Suite de mon éducation
Récit érotique écrit par M31andromede [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Suite de mon éducation
Après m’avoir offerte à notre ami Thierry et à son copain Alain, mon mari souhaitait continuer mon éducation de femme à hommes. Jusque là, mon mari m’avait offerte à un autre homme en même temps que lui. Maintenant il voulait que je me donne à deux hommes en même temps pendant qu’il me regarderait pénétrée par deux membres masculins.
Mais mon mari ne voulait pas que ce soit deux inconnus tout de suite. Il m’avait déjà imposé un inconnu une fois et il pensait qu’il fallait que je m’habitue, aussi le mieux ce serait avec deux amis. Evidemment l’un d’eux serait Thierry qui avait été mon premier amant.
Ce que je raconte là, c’est ce que j’ai su qu’il s’était passé avant la soirée dont je vous parle. Et veuillez m’excuser pour les mots un peu crus mais c’est ainsi que cela me fut rapporté.
Mon mari réfléchît à qui serait le second et il pensa immédiatement à Jean-Luc, un de nos amis communs avec Thierry. Il en parla à celui-ci qui était tout à fait d’accord. Il avait vraiment apprécié de me baiser et mon mari se rendit compte qu’il avait vraiment envie de recommencer.
Mon mari lui demanda d’en parler à Jean-Luc et il lui confia des photos de moi en tenues sexy y compris celles plus pornographiques pour lesquelles Christian m’avait faite poser avec Alain. Ce que je sais des commentaires c’est à peu près cela :
Thierry aurait dit:
• Si avec ça, il n’a pas envie de la sauter. Dis-donc, elle s’est faite bien mettre. C’est une bonne idée ces photos. On voit bien qu’elle aime la bite. Une vraie salope.
• Ce n’est qu’un début. Ce que je voudrais, c’est pouvoir l’offrir en tenue sexy à des groupes d’hommes qu’elle ne connaît pas et qui utiliseraient tous ses trous pour se vider les couilles.
• Si tu as besoin de volontaires, n’hésite pas.
• C’est bien pour cela que je te demande de venir la baiser avec Jean-Luc pour sa fête. Vous lui offrirez une tenue très sexy qu’elle essaiera devant vous avant que vous ne la preniez tous les deux. Je referai des photos qui me serviront pour la suite. Je vais lui faire un vrai press-book de salope.
J’étais prévenue de la venue de nos deux amis et mon mari me demanda de m’habiller légèrement sexy. En fait, je portais une mini-jupe plissée pas trop courte qui cachait mes jarretelles et un chemisier un peu serré sous lequel pointaient mes seins seulement soutenus par soutien-gorge quart de seins. Comme mon mari le voulait, je ne portais pas de culotte lorsque j’étais à la maison et j’essayais de faire de même lorsque nous sortions tous les deux. Mon mari voulait que je m’habitue à être nue sous ma jupe avec l’idée dans le futur de pouvoir m’offrir au premier venu.
Lorsqu’ils arrivèrent, mon mari les fit s’installer dans le canapé, moi-même assise devant eux dans un fauteuil. Mon mari m’avait appris une façon très particulière de s’asseoir pour une femme. Je n’avais pas le droit de m’asseoir sur ma jupe, lorsqu’elle n’était pas trop étroite et devais l’étaler autour de mes jambes en mettant directement mes fesses nues sur le siège. Inutile de dire qu’ainsi, ceux qui étaient assis en face ou à côté de moi avaient une vue imprenable sur mes jambes et mes cuisses gainées de bas. Ils voyaient même le haut de mes cuisses nues au dessus de la lisière des bas. J’étais ainsi assise, jambes croisées. Jean-Luc avait le regard rivé sur mes jambes et les pointes de mes seins qu’on devinait sous le chemisier. Thierry avait avoué à mon mari que Jean-Luc avait particulièrement apprécié les photos et qu’il s’était même branlé plusieurs fois en les regardant. Il était ravi à l’idée de pouvoir profiter de mes charmes. Il n’avait qu’une envie : me baiser par tous les trous.
Mon mari me demanda de servir l’apéritif. Le fis-je inconsciemment, je ne sais, mais toujours est-il que je devais avoir oublié que je ne portais pas de culotte car pour prendre les verres sur la table basse, je se penchais en avant, dévoilant mes cuisses jusqu’à la naissance de mes fesses qu’on voyait sans le moindre voile. Jean-Luc était abasourdi.
