Surprise et conquise
Récit érotique écrit par Hphiephi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Surprise et conquise
Voilà le récit d'une histoire qui a animé mes fantasmes sexuels ces derniers temps. Il y a deux ans j'ai accueilli chez moi mon meilleur ami avec sa copine de l'époque : Ophélie. Mon ami, Jérome, était en stage en Lyon pour trois jours et sa copine l'avait accompagné pour faire du tourisme et visite la ville aux deux collines. C'était ainsi pour moi l'occasion de la rencontrer et je leur avais donc offert, avec enthousiasme, l'hospitalité. J'ai tout de suite adoré Ophélie. Elle avait quelque chose d'indescriptible, je la trouvais jolie mais pas seulement. Elle avait une légèreté dans le regard et ses expressions... quelque chose de profondément sensuel et sexuel. Elle faisait partie de ces femmes que l'on a envie de gouter, de posséder. Bref elle éveillait en moi bien des instincts. La première soirée fut très agréable. J'observais avec envie Ophélie mais évidemment il était hors de question d'en laisser paraître quoi que ce soit puisqu'elle était la copine de mon meilleur ami. Cependant je guettais les mouvements de sa robe légère à l'affut d'un geste ou d'une posture laissant entrevoir une partie de ses seins lourds, ou d'un croisement de jambe laissant apparaître le haut de ses cuisses. J'avais même l'impression à certains moments qu'elle bougeait volontairement pour me provoquer.
Le séjour se déroulait merveilleusement. Chacun vaquait à ses occupations, je travaillais, Jérôme « stageais » et Ophélie visitait. Le choses prirent néanmoins une toute autre tournure le dernier jour. Je rentrai un peu plus tôt du travail et je pensais avoir deux heures devant moi avant que mes hôtes ne rentrent. La surprise fut immense quand je me retrouvai nez à nez avec ophélie, mi-assise sur le canapé, les écouteurs dans les oreilles, devant son ordinateur portable en train de se caresser. Aucune échappatoire possible pour elle, je l'avais bien involontairement prise en flagrant délit : seins gonflés, visage tendu par le plaisir qu'elle se donnait et soupirs profonds entrecoupés de petits cris discrets. Quand elle me vit, elle poussa un cri de stupeur, se jeta sous le plaid de mon canapé et m'en bougea plus transie de honte. De mon coté j'étais à la fois très amusé et très gêné. Il fallait crever l'abcès. Je m'approchai donc d'elle, m'assis à ses cotés et lui dit :
« Allez me t'inquiète pas, c'est pas grave. Tu as une minute pour te rhabiller, je me retourne et après on discute ».
C'est à ce instant que j'eus la deuxième surprise. Elle était en train de regarder un porno. J'hallucinais ! Elle avait cependant très bon goût car il s'agissait d'un « porno chic » très travaillé au niveau de la lumière, des scènes et des prises de vues. Une fois rhabillée, elle éteignit l'ordinateur et s'assit sur le canapé, toujours muette. L'ambiance était lourde, il fallait la détendre. Ses goûts cinématographiques étaient l'occasion parfaite :
« J'adore ce style de porno. Je trouve ça très sensuel et très excitant ». Pas de réponse.
« Moi aussi j'utilise souvent ce genre de truc pour m'inspirer quand je me fais plaisir ». Toujours muette.
« Allez fais un sourire, c'est pas grave, dis-toi que cet épisode sera notre secret, un premier instant fort partagé avec la copine de mon meilleur pote. Cela nous appartient et personne n'en saura rien.
Je suis verte de honte, répondit-elle enfin.
Il n'y a pas de quoi. Allez maintenant que le mal est fait allons au bout. Tu te fais souvent plaisir devant des films ?
Elle hésita, puis je vis dans ses yeux, une lueur, une idée qui venait de lui traverser l'esprit. Elle venait de se dire « et puis tant pis, c'est vrai que c'est marrant ». Je la vis se détendre d'un coup, baisser la garde, sourire, se tourner vers moi. La honte s'était dissipée.
Rarement, mais là j'en avais très envie.
Pourquoi ? Qu'est-ce qui t'excite ?
