Suite de mon histoire avec Hassan
Récit érotique écrit par Jaaders [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Suite de mon histoire avec Hassan
IV- au réveil
Cinq jours que nous ne nous sommes pas quittés. Nous avons passé nos journées à errer dans mon appartement, nus, le plus souvent enlacés à discuter, se faire des calins et s’amuser à nous exciter. Quant à nos nuits, elles ont consistées en de longs moments coquins, sensuels et sexuels, séparés de courts moments de sommeil réparateurs.
Hassan est vraiment beau quand il dort, son visage doux se relâche complètement. Il semble détendu, apaisé. Il est là nu, contre moi, sa peau colle la mienne. Son sexe vient se loger contre mes fesses, sa tête au dessus de mon épaule, son souffle dans ma nuque. Il m’embrasse tendrement dans le cou, je sais qu’il va dormir. Je tourne alors le visage et embrasse ses lèvres. J’attrape sa main gauche et la pose sur mon ventre. Ma main prend place par-dessus la sienne. Un sentiment de protection prend place en moi. Je suis bien et je m’endors tranquillement comme je sens son souffle prendre un rythme régulier et apaisé. Je cale inconsciemment ma respiration à la sienne, et sombre doucement dans les nimbes de la nuit.
Un soubresaut musculaire et une grosse respiration de la part d’Hassan change la donne. Il change de position, se tourne de l’autre coté car il s’endort pleinement en se mettant sur sa joue gauche. Je n’aime pas l’hôtel du cul tourné, alors moi-même je me tourne. A mon tour, je pose ma main sur son ventre et me cale dans son dos. Il attrape ma main et la pose sur son torse. Alors, nous nous endormons de concert. Morpheus nous voilà …
Je n’ai pas encore découvert son appartement, il ne m’y a pas invité. Pas la peine, nous sommes restés chez moi. J’ai tout de même une certaine frustration car je ne sais pas grand-chose de son univers. Il reste assez discret sur sa vie, ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas. J’ai essayé d’en savoir plus, mais j’ai vite compris que c’était peine perdue. C’est à son rythme ou pas. Donc je patiente. Cela viendra. Et puis je pars aussi du principe qu’il ne faut pas créer de problème là où il n’y en a pas. Or cela se passe bien entre nous, il est doux, affectueux, attentionné, s’intéresse à ce que je fais. Il me fait superbement bien l’amour. J’aime être avec lui, et je crois lui avec moi. Donc je ne fais pas de nœuds dans la tête.
Hier matin, je me suis réveillé avec une drôle de sensation. Dans un demi-sommeil, à peine conscient, je sentais une douce chaleur m’envahir, des caresses se prolongeant dans mon bas ventre. Humide et sollicité, c’est le plaisir qui m’a réveillé. Je bande déjà bien fort, et il s’active tantôt avec la langue, tantôt avec les doigts sur un gland déjà bien turgescent.
« Bonjour mon ange » et il m’embrasse sur la base du sexe.
« Tu as bien dormi ? » et il passe la langue sur la hampe et remonte vers le méat du pénis.
« hummmmmm bonjour … tu me rends dingue … quel réveil !!!! » et il me dit d’en profiter. Il gobe mon sexe et doucement démarre des va-et-vient. La langue opère en tournoyant dans sa bouche, me procurant un plaisir immense. Il se retire et mouille la paume de sa main de salive, et il enroule vivement la pointe de mon sexe comme s’il voulait visser un bouchon dessus. Répété plusieurs fois, cela me procure un effet indescriptible, je pousse un cri, plutôt un râle de plaisir extrême. Je n’ai pas le temps de finir mon souffle, qu’il gobe de nouveau mon sexe jusqu’à la garde. Il le maintient bien au fond de sa gorge pendant quelques secondes avant d’entreprendre quelques va-et-vient langoureux.
Puis il reprend ses caresses qui me font bander de plus en plus fort. C’est trop intense, je tente de l’arrêter en le poussant. Impossible, son bras s’intercale et bloque mon geste. Il bouge alors et place ses jambes sur mes bras, bloquant tout geste de ma part. J’ai par ailleurs une vue imprenable sur son sexe en parfaite érection, et sur ses fesses rebondies. Il reprend alors ses caresses virulentes, et moi mes râles de plus en plus forts.