Après l’apéritif, nous dînâmes rapidement. Puis vint le moment des cadeaux. Thierry posa un paquet devant moi :
• Pour ta fête
Mon mari avait lui-même un cadeau mais il me dit :
• Cela va avec mais tu dois ouvrir le premier après on verra.
J’entrepris alors d’ouvrir mon paquet pour découvrir un ensemble porte-jarretelles et soutien gorge seins nus assorti, une paire de bas noirs couture et un déshabillé assorti.
L’ensemble était rouge décoré de dentelle noire. Je fus un peu surprise mais remerciais nos amis. Mon mari me suggéra alors d’essayer cet ensemble. Je partis dans la chambre. Je l’essayais : il m’allait très bien. Mon mari leur avait certainement donné mes mensurations. Puis je l’ôtais et revins habillée comme j’étais partie.
Mon mari m’apostropha :
• Non, non ; ce n’est pas ça. Viens avec moi.
Dans la chambre, il me demanda de remettre l’ensemble et de venir comme cela montrer à nos copains que cela m’allait bien.
• Mais, Thierry, je veux bien, il me connaît bien mais Jean-Luc.
• Jean-Luc, il est là pour te faire la même chose que Thierry. Il te trouve très bandante.
• Comment le sait-il ?
• Et bien, Thierry lui a montré des photos de toi
• Ah ! Tu donnes mes photos à tout le monde
• Pas tout le monde. Thierry et puis Jean-Luc. Ils ont même eu celles que j’avais prises quand tu étais avec Alain.
• Quoi ? Tu montres ces photos là. A n’importe qui ?
• Pas n’importe qui. Thierry. Bon, c’est vrai, Jean-Luc les a vues aussi. Mais c’est un bon copain. Et puis, je te le répète, il est aussi là pour te faire l’amour.
• Donc tu veux que je fasse l’amour avec vous trois ?
• Pas nous trois. Eux deux.
• Et tu feras quoi ?
• Moi ? Je regarderai et je ferai de nouvelles photos surtout quand ils te prendront tous les deux en sandwich.
• Et tu en feras quoi ? Tu les montreras à qui ? A des inconnus que tu amèneras et à qui tu me donneras.
• Peut-être, je ne sais pas encore. De toute façon, avoues que tu as bien aimé cela avec Thierry ou avec Alain. C’est toi-même qui en as redemandé à chaque fois. Même avec Alain, tu as accepté de prendre plusieurs poses avec lui pour que je te photographie. Au bout du compte, tu adores te faire prendre par deux bites.
• C’est vrai. J’aime bien cela mais tu pourrais me prévenir.
• Surtout pas, je veux que ce soit une surprise à chaque fois.
• Et ce sera quoi la prochaine fois : à trois avec des inconnus ?
• On verra bien. Mais maintenant viens, ils t’attendent.
• Bon d’accord, j’arrive.
A nouveau, il avait gagné. Il savait très bien que j’adorais que des hommes me désirent. Il fallait seulement que j’accepte l’idée que mon mari puisse m’offrir à n’importe qui, n’importe où et n’importe quand.
Je dois avouer que mon mari fit cela ensuite progressivement d’abord à la maison puis dehors ou chez quelqu’un d’autre à qui mon mari m’amenait pour que je serve à satisfaire les désirs d’inconnus. Il réussit même une fois à me faire tourner un film X avec des acteurs spécialisés. Je vous expliquerai comment cela est arrivé.
Mon mari retourna au salon.
• Elle vient comme prévu.
J’arrivais quelque temps après, vêtue de l’ensemble mais j’y avais quand même ajouté un string.
• Non, ton ensemble, rien que ton ensemble.
Mon mari se tourna vers Jean-Luc :
• Je crois que tu devrais lui enlever sa culotte.
• Avec plaisir
Jean-Luc se mît à genoux devant moi et ouvrant mon déshabillé, attrapa les bords du string qu’il descendît lentement, dévoilant petit à petit ma toison qu’il avait sous le nez. Pour ne pas perdre l’équilibre, je m’appuyais sur sa tête et levais l’une après l’autre mes jambes pour dégager le mince triangle de tissu, exhibant de ce fait mon intimité au regard de
Jean-Luc. Finalement, j’aimais cette exhibition.
• Maintenant, tu peux ouvrir ton deuxième paquet.
