Syldavie : 5 - Rentrée à la Faculté
Récit érotique écrit par Syldavie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Syldavie ont reçu un total de 92 193 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 871 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Syldavie : 5 - Rentrée à la Faculté
Dans mes récits précédents j'ai évoqué mes premiers émois, mes premiers flirts, ma première fellation... Certains lecteurs voudraient que je raconte ma première fois... Patience, cela viendra mais je préfère prendre mon temps. Je n'ai pas été vraiment précoce avec les garçons, devant passer du statut de vilain petit canard à jolie fille qui s'assume, ce n'est pas forcement évident et cela ne se fait pas d'un claquement de doigt.
J'en étais restée à l'année de l'obtention de mon baccalauréat et des vacances qui suivirent en compagnie de Stéphanie et Laure. Désormais c'est la rentrée, ma première année de Fac...
Pour me rendre à l'Université, il me faut de chez mes parents une bonne heure de trajet, par commodité ceux-ci ont accepté l'offre de Stéphanie qui me propose de partager un appartement avec elle. Le loyer est à bas coût car l'appartement appartient aux parents de ma copine et donc je ne participe qu'aux charges de fonctionnement. Je suis vraiment contente pour plusieurs raisons : je m'entends bien avec Stéphanie, je ne suis pas trop loin de ma famille et peut rentrer quand je le souhaite et surtout j'accède à une nouvelle liberté.
Mon nouveau domicile est sympa, reculé de la rue il se situe au rez-de-chaussée d'une arrière-cour. Il y a une pièce principale avec Kitchenette, une salle de bain /wc et deux chambres, petites certes mais qui nous permettent d'avoir un lieu intime à chacune.
J'avais donné à ma chambre un air "girly" qui amusait beaucoup Stéphanie qui s'étonnait de ce look audacieux de ma part. Jusqu'alors j'avais dans mes tenues vestimentaires et mon comportement une attitude "passe-partout", je n'aimais pas beaucoup me faire remarquer car je n'avais que peu confiance en moi et mon physique. D'avoir donné à une apparence un peu fantasque à mon intérieur dénotait d'une certaine évolution.
Le premier contact avec les cours magistraux qui se situent dans un grand amphithéâtre ont été enthousiasmants pour moi. Bien que n'y connaissant pas grand monde à part Stéphanie, j'y ai de suite aimée l'ambiance : mélange de décontraction, d'atmosphère studieuse ; un lieu chargé d'Histoire qui a vu passer des générations d'étudiants et d'étudiantes.
Durant les premières semaines, je suis très prise par ma nouvelle vie et l'organisation qui s'y rattache, il faut que je m'adapte aux nouvelles habitudes et à ma vie en collocation. De ce fait je pense moins aux badinages et à l'érotisme. Je me souviens me masturber tout de même chaque soir, mais aucune aventure notable qui m'ai marquée n'est arrivée les premières semaines.
Les cours de T.D. c'est à dire en groupe, ont démarrés quelques semaines après les cours magistraux qui eux ont lieux, comme je l'ai déjà évoqué, dans de grands amphis. J'y retrouve à chaque fois les mêmes personnes et bien vite je fais la connaissance avec un petit groupe de garçons et filles. Ce qu'il faut savoir aussi c'est que nous étions classés par noms de famille et le hasard faisant bien les choses, il se trouve que Stéphanie a un nom dont les initiales sont voisines des miennes. Deux filles qui se connaissent déjà dans le même T.D. a sans doute facilité la création d'un groupe de copains.
De notre groupe d'amis , je vous en reparlerai plus tard, là je voudrais juste évoquer le cas d'Aurélie, une fille un peu en marge mais avec qui j'ai un peu sympathisé. C'est une fille petite brune aux yeux très noirs et profonds. Elle parait réservée et timide, a un look bourgeois, certains diraient même qu'elle est hautaine. Elle a une petite mèche de cheveux blancs et est habillée souvent de couleurs sombres. Ce qui étonne quand on lui parle est sa voix, roque et un peu enrouée, j'appris d'elle que c'était les séquelles d'une maladie qu'elle avait eut plus jeune.
Je ne sais pas pourquoi mais cette Aurélie m'intimidait, surement son regard noir, surement sa façon d'être fière, sa réserve naturelle qui ajoute à son mystère... Pour tout dire je la trouve charmante et attirante. J'ai toujours été sensible au charme de certaines filles, comme je vous l'avais dit dans un précédent récit, j'ai déjà fantasmée sur certaines. Mais depuis quelques temps, depuis que j'ai conscience que les garçons me désirent, je pensais moins à mes consœurs !
