Sur une aire d'autoroute

- Par l'auteur HDS Patrick44 -
Récit érotique écrit par Patrick44 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sur une aire d'autoroute Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sur une aire d'autoroute
Sur une aire d’autoroute


Ceci m’est arrivé en juin dernier, j’avais effectué un stage de deux jours à Bordeaux pour mon travail. J’ai 51 ans, je suis marié. Après la dernière journée nous avons eu un cocktail, ce qui fait que je n’ai pas pris la route très tôt et j’avais environ 4 heures de route. Environ à la moitié du chemin, une envie pressente est arrivée. Il était 21h30, je me suis arrêté sur la première aire de repos. C’était une aire sans station service, juste des sanitaires. Il y avait peu de véhicules arrêtés. Je suis allé me soulager. En ressortant je me suis assis sur un banc pour faire une pose, boire un coup et fumer une cigarette.
Avant de reprendre la route je retourne aux toilettes, alors que j’étais devant un urinoir, la porte s’ouvre et un homme entre, il se place à mes côtés, alors qu’il y avait plusieurs place. Je jette un coup d’œil, c’est un routier petit et trapu, dégarnis. Alors que je soulage doucement un mouvement à côté de moi me fait tourner la tête. Je vois le routier qui caresse une bite de bonne taille en semi érection et qu’il me regarde. Nos regards se croisent, il me sourit en me disant « tu veux la sucer mec » avec un accent. Je suis surpris, mais n’arrive pas à détacher mon regard de sa bite. Bien que marié j’ai déjà eu parfois des relations avec des hommes et je dois dire que sa bite me fait envie. Je me dis que j’ai le temps, ma femme étant chez sa mère pour quelques jours. Le type recule un peu et se tourne vers moi pour mieux me présenter sa bite. Il prend ma main et la pose sur sa queue. Elle est dur et chaude, je commence à le masturber, mais il se recule et m’entraine dans une cabine. Sitôt la porte fermée, il m’adosse contre la cloison et se colle à moi, sa bouche se pose sur la mienne et sa langue force ma bouche. Il a une haleine de tabac et de bière, ce mélange m’excite énormément. Son sexe roide est collé à mon ventre. Alors qu’il me roule toujours une pelle, il déboutonne ma chemise et défait ma cravate. Je sens ses mains sur mon torse sa peau est rugueuse, c’est une étrange sensation. Ses mains viennent sur ma poitrine, ses pouces titillent mes tétons qui se dressent sous la caresse. Je suis très sensible des tétons, il doit s’en rendre compte, car il les prend entre ses doigts et commence à me les rouler et les pincer. Je gémis, il recule son visage pour me regarder avec un sourire vicieux. Il me les pince encore plus fort les prenant entre ses ongles sales.
- Tu aimes ça que je pince tes tétons me dit il avec son accent.
Je ne pu que répondre oui, il s’en était bien rendu compte. Il s’est occupé de mes tétons pendant un petit moment regardant sur mon visage mes réactions, quand il me pinçait plus fort. Ca avait l’air de lui plaire. Il me les a ensuite lâché pour se reculer et s’adosser sur la cloison en face, il m’a prit par la nuque pour me faire m’accroupir à ses pieds. Sa bite était la devant moi, longue épaisse noueuse. Son gland était encore protégé par son prépuce. Il tenait sa bite de sa main droite et me frottait son gland sur mes joues, mon front, mes lèvres.
- Lèche dit il
Il tenait sa hampe dans sa main seul le gland recouvert ressortait, il le pointait sur mes lèvres, je sorti ma langue pour lécher le bout du gland sorti du prépuce et la petite fente, d’où perlait déjà le pré-sperme. Je le récupérais, il avait un gout un peu acide. De sa main gauche il me prit la tête et poussa son gland pour l’entrer dans ma bouche. Je le laissais faire, dans le même temps le gland se décalotta. J’avais sa bite dans ma bouche, il ne bougeait pas. Je commençais à enrouler ma langue sur son gland en le tétant. C’est lui qui maintenant poussait des petits soupirs de plaisir. Je reculais ma tête pour ressortir une partie de sa bite avant de la ravaler. Une de mes mains s’était posée sur ses fesses pour me tenir alors que l’autre caressait ses couilles. Il se laissa faire un moment, me laissant seul rythmer ma fellation sur sa queue. Mais au bout d’un moment, il prit ma tête à deux mains et commença à baiser ma bouche. Ses va et viens devenaient de plus en plus puissant, son gland venait cogner ma gorge, me donnant des haut le cœur. Ma salive coulait sur mon menton.