L'abondance.
Je restais dubitatif et elle sourit avant d'enchainer d'une traite.
Leur bite quoi, énorme. Ça m'excite.
Ce coup-ci c'est moi qui était sans voix. Elle poursuivit.
Ben oui quoi, ça m'excite c'est comme ça ! Et puis Jérome, même s'il fait très bien l'amour et me fait jouir régulièrement n'est pas très bien doté de ce coté là. Tu vois il y a des fois où tu as envie d'un resto gastronomique et parfois d'un gros repas, bien lourd. Pas forcement fin mais gouteux et copieux.
Je la remerciai pour cette comparaison et très bon goût....
L'idée même de me sentir remplie m'excite et quand je me caresse, y penser me fait venir en quelques minutes. D'ailleurs de ce coté là il paraît que tu es très... étonnant... »
C'était maintenant moi qui était tout rouge. Il est vrai que j'ai un sexe au delà des longueurs moyennes et Jérome m'avait évidemment déjà vu sous la douche. Il lui avait raconté. Quel con celui-là ! Elle poursuivit :
Pour tout te dire, ça fait deux jours que j'y pense. Tu es mignon et je ne peux m'empêcher d'imaginer ton sexe. C'est une grande curiosité pour moi. Alors cette après-midi je suis restée à la maison et devant ce porno j'ai imaginé que tu me pénétrais, profondément sur ce canapé. Je ne pensais pas que tu rentrerais ci tôt du travail... »
Elle se leva et alla se faire couler un café. Je commençais à avoir chaud et les images de ce corps à moitié nu et tordu de plaisir tournaient en boucle dans ma tête. Elle se tourna à nouveau vers moi et me dis.
« Tu as un avantage sur moi. Tu m'as vu en train de faire du bien et moi je n'ai rien vu de toi. Ce n'est pas juste. Il faut rééquilibrer les choses.
Qu'est-ce que tu proposes ?
Je veux des photos de toi ou une petite vidéo pour m'inspirer la prochaine fois que je me caresserai.
Et en contrepartie ?
Tu l'as déjà eu, il n'y aura rien d'autre.
Tu rêves !
OK. En contrepartie je te raconterai en détail chacun des orgasmes que tu m'auras déclenché. Ce sera la seule contrepartie. Il n'y aura jamais de sexe entre nous et tu ne me verras plus jamais nue.
J'accepte !
Je trouvais ce petit jeu très excitant et elle outrageusement gonflée. Jérome est rentré un peu plus tard. Nous avons passé cette dernière soirée au restaurant. Je la bouffais du regard. Elle m'ignorait. Avant d'aller se coucher nous nous sommes dis au revoir car ils partaient très tôt le lendemain. Alors que je lui faisais la bise elle m'a glissé à l'oreille « cette nuit... ». Elle a sourit et est allé ce coucher.
J'ai attendu une heure puis dans la nuit je lui ai envoyé par texto plusieurs photos de mon sexe tendu. Elle m'a répondu quelques minutes plus tard.
« Merci. Une video please ».
J'avais déjà commencé à me masturber il ne m'était donc pas difficile de filmer la scène avec mon téléphone. J'ai ralenti les va-et-vient de ma main pour qu'elle profite au maximum de mon sexe. Puis j'ai accéléré pour me faire venir. Juste avant d'exploser je me suis mis sur le ventre et j'ai frotté mon sexe sur les draps le torse relevé pour pouvoir filmer mon sexe. C'est comme si je lui faisais l'amour en missionnaire. J'ai jouis très fort, repensant à Ophélie se touchant, et la caméra n'a rien manqué de mon plaisir se répandant sur mes draps. J'ai envoyé la vidéo à Ophélie puis me suis endormi.
Les jours suivants j'ai reçu trois messages d'Ophélie.