C'est parce que nous étions tombées par hasard côte à côte dans certains cours que nous avons petit à petit engagé la conversation. Cette fille de médecins avait été surprotégée par ses parents car elle avait été gravement malade plus petite. De ce fait elle avait du mal avec les relations sociales. Je remarquais aussi qu'elle était encore plus discrète avec les garçons. Pourtant Aurélie ne me paraissait pas "coincée", elle s'habillait souvent avec des jupes courtes et était très féminine. C'est la réflexion d'un mec pas très malin qui l'avait traitée de "gouine" dans son dos qui m'a fit penser qu'elle aimait peut-être les filles... Et l'idée éveilla en moi tout un tas de fantasmes sur Aurélie.
C'est lors d'un cours d'Anglais (ennuyeux) que l'anecdote eut lieu. Cette fois là je fis tomber par mégarde mon stylo au sol, je me baisse pour le ramasser et tombe nez à nez avec les belles cuisses à moitiés dénudées d'Aurélie. La vision me trouble d'autant plus que je suis obligée de les frôler pour accéder au stylo qui avait glissé sous la chaise de ma copine... Et sans le faire exprès, du moins je le pense ou alors ce fut inconscient, j'effleure vraiment la peau de la brunette... Je sens qu'elle se raidit mais ne dit rien, elle ne fait aucun geste pour échapper au contact... Ca ne dure que quelques secondes, j'attrape le stylo et reviens dans une position normale. Je dois être toute rouge de honte mais aussi d'émois. Par la suite Aurélie n'a fait aucune référence à l'accident. Cela aurait pu rester comme ça d'autant plus que les semaines passèrent et du fait que je sympathise avec le groupe de copains précédemment évoqué j'ai moins fréquenté Aurélie. J'oublie l'incident et d'autres aventures m'arriveront durant cette première année de Fac...
Mais ce n'était pas tout à fait fini avec Aurélie ! En effet c'est à la fin de l'année qu'une suite inattendue eut lieu : C'était le dernier cour d'Anglais, j'étais habillée d'une petite jupette et Aurélie vint s'asseoir à mes côtés. Les minutes passent, le cour d'Anglais est toujours aussi ennuyeux ! Soudain j'entends quelque chose qui tombe à mes pieds : un stylo... C'est celui d'Aurélie !!! Elle se baisse et pose une main sur mes cuisses pour se retenir et accéder à son stylo... Je ne bouge pas, tétanisée... Les autres élèves, je pense, ne peuvent pas nous voir car nous sommes au fond de la salle, eux sont devant... Je trouve qu'elle met longtemps à ramasser son stylo ! Sa main s'éternise en tâtonnements divers et variés sur mes jambes... Cela devint caresses, elles sont furtives certes mais ce sont des caresses ! Puis le moment, délicieux mais également stressant se finit.
Je suis en sueur, j'ai chaud et doit-être pivoine ! Je ne sais que faire ni comment me comporter, je n'ose pas regarder ma voisine. Mes mains tremblent, j'essaie de suivre le cour mais impossible de me concentrer dessus. Aurélie ne bouge également pas, sans doute paralysée par son audace. J'ai beaucoup regrettée plus tard de ne pas avoir osé à mon tour poser une main sous le bureau et caresser ma voisine de classe mais sur le moment j'étais trop perturbée pour tenter la chose.
La fin du cours est arrivé, nous sommes sorties, je n'avais plus de cour commun avec Aurélie avant le début des vacances d'été, je ne sais plus qui m'a accaparé mais je n'ai malheureusement pas pu me libérée pourparler seule à seule avec ma copine, elle c'est juste approchée pour me faire une bise et me souhaiter de bonnes vacances. Je la regardais partir, elle c'est retournée et m'a lancé un grand sourire ainsi qu'un clin d'œil coquin. Je lui ai rendue son sourire, voyant en son comportement pleins de promesses pour la rentrée prochaine !... Pourtant je me trompais, je ne revis plus jamais Aurélie, je ne sais pas ce qu'elle est devenue vraiment. Je sais par personne interposée qu'elle a changée de filière d'études, je n'en connais pas la raison parce qu'elle était bonne élève.