Tout d’un coup, changement de programme. Un peu d’air frais souffle sur mon pénis tant sollicité. Surpris, je regarde ce qui produit cet effet : il souffle à moins d’un centimètre de mon gland. Cela calme bien après tant d’excitation. Je me sens mieux pendant quelques secondes. Courte durée, car sans m’y attendre il enfourne mon sexe dans sa bouche chaude et humide, pour de rapides allers et retours. Effet immédiat : je bande encore plus fortement. Il réitère quatre fois cette opération avant de délaisser mon pénis pour lécher mes bourses et jouer avec mon périnée. Je souffre mais je prends mon pied. Je suis en transe.
Enfin, il relâche mes bras et vient se placer entre mes jambes. J’accroche machinalement le bord du matelas au dessus de ma tête, je ne cherche pas à fuir son traitement tellement jouissif. Je suis un gentil garçon dont le maître lui prodigue la bonne recette du plaisir. Il attrape mes jambes et les lève au dessus de mes épaules. Je suis plié en deux, et il approche sa langue de mon petit trou. Sa langue me fouille, caresse les plis, entrouvre le méat, détend les chairs, je me laisse faire et petit à petit il s’enfonce en moi de plus en plus profondément, intimement.
Un doigt glisse sur le pli, son pouce, son index, et prend la place de la langue. Il se fraye un chemin dans mon intimité. Doucement, en explorateur, il s’enfonce pour aller chercher la prostate. Il touche au but et alors l’index masse légèrement la surface de la glande. Là encore effet immédiat : je bande, je gémis de plaisir, et mes chairs s’écartent un peu plus. Deux doigts viennent jouer dans mon fond, et massent maintenant ma zone de plaisir. Je gémis un peu plus. Hassan les ressort, et place de nouveau sa langue le plus profondément possible. Il veut sentir ma pleine vibration au contact de son inquisition.
Trois doigts, je m’ouvre pleinement, il peut faire ce qu’il veut de moi. Il crache dans sa main et sur ma raie. Quatre doigts, je suis écartelé mais je n’ai pas du tout mal. Il se penche au bord du lit, et attrape par terre un objet. Il le présente devant mon trou bien ouvert maintenant, et l’enfonce délicatement, centimètre par centimètre. Je le sens glisser en moi, Hassan me regarde intensément, il guette ma réaction. J’ai la bouche ouverte, je le regarde et lui souris en guise « ça va, tu peux y aller ». Il poursuit et je sens le gode s’enfoncer plus loin, je plisse les yeux pour me concentrer sur ce qui me déflore le cul.
« Tu n’as pas mal ? », Hassan s’inquiète. Non tout va bien, comme tu vas doucement. Il s’arrête et retire le gode, avant de le remettre aussi doucement. Quelques aller et retours finissent de m’écarteler, et là il appuie bien à fond pour s’arrêter en disant « on y est ! ». J’ai les yeux fermés, la sensation est intense. Hassan m’attrape la queue et me branle tranquillement, avec de la salive. Je gémis. Puis j’entends la voix de mon homme tout près de mon oreille : « tu es vraiment un amant fantastique, un partenaire de jeux excellent … j’adore te faire l’amour ». J’ouvre les yeux, il m’embrasse tendrement, et comme je suis concentré sur ce baiser il attrape le gode et le fait bouger en moi. Je gémis et il reprend ses va-et-vient bien profonds.
D’un coup, il ressort le gode et me le montre. Je découvre une taille prodigieuse. Jamais je n’aurai cru pouvoir accueillir une si longue et si large queue. Je suis abasourdi, comme il me montre que tout était en moi. Je reste sans voix. Mais il n’attend pas de moi une réponse, il me veut, et s’empare vivement de mon trou resté béant. Une capote enfilée vite fait, et je sens son sexe bien dur entrer en moi et me labourer l’anus très vite. Il m’embrasse tout le temps de cette baise en règle, ne s’arrêtant que pour me branler, et m’obliger à bander très dur jusqu’au bout.
Le rythme est vif. La chaleur de son sexe me brûle la muqueuse. Je jouis rapidement sur mon ventre. Il donne trois grands coups de butoir bien au fond, ce qui me provoque un arrêt de respiration. Il enlève son sexe rapidement en tenant le préservatif entre ses doigts, et se vide sur mon ventre. Il se branle de façon à se vider les couilles bien à fond. Je suis en nage, et couvert de nos deux spermes.
Il s’allonge à coté de moi, sur le côté droit, et me dis « bonjour mon ange ». Il m’embrasse sur la bouche, puis dans le cou. Je lui glisse un « je t’aime » dans le creux de l’oreille et le serre contre moi. Comme je me retire pour aller prendre ma douche, je vois son sourire se marquer de plus en plus sur son visage. « Tu sais … j’ai vraiment envie de faire plein de trucs avec toi … d’aller loin, très loin … ». « Moi aussi, Hassan … je t’aime ».