« Coucou, merci pour ta superbe vidéo qui m'a rendu folle. Je me suis caressé hier soir juste après l'avoir reçu. Jérome dormait profondément alors j'ai pu m'en donner à cœur joie. Ton message, la situation... tu n'imagines pas à quel point mon orgasme a été intense. J'ai commencé par caresser mes seins, à les faire durcir et à agacer mes petits tétons. Ensuite ma main a glissé vers mon bas ventre et j'ai commencé à jouer avec mon pubis tout doux grâce à la petite pelouse que je garde jalousement. J'ai ensuite imité les va et vient de ta main sur ton superbe sexe sur mon petit clito en le caressant délicatement. Comme il est excitant de se masturber à coté de son copain endormi en pensant à un autre homme... L'excitation était immense, je me suis mise sur le ventre pour pouvoir continuer à me caresser sans bruit et sans réveiller Jérome. Te voir te frotter sur tes draps et te voir jouir a très vite déclenché chez moi un énorme orgasme. J'en pouvais plus. Au moment de jouir j'ai enfouis ma tête dans l'oreiller pour étouffer mes cris. Tout mon corps s'est tendu et j'ai senti cette vague de plaisir m'envahir. Je me suis ensuite endormie... Au réveil j'ai senti sur mes doigts le souvenir de mon plaisir clandestin. Tu trouveras peut-être des traces de mon orgasme dans les draps... »
Je me suis évidemment précipité vers le lit de mes hôtes et à mon tour masturbé à l'endroit où Ophélie s'était satisfaite la veille m'enivrant d'elle et de l'odeur de sexe qu'elle avait laissé. Plus tard dans la journée j'ai reçu un autre SMS, plus court mais tout aussi excitant.
« On est bien arrivé. Je n'ai pas pu résister à me caresser encore une fois. Ton sexe m'excite mais ce coup-ci c'est à ta langue que j'ai pensé. Je me suis masturbée très vite et très fort sur le dos. Mon orgasme a été court mais violent. J'en suis encore toute tremblante... Bisous. »
Le lendemain j'en ai reçu un troisième...
« Tu mérites bien un cadeau. Je vais t'appeler, ne réponds pas... ».
Ophélie m'a laissé un message vocal. Elle m'offrait un de ses orgasmes, puissant, sonore, terriblement érotique. Comme j'aimerais faire l'amour à cette femme, l'expérience doit être magique. J'adore sa façon de gémir à la fois douce et généreuse. Au fur et à mesure du message ses cris et sa respiration s'accéléraient. Puis ses cris se sont transformés en « oui, oui, oh oui, ohouiouioui » toujours plus rapides et plus aiguës et puis soudain : « oh oui ca vient !!! » et elle est partie dans un long et intense cri de plaisir de plusieurs secondes. Quel orgasme superbe ! J'imagine son visage se déformer, son corps se tendre et se cambrer en projetant vers l'avant ses seins magnifiques. J'écoute souvent son message et son « ça vient » est pour moi un déclencheur imparable pour un plaisir immense que je rêve de partager un jour avec elle.
Pour celles ou ceux qui souhaitent raconter à leur tour leurs plaisirs ou illustrer cette histoire, mon adresse est dans mon profil.
Le séjour se déroulait merveilleusement. Chacun vaquait à ses occupations, je travaillais, Jérôme « stageais » et Ophélie visitait. Le choses prirent néanmoins une toute autre tournure le dernier jour. Je rentrai un peu plus tôt du travail et je pensais avoir deux heures devant moi avant que mes hôtes ne rentrent. La surprise fut immense quand je me retrouvai nez à nez avec ophélie, mi-assise sur le canapé, les écouteurs dans les oreilles, devant son ordinateur portable en train de se caresser. Aucune échappatoire possible pour elle, je l'avais bien involontairement prise en flagrant délit : seins gonflés, visage tendu par le plaisir qu'elle se donnait et soupirs profonds entrecoupés de petits cris discrets. Quand elle me vit, elle poussa un cri de stupeur, se jeta sous le plaid de mon canapé et m'en bougea plus transie de honte. De mon coté j'étais à la fois très amusé et très gêné. Il fallait crever l'abcès. Je m'approchai donc d'elle, m'assis à ses cotés et lui dit :
« Allez me t'inquiète pas, c'est pas grave. Tu as une minute pour te rhabiller, je me retourne et après on discute ».