Cette petite aventure, bien que fort chaste m'a pas mal marquée et durant l'été suivant je me suis souvent masturbée en y repensant, je me caressais les cuisses, mimant les attouchements de ses mains sur ma peau. Ma première coquinerie avec une fille n'aura pas lieu cette fois, dommage car elle me plaisait bien Aurélie, je l'ai perdue de vue et elle a gardé pour elle ses mystères... Etait-elle vraiment lesbienne ? Etait-elle comme moi attirée que par certaine filles mais étant tout de même plus tournée vers les garçons ? Je ne le saurai sans-doute jamais...
Cette année là j'ai eu une autre sensation érotique avec une fille. Celle-ci est une copine de lycée que nous avions hébergée Stéphanie et moi, elle se prénomme Nadia : c'est une métisse mi-Afrique du nord mi-Antillaise, le résultat est une jolie brune frisée à la peau très mâte. Elle est grande et fine, des jambes interminables et s'habille de façon BCBG. Elle nous avait demandé si elle pouvait dormir à l'appartement car elle devait passer un concours administratif par très loin de notre logement tôt le matin.
La soirée c'est passée assez calmement, Nadia voulant être fraiche, dispo et en plein forme pour cette épreuve écrite. Nous ne disposons pas de couchage supplémentaire et c'est moi qui ai le lit le plus grand, elle partagera donc mon lit.
La période était hivernale et malgré le fait que notre logis soit bien chauffé je met un pyjama que m'a offert ma mère... Un peu ridicule certes, avec des petits dessins roses, mais au moins il tiens chaud ! Nadia se moque gentiment de moi en me voyant me coucher ainsi, elle porte qu'un petit teeshirt et est en culotte. J'avoue que de voir son corps me trouble, elle est super bien foutue pensais-je...
Une fois la lumière éteinte, nous papotons un peu mais bien vite je m'aperçois que ma copine s'est endormie. Moi par contre je n'ai pas sommeil, je tourne et me retourne, je perçois le corps de Nadia à côté de moi, cela me trouble pas mal... J'ai pourtant déjà dormi avec des copines mais c'est la première fois que ca me fait cet effet là... Il faut dire que sa jolie peau et sa silhouette sont à mon goût !
Comme le lit n'est pas immense, nos corps sont l'un contre l'autre, je peu même percevoir, si je me concentre, sa respiration lente : elle dort profondément.
Impossible pour moi de trouver le sommeil et plus ça va, plus je suis excitée... Alors je ne vois qu'une solution pour me calmer : me masturber :
Délicatement j'écarte un peu mes jambes, j'en pose une carrément au contact des jambes de Nadia... Cela m'électrise et me fait tout chaud au ventre...
Discrètement je glisse ma main vers mon sexe : j'y trouve une douce moiteur. Je fais attention de ne pas faire de bruit, mes doigts experts s'activent sur mon petit bouton, je prends mon temps, je ne suis pas pressée, des pensées vicieuses me viennent à l'esprit : j'imagine Nadia toute nue qui s'offre à mes caresses, je vois son corps onduler sous mes attouchements. J'aimerais que ce soit elle qui me masturbe, j'adorerais embrasser et lécher sa peau sombre...
Bizarrement ce ne sont pas ses pensées là qui provoquent ma jouissance, mais c'est tout à coup de réaliser ce que je suis en train de faire : de me toucher de façon immorale à côté de ma copine !
D'avoir pris mon plaisir m'a décontractée et je suis tombée très vite dans les bras de Morphée.
Nadia ne c'est jamais doutée de ce que j'avais fait, cela l'aurait sans doute faite rigoler... Cette fille rigole de tout et tout le temps ! Pour info : elle a réussie son concours et travaille désormais au sein du ministère des finances... Nul doute qu'elle doit leur faire profiter de sa bonne humeur... Et de sa beauté. Je sais que depuis elle c'est mariée à un collègue de boulot, aux dernières nouvelles elle est enceinte.
Voilà pour mes aventures. Celle-fois elles n'étaient peut-être pas très sexe mais ces moments remplis d'érotisme ont été pour moi de beaux instants à vivre et à ressasser.
A bientôt pour la suite de mes souvenirs.
J'en étais restée à l'année de l'obtention de mon baccalauréat et des vacances qui suivirent en compagnie de Stéphanie et Laure. Désormais c'est la rentrée, ma première année de Fac...
