Surprise III - histoire érotique

Comme à mon habitude, je me réveille de bonne heure, toujours entre Adeline et Muriel.
Je sors du lit le plus doucement possible et contemple ce duo à demi-entrelacé.
Adeline avec son visage d'ange orné de grands yeux vert, 1,73m, mince, long cheveux châtains, un p'tit cul qui me fais rêver mais toujours interdit et une poitrine ni petite ni grosse, juste comme j'aime, ferme et doux avec de petites auréoles.
Muriel n'est pas grande très grande, je dirais 1,55m aux formes généreuses, cheveux noir mi-long avec des mèches rouges, une peau étrangement blanche d'où je peux apercevoir des tatouages sur les bras dévorant une partie de son dos. Mais je n'arrive pas a distinguer ce qu'ils représentent. Elle me fait penser à une gothique sans même avoir vu son style vestimentaire...

Je prépare du café et des tartines puis je dépose deux tasses pleines avec les tartines sur un plateau dans la chambre et pars sous la douche.

Le temps est à la pluie en ce samedi. Quelque chose me dit qu'Adeline n'a pas prévu de sortir ce weekend.

En sortant de la douche, j'entends des murmures dans la chambre, curieux, j'y jette un œil furtif.
Je ne crois pas à ce que je vois. Ma femme généralement pudique, ne voulant pas entendre parler de plan à trois, m'a déjà grandement étonnée la veille, me disant que c'était pour me faire plaisir. Mais la voir couchée sur le dos, le visage de Muriel entre ses cuisses. Sur le coup, je suis abasourdi puis ses paroles me reviennent "-t'inquiète! Muriel ne repars que demain! J'ai tout le temps de prendre du bon temps. Pis elle m'a déjà montrer ce qu'une femme pouvait faire...."
Je n'aurai jamais pensé qu'elle se laisserai tentée aux plaisirs lesbien.
Quoi qu'il en soit, j'aurais toutes les réponses à mes questions plus tard. Pour l'heure, je profite du spectacle que ces deux nymphes me délivre.
Je me glisse furtivement dans la chambre et me tapis dans un coin de sorte à avoir une belle vue sur le cul et la vulve de Muriel, ainsi que, si je me penche, le même duo de ma femme entre les jambes de Muriel.