C'est à ce instant que j'eus la deuxième surprise. Elle était en train de regarder un porno. J'hallucinais ! Elle avait cependant très bon goût car il s'agissait d'un « porno chic » très travaillé au niveau de la lumière, des scènes et des prises de vues. Une fois rhabillée, elle éteignit l'ordinateur et s'assit sur le canapé, toujours muette. L'ambiance était lourde, il fallait la détendre. Ses goûts cinématographiques étaient l'occasion parfaite :
« J'adore ce style de porno. Je trouve ça très sensuel et très excitant ». Pas de réponse.
« Moi aussi j'utilise souvent ce genre de truc pour m'inspirer quand je me fais plaisir ». Toujours muette.
« Allez fais un sourire, c'est pas grave, dis-toi que cet épisode sera notre secret, un premier instant fort partagé avec la copine de mon meilleur pote. Cela nous appartient et personne n'en saura rien.
Je suis verte de honte, répondit-elle enfin.
Il n'y a pas de quoi. Allez maintenant que le mal est fait allons au bout. Tu te fais souvent plaisir devant des films ?
Elle hésita, puis je vis dans ses yeux, une lueur, une idée qui venait de lui traverser l'esprit. Elle venait de se dire « et puis tant pis, c'est vrai que c'est marrant ». Je la vis se détendre d'un coup, baisser la garde, sourire, se tourner vers moi. La honte s'était dissipée.
Rarement, mais là j'en avais très envie.
Pourquoi ? Qu'est-ce qui t'excite ?
L'abondance.
Je restais dubitatif et elle sourit avant d'enchainer d'une traite.
Leur bite quoi, énorme. Ça m'excite.
Ce coup-ci c'est moi qui était sans voix. Elle poursuivit.
Ben oui quoi, ça m'excite c'est comme ça ! Et puis Jérome, même s'il fait très bien l'amour et me fait jouir régulièrement n'est pas très bien doté de ce coté là. Tu vois il y a des fois où tu as envie d'un resto gastronomique et parfois d'un gros repas, bien lourd. Pas forcement fin mais gouteux et copieux.
Je la remerciai pour cette comparaison et très bon goût....
L'idée même de me sentir remplie m'excite et quand je me caresse, y penser me fait venir en quelques minutes. D'ailleurs de ce coté là il paraît que tu es très... étonnant... »
C'était maintenant moi qui était tout rouge. Il est vrai que j'ai un sexe au delà des longueurs moyennes et Jérome m'avait évidemment déjà vu sous la douche. Il lui avait raconté. Quel con celui-là ! Elle poursuivit :
Pour tout te dire, ça fait deux jours que j'y pense. Tu es mignon et je ne peux m'empêcher d'imaginer ton sexe. C'est une grande curiosité pour moi. Alors cette après-midi je suis restée à la maison et devant ce porno j'ai imaginé que tu me pénétrais, profondément sur ce canapé. Je ne pensais pas que tu rentrerais ci tôt du travail... »
Elle se leva et alla se faire couler un café. Je commençais à avoir chaud et les images de ce corps à moitié nu et tordu de plaisir tournaient en boucle dans ma tête. Elle se tourna à nouveau vers moi et me dis.
« Tu as un avantage sur moi. Tu m'as vu en train de faire du bien et moi je n'ai rien vu de toi. Ce n'est pas juste. Il faut rééquilibrer les choses.
Qu'est-ce que tu proposes ?
Je veux des photos de toi ou une petite vidéo pour m'inspirer la prochaine fois que je me caresserai.
Et en contrepartie ?
Tu l'as déjà eu, il n'y aura rien d'autre.
Tu rêves !
OK. En contrepartie je te raconterai en détail chacun des orgasmes que tu m'auras déclenché. Ce sera la seule contrepartie. Il n'y aura jamais de sexe entre nous et tu ne me verras plus jamais nue.
J'accepte !
Je trouvais ce petit jeu très excitant et elle outrageusement gonflée. Jérome est rentré un peu plus tard. Nous avons passé cette dernière soirée au restaurant. Je la bouffais du regard. Elle m'ignorait. Avant d'aller se coucher nous nous sommes dis au revoir car ils partaient très tôt le lendemain. Alors que je lui faisais la bise elle m'a glissé à l'oreille « cette nuit... ». Elle a sourit et est allé ce coucher.