Ce que je fis, découvrant avec surprise que c’était un godemichet de bonne taille, une bonne trentaine de centimètres, de couleur noire.
J’avais déjà des sex toys comme l’on dit maintenant, mais aucun noir aussi étais-je un peu étonnée. En fait, mon mari pensait qu’un jour ou l’autre, on me proposerait que je me fasse prendre par un black. Aussi, mon mari voulait se rendre compte de ce que serait de voir mon sexe de blanche perforée par un mandrin noir.
• Je crois que tu devrais aussi l’essayer.
• Quoi ? Maintenant ? Devant eux ?
• Eh bien, oui. Ca fera une entrée en matière, si je peux dire.
• Bon, j’y vais
Je pris le gode dans ma bouche pour le lubrifier puis celui-ci ayant une ventouse, je le fixais sur la table basse devant le canapé où étaient assis nos amis. Puis les regardant dans les yeux, je m’assis sur le gode en maintenant celui-ci. Ensuite, je pris appui sur la table et me mis à monter et descendre, faisant entrer et sortir la colonne noire dans mon vagin. Thierry et Jean-
Luc avaient sorti leurs sexes et se masturbaient en me regardant m’agiter sur le gode. Jean-Luc avait une très belle queue, plus longue et plus grosse que celle de Thierry.
Au bout d’un moment, je commençais à être sérieusement excitée de me masturber avec ce gode. Je me redressais, laissant sortir la colonne noire de mon entrejambe :
• Venez. Je préfère de vraies bites. Venez me prendre.
Voilà que je prenais l’initiative. Petit à petit, je me comportais de plus en plus comme une «salope» qui aimait faire l’amour avec d’autres hommes que mon mari et plusieurs ensembles.
Mais, c’est lui qui l’avait voulu
Ils ne se firent pas prier, étant déjà dans un état d’excitation
visible. Ils se levèrent et se déshabillèrent rapidement. Je vins vers eux et tâtant leurs membres érigés :
• Dis donc, tu en as une grosse bite.
Dis-je en branlant Jean-Luc.
• Hmm, ça va être bon. Venez.
Je les entraînai alors vers la table sur laquelle je me couchai, jambes écartées.
Mon mari avait commencé à prendre des photos.
Thierry vînt s’installer devant moi, pointa son gland devant la fente de mon sexe et se poussa en moi. Pendant ce temps,
Jean-Luc s’était mis sur le côté, présentant son sexe devant ma bouche que j’ouvris largement, le gland qu’on me proposait étant particulièrement gros. Thierry avait entrepris de longs va-et-vient dans ma chatte mais mes gémissements étaient étouffés par la bite que je suçais et branlais.
Puis ils changèrent de place, Jean-Luc venant mettre sa queue dans mon sexe. J’eus un petit cri quand il me pénétra car il était et gros et long. Mais il rentra toute sa queue ce qui me surprît. 22 cm ! (appris je plus tard) Et tout rentrait. Quant à Thierry, il avait pris place entre mes lèvres.
Je me mis à gémir encore plus fort mais toujours bâillonnée par une bite qui m’envahissait la bouche. Mon mari continuait à prendre des photos avec en particulier des gros plans où l’on voyait le sexe qui me pénétrait entièrement sorti ou rentré dans ma chatte. Puis, mon mari fit plusieurs plans où on me voyait écartelée, deux bites en moi. Jean-Luc faisait de longs va-et-vient en moi et me faisait tressauter à chaque fois qu’il venait au fond de mon sexe, faisant trembler mes seins lourds. Mon mari leur suggéra alors de me prendre en double.
• Elle a un autre trou où elle aime aussi sentir une bonne queue.
• C’est vrai
Répondit Thierry
• Viens Jean-Luc on va lui faire un bon sandwich
Tous deux sortirent leurs sexes, l’un de ma bouche, l’autre de ma chatte. Ils m’aidèrent à me relever et m’ôtèrent mon déshabillé avant de me pousser vers le canapé. Je me mis à quatre pattes et me retrouvais rapidement avec la bite de Thierry dans la bouche et prise en levrette par Jean-Luc. Celui-ci faisait claquer son ventre sur mes fesses me bousculant à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Puis ils inversèrent leurs positions avant que Jean-Luc ne se couche pour que je vienne m’empaler sur lui. Thierry prit alors le tube de lubrifiant que mon mari lui donnait pour m’en enduire le petit trou qu’il massa pour l’entrouvrir. J’attendis un peu, embrochée sur la queue de Jean-Luc pour que Thierry puisse venir me sodomiser. Celui-ci pointa son gland contre ma rondelle et tenant sa bite bien raide d’une main s’enfonça en moi d’un coup. J’eus un tressaillement et petit gloussement pendant qu’il s’introduisait dans mon rectum. Thierry se mit alors à faire coulisser sa bite en moi et j’entamais également des va-et-vient pour faire entrer en moi la queue de Jean-Luc. Je poussais des petits cris à chaque fois que les deux membres qui me perforaient étaient au fond de mes orifices.
