Sur une plage à Majorque - histoire érotique

Après une longue marche de 30 minutes, on est arrivé sur une plage trouvée par hasard à l’aide de notre GPS.
On était tout transpirant de notre longue marche sous le soleil.

La plage était desserte à cette heure de la journée (il était 17:30), il faut dire qu’elle n’était pas très connue et on l’avait trouvé par hasard.

La plage était entourée de rocher et pas bien grande, elle était superbe avec son sable blanc.

On s’est rapproché de l’eau à environ 10 mètres du rivage et on a déposé nos affaires sur le sable pour aller mettre les pieds dans l’eau pour voir si elle était bonne.
Elle était superbe bonne !

On est retourné à nos affaires et décidé à nous baigner.

On a installé la fouta, nos serviettes et on a commencé à nous déshabiller.

Tu avais déjà ton haut de maillot de bain et il te restait le bas à mettre.
Puisque tu ne voyais personne aux alentours, tu as enlevé ta culotte sur la fouta puis enfiler ton maillot sans te cacher.

Pour ma part, j’ai décidé de me déshabiller totalement et me mettre tout nu.

Je suis parti devant toi vers l’eau et tu m’as suivi. On est rentré dans l’eau facilement.

On a commencé à se frotter et s’embrasser. Tu étais excité de me savoir nu et mon sexe était disponible à tes caresses.

Après un petit moment dans l’eau, on est revenu à la serviette. Sans s’essuyer, je me suis allongé sur le dos et toi à ma droite assise à regarder la mer.

Ta main gauche est vite venu sur mon sexe et mes couilles pour les caresser.

J'étais aux anges. Mon sexe grossissait sous ta main par tes caresses .

Sans que l’on s’aperçoive, un inconnu arriva à notre hauteur et posa ses affaires à peine à 3 mètres de nous.

Il nous dit : “holà” avec un grand sourire
On lui répondit : “ bonjour, euh…holà “

Tu n’osais plus bouger ta main qui était restée sur mon sexe bandé.

C’était un très bel homme athlétique bronzé aux cheveux gris, un beau visage souriant, habillé de façon classe, une chemisette blanche en lin, d’un bermuda bleu clair et il tenait ses chaussures dans une de ses mains.

Il installa également sa fouta sur le sable, posa ses affaires dessus, ses chaussures qu’il tenait en main, son sac à dos.

Debout sur sa fouta, il commença a déboutonner sa chemisette en lin blanc et la retira. Et la plia en la posant sur sa fouta.

On le regardait du coin de l’œil.

Il avait un torse bronzé et imberbe. Il était bien foutu.

Puis Il déboutonna son bermuda bleu et le fit tombé sur ses chevilles.

Il n’avait rien en dessous ainsi il se retrouvait totalement nu devant nous.

Il était bronzé de partout, ses fesses et son sexe sans poils étaient également bronzés comme le reste de son corps.

Il devait avoir l’habitude de faire du naturisme.

Je te fis remarquer discrètement qu’il avait un gros sexe même au repos.

Il rangea ses affaires de façon organisé sur son sac à dos.

Son sexe était épilé, épais et long, il semblait martelée sa cuisse à chaque mouvement qu’il faisait.

On voyait son sexe qui pendait le long de ses cuisses, cette verge au repos mesurait bien 17 ou 18 cms, déjà bien plus grosse et plus longue que la mienne en érection !

C'était très excitant.

Il se dirigea vers l’eau car il devait avoir aussi chaud que nous après cette longue marche pour venir à la plage.

On l’a maté descendre vers l’eau, il avait un beau cul bronze et musclé.

Surtout toi qui étais en bonne position car tu étais toujours assise.

Une fois l’homme dans l’eau, tu t’es allongé sur le côté près de moi, ta main gauche sous ta tête pour la soutenir ainsi tu pouvait m’embrasser et ta main droite repris ses va et viens sur mon sexe pendant que l’homme se baignait.

J’étais très excité et je bandais très dure.

Après un court moment, l’homme revient à sa serviette et il pouvait voir que tu caressais mon sexe puisque l’on ne l’avait pas imaginer revenir si vite.

On le vu seulement quand il est arrivé à sa serviette puisque j’avais tourné la tête vers la gauche et toi tu étais déjà en bonne position pour voir sa serviette.

On le regarda et il nous fit un grand sourire complice.