Pour me rendre à l'Université, il me faut de chez mes parents une bonne heure de trajet, par commodité ceux-ci ont accepté l'offre de Stéphanie qui me propose de partager un appartement avec elle. Le loyer est à bas coût car l'appartement appartient aux parents de ma copine et donc je ne participe qu'aux charges de fonctionnement. Je suis vraiment contente pour plusieurs raisons : je m'entends bien avec Stéphanie, je ne suis pas trop loin de ma famille et peut rentrer quand je le souhaite et surtout j'accède à une nouvelle liberté.
Mon nouveau domicile est sympa, reculé de la rue il se situe au rez-de-chaussée d'une arrière-cour. Il y a une pièce principale avec Kitchenette, une salle de bain /wc et deux chambres, petites certes mais qui nous permettent d'avoir un lieu intime à chacune.
J'avais donné à ma chambre un air "girly" qui amusait beaucoup Stéphanie qui s'étonnait de ce look audacieux de ma part. Jusqu'alors j'avais dans mes tenues vestimentaires et mon comportement une attitude "passe-partout", je n'aimais pas beaucoup me faire remarquer car je n'avais que peu confiance en moi et mon physique. D'avoir donné à une apparence un peu fantasque à mon intérieur dénotait d'une certaine évolution.
Le premier contact avec les cours magistraux qui se situent dans un grand amphithéâtre ont été enthousiasmants pour moi. Bien que n'y connaissant pas grand monde à part Stéphanie, j'y ai de suite aimée l'ambiance : mélange de décontraction, d'atmosphère studieuse ; un lieu chargé d'Histoire qui a vu passer des générations d'étudiants et d'étudiantes.
Durant les premières semaines, je suis très prise par ma nouvelle vie et l'organisation qui s'y rattache, il faut que je m'adapte aux nouvelles habitudes et à ma vie en collocation. De ce fait je pense moins aux badinages et à l'érotisme. Je me souviens me masturber tout de même chaque soir, mais aucune aventure notable qui m'ai marquée n'est arrivée les premières semaines.
Les cours de T.D. c'est à dire en groupe, ont démarrés quelques semaines après les cours magistraux qui eux ont lieux, comme je l'ai déjà évoqué, dans de grands amphis. J'y retrouve à chaque fois les mêmes personnes et bien vite je fais la connaissance avec un petit groupe de garçons et filles. Ce qu'il faut savoir aussi c'est que nous étions classés par noms de famille et le hasard faisant bien les choses, il se trouve que Stéphanie a un nom dont les initiales sont voisines des miennes. Deux filles qui se connaissent déjà dans le même T.D. a sans doute facilité la création d'un groupe de copains.
De notre groupe d'amis , je vous en reparlerai plus tard, là je voudrais juste évoquer le cas d'Aurélie, une fille un peu en marge mais avec qui j'ai un peu sympathisé. C'est une fille petite brune aux yeux très noirs et profonds. Elle parait réservée et timide, a un look bourgeois, certains diraient même qu'elle est hautaine. Elle a une petite mèche de cheveux blancs et est habillée souvent de couleurs sombres. Ce qui étonne quand on lui parle est sa voix, roque et un peu enrouée, j'appris d'elle que c'était les séquelles d'une maladie qu'elle avait eut plus jeune.
Je ne sais pas pourquoi mais cette Aurélie m'intimidait, surement son regard noir, surement sa façon d'être fière, sa réserve naturelle qui ajoute à son mystère... Pour tout dire je la trouve charmante et attirante. J'ai toujours été sensible au charme de certaines filles, comme je vous l'avais dit dans un précédent récit, j'ai déjà fantasmée sur certaines. Mais depuis quelques temps, depuis que j'ai conscience que les garçons me désirent, je pensais moins à mes consœurs !
C'est parce que nous étions tombées par hasard côte à côte dans certains cours que nous avons petit à petit engagé la conversation. Cette fille de médecins avait été surprotégée par ses parents car elle avait été gravement malade plus petite. De ce fait elle avait du mal avec les relations sociales. Je remarquais aussi qu'elle était encore plus discrète avec les garçons. Pourtant Aurélie ne me paraissait pas "coincée", elle s'habillait souvent avec des jupes courtes et était très féminine. C'est la réflexion d'un mec pas très malin qui l'avait traitée de "gouine" dans son dos qui m'a fit penser qu'elle aimait peut-être les filles... Et l'idée éveilla en moi tout un tas de fantasmes sur Aurélie.