• Allez-y. Baisez moi. Plus fort. Prenez-moi comme une chienne. Venez.
Ils s’activaient sérieusement et au bout de peu de temps, mon mari les vit se planter au fond de moi, tous deux accrochés à mes hanches. Ils étaient partis ensemble et je me mis à crier :
• Donnez-moi tout. Tout votre foutre. AAHH.
Mes deux amants s’étaient extraits de mes orifices et je m’écroulais vaincue et épuisée. Au bout d’un moment, comme je sentais le foutre s’écouler sur mes jambes, je décidai d’aller me nettoyer. Je disparus vers la salle de bains.
J’entendis alors Thierry demander à mon mari s’il était possible que je m’habille en soubrette comme quand il m’avait baisé pour la première fois.
• J’ai même un peu mieux.
Lorsque je revins, mon mari me dit :
• Thierry voudrait te revoir en boniche. Tu veux bien ? Mais, cette fois, tu mettras aussi la jupette noire que je t’ai trouvée.
Il s’agissait d’une mini-jupe très très courte et évasée qui m’arrivait juste sous les fesses et au ras du sexe, qui laissait apparaître mes jarretelles. Le moindre geste que je faisais laissait voir mes fesses ou ma toison.
Je retournai donc dans la chambre pour me changer et revins peu de temps après. J’avais troqué mon ensemble rouge et noir pour un ensemble porte-jarretelles soutien gorge seins nus blanc, des bas noirs résille avec une couture, ma mini-jupe et un petit tablier de dentelle blanche. Ma jupe était si courte que les jarretelles en dépassaient et l’on voyait une bande de chair entre la lisière des bas et le bas de ma jupette.
Je me mis à marcher devant eux, ce qui dévoilait mes fesses, mes cuisses et même un peu ma toison brune. Puis, libérée, je me mis à prendre des poses sans équivoque. Je leur montrais ma chatte et mes fesses pour les exciter. Je m’allongeai sur la table et prenant le gode en main me l’introduisis dans la chatte où je le fis aller et venir. Puis je me mis à quatre pattes pour m’enfoncer la bite noire dans les fesses. Je me tournai alors vers eux :
• Venez me les remettre, vos deux queues. J’ai envie que vous me repreniez.
Nos deux amis qui s’étaient branlés en me regardant m’offrir à eux, présentaient à nouveau de belles érections. Aussi ne tardèrent-ils pas. Ils me mirent à quatre pattes sur le canapé,
Jean-Luc dans ma bouche et Thierry me prenant en levrette.
Mais ce n’était pas ce que j’attendais. Rapidement je leur dis :
• Pas comme ça. Prenez-moi tous les deux.
Thierry dit alors :
• D’accord, mais c’est lui qui l’encules cette fois.
• Avec plaisir.
Répondit Jean-Luc
• Mais tu es très gros.
• Ne t’inquiètes pas, ça va passer
Ainsi, je me suis retrouvée en train de chevaucher Thierry tandis que Jean-Luc me pistonnait l’anus, la pénétration s’étant finalement passée sans encombre bien qu’un peu douloureuse au début. Jean-Luc avait pris soin de me pénétrer à fond avant de bouger. Là encore, il avait rentré toute sa bite. Je me rendais compte que j’avais des capacités d’introduction intéressantes. Enfin, au bout d’un long moment au cours duquel j’eus plusieurs orgasmes puissants, ils vinrent à nouveau en moi, m’emplissant à nouveau de leur semence.
Après cela, j’allais me coucher, usée, fatiguée, non sans qu’ils m’aient longuement remerciée. Mon mari aussi m’exprima sa satisfaction et je croyais savoir pourquoi : il n’avait pas lâché son appareil photo de la soirée et je savais qu’il avait réalisé de nombreux clichés où l’on me voyait en train de m’offrir à deux hommes en même temps.