Je manquais d’air, mais pourtant j’aimais que ce type baise ma bouche, comme il en avait envie. Je sens sa bite palpiter annonçant la jouissance prochaine, son gland gonfla encore, il me bloqua la tête avec sa bite au fond de ma bouche et en râlant il déchargeant son foutre brulant dans ma bouche et sur ma langue. Il en avait une bonne dose, que je du avaler pour ne pas étouffer. Il relâcha ensuite un peu la pression, les décharges se tarissaient, le trop plein coulait sur mes lèvres. Il lâcha ma tête sorti sa bite dont il essuya le gland sur mon visage. J’étais tombé sur les genoux à ses pieds. Il rentra sa bite dans son pantalon et sorti. J’étais toujours a genoux dans la cabine, la porte était ouverte, un mec devant les lavabos me regardait au travers de la glace. Je me suis relevé, j’ai fermé ma chemise, mis ma cravate dans ma poche, puis suis allé me rincer la bouche aux lavabos. L’homme a côté de moi me regardait. Quand je suis sorti des sanitaires, mon routier était assis sur une table de pique nique. Il m’interpella, me proposant une cigarette. Je l’ai rejoint, nous étions assis côte à côte à fumer. Il me disait que j’étais un bon suceur, qu’il avait bien jouit. Je vis l’autre homme sortir des sanitaires, il se dirigea vers nous. C’était en fait un collègue du routier, ils étaient ensemble. Il me regardait en demandant à son collègue si je l’avais bien sucé. Le routier lui dit que oui qu’il avait bien jouit et lui a dit qu’il devrait en profiter lui aussi. Ces deux types parlaient de moi sans s’occuper de ce que je pensais. Le gars s’approcha de moi en déboutonnant son pantalon. Il sorti une bite moins grosse que le premier et encore molle. J’étais assis face à lui, il me dit « suce-moi » sans réfléchir plus je me suis penché pour prendre cette nouvelle bite dans ma bouche. Je suçotais le gland circoncis, je le tétais, il commençait à durcir dans ma bouche. Le gars soufflait fort en poussant des râles. Il appuya sur ma tête pour que je prenne plus sa bite dans ma bouche, la hampe s’était développée et emplissait ma bouche. Je le pompais faisant des vas et viens sur sa tige, il me tenait la tête en disant « oui vas y salope suce ma bite ». J’étais excité de servir de vide couille pour ces mecs, qui ne se souciaient pas de mon plaisir. Le premier qui était assis à côté de moi commença à déboutonner ma chemise, une nouvelle fois sa main se glissa sur ma peau jusqu’à mes tétons qu’il recommença à pincer, me faisant pousser des petits cris de plaisir et de douleur mêlées. La bite dans ma bouche s’est mise à vibrer et à gonfler, il allait jouir. Il l’a sorti pour se branler, les premiers jets ont atteint mon visage, les suivant ma poitrine. Le gars poussait des râles de satisfaction. Il a fini en frottant son gland sur mon visage pour y déposer la dernière goutte de foutre. Alors qu’il se reculottait le premier nous a proposé des bières, il est allé les chercher dans le camion, j’en profitais pour essuyer le foutre que j’avais sur moi. Il revient avec les bières, nous sommes seuls sur cet aire d’autoroute. Nous avons un peu discuté, ils me demandaient si j’étais marié. Quand je leur ai confirmé que j’étais marié, ils m’ont dit l’être aussi mais qu’ils étaient souvent loin de leurs femmes. Puis le deuxième, m’a demandé si je faisais souvent ça. Je lui ai dit occasionnellement, mais que j’aimais sucer des bites. Il m’a alors demandé si j’aimais aussi me faire enculer. J’étais un peu gêné, mais lui ai dit que oui j’aime aussi me faire sodomiser.
- Tu veux qu’on t’encule me demanda t’il.
Je n’ai pas répondu, mais il m’a dit
- Lève toi baisse ton froc et penche toi sur la table.
Je me suis levé en défaisant mon pantalon puis en le baissant avec mon caleçon, j’ai pose mes coudes sur la table en tendant mes fesses. Le type sortait une nouvelle fois sa bite en érection, d’une main il écarta mes fesses, puis il crachat sur mon anus. Je senti bientôt son gland se frotter dans ma raie et sur mon anus. Il le posa dessus et força un peu, il dérapait, mais bientôt il trouva l’entrée et en forçant son gland passa mon anneau, je poussais un léger cri sous la douleur.
- Doucement tu es gros.
- Pousse salope ca va passer.
Un nouveau coup de rein de sa part et j’englouti une partie de sa queue, il me prit par les hanches et ressorti sa bite avant de l’enfoncer entièrement jusqu’aux couilles. Je me cramponnais à la table. L’autre avait sorti sa queue et se branlait doucement en nous regardant. Mon baiseur, commença à faire des aller retour dans mon cul, je le sentais bien, il me faisait du bien, je gémissais. Le premier routier, me releva la tête.
- Alors la lope elle est bonne la queue de mon pote dans ton cul, ca te fait du bien.
- Oui elle est bonne je la sens bien elle est dure, il va loin.
- T’auras la mienne après dans ton cul, je vais te défoncer aussi.
- Oui si tu veux tu pourras me prendre le cul aussi.
- Si ta femme te voyait faire la pute pour routier sur l’autoroute.
