Sur le chantier

- Par l'auteur HDS titouan35 -
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Récit libertin : Sur le chantier Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2024 dans la catégorie Plus on est
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Sur le chantier
Arrivé sur le chantier, Ousmane m'attend à l'entrée, me félicite sur ma tenue et me redemande si je suis toujours ok pour me faire baiser par ses sept camarades de travail. Je lui réponds d'une voix tremblante que j'ai hâte de les rencontrer et de leur montrer de quoi je suis capable. Ousmane me prend par la main et me guide . Nous arrivons à un box, où les sept hommes m'attendent. J'y reconnais Moussar et Binto qui m'ont déjà baisé, et cinq autres hommes, tous africains, impatients et excités. Ils se lèvent en me voyant entrer et m'accueillent avec des sifflements et des applaudissements. Je me sens toute petite et vulnérable au milieu de ces hommes virils et musclés. Ousmane me pousse doucement vers eux et me dit de faire mon choix parmi eux. Je les regarde un par un, les imaginant chacun me prendre sauvagement. Finalement, je décide de commencer par Moussar que je connais déjà , il m'attire particulièrement avec son regard brûlant. Ousmane me présente

— C'est Marylin le travesti, une vraie pute gourmande, il va vous vider les couilles et uniquement pour le plaisir alors faites lui honneur.

Puis Moussar s'approche de moi lentement, me caresse le visage et me chuchote à l'oreille qu'il va me faire jouir comme jamais auparavant. Sans plus attendre, il m'embrasse fougueusement et me déshabille rapidement. Je me retrouve alors nue devant les yeux avides des autres hommes, qui commencent à se toucher en nous regardant. Parmi eux, un réel géant à mine patibulaire. Moussar me pousse contre le mur, me soulève et me pénètre brutalement debout . Je gémis de plaisir et lui demande d'aller plus fort.

— Oui Ma salope !!

Les autres hommes s'approchent de nous, se déshabillent à leur tour et commencent à se masturber en nous observant. Je sens leurs regards sur moi, leur désir brûlant qui m'excite encore plus. Bientôt, tous se joignent à nous, me prennent tour à tour, me remplissent de plaisir et de jouissance. Je me sens comblée, entourée de ces hommes qui me désirent ardemment. Je suis leur objet de plaisir, leur pute soumise, et j'aime ça plus que tout. Le chantier résonne de nos cris de plaisir, de nos corps qui s'entrechoquent, de nos soupirs et de nos gémissements.

Je suce, pompe et me fais baiser. Nous sommes unis dans une extase sauvage et débridée, sans tabou ni limite. C'est un moment de pur plaisir et de luxure, où je me sens libre et totalement épanouie. Finalement, épuisé, mais comblé, je m'écroule sur le sol avec les hommes qui m'entourent. Nous sommes tous essoufflés, transpirants, mais heureux, ça sent le foutre. Et je sais que ce n'est que le début d'une soirée torride et inoubliable, où je serai leur pute, leur objet de désir et de plaisir. Et j'en redemande.

Les hommes se relèvent, me prennent par la main et m'emmènent vers un coin isolé du chantier, où ils installent des matelas pour continuer notre partie de plaisir. Ils m'enlacent, me couvrent de baisers et de caresses, me faisant frémir de plaisir à chaque geste. À genoux au milieu d'eux, ils me présentent leurs queues encore bien raides. Je me mets à en sucer une tout en branlant deux autres de mes mains. Derrière moi, le géant me claque le cul, me porte comme une plume et me positionne en levrette sur le matelas. Un autre me refourre sa queue en bouche, j'attends avec un peu d'appréhension le gourdin qui va me pénétrer, je l'ai juste léché auparavant et n'ai plus qu'en avaler que le gland. Ils parlent entre eux une langue africaine, je saisis quelques mots comme salope, pute. Puis je sens la queue monstrueuse sur mon trou de plus en plus humide et bien dilaté heureusement, prêt à être pénétré.

Habid Habid ! crient ils tous en choeur
Je sens le plaisir monter en moi tandis qu'il s'enfonce avec force et vigueur. Le pieux est entré à moitié et je suis écartelé par cette sensation intense. Mes gémissements se mêlent à ses grognements, et je sens mes muscles se contracter sous l'effet du désir qui m'envahit Soudain, il accélère le mouvement, et je sens son pieu s'enfoncer complètement en moi, me remplissant complètement de sa puissance. Mes cris de jouissance résonnent dans la pièce, tandis que mon corps tout entier est secoué par des vagues de plaisir. Mes gémissements se mêlent à ses grognements, et je sens mes muscles se contracter sous l'effet du désir qui m'envahit. Soudain, il accélère le mouvement, et je sens son pieu s'enfoncer complètement en moi, me remplissant complètement de sa puissance. Mes cris de jouissance résonnent dans la pièce, tandis que mon corps tout entier est secoué par des vagues de plaisir.

Je sens ses mains me saisir fermement, me maintenant en place alors qu'il poursuit ses assauts, me faisant osciller entre douleur et plaisir. Mes sens sont exacerbés, et je me sens transporté vers des sommets inconnus de plaisir.

— Habid ! Habid !!

Enfin, je sens la vague de plaisir monter en moi, m'emportant dans un tourbillon de sensations indescriptibles. Je hurle mon orgasme, tandis que lui m'abandonne enfin, son pieu sortant lentement de moi, laissant une sensation de vide. Il se lève et se positionne face à moi debout, son énorme braquemart et sa taille imposante puis me dit dans un français approximatif.

— Tu vas avaler ma pute !!

J'ouvre grand la bouche et reçois un jet puissant sur le visage, suivi d'un autre en bouche, que je ne peux m'empêcher d'avaler avidement. Je le regarde, le souffle court, les yeux remplis de désir et de satisfaction. Il s'approche de moi, m'embrasse passionnément, mêlant nos souffles et nos salives dans un mélange délicieux. Les autres hommes continuent de me caresser, de me toucher, de me mordiller, de me baiser m'envoyant toujours plus loin dans l'extase. Je sens leurs regards brûlants sur moi, leur désir insatiable de me posséder, de me faire vibrer de plaisir. Je m'abandonne complètement à eux, me laissant emporter par la vague de plaisir qui me submerge. Je gémis, je crie, je jouis sans retenue, m'abandonnant totalement à la luxure et à la débauche.

Les hommes continuent de me prendre, de me posséder par mes deux orifices , de me combler de plaisir. Je suis leur jouet, leur objet de désir, et je les laisse faire, me laissant emporter par le tourbillon de sensations et d'émotions qui m'envahissent. Finalement, épuisé, mais comblé, je me laisse aller entre leurs bras, savourant l'ivresse du moment, la sensation d'être pleinement désirée et satisfaite. Je sais que cette soirée restera gravée à jamais dans ma mémoire, un moment de plaisir intense et de débauche totale où j'ai laissé libre cours à toutes mes envies et mes fantasmes. Je suis leur pute, leur objet de plaisir, et j'en suis fier. Et je sais que je reviendrai encore , pour vivre d'autres moments de plaisir et de débauche avec ces hommes qui savent me satisfaire comme jamais.

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