J'ai attendu une heure puis dans la nuit je lui ai envoyé par texto plusieurs photos de mon sexe tendu. Elle m'a répondu quelques minutes plus tard.
« Merci. Une video please ».
J'avais déjà commencé à me masturber il ne m'était donc pas difficile de filmer la scène avec mon téléphone. J'ai ralenti les va-et-vient de ma main pour qu'elle profite au maximum de mon sexe. Puis j'ai accéléré pour me faire venir. Juste avant d'exploser je me suis mis sur le ventre et j'ai frotté mon sexe sur les draps le torse relevé pour pouvoir filmer mon sexe. C'est comme si je lui faisais l'amour en missionnaire. J'ai jouis très fort, repensant à Ophélie se touchant, et la caméra n'a rien manqué de mon plaisir se répandant sur mes draps. J'ai envoyé la vidéo à Ophélie puis me suis endormi.
Les jours suivants j'ai reçu trois messages d'Ophélie.
« Coucou, merci pour ta superbe vidéo qui m'a rendu folle. Je me suis caressé hier soir juste après l'avoir reçu. Jérome dormait profondément alors j'ai pu m'en donner à cœur joie. Ton message, la situation... tu n'imagines pas à quel point mon orgasme a été intense. J'ai commencé par caresser mes seins, à les faire durcir et à agacer mes petits tétons. Ensuite ma main a glissé vers mon bas ventre et j'ai commencé à jouer avec mon pubis tout doux grâce à la petite pelouse que je garde jalousement. J'ai ensuite imité les va et vient de ta main sur ton superbe sexe sur mon petit clito en le caressant délicatement. Comme il est excitant de se masturber à coté de son copain endormi en pensant à un autre homme... L'excitation était immense, je me suis mise sur le ventre pour pouvoir continuer à me caresser sans bruit et sans réveiller Jérome. Te voir te frotter sur tes draps et te voir jouir a très vite déclenché chez moi un énorme orgasme. J'en pouvais plus. Au moment de jouir j'ai enfouis ma tête dans l'oreiller pour étouffer mes cris. Tout mon corps s'est tendu et j'ai senti cette vague de plaisir m'envahir. Je me suis ensuite endormie... Au réveil j'ai senti sur mes doigts le souvenir de mon plaisir clandestin. Tu trouveras peut-être des traces de mon orgasme dans les draps... »
Je me suis évidemment précipité vers le lit de mes hôtes et à mon tour masturbé à l'endroit où Ophélie s'était satisfaite la veille m'enivrant d'elle et de l'odeur de sexe qu'elle avait laissé. Plus tard dans la journée j'ai reçu un autre SMS, plus court mais tout aussi excitant.
« On est bien arrivé. Je n'ai pas pu résister à me caresser encore une fois. Ton sexe m'excite mais ce coup-ci c'est à ta langue que j'ai pensé. Je me suis masturbée très vite et très fort sur le dos. Mon orgasme a été court mais violent. J'en suis encore toute tremblante... Bisous. »
Le lendemain j'en ai reçu un troisième...
« Tu mérites bien un cadeau. Je vais t'appeler, ne réponds pas... ».
Ophélie m'a laissé un message vocal. Elle m'offrait un de ses orgasmes, puissant, sonore, terriblement érotique. Comme j'aimerais faire l'amour à cette femme, l'expérience doit être magique. J'adore sa façon de gémir à la fois douce et généreuse. Au fur et à mesure du message ses cris et sa respiration s'accéléraient. Puis ses cris se sont transformés en « oui, oui, oh oui, ohouiouioui » toujours plus rapides et plus aiguës et puis soudain : « oh oui ca vient !!! » et elle est partie dans un long et intense cri de plaisir de plusieurs secondes. Quel orgasme superbe ! J'imagine son visage se déformer, son corps se tendre et se cambrer en projetant vers l'avant ses seins magnifiques. J'écoute souvent son message et son « ça vient » est pour moi un déclencheur imparable pour un plaisir immense que je rêve de partager un jour avec elle.
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