Tu arrêtas tes caresses mais tu avais laissé ta main sur mon sexe comme si tu voulais le cacher.

L’homme pris une bouteille d’eau dans son sac et se décala d’environ d’1 m de sa serviette.

Il leva la bouteille au dessus de sa tête pour se rincer en commençant par ses cheveux, son visage, puis ses épaules , son dos, son torse, ses jambes et rinça plus sérieusement son membre en le frottant, le soulevant, en décalottant son gland d’une main tout en passant de l’eau dessus à l’aide la bouteille qu’il tenait dans l’autre main.

On le matait du coin de l’œil surtout que tu étais tourné sur le côté dans le sens de sa serviette.

Sous ses gestes, on voyait son sexe grossir.

Sa bite était vraiment grosse et longue.

A voir cette scène, tes caresses sur mon sexe avaient repris à mon plus grand bonheur.

Il revient à sa serviette, son sexe ne pendait plus mais était dressé vers le ciel.

Il posa la bouteille et pris sa serviette pour s’essuyer entièrement par des gestes lents.

Puis il pris dans son sac à dos une bouteille d’ huile bronzante.

Il mit de l’huile dans le creux de sa main disponible et commença a l’appliquer sur son visage, puis sur ses épaules et ses bras, descendre sur son torse et son ventre.

Il passa directement sur ses jambes en se penchant en avant. Dans cette position, on ne voyait plus son sexe qui etait plaqué sur son ventre.

Mais il se releva ainsi on pouvait voir ce gros sexe en erection.

Il mit de l’huile dans le creux de sa main droite et il a pris son gros sexe dans sa main pour appliquer de l’huile.

Nos narines étaient chatouillées par une douce odeur de monoï.

Il nous regarda et on croisa nos regards.

On était surpris dans notre voyeurisme.

Ses mouvements sur son sexe nous donnaient l’impression d’une masturbation en règle que l’application d’huile solaire.

On ne se trompait pas puisque son sexe grossissait encore entre ses mains.

Après ce petit jeu d’exhibition,l’homme s’allongeât sur le dos sur la droite de sa fouta, comme s’il attendait quelqu’un vienne s’installer à sa gauche sur la fouta.

Il avait posé sa tête sur son sac à dos et avait jeter un regard vers nous pour s’assurer que l’on le matait toujours, puis il tourna la tête pour regarder vers le ciel.

Devant nos yeux, il commença alors à porter sa main gauche sur son sexe, pour que l’on puisse bien voir son membre sans être gêné par son bras droit qui etait le long de son corps, pour le saisir.

Il entama une lente masturbation qui fit lever immédiatement sa grosse queue, devenant de plus en plus longue au point ou elle dépassa très vite et très largement son nombril.

Tu n'avais pas bougé d'un doigt et tu étais comme hypnotisée par cette vue incroyable par autant de grosseur et de longueur !

Je te caressais les fesses sous ton maillot et toi tu me branlait lentement le sexe et descendait vers mes couilles pour malaxer par intermittence.

On était très excité par la situation.

Je te dis à l’oreille : “il a vraiment une grosse bite”.
Et tu me dis ‘: “oui ! Je pense que ma main ne pourrait pas en faire le tour! “
Moi : “tu aimerais la toucher?”
Toi : “mais, euh ! “
Moi: “tu veux sentir cette grosse queue dans tes mains?”
Toi: “c’est vrai qu’elle est vraiment grosse…”
Moi : “chérie, tout ce qui se passe à Majorque, reste à Majorque”
“Si tu as envie, chérie, vas le caresser “
Toi ‘ “Mais c’est de la folie ! “
Moi ‘“ vas y chérie, tu en as envie et je suis d’accord mais que des caresses pas plus !”

Je profitais de mes derniers mots pour défaire l’attache de ton soutien-gorge et te dire : “Il faut présenter tes atouts un peu qu’en même” ? En te faisant un clin d’œil

Tu lâchas mon sexe que tu caressais, tu t’es mis à genoux et tu me fis un bisou.

Tu te levas, enlevas ton soutien-gorge, pris ta serviette et te dirigea vers l’homme.

Tu arrivas à sa hauteur, seins nus.

Il était toujours allongé et sa main sur son gros sexe , il leva la tête en te voyant.

Tu lui dis : “holà !, my name is Elo”
Il te redit : “holà Nelly ! I’m Pedro”

Tu installas ta serviette à gauche de Pedro et te positionnas sur le côté près de lui afin de le regarder, ta main droite soutenant ta tête, ainsi tu pouvais également me voir.

