Suprise dans les toilettes... - histoire érotique

Bonjour à tous, l’histoire que je vais vous écrire est véridique.
Elle c’est passe il y a quelques années, ma femme est grande 1.75 , 90 de tour de poitrine et fait un 38 de tour de taille, brune les yeux noisettes, on l’a dit jolie femme.
Elle est plutôt ouverte pendant nos ébat, nous nous faisons souvent des scénarios où il y aurait un autre homme qui la prendrait avec moi mais tous cela reste juste un fantasme…
Jusqu’au jour où nous étions invité à une fête dans un grand hôtel. Ce soir là en rentrant, je la trouvais en train de ce préparer, elle était en string et soutient gorge, sa robe était sur le lit, une robe assez courte, enfin juste au dessus des genoux, je la regardais et lui dit :
-Tu devrais mettre tes dim up et surtout enlève ton string.
Elle me répondit du tac au tac.
- Cela tombe bien j attendais que tu me le proposes !
Elle l’enleva immédiatement en me regardant droit dans les yeux puis ce retourna, pris ses bas dans le tiroir et les enfile doucement en écartent aux maximum ses jambes pour que je puisse voir sa chatte bien rasée et déjà quelque peut luisante de désir. Une fois enfilée elle me dit d’un ton excité :
- C’est mieux comme cela ?
Je ne pouvais pas répondre autre chose que un ‘oui’…
Une fois sur la route je lui demande de remonter sa robe pour que je puisse voir sa chatte ce qu’elle fit sens hésiter, elle qui d’habitude ne supporte pas et me le refuse presque tout le temps. Mais pas ce soir, arrivé à un feux, je lui dit de faire attention, que le camion à coté de nous devait la voir, elle se retourne de son coté et le fixa puis commença à se toucher doucement en écartant ses jambes, le chauffeur devait être aux anges. Le feu passa au vert et je me suis empressé de partir. Le camion n’arrêta pas de faire des appels de phare mais je continuas comme si de rien n’était. Elle me regarde avec un petit sourire et pose sa main sur mon sexe et me dit :
- J’ai réussi à faire bander deux hommes en même temps, je suis une vraie petite salope !
Arrivés à l’hôtel, la soirée se passe puis une envie de me soulager me prend, je lui dit que je descend aux toilettes, elle me dit à tout de suite, à peine ma petite commission fini la porte s’ouvre, je la vois avec un grand sourire je lui dit instinctivement :
-Tu te trompes c’est les toilettes des hommes !
Elle me répond d’une toute petite voix :
-tu es tous seul ?
-bien sur
Alors elle me pris par la main et m’entraîna dans une des toilettes. Elle ferme, s’assoie sur la cuvette et déboutonne mon pantalon et commence à me sucer comme elle le fait si bien. Après quelques minutes je me suis à mon tour assis, elle pose une de ses jambes sur le mur pour que je puisse lui bouffer son clito. Elle était trempe comme rarement je l’avais connu, elle gémissait très fort je lui dis de faire moins de bruit par crainte d’être démasqué. Puis ce qui devait arriver arriva, une porte s’ouvre. Nous nous sommes arrêtés quelques secondes, la personne a pissé dans les pissotieres. Mais ma femme était trop existé pour s’arrêter, alors elle me pris la tête pour que je continu. Cela n’a duré que quelques secondes avant qu’elle se remit à gémir. L’homme de l’autre coté de la porte s’arrêta de se laver les mains, se rapprochant de la porte pour être bien sur de ce qu’il entendait puis il dit :
- je vois que l’on s’amuse bien de l’autre coté de cette porte !
Elle me tenait toujours la tête pour ne pas que je m’arrête, l’homme toujours pas décidé à partir nous dit :
-Je ne peu pas vous aider à quelque chose ?
J étais pétrifié et existé comme un fou, elle était la tête en arrière, la chatte ouverte par la pénétration de mes trois doigts puis m’arrêta et me dit tous doucement :
-je t’aime mais c’est aujourd’hui ou jamais fait moi confiance…
Elle se retourne, ouvre la porte, se pressant à cet inconnu, sa robe au dessus de ses
Dim up, moi toujours assis, le pantalon et le caleçon aux chevilles, la queue droite comme un I majuscule. Elle lui met immédiatement la main sur sa queue et lui dit :
- Pour nous aider il va falloir que moi aussi je vous aide !
Puis elle lui dégrafe son pantalon, se penche en avant et commence à le sucer comme une acharnée. Elle enfonce sa bite au plus profond de sa gorge, il était aux anges et il n’arrête pas lui dire que c’était une merveilleuse bouffeuse de bite. Moi je reste là, la regardant sucer cet inconnu puis lui remet trois doigts dans la chatte et dans le cul. Elle est au bord de l’explosion quand elle se redresse et inverse le rôle, elle me suce et présente sa croupe à cet homme qui lui enfile immédiatement deux doigts dans le cul.
Elle eu un sursaut d’étonnement mais qui au bout de deux minutes eu l’effet escompté : elle jouis profondément, l’homme me demande s’il a le droit de la prendre mais même avec le degré d’excitation je lui dis qu’elle seule avait le droit de décision. Mais elle refusât et viens s’empaler sur mon sexe. Elle le reprit immédiatement en bouche et au bout de quatre ou cinq minutes d’une fellation de folie. Il déchargea dans sa bouche, chose qu’elle déteste mais cette fois elle en profite au maximum et regarde cet inconnu lui décharger sa jouissance. Elle ouvrit la bouche pour lui montrer son foutre tout en continuant de le masturber puis avale sa semence. L’homme c’est rhabillé puis nous a quitté, la remerciant et me félicitant d’avoir une si jolie femme aussi bonne suceuse de bite. Je ne tardais pas à éjaculer à mon tour. Elle s’empressa de venir me nettoyer la bite pour ne pas laisser une seule goûte de sperme, puis de nouveaux avale le tout. Nous nous sommse refait une beauté avant de sortir.
Une fois remonté, elle m’a avoué avoir adoré la situation, notre homme était quelques mètres plus loin, il discute avec d’autres personnes comme si rien n’était, ma femme était encore très existée et m’a demandé de partir avant d’être obligé de redescendre avec le premier venu ! Pendant tout le trajet, elle est restée la robe relevée, les deux jambes sur le tableau de bord et une bombe aérosol pour faire briller le plastique enfoncé dans la chatte. Une fois à la maison nous avons remis cela…
Voila mon histoire, nous n’avons plus jamais recommencé mais nous nous aimons toujours autant.