C'est lors d'un cours d'Anglais (ennuyeux) que l'anecdote eut lieu. Cette fois là je fis tomber par mégarde mon stylo au sol, je me baisse pour le ramasser et tombe nez à nez avec les belles cuisses à moitiés dénudées d'Aurélie. La vision me trouble d'autant plus que je suis obligée de les frôler pour accéder au stylo qui avait glissé sous la chaise de ma copine... Et sans le faire exprès, du moins je le pense ou alors ce fut inconscient, j'effleure vraiment la peau de la brunette... Je sens qu'elle se raidit mais ne dit rien, elle ne fait aucun geste pour échapper au contact... Ca ne dure que quelques secondes, j'attrape le stylo et reviens dans une position normale. Je dois être toute rouge de honte mais aussi d'émois. Par la suite Aurélie n'a fait aucune référence à l'accident. Cela aurait pu rester comme ça d'autant plus que les semaines passèrent et du fait que je sympathise avec le groupe de copains précédemment évoqué j'ai moins fréquenté Aurélie. J'oublie l'incident et d'autres aventures m'arriveront durant cette première année de Fac...
Mais ce n'était pas tout à fait fini avec Aurélie ! En effet c'est à la fin de l'année qu'une suite inattendue eut lieu : C'était le dernier cour d'Anglais, j'étais habillée d'une petite jupette et Aurélie vint s'asseoir à mes côtés. Les minutes passent, le cour d'Anglais est toujours aussi ennuyeux ! Soudain j'entends quelque chose qui tombe à mes pieds : un stylo... C'est celui d'Aurélie !!! Elle se baisse et pose une main sur mes cuisses pour se retenir et accéder à son stylo... Je ne bouge pas, tétanisée... Les autres élèves, je pense, ne peuvent pas nous voir car nous sommes au fond de la salle, eux sont devant... Je trouve qu'elle met longtemps à ramasser son stylo ! Sa main s'éternise en tâtonnements divers et variés sur mes jambes... Cela devint caresses, elles sont furtives certes mais ce sont des caresses ! Puis le moment, délicieux mais également stressant se finit.
Je suis en sueur, j'ai chaud et doit-être pivoine ! Je ne sais que faire ni comment me comporter, je n'ose pas regarder ma voisine. Mes mains tremblent, j'essaie de suivre le cour mais impossible de me concentrer dessus. Aurélie ne bouge également pas, sans doute paralysée par son audace. J'ai beaucoup regrettée plus tard de ne pas avoir osé à mon tour poser une main sous le bureau et caresser ma voisine de classe mais sur le moment j'étais trop perturbée pour tenter la chose.
La fin du cours est arrivé, nous sommes sorties, je n'avais plus de cour commun avec Aurélie avant le début des vacances d'été, je ne sais plus qui m'a accaparé mais je n'ai malheureusement pas pu me libérée pourparler seule à seule avec ma copine, elle c'est juste approchée pour me faire une bise et me souhaiter de bonnes vacances. Je la regardais partir, elle c'est retournée et m'a lancé un grand sourire ainsi qu'un clin d'œil coquin. Je lui ai rendue son sourire, voyant en son comportement pleins de promesses pour la rentrée prochaine !... Pourtant je me trompais, je ne revis plus jamais Aurélie, je ne sais pas ce qu'elle est devenue vraiment. Je sais par personne interposée qu'elle a changée de filière d'études, je n'en connais pas la raison parce qu'elle était bonne élève.
Cette petite aventure, bien que fort chaste m'a pas mal marquée et durant l'été suivant je me suis souvent masturbée en y repensant, je me caressais les cuisses, mimant les attouchements de ses mains sur ma peau. Ma première coquinerie avec une fille n'aura pas lieu cette fois, dommage car elle me plaisait bien Aurélie, je l'ai perdue de vue et elle a gardé pour elle ses mystères... Etait-elle vraiment lesbienne ? Etait-elle comme moi attirée que par certaine filles mais étant tout de même plus tournée vers les garçons ? Je ne le saurai sans-doute jamais...
Cette année là j'ai eu une autre sensation érotique avec une fille. Celle-ci est une copine de lycée que nous avions hébergée Stéphanie et moi, elle se prénomme Nadia : c'est une métisse mi-Afrique du nord mi-Antillaise, le résultat est une jolie brune frisée à la peau très mâte. Elle est grande et fine, des jambes interminables et s'habille de façon BCBG. Elle nous avait demandé si elle pouvait dormir à l'appartement car elle devait passer un concours administratif par très loin de notre logement tôt le matin.