Pedro était resté allonger sur le dos avec son sexe dans la main gauche, il avait tourné la tête vers toi.

Tu lui dis : “i want to touch your sex, please”
Il te dit : “OK, no problem, with pleasures”

Pedro enleva sa main de son sexe et passa son bras derrière ton dos.

Tu posas délicatement ta main sur ses couilles pour les prendre en main et tu les malaxas délicatement en le regardant.

Puis tu fis remonter ta main sur son sexe et tatas la dureté du bâton.

Tu fis courir tes doigts sur toute la longueur de ce gros membre et d'un geste lent qui n'en finissait pas tu descends jusqu'aux bourses bien grosses également.

Puis tu fis sens inverse pour remonter vers son gland bien sorti de son prépuce et gonflé comme un œuf.

Devant cette verge, tu ne pouvais plus faire machine arrière et c'est un peu avec timidité quand-même, que tu m’as jeté un coup d’œil tout en malaxant les 2 grosses couilles de Pedro. Car tu adores jouer avec les testicules !

De mon côté, je matais cette scène et je me caressais.

Tu lui glissas à l’oreille : “you have big sex”

Il te sourit et ferma les yeux tout en te caressant le dos en descendant jusqu’à l’élastique de ton bas maillot de bain. Tu appréciais ses caresses.

Il prit l’initiative de caresser tes seins de sa main droite. Il les caressa, les malaxa délicatement puis il a joué avec tes tétons qui durcissaient sous ses doigts agiles.

Tu regardais ce gros membre dans ta main, qui ne pouvait pas en faire le tour comme tu le pensais, et tu le caressais avec délectation.

Tu voyais ses tétons pointer vers le ciel et tu avais envie de les prendre en bouche car tu avais envie de le faire durcir au maximum et le voir exploser de plaisir, mais tu t’es retenu car je n’avais donné mon accord pour plus qu’une branlette.

Pedro était aux anges, il bandait fort sous tes mouvements de va et vient. Il appréciait la douceur de ta main sur ses couilles rasées.

De mon côté, j’étais excité de la situation et de te voir branler cette grosse queue. Ton regard sur ce sexe me rendait fou.

Tu faisais des mouvements de va et vient lents le long de ce sexe incroyablement long.

Et par intermittence, tu accélérais tes mouvements quelques secondes, tu écoutais Pedro gémir de plaisirs, puis tu reprenais tes mouvements de masturbation lents.

Pedro faisait de petits bruits de plaisirs qui t’encourageaient a continuer.

Tu sentis dans ta main que le sexe de Pedro était gonflé à son maximum et qui tressaillait sous tes caresses.

Tu savais qu’il allait bientôt venir, donc tu accéléras tes mouvements pour le branler énergiquement.

Il ne pouvait pas tenir longtemps à ce traitement et Pedro a joui en poussant un raille de satisfaction sur son ventre par de grands jets de sperme.

Tu souriais car tu étais contente d’avoir fait jouir cet homme par tes caresses.

Tu continuas à le branler pour extraire tout son jus.

Pedro avait un souffle lent et exprimait son plaisir par de léger sons de plaisirs.

Son sexe dans ta main, tu continuais à le masturber et caresser ses couilles.

Tu voulais redonner de la vigueur à se gros sexe malheureusement tu l’avais tellement fait jouir qu’il n’était plus en état pour le moment de reprendre du volume.

Après un long moment de caresses, tu arrêtas tes caresses lorsque son sexe commença a être moins dur.

Tu enlevas ta main du sexe de Pedro et tu lui dis :
“Gracia Pedro, I love your big sex!

Pedro te répondu :
“Non, merci à toi, Elo !

Toi : “mais tu parles français!”

Pedro : “C’était un vrai régale d’être traité ainsi par une jolie femme comme toi”

Tu souris et te mis à genoux.

Toi : “tu es un coquin Pedro, adios !”

Et tu lui donna un petit baisser sur la bouche.

Tu t’es levé, tu as pris ta serviette et tu es venu me rejoindre.

Tu t’allongeas sur moi, car tu voulais sentir mon sexe raide contre ton sexe à travers ton maillot bain.

Et je voulais que tu me racontes ton expérience et tes sensations en détail.

Pedro etait qu’en a lui parti se rincer dans l’eau.