Mais mon mari ne voulait pas que ce soit deux inconnus tout de suite. Il m’avait déjà imposé un inconnu une fois et il pensait qu’il fallait que je m’habitue, aussi le mieux ce serait avec deux amis. Evidemment l’un d’eux serait Thierry qui avait été mon premier amant.
Ce que je raconte là, c’est ce que j’ai su qu’il s’était passé avant la soirée dont je vous parle. Et veuillez m’excuser pour les mots un peu crus mais c’est ainsi que cela me fut rapporté.
Mon mari réfléchît à qui serait le second et il pensa immédiatement à Jean-Luc, un de nos amis communs avec Thierry. Il en parla à celui-ci qui était tout à fait d’accord. Il avait vraiment apprécié de me baiser et mon mari se rendit compte qu’il avait vraiment envie de recommencer.
Mon mari lui demanda d’en parler à Jean-Luc et il lui confia des photos de moi en tenues sexy y compris celles plus pornographiques pour lesquelles Christian m’avait faite poser avec Alain. Ce que je sais des commentaires c’est à peu près cela :
Thierry aurait dit:
• Si avec ça, il n’a pas envie de la sauter. Dis-donc, elle s’est faite bien mettre. C’est une bonne idée ces photos. On voit bien qu’elle aime la bite. Une vraie salope.
• Ce n’est qu’un début. Ce que je voudrais, c’est pouvoir l’offrir en tenue sexy à des groupes d’hommes qu’elle ne connaît pas et qui utiliseraient tous ses trous pour se vider les couilles.
• Si tu as besoin de volontaires, n’hésite pas.
• C’est bien pour cela que je te demande de venir la baiser avec Jean-Luc pour sa fête. Vous lui offrirez une tenue très sexy qu’elle essaiera devant vous avant que vous ne la preniez tous les deux. Je referai des photos qui me serviront pour la suite. Je vais lui faire un vrai press-book de salope.
J’étais prévenue de la venue de nos deux amis et mon mari me demanda de m’habiller légèrement sexy. En fait, je portais une mini-jupe plissée pas trop courte qui cachait mes jarretelles et un chemisier un peu serré sous lequel pointaient mes seins seulement soutenus par soutien-gorge quart de seins. Comme mon mari le voulait, je ne portais pas de culotte lorsque j’étais à la maison et j’essayais de faire de même lorsque nous sortions tous les deux. Mon mari voulait que je m’habitue à être nue sous ma jupe avec l’idée dans le futur de pouvoir m’offrir au premier venu.
Lorsqu’ils arrivèrent, mon mari les fit s’installer dans le canapé, moi-même assise devant eux dans un fauteuil. Mon mari m’avait appris une façon très particulière de s’asseoir pour une femme. Je n’avais pas le droit de m’asseoir sur ma jupe, lorsqu’elle n’était pas trop étroite et devais l’étaler autour de mes jambes en mettant directement mes fesses nues sur le siège. Inutile de dire qu’ainsi, ceux qui étaient assis en face ou à côté de moi avaient une vue imprenable sur mes jambes et mes cuisses gainées de bas. Ils voyaient même le haut de mes cuisses nues au dessus de la lisière des bas. J’étais ainsi assise, jambes croisées. Jean-Luc avait le regard rivé sur mes jambes et les pointes de mes seins qu’on devinait sous le chemisier. Thierry avait avoué à mon mari que Jean-Luc avait particulièrement apprécié les photos et qu’il s’était même branlé plusieurs fois en les regardant. Il était ravi à l’idée de pouvoir profiter de mes charmes. Il n’avait qu’une envie : me baiser par tous les trous.
Mon mari me demanda de servir l’apéritif. Le fis-je inconsciemment, je ne sais, mais toujours est-il que je devais avoir oublié que je ne portais pas de culotte car pour prendre les verres sur la table basse, je se penchais en avant, dévoilant mes cuisses jusqu’à la naissance de mes fesses qu’on voyait sans le moindre voile. Jean-Luc était abasourdi.
Après l’apéritif, nous dînâmes rapidement. Puis vint le moment des cadeaux. Thierry posa un paquet devant moi :
• Pour ta fête
Mon mari avait lui-même un cadeau mais il me dit :
• Cela va avec mais tu dois ouvrir le premier après on verra.