Cinq jours que nous ne nous sommes pas quittés. Nous avons passé nos journées à errer dans mon appartement, nus, le plus souvent enlacés à discuter, se faire des calins et s’amuser à nous exciter. Quant à nos nuits, elles ont consistées en de longs moments coquins, sensuels et sexuels, séparés de courts moments de sommeil réparateurs.
Hassan est vraiment beau quand il dort, son visage doux se relâche complètement. Il semble détendu, apaisé. Il est là nu, contre moi, sa peau colle la mienne. Son sexe vient se loger contre mes fesses, sa tête au dessus de mon épaule, son souffle dans ma nuque. Il m’embrasse tendrement dans le cou, je sais qu’il va dormir. Je tourne alors le visage et embrasse ses lèvres. J’attrape sa main gauche et la pose sur mon ventre. Ma main prend place par-dessus la sienne. Un sentiment de protection prend place en moi. Je suis bien et je m’endors tranquillement comme je sens son souffle prendre un rythme régulier et apaisé. Je cale inconsciemment ma respiration à la sienne, et sombre doucement dans les nimbes de la nuit.
Un soubresaut musculaire et une grosse respiration de la part d’Hassan change la donne. Il change de position, se tourne de l’autre coté car il s’endort pleinement en se mettant sur sa joue gauche. Je n’aime pas l’hôtel du cul tourné, alors moi-même je me tourne. A mon tour, je pose ma main sur son ventre et me cale dans son dos. Il attrape ma main et la pose sur son torse. Alors, nous nous endormons de concert. Morpheus nous voilà …
Je n’ai pas encore découvert son appartement, il ne m’y a pas invité. Pas la peine, nous sommes restés chez moi. J’ai tout de même une certaine frustration car je ne sais pas grand-chose de son univers. Il reste assez discret sur sa vie, ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas. J’ai essayé d’en savoir plus, mais j’ai vite compris que c’était peine perdue. C’est à son rythme ou pas. Donc je patiente. Cela viendra. Et puis je pars aussi du principe qu’il ne faut pas créer de problème là où il n’y en a pas. Or cela se passe bien entre nous, il est doux, affectueux, attentionné, s’intéresse à ce que je fais. Il me fait superbement bien l’amour. J’aime être avec lui, et je crois lui avec moi. Donc je ne fais pas de nœuds dans la tête.
Hier matin, je me suis réveillé avec une drôle de sensation. Dans un demi-sommeil, à peine conscient, je sentais une douce chaleur m’envahir, des caresses se prolongeant dans mon bas ventre. Humide et sollicité, c’est le plaisir qui m’a réveillé. Je bande déjà bien fort, et il s’active tantôt avec la langue, tantôt avec les doigts sur un gland déjà bien turgescent.
« Bonjour mon ange » et il m’embrasse sur la base du sexe.
« Tu as bien dormi ? » et il passe la langue sur la hampe et remonte vers le méat du pénis.
« hummmmmm bonjour … tu me rends dingue … quel réveil !!!! » et il me dit d’en profiter. Il gobe mon sexe et doucement démarre des va-et-vient. La langue opère en tournoyant dans sa bouche, me procurant un plaisir immense. Il se retire et mouille la paume de sa main de salive, et il enroule vivement la pointe de mon sexe comme s’il voulait visser un bouchon dessus. Répété plusieurs fois, cela me procure un effet indescriptible, je pousse un cri, plutôt un râle de plaisir extrême. Je n’ai pas le temps de finir mon souffle, qu’il gobe de nouveau mon sexe jusqu’à la garde. Il le maintient bien au fond de sa gorge pendant quelques secondes avant d’entreprendre quelques va-et-vient langoureux.
Puis il reprend ses caresses qui me font bander de plus en plus fort. C’est trop intense, je tente de l’arrêter en le poussant. Impossible, son bras s’intercale et bloque mon geste. Il bouge alors et place ses jambes sur mes bras, bloquant tout geste de ma part. J’ai par ailleurs une vue imprenable sur son sexe en parfaite érection, et sur ses fesses rebondies. Il reprend alors ses caresses virulentes, et moi mes râles de plus en plus forts.
Tout d’un coup, changement de programme. Un peu d’air frais souffle sur mon pénis tant sollicité. Surpris, je regarde ce qui produit cet effet : il souffle à moins d’un centimètre de mon gland. Cela calme bien après tant d’excitation. Je me sens mieux pendant quelques secondes. Courte durée, car sans m’y attendre il enfourne mon sexe dans sa bouche chaude et humide, pour de rapides allers et retours. Effet immédiat : je bande encore plus fortement. Il réitère quatre fois cette opération avant de délaisser mon pénis pour lécher mes bourses et jouer avec mon périnée. Je souffre mais je prends mon pied. Je suis en transe.
