Sylviane, sacrée salope !
Récit érotique écrit par Lownaz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Sylviane, sacrée salope !
Cette histoire m’est arrivée il y a 10 ans. Je suis antillais, j’ai été adopté à 1an. À 7ans, mon père adoptif décède de crise cardiaque et à 17 c’est ma mère adoptive qui nous a quittés suite à un cancer. J’étais très proche d’elle. Quand elle est morte, c’est sa sœur, ma marraine, qui m’a accueilli chez elle, Sylviane.
Sylviane avait 36 ans, blonde aux yeux verts, beau petit corps svelte, divorcée et pas d’enfants. Elle était cadre supérieur et était très active, elle vivait dans une grande maison, elle avait une femme de ménage. Elle me faisait tout le temps des beaux cadeaux, mais celui qu’elle m’a fait lors de l’été 2000 reste le plus mémorable.
Un samedi de juillet, j’étais en vacances, je me lève vers 14h et je vois Sylviane au bord de la piscine entrain de bronzer. Je me fais un café et je vais la rejoindre. Elle se torchait la gueule au whisky/ananas, moi j’avais encore la gueule de bois. On discutait et elle me confie qu’elle s’est fait larguer par son copain du moment un jeune bouffon de 10 ans son cadet. Et après quelques verres, elle me demande si j’ai un joint. Je vais chercher de l’herbe dans ma piaule et j’en roule un gros. On se fait tourner le taf, on continue à discuter sous le soleil et je constate qu’elle commence à me poser plein de question sur ma sexualité.
J’étais un peu gêné mais je répondais, puis je saute dans la piscine et elle me rejoint. Elle enlève le haut de son bikini, s’agrippe à moi, sans dire un mot, et elle approche sa bouche de la mienne en me regardant dans les yeux. Je savais plus quoi faire, je veux dire, je m’étais fait sucer un jour par une cousine adoptive à un mariage, mais là, ma tante, ma marraine, mais bon, je suis un homme et je commence à bander alors je l’embrasse. On sort de l’eau et elle s’agrippe à moi, les cuisses serrées autour de ma taille. Je la dépose sur le transat, je me couche sur elle et je l’embrasse en lui caressant les nichons. Je lèche ses petits mamelons, croque ses tétons et elle me qu’on continuera ça dans sa chambre. On monte, elle enlève le bas de son bikini, s’assoit au bord du lit, je me plante devant elle, elle baisse mon short, se saisit de ma queue, me décalotte et gobe mon gland entre ses douces lèvres. Elle me suce comme une garce en me branlant et se caresse le clito.
Elle se couche sur le dos, j’écarte ses cuisses, lui caresse le clito et lui enfile des doigts dans la chatte. Ensuite, je lui broute son minou en lui malaxant les seins. Elle exultait d’excitation, sa chatte était parfaite. Je continue par la prendre en missionnaire, elle bascule en arrière, les jambes en l’air et j’exécute un rodéo infernal dans sa vulve. Elle jouit, se retourne, se cambre les fesses en l’air, me dit de prendre le tube de vaseline et d’en enduire son trou de balle, ce que je fais avec application, je lui enfonce le majeur pour lubrifier en profondeur.
J’enfonce ma grosse queue bronzée entre ses petites fesses blanches en l’attrapant par les hanches et je la pilonne comme un marteau-piqueur. Elle crie comme une petite pute, puis je m’affale sur elle, ce qui l’oblige à se coucher sur le ventre, je lui caresse la chatte d’une main, et lui agrippe le sein de l’autre. Je n’ai pas fait le fier longtemps, j’ai inondé son conduit anal de sperme et elle a continué à me sucer. Ce petit manège a duré 4 mois sans que personne de la famille ne soit au courant, ensuite j’ai quitté Sylviane.
Sylviane avait 36 ans, blonde aux yeux verts, beau petit corps svelte, divorcée et pas d’enfants. Elle était cadre supérieur et était très active, elle vivait dans une grande maison, elle avait une femme de ménage. Elle me faisait tout le temps des beaux cadeaux, mais celui qu’elle m’a fait lors de l’été 2000 reste le plus mémorable.
Un samedi de juillet, j’étais en vacances, je me lève vers 14h et je vois Sylviane au bord de la piscine entrain de bronzer. Je me fais un café et je vais la rejoindre. Elle se torchait la gueule au whisky/ananas, moi j’avais encore la gueule de bois. On discutait et elle me confie qu’elle s’est fait larguer par son copain du moment un jeune bouffon de 10 ans son cadet. Et après quelques verres, elle me demande si j’ai un joint. Je vais chercher de l’herbe dans ma piaule et j’en roule un gros. On se fait tourner le taf, on continue à discuter sous le soleil et je constate qu’elle commence à me poser plein de question sur ma sexualité.
J’étais un peu gêné mais je répondais, puis je saute dans la piscine et elle me rejoint. Elle enlève le haut de son bikini, s’agrippe à moi, sans dire un mot, et elle approche sa bouche de la mienne en me regardant dans les yeux. Je savais plus quoi faire, je veux dire, je m’étais fait sucer un jour par une cousine adoptive à un mariage, mais là, ma tante, ma marraine, mais bon, je suis un homme et je commence à bander alors je l’embrasse. On sort de l’eau et elle s’agrippe à moi, les cuisses serrées autour de ma taille. Je la dépose sur le transat, je me couche sur elle et je l’embrasse en lui caressant les nichons. Je lèche ses petits mamelons, croque ses tétons et elle me qu’on continuera ça dans sa chambre. On monte, elle enlève le bas de son bikini, s’assoit au bord du lit, je me plante devant elle, elle baisse mon short, se saisit de ma queue, me décalotte et gobe mon gland entre ses douces lèvres. Elle me suce comme une garce en me branlant et se caresse le clito.
Elle se couche sur le dos, j’écarte ses cuisses, lui caresse le clito et lui enfile des doigts dans la chatte. Ensuite, je lui broute son minou en lui malaxant les seins. Elle exultait d’excitation, sa chatte était parfaite. Je continue par la prendre en missionnaire, elle bascule en arrière, les jambes en l’air et j’exécute un rodéo infernal dans sa vulve. Elle jouit, se retourne, se cambre les fesses en l’air, me dit de prendre le tube de vaseline et d’en enduire son trou de balle, ce que je fais avec application, je lui enfonce le majeur pour lubrifier en profondeur.
J’enfonce ma grosse queue bronzée entre ses petites fesses blanches en l’attrapant par les hanches et je la pilonne comme un marteau-piqueur. Elle crie comme une petite pute, puis je m’affale sur elle, ce qui l’oblige à se coucher sur le ventre, je lui caresse la chatte d’une main, et lui agrippe le sein de l’autre. Je n’ai pas fait le fier longtemps, j’ai inondé son conduit anal de sperme et elle a continué à me sucer. Ce petit manège a duré 4 mois sans que personne de la famille ne soit au courant, ensuite j’ai quitté Sylviane.
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