J’entrepris alors d’ouvrir mon paquet pour découvrir un ensemble porte-jarretelles et soutien gorge seins nus assorti, une paire de bas noirs couture et un déshabillé assorti.
L’ensemble était rouge décoré de dentelle noire. Je fus un peu surprise mais remerciais nos amis. Mon mari me suggéra alors d’essayer cet ensemble. Je partis dans la chambre. Je l’essayais : il m’allait très bien. Mon mari leur avait certainement donné mes mensurations. Puis je l’ôtais et revins habillée comme j’étais partie.
Mon mari m’apostropha :
• Non, non ; ce n’est pas ça. Viens avec moi.
Dans la chambre, il me demanda de remettre l’ensemble et de venir comme cela montrer à nos copains que cela m’allait bien.
• Mais, Thierry, je veux bien, il me connaît bien mais Jean-Luc.
• Jean-Luc, il est là pour te faire la même chose que Thierry. Il te trouve très bandante.
• Comment le sait-il ?
• Et bien, Thierry lui a montré des photos de toi
• Ah ! Tu donnes mes photos à tout le monde
• Pas tout le monde. Thierry et puis Jean-Luc. Ils ont même eu celles que j’avais prises quand tu étais avec Alain.
• Quoi ? Tu montres ces photos là. A n’importe qui ?
• Pas n’importe qui. Thierry. Bon, c’est vrai, Jean-Luc les a vues aussi. Mais c’est un bon copain. Et puis, je te le répète, il est aussi là pour te faire l’amour.
• Donc tu veux que je fasse l’amour avec vous trois ?
• Pas nous trois. Eux deux.
• Et tu feras quoi ?
• Moi ? Je regarderai et je ferai de nouvelles photos surtout quand ils te prendront tous les deux en sandwich.
• Et tu en feras quoi ? Tu les montreras à qui ? A des inconnus que tu amèneras et à qui tu me donneras.
• Peut-être, je ne sais pas encore. De toute façon, avoues que tu as bien aimé cela avec Thierry ou avec Alain. C’est toi-même qui en as redemandé à chaque fois. Même avec Alain, tu as accepté de prendre plusieurs poses avec lui pour que je te photographie. Au bout du compte, tu adores te faire prendre par deux bites.
• C’est vrai. J’aime bien cela mais tu pourrais me prévenir.
• Surtout pas, je veux que ce soit une surprise à chaque fois.
• Et ce sera quoi la prochaine fois : à trois avec des inconnus ?
• On verra bien. Mais maintenant viens, ils t’attendent.
• Bon d’accord, j’arrive.
A nouveau, il avait gagné. Il savait très bien que j’adorais que des hommes me désirent. Il fallait seulement que j’accepte l’idée que mon mari puisse m’offrir à n’importe qui, n’importe où et n’importe quand.
Je dois avouer que mon mari fit cela ensuite progressivement d’abord à la maison puis dehors ou chez quelqu’un d’autre à qui mon mari m’amenait pour que je serve à satisfaire les désirs d’inconnus. Il réussit même une fois à me faire tourner un film X avec des acteurs spécialisés. Je vous expliquerai comment cela est arrivé.
Mon mari retourna au salon.
• Elle vient comme prévu.
J’arrivais quelque temps après, vêtue de l’ensemble mais j’y avais quand même ajouté un string.
• Non, ton ensemble, rien que ton ensemble.
Mon mari se tourna vers Jean-Luc :
• Je crois que tu devrais lui enlever sa culotte.
• Avec plaisir
Jean-Luc se mît à genoux devant moi et ouvrant mon déshabillé, attrapa les bords du string qu’il descendît lentement, dévoilant petit à petit ma toison qu’il avait sous le nez. Pour ne pas perdre l’équilibre, je m’appuyais sur sa tête et levais l’une après l’autre mes jambes pour dégager le mince triangle de tissu, exhibant de ce fait mon intimité au regard de
Jean-Luc. Finalement, j’aimais cette exhibition.
• Maintenant, tu peux ouvrir ton deuxième paquet.
Ce que je fis, découvrant avec surprise que c’était un godemichet de bonne taille, une bonne trentaine de centimètres, de couleur noire.