La langue, visiblement experte, de Muriel fais monter l'excitation d'Adeline, et la mienne. Adeline gémis de plus en plus, sa respiration de saccade, les yeux fermés, la tête en arrière, les mains sur la tête de Muriel l'interdisant d'arrêter. Muriel se caresse les lèvres, puis s'entre deux doigts dans son con. Elle mouille abondamment.
Les gémissements parsemer de couinement/feulement et les bruit de succion donne une mélodie délicieuse.
Adeline est prise de sursaut, lève les fesses et Muriel continu de butiner le nectar et peine a suivre tout en continuant sa caresse intime.
Adeline jouis bruyamment et se recroqueville sur elle le temps de reprendre son souffle. Muriel se couche contre elle et l'embrasse tendrement faisant courir ses doigts fin sur la peau de ma tendre.
Lorsque Adeline lève la tête et m'aperçois, son visage s'empourpre instantanément de honte, alors je j'approche, l'embrasse et lui souffle à l'oreille "-je t'aime mon amour"
Elle me prends dans ses bras et nous nous câlinons un petit moment.
Je remercie d'un coup d'œil Muriel pour sa discrétion et ce qu'elle fait découvrir à me femme.
J'enfile un jean et retourne faire du café. Adeline et Muriel me rejoignent et s'installent autour de la table. Adeline s'est enroulée dans un peignoir et Muriel s'est habillée. Effectivement, elle a adoptée un style gothique, extravagante et provocante. J'ai toujours un petit faible pour ces femmes...
Je veux savoir comment on en est arrivé là.
-donc, toi c'est Muriel?
-oui
-j'ai cru comprendre que tu repars aujourd'hui?
-oui et mon train est dans 1h30.
Mon regard passe de l'une à l'autre.
-ça ne te dérange pas de l'emmener à la gare? J'ai les jambes en coton. Me demande Adeline.
-tu ne viens pas? On flânera un peu en ville après son départ...
-non, je ferai un brin de ménage!
Sa réponse me choque un peu vis à vis de Muriel mais les deux me regarde avec autorité. Alors je n'insiste pas.
-il va où ce train?
-Paris
-tu habite Paris?
-euhhhh..... Ouais!?
Me répond Muriel en se moquant de mon étonnement.
-comment tu as fais pour atterrir ici?
Je vois Adeline virer a l'écarlate.
-Adeline me l'a demandée. Elle m'a contactée sur un site échangiste.
-oui enfin c'est pas tout à fait comme ça qu'on s'est rencontré!
Se défend Adeline sèchement.
-oui bon. Admit Muriel. On est sur le même jeu et je commençait à la draguer sur le tchat. Je lui ai dis que j'étais sur un site un peu particulier et de venir voir. C'est là qu'elle a vu que j'étais bi et sans réels attaches sentimentales. En tchatant un peu elle m'a dit que tu aimerais un plan à trois et que tu appréciais la dilatation anal.
Je regarde Adeline avec des yeux rond. Comme pour répondre à mes questions muettes, elle me répond:
-on s'est donner rdv hier midi à la gare, j'avais pris mon après-midi. Nous avons convenues d'un câlin un peu spécial pour commencer. Nous savions que ça te plairais.
-et tu m'as dis hier qu'elle t'avais montrer ce qu'une femme pouvais te faire.
-Ben....j'étais quand même un peu stressée et inquiète de savoir si j'allais aimer. Muriel l'a bien senti et on peux dire qu'elle m'as détendu dans la voiture.
Un sourire d'abouti se dessine sur mon visage en repensant à la scène de ce matin.
-et tu as aimée?
-c'est bizarre au début et on s'y fait vite.
-ha oui tu t'y ai vite fait vu tes miaulements!!! Rétorque Muriel faussement vexé. Nous rions de bon cœur.
-il est temps d'y aller.
Je monte et met un t-shirt. Lorsque je reviens dans la cuisine et les trouve lèvres contre lèvres enlacée l'une contre l'autre. Je n'ose les déranger et j'avoue que cela réveille mon érection.
Je reste silencieux dans la voiture, je ne suis pas bavard en général. Muriel casse le silence.
-dis donc toi? On dirais que le baiser que j'ai eu avec Adeline t'as fait de l'effet?
J'essaie de prendre un ton désintéressé.
-un peu oui.
-mouais, tu permet que je vérifie?
Liants le geste à la parole, elle pose sa main sur la bosse de mon jean. Ce qui renforce mon érection.
-ça a l'air étroit la-dedans. On va arranger ça.
Elle me libère mon membre tendu et commence de petits va et vient.
Je reste concentré sur la route.
Elle se penche et embouche ma queue. L'enveloppe de sa langue. J'ai du mal à conduire. Je lui demande d'arrêter.
-je doute que tu le veuille réellement. En tout cas ta queue dit l'inverse!
-c'est vrai que c'est bon. Mais ça me gêne...
-tu ne disais pas ça hier quand tu m'enculais.
-c'est différent, elle était là.
-alors ne lui dis pas.
-non je ne veux pas et nous sommes arrivés.
Elle fais la moue.
-tu es vexée?
-non bien sur! On vois que tu l'aime! Je vous trouve très beaux ensemble.
Je l'accompagne sur le quai de la gare. Alors que le train est sur le point de partir, elle m'embrasse tendrement et me murmure à l'oreille.
-dommage pour ta pipe, c'est Adeline qui voulais te l'offrir. Ce sera la prochaine fois. A plus beau brun.
Elle monte dans le train et je la regarde partir avec un petit pincement au cœur...