La soirée c'est passée assez calmement, Nadia voulant être fraiche, dispo et en plein forme pour cette épreuve écrite. Nous ne disposons pas de couchage supplémentaire et c'est moi qui ai le lit le plus grand, elle partagera donc mon lit.
La période était hivernale et malgré le fait que notre logis soit bien chauffé je met un pyjama que m'a offert ma mère... Un peu ridicule certes, avec des petits dessins roses, mais au moins il tiens chaud ! Nadia se moque gentiment de moi en me voyant me coucher ainsi, elle porte qu'un petit teeshirt et est en culotte. J'avoue que de voir son corps me trouble, elle est super bien foutue pensais-je...
Une fois la lumière éteinte, nous papotons un peu mais bien vite je m'aperçois que ma copine s'est endormie. Moi par contre je n'ai pas sommeil, je tourne et me retourne, je perçois le corps de Nadia à côté de moi, cela me trouble pas mal... J'ai pourtant déjà dormi avec des copines mais c'est la première fois que ca me fait cet effet là... Il faut dire que sa jolie peau et sa silhouette sont à mon goût !
Comme le lit n'est pas immense, nos corps sont l'un contre l'autre, je peu même percevoir, si je me concentre, sa respiration lente : elle dort profondément.
Impossible pour moi de trouver le sommeil et plus ça va, plus je suis excitée... Alors je ne vois qu'une solution pour me calmer : me masturber :
Délicatement j'écarte un peu mes jambes, j'en pose une carrément au contact des jambes de Nadia... Cela m'électrise et me fait tout chaud au ventre...
Discrètement je glisse ma main vers mon sexe : j'y trouve une douce moiteur. Je fais attention de ne pas faire de bruit, mes doigts experts s'activent sur mon petit bouton, je prends mon temps, je ne suis pas pressée, des pensées vicieuses me viennent à l'esprit : j'imagine Nadia toute nue qui s'offre à mes caresses, je vois son corps onduler sous mes attouchements. J'aimerais que ce soit elle qui me masturbe, j'adorerais embrasser et lécher sa peau sombre...
Bizarrement ce ne sont pas ses pensées là qui provoquent ma jouissance, mais c'est tout à coup de réaliser ce que je suis en train de faire : de me toucher de façon immorale à côté de ma copine !
D'avoir pris mon plaisir m'a décontractée et je suis tombée très vite dans les bras de Morphée.
Nadia ne c'est jamais doutée de ce que j'avais fait, cela l'aurait sans doute faite rigoler... Cette fille rigole de tout et tout le temps ! Pour info : elle a réussie son concours et travaille désormais au sein du ministère des finances... Nul doute qu'elle doit leur faire profiter de sa bonne humeur... Et de sa beauté. Je sais que depuis elle c'est mariée à un collègue de boulot, aux dernières nouvelles elle est enceinte.
Voilà pour mes aventures. Celle-fois elles n'étaient peut-être pas très sexe mais ces moments remplis d'érotisme ont été pour moi de beaux instants à vivre et à ressasser.
A bientôt pour la suite de mes souvenirs.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Syldavie
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Découverte tardive de votre récit
J'y ai trouvé beaucoup de douceur, de délicatesse de retenue, mais surtout vous savez décrire avec beaucoup de justesse vos ressentis, vos émois, vos pulsions
J'ai adoré
Bernard
J'y ai trouvé beaucoup de douceur, de délicatesse de retenue, mais surtout vous savez décrire avec beaucoup de justesse vos ressentis, vos émois, vos pulsions
J'ai adoré
Bernard
Je lis cette histoire de Syldavie avec beaucoup de retard. Filles et garçons ont connu pour la plupart, ces moments où l'on n'ose pas ! Pourtant les envies sont là. C'est raconté avec beaucoup de délicatesse et de naïveté sentant le vécu. Petit à petit, Syldavie nous raconte sa vie d'adolescente et de jeune fille avant qu'elle ne devienne femme.
Très excitant.
J'adore le péché!
bises
J'adore le péché!
bises
la pudeur de "l"avant", les fantasmes de nos 1ers émois où l'on ne sait pas très bien qui on est ... oui c'est excitant de se replonger dans cet univers quasi oublié
super histoire
vivement la suite
vivement la suite
Plein de tendresse, d'érotisme retenu. Bravo Syldavie un bijou de lecture!!!