J’avais déjà des sex toys comme l’on dit maintenant, mais aucun noir aussi étais-je un peu étonnée. En fait, mon mari pensait qu’un jour ou l’autre, on me proposerait que je me fasse prendre par un black. Aussi, mon mari voulait se rendre compte de ce que serait de voir mon sexe de blanche perforée par un mandrin noir.
• Je crois que tu devrais aussi l’essayer.
• Quoi ? Maintenant ? Devant eux ?
• Eh bien, oui. Ca fera une entrée en matière, si je peux dire.
• Bon, j’y vais
Je pris le gode dans ma bouche pour le lubrifier puis celui-ci ayant une ventouse, je le fixais sur la table basse devant le canapé où étaient assis nos amis. Puis les regardant dans les yeux, je m’assis sur le gode en maintenant celui-ci. Ensuite, je pris appui sur la table et me mis à monter et descendre, faisant entrer et sortir la colonne noire dans mon vagin. Thierry et Jean-
Luc avaient sorti leurs sexes et se masturbaient en me regardant m’agiter sur le gode. Jean-Luc avait une très belle queue, plus longue et plus grosse que celle de Thierry.
Au bout d’un moment, je commençais à être sérieusement excitée de me masturber avec ce gode. Je me redressais, laissant sortir la colonne noire de mon entrejambe :
• Venez. Je préfère de vraies bites. Venez me prendre.
Voilà que je prenais l’initiative. Petit à petit, je me comportais de plus en plus comme une «salope» qui aimait faire l’amour avec d’autres hommes que mon mari et plusieurs ensembles.
Mais, c’est lui qui l’avait voulu
Ils ne se firent pas prier, étant déjà dans un état d’excitation
visible. Ils se levèrent et se déshabillèrent rapidement. Je vins vers eux et tâtant leurs membres érigés :
• Dis donc, tu en as une grosse bite.
Dis-je en branlant Jean-Luc.
• Hmm, ça va être bon. Venez.
Je les entraînai alors vers la table sur laquelle je me couchai, jambes écartées.
Mon mari avait commencé à prendre des photos.
Thierry vînt s’installer devant moi, pointa son gland devant la fente de mon sexe et se poussa en moi. Pendant ce temps,
Jean-Luc s’était mis sur le côté, présentant son sexe devant ma bouche que j’ouvris largement, le gland qu’on me proposait étant particulièrement gros. Thierry avait entrepris de longs va-et-vient dans ma chatte mais mes gémissements étaient étouffés par la bite que je suçais et branlais.
Puis ils changèrent de place, Jean-Luc venant mettre sa queue dans mon sexe. J’eus un petit cri quand il me pénétra car il était et gros et long. Mais il rentra toute sa queue ce qui me surprît. 22 cm ! (appris je plus tard) Et tout rentrait. Quant à Thierry, il avait pris place entre mes lèvres.
Je me mis à gémir encore plus fort mais toujours bâillonnée par une bite qui m’envahissait la bouche. Mon mari continuait à prendre des photos avec en particulier des gros plans où l’on voyait le sexe qui me pénétrait entièrement sorti ou rentré dans ma chatte. Puis, mon mari fit plusieurs plans où on me voyait écartelée, deux bites en moi. Jean-Luc faisait de longs va-et-vient en moi et me faisait tressauter à chaque fois qu’il venait au fond de mon sexe, faisant trembler mes seins lourds. Mon mari leur suggéra alors de me prendre en double.
• Elle a un autre trou où elle aime aussi sentir une bonne queue.
• C’est vrai
Répondit Thierry
• Viens Jean-Luc on va lui faire un bon sandwich
Tous deux sortirent leurs sexes, l’un de ma bouche, l’autre de ma chatte. Ils m’aidèrent à me relever et m’ôtèrent mon déshabillé avant de me pousser vers le canapé. Je me mis à quatre pattes et me retrouvais rapidement avec la bite de Thierry dans la bouche et prise en levrette par Jean-Luc. Celui-ci faisait claquer son ventre sur mes fesses me bousculant à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Puis ils inversèrent leurs positions avant que Jean-Luc ne se couche pour que je vienne m’empaler sur lui. Thierry prit alors le tube de lubrifiant que mon mari lui donnait pour m’en enduire le petit trou qu’il massa pour l’entrouvrir. J’attendis un peu, embrochée sur la queue de Jean-Luc pour que Thierry puisse venir me sodomiser. Celui-ci pointa son gland contre ma rondelle et tenant sa bite bien raide d’une main s’enfonça en moi d’un coup. J’eus un tressaillement et petit gloussement pendant qu’il s’introduisait dans mon rectum. Thierry se mit alors à faire coulisser sa bite en moi et j’entamais également des va-et-vient pour faire entrer en moi la queue de Jean-Luc. Je poussais des petits cris à chaque fois que les deux membres qui me perforaient étaient au fond de mes orifices.