Enfin, il relâche mes bras et vient se placer entre mes jambes. J’accroche machinalement le bord du matelas au dessus de ma tête, je ne cherche pas à fuir son traitement tellement jouissif. Je suis un gentil garçon dont le maître lui prodigue la bonne recette du plaisir. Il attrape mes jambes et les lève au dessus de mes épaules. Je suis plié en deux, et il approche sa langue de mon petit trou. Sa langue me fouille, caresse les plis, entrouvre le méat, détend les chairs, je me laisse faire et petit à petit il s’enfonce en moi de plus en plus profondément, intimement.
Un doigt glisse sur le pli, son pouce, son index, et prend la place de la langue. Il se fraye un chemin dans mon intimité. Doucement, en explorateur, il s’enfonce pour aller chercher la prostate. Il touche au but et alors l’index masse légèrement la surface de la glande. Là encore effet immédiat : je bande, je gémis de plaisir, et mes chairs s’écartent un peu plus. Deux doigts viennent jouer dans mon fond, et massent maintenant ma zone de plaisir. Je gémis un peu plus. Hassan les ressort, et place de nouveau sa langue le plus profondément possible. Il veut sentir ma pleine vibration au contact de son inquisition.
Trois doigts, je m’ouvre pleinement, il peut faire ce qu’il veut de moi. Il crache dans sa main et sur ma raie. Quatre doigts, je suis écartelé mais je n’ai pas du tout mal. Il se penche au bord du lit, et attrape par terre un objet. Il le présente devant mon trou bien ouvert maintenant, et l’enfonce délicatement, centimètre par centimètre. Je le sens glisser en moi, Hassan me regarde intensément, il guette ma réaction. J’ai la bouche ouverte, je le regarde et lui souris en guise « ça va, tu peux y aller ». Il poursuit et je sens le gode s’enfoncer plus loin, je plisse les yeux pour me concentrer sur ce qui me déflore le cul.
« Tu n’as pas mal ? », Hassan s’inquiète. Non tout va bien, comme tu vas doucement. Il s’arrête et retire le gode, avant de le remettre aussi doucement. Quelques aller et retours finissent de m’écarteler, et là il appuie bien à fond pour s’arrêter en disant « on y est ! ». J’ai les yeux fermés, la sensation est intense. Hassan m’attrape la queue et me branle tranquillement, avec de la salive. Je gémis. Puis j’entends la voix de mon homme tout près de mon oreille : « tu es vraiment un amant fantastique, un partenaire de jeux excellent … j’adore te faire l’amour ». J’ouvre les yeux, il m’embrasse tendrement, et comme je suis concentré sur ce baiser il attrape le gode et le fait bouger en moi. Je gémis et il reprend ses va-et-vient bien profonds.
D’un coup, il ressort le gode et me le montre. Je découvre une taille prodigieuse. Jamais je n’aurai cru pouvoir accueillir une si longue et si large queue. Je suis abasourdi, comme il me montre que tout était en moi. Je reste sans voix. Mais il n’attend pas de moi une réponse, il me veut, et s’empare vivement de mon trou resté béant. Une capote enfilée vite fait, et je sens son sexe bien dur entrer en moi et me labourer l’anus très vite. Il m’embrasse tout le temps de cette baise en règle, ne s’arrêtant que pour me branler, et m’obliger à bander très dur jusqu’au bout.
Le rythme est vif. La chaleur de son sexe me brûle la muqueuse. Je jouis rapidement sur mon ventre. Il donne trois grands coups de butoir bien au fond, ce qui me provoque un arrêt de respiration. Il enlève son sexe rapidement en tenant le préservatif entre ses doigts, et se vide sur mon ventre. Il se branle de façon à se vider les couilles bien à fond. Je suis en nage, et couvert de nos deux spermes.
Il s’allonge à coté de moi, sur le côté droit, et me dis « bonjour mon ange ». Il m’embrasse sur la bouche, puis dans le cou. Je lui glisse un « je t’aime » dans le creux de l’oreille et le serre contre moi. Comme je me retire pour aller prendre ma douche, je vois son sourire se marquer de plus en plus sur son visage. « Tu sais … j’ai vraiment envie de faire plein de trucs avec toi … d’aller loin, très loin … ». « Moi aussi, Hassan … je t’aime ».
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