Ses mots m’excitaient je me faisais enculer par un inconnu contre une table en plain air, alors que son pote me parlait de ma femme. Mon routier se déchainait dans mon cul, je recevais des claques de plus en plus forte sur mes fesses alors que son plaisir montait dans ses reins. Je sentais qu’il allait jouir, sa bite me défonçait en vibrant. Il donna un dernier coup de rein et resta au fond de mon cul ou je le senti jouir, son foutre brulant inondait mon cul. Alors qu’il sortait de moi déjà l’autre s’approchait de mes fesses, son gland trouva facilement l’ouverture déjà faite et lubrifiée par le foutre de son collègue. A son tour il m’attrapa par les hanches pour me bourrer le petit trou. Celui qui venait sortir de mon cul me prit par les cheveux et tourna ma tête vers sa queue ramollie.
- Lèche salope nettoie ma bite qui sort de ton cul.
J’ai ouvert la bouche et sorti ma langue pour nettoyer son gland recouvert de son foutre, je l’ai pris en bouche pour sucer et avaler, puis il m’enfonça sa bite à fond. L’autre me bourrait le cul, il était plus gros, je le sentais plus.
- Tu la sens ma bite, elle te fait du bien ?
- Ha oui je la sens elle est grosse oui c’est bon j’aime ta bite.
- Ouais mec tu préfères une bite dans ton cul que mettre la tienne dans la chatte de ta femme.
Les salops pourquoi ils me parlaient de ma femme, alors qu’ils me défonçaient le cul, d’entendre ça m’excitait encore plus, moi qui suis plutôt un hétéro dominant avec ma femme, j’étais la en lope soumise à deux routiers inconnus, qui avaient utilisé ma bouche et mon cul pour y déverser leur foutre.
- Oui je préfère prendre ta grosse bite dans mon cul que de mettre la mienne dans la chatte de ma salope de femme.
- Si ta femme avait été avec toi on lui aurait montré la lope que tu es et on l’aurait baisé ta salope de femme avec nos grosses bites, pour lui montrer ce que c’est des vrais hommes, pas des lopes comme toi son mari. On t’aurait fait cocu mec.
J’en pouvais plus sa bite dans mon cul, les mots qu’il disait j’étais en transe.
- Oui oui vous l’auriez baisée elle aussi devant moi avec vos grosses queues, je vous aurais regardé baiser ma femme, vous m’auriez fait cocu et vous l’auriez faite jouir.
Mon enculeur dans mon dos planta sa queue au fond et m’aspergea de son foutre, je jouissais moi aussi sur le sol sans mettre touché. Il s’est retire et s’est assis sur le banc.
- Putain mec tu m’as bien vidé avec ton cul, c’était bon.
J’avais du mal à me redressé, ma bite molle pendait avec un filer de foutre au bout du gland.
- Putain t’a jouis mec sans te toucher.
Les deux routiers rigolaient en me regardant me rhabiller.
- Tu crois que tu vas pouvoir baiser ta femme ce soir en rentrant ? Tu penseras à nos queues dans ton cul, dommage qu’elle n’était pas avec toi, on s’en serait chargé crois moi.
J’avais honte, je leur ai dit en revoir et me suis dirigé vers ma voiture, ils retournaient à leur camion. En conduisant je repensais à ce qu’il venait de se passer j’étais resté plus d’une heure sur cette aire avec ces deux types, je les avais suce, avalé leur foutre, puis ils m’avaient enculé chacun leur tour et avant rempli mon cul de foutre chaud. J’avais mal au cul assis à conduire, je sentais que le foutre refluait tachant mon caleçon, j’espère que ça ne traversais pas. J’ai du m’arrêter sur une nouvelle aire.
Je suis allé dans les toilettes, je me suis enfermé dans une cabine j’ai baissé mon pantalon et mon caleçon, j’ai nettoyé le fond avec du papier. Puis je me suis essuyé l’anus, il était très sensible, j’avais l’impression qu’il était ouvert et ressorti, ça me faisait frissonner, j’ai jeté le papier souillé et j’y ai passe mes doigts, j’avais l’impression de sentir encore les deux bites, j’enfonçais un doigt, ma bite s’est raidi. J’avais encore envie, je me suis redressé le front contre la cloison, les cuisses écartées, les doigts de la main gauche sur mon anus et ma bite dans la main droite, je me suis enfilé deux doigts bien profond alors que ma main branlait ma bite raide. Je ressortais mes doigts souillés de foutre de mon cul pour les lécher et les sucer avant de me les renfiler. J’ai jouis rapidement en me mordant les lèvres pour ne pas gémir. J’ai envoyé deux grosses giclées de foutre sur la cloison, comme un fou je me suis agenouiller pour lécher mon foutre qui dégoulinait sur la cloison. J’ai tout bien nettoyé avec ma langue avalant mon propre foutre. Une fois calmé je me suis rhabillé et j’ai repris la route. Plusieurs fois mon anus à palpité dans mon caleçon avant d’arriver à destination.

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