• Allez-y. Baisez moi. Plus fort. Prenez-moi comme une chienne. Venez.
Ils s’activaient sérieusement et au bout de peu de temps, mon mari les vit se planter au fond de moi, tous deux accrochés à mes hanches. Ils étaient partis ensemble et je me mis à crier :
• Donnez-moi tout. Tout votre foutre. AAHH.
Mes deux amants s’étaient extraits de mes orifices et je m’écroulais vaincue et épuisée. Au bout d’un moment, comme je sentais le foutre s’écouler sur mes jambes, je décidai d’aller me nettoyer. Je disparus vers la salle de bains.
J’entendis alors Thierry demander à mon mari s’il était possible que je m’habille en soubrette comme quand il m’avait baisé pour la première fois.
• J’ai même un peu mieux.
Lorsque je revins, mon mari me dit :
• Thierry voudrait te revoir en boniche. Tu veux bien ? Mais, cette fois, tu mettras aussi la jupette noire que je t’ai trouvée.
Il s’agissait d’une mini-jupe très très courte et évasée qui m’arrivait juste sous les fesses et au ras du sexe, qui laissait apparaître mes jarretelles. Le moindre geste que je faisais laissait voir mes fesses ou ma toison.
Je retournai donc dans la chambre pour me changer et revins peu de temps après. J’avais troqué mon ensemble rouge et noir pour un ensemble porte-jarretelles soutien gorge seins nus blanc, des bas noirs résille avec une couture, ma mini-jupe et un petit tablier de dentelle blanche. Ma jupe était si courte que les jarretelles en dépassaient et l’on voyait une bande de chair entre la lisière des bas et le bas de ma jupette.
Je me mis à marcher devant eux, ce qui dévoilait mes fesses, mes cuisses et même un peu ma toison brune. Puis, libérée, je me mis à prendre des poses sans équivoque. Je leur montrais ma chatte et mes fesses pour les exciter. Je m’allongeai sur la table et prenant le gode en main me l’introduisis dans la chatte où je le fis aller et venir. Puis je me mis à quatre pattes pour m’enfoncer la bite noire dans les fesses. Je me tournai alors vers eux :
• Venez me les remettre, vos deux queues. J’ai envie que vous me repreniez.
Nos deux amis qui s’étaient branlés en me regardant m’offrir à eux, présentaient à nouveau de belles érections. Aussi ne tardèrent-ils pas. Ils me mirent à quatre pattes sur le canapé,
Jean-Luc dans ma bouche et Thierry me prenant en levrette.
Mais ce n’était pas ce que j’attendais. Rapidement je leur dis :
• Pas comme ça. Prenez-moi tous les deux.
Thierry dit alors :
• D’accord, mais c’est lui qui l’encules cette fois.
• Avec plaisir.
Répondit Jean-Luc
• Mais tu es très gros.
• Ne t’inquiètes pas, ça va passer
Ainsi, je me suis retrouvée en train de chevaucher Thierry tandis que Jean-Luc me pistonnait l’anus, la pénétration s’étant finalement passée sans encombre bien qu’un peu douloureuse au début. Jean-Luc avait pris soin de me pénétrer à fond avant de bouger. Là encore, il avait rentré toute sa bite. Je me rendais compte que j’avais des capacités d’introduction intéressantes. Enfin, au bout d’un long moment au cours duquel j’eus plusieurs orgasmes puissants, ils vinrent à nouveau en moi, m’emplissant à nouveau de leur semence.
Après cela, j’allais me coucher, usée, fatiguée, non sans qu’ils m’aient longuement remerciée. Mon mari aussi m’exprima sa satisfaction et je croyais savoir pourquoi : il n’avait pas lâché son appareil photo de la soirée et je savais qu’il avait réalisé de nombreux clichés où l’on me voyait en train de m’offrir à deux hommes en même temps.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis étonné de ne voir aucun commentaire surce récit pourtant très bien écrit et très excitant surtout pour le vieux candauliste que je suis ! Didier