, et me montra qu’elle avait enclenché l’enregistrement sonore durant tout le temps où elle était avec son amant ; très vite je fus déstressé, et ré-excité. Je jetais un œil à l’enregistrement, il durait 34 minutes, je le démarre, mais avec le volume de la musique je n’entendais rien, ce qui n’a fait que redoubler mon excitation. Ma main n’arrêtait pas de trifouiller discrètement la chatte mouillée et chaude de ma salope, qui comme à son habitude avait retiré sa culotte ; je portai mes doigts à mon nez afin de sentir le nectar offert par ma salope, waw que c’était bon.
Je lui demandais de me raconter, elle me proposa de terminer la bouteille, et de partir à l’hôtel où elle me m’expliquera tout en détails de ce qui s’est passé, en commentant son enregistrement audio. Je finissais mon verre de crème libanaise, remplissais un autre le dernier que j’ai cette fois partagé avec Nadia pour rentrer plus vite, appela le serveur pour régler la note, mais là surprise, Bassem réapparu et m’expliqua que ma pute avait déjà payé.

Ce fut une inoubliable soirée !

Les avis des lecteurs

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Ce n'est plus du candaulisme mais du cuckolding pur et dur je n'ai pas aimé, j'ai adoré !



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