Te promene donc pas la braguette ouverte: Un bon routier
Récit érotique écrit par Felix13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Te promene donc pas la braguette ouverte: Un bon routier
Chapitre sept :
Comme promis lors du dernier chapitre , je vais vous faire part d'un épisode de ma vie qui se produisit à la même époque, alors que je fréquentais mon maître Marc-henri,
L'été touchait à sa fin et mes parents étaient partis en villégiature, au frais , non loin de Grenoble, j'étais allé les rejoindre pour un Week-end prolongé pendant lequel nous avions partagé d'agréables moments dans la campagne sous la pluie. Enfin le jour du retour arriva et comme je disposais de moyens financiers relativement limités je décidais de rentrer sur Marseille en stop , je n'en parlais pas à mon père qui désapprouvait cette façon de voyager, Le fameux matin, il me déposa devant la gare de Grenoble avec mon sac à dos. quand sa voiture prit suffisamment de distance , mon sac à dos sur les épaules je me dirigeais vers la route du col de Lus la croix haute pour rejoindre Marseille en stop. J'avais encore deux jours devant moi pour effectuer mon périple. Je savais que la route était un axe largement emprunté par les routiers et que je n'aurai guère de mal à rentrer.
Bien placé loin d'un virage sur une portion de route large près d'une aire d'urgence je tendais mon pouce avec le sourire (comme un gentil hollandais migrateur).
Au bout d'une demie heure une R16 stoppe et une dame fort gentille me demande ma destination :
« Montez mais je ne pourrais vous avancer que de 20 KM, je la remerciais promptement, 20 Km, il n'en faut pas plus pour connaître la vie de quelqu'un et ce fut le cas, cette adorable personne me déposa près d'un endroit favorable à la suite de mon voyage car je faisais face à un restau. Routier.
Là je dus attendre une bonne heure et demie avant qu'un mec de l'autre côté me fisse de grands signes et me demande « tu vas où ?
-Marseille
- Moi aussi ça tombe bien mais je dois faire une halte à Sisteron
- Je n'suis pas pressé ( que n'avais-je pas dis là ?)
- bon alors traverses et monte dans le camion je dois me mettre dans la bonne direction
Je m'exécutais et une fois dans le camion je pu mieux voir mon chauffeur. C'était un mec qui devait approcher la quarantaine, brun très poilu pas bien grand mais bien bâti, avec un beau sourire sur une barbe de trois jours.
« Salut, moi c'est Gilbert et toi ?
- Félix
- Tu sais Félix avec moi pas de manières, même si on s'connait pas, nous les mecs on est tous pareils.
- (je ne comprenais pas bien où il voulait en venir mais j'approuvais, après tout c'est lui qui tenait le volant )
- Alors qu'est-ce que tu fait ?
Je lui racontais brièvement Mon quotidien et ma situation du jour.
« tu sais ,me dit-il, moi j'aime mon boulot mais la seule chose qui me chiffonne, c'est la solitude, alors c'est pour ça que si l'occasion de voyager avec un compagnon se présente, et bien je saute dessus ! »
« O la la qu'est-ce que ça présage me dis-je ? »
Gilbert était un rigolo qui savait beaucoup de choses et savait balancer des répliques et des blagues salaces. C'était un compagnon de route agréable. Je sus qu'il était célibataire et que les « Gonzesses c'était pas trop son truc, il préférait rester seul et comme il disait « l'occasion fait le « lardon » et lui des lardons ,il en voulait pas.
« Tu sais, Félix dans la vie tous les plaisirs sont bons alors y vaut mieux éviter les sources d'emmerde et profiter de la vie ; si on n'a pas essayé on peut pas savoir, t'es pas d'accord ?
- Heu oui sans doute en plus je suis jeune... Alors...
Vers les 18h nous arrivâmes à Sisteron.
Je l'aidais à décharger ses caisses de soda et le patron du bistrot nous proposa à boire.
On voyait qu'ils se connaissaient bien. « alors tu travail toujours à ton compte Gilbert ?
- oui j'aime ma liberté et je rentre quand je veux.
- Alors manges un morceau avec nous et après du repart
- et le jeune ?
- et bien il mange aussi, dit le patron avec un clin d’œil complice.
Le repas fut gargantuesque et l'heure s'était bien avancée.
Nous repartîmes vers 20h.
Gilbert avait l'air un brin fatigué et j'insistais pour qu'il s'arrête sur une aire de repos au mois 2 heures, le temps de cuver un peu.
Je n’eus pas besoin de trop insister et vers Manosque il prit un chemin de traverse et gara son camion.
Sur la couchette arrière il alla s'étendre et pour être à l'aise il retira ses souliers et déboutonna son short.
Moi de mon côté je me recroquevillait au mieux sur le fauteuil avant ( pas très à l'aise)
« Dis j'suis pas chien, et tu serait mieux allongé, alors met toi à l'aise et viens sur la couchette après tout ya pas de quoi se gêner nous les mecs on est pareil , on a les mêmes besoins »
Je ne me fis pas prier et le camion une fois fermé j'allais m'allonger sur la banquette étroite, un peu serré contre lui. Il tira le rideau et on se retrouva dans la pénombre.
Je sentais la chaleur de sa respiration dans mon cou et ses bras se détendirent et vinrent se poser autour de moi. Je pensais qu'il était dans un demi sommeil mais ce que je sentis contre mes fesses me montra au contraire que le bonhomme se réveillait.
Je ne bougeais pas en attendant la suite.
C'est vrai que je n'eus pas beaucoup à attendre car devant ma passivité il prit les « choses » en main et très gentiment commençât à me tripatouiller , me faisant bander aussi dur que lui.
Alors je me retournais face à lui et brutalement :
« qu'est ce que tu cherches ? Qu'est ce que tu veux ? t'aime quoi ? La branlette ? la suce ? La sodo ? Dis moi , on va pas tourner autour du pot, comme tu dis on est des mecs, on est pareils, on a les mêmes besoins, alors moi j'suis d'accord mais j'aime savoir où on va et en plus tu me plais, j'aime les mecs poilus et bien montés qui sont sympa. Alors ? »
Comme réponse j'eus droit à un super patin de chez patin, une langue fouisseuse et goulue, avec cette Barbe de trois jours et demi qui me bouffait la gueule, un Bonheur quoi !
« j'veux tout, t'endends ? Tout ; ta queue ton cul tes couilles ta suce et après j'te donnerai tous mes poils si t'aime ça et surtout mon cul et mes nichons, alors baisons merde , à poil et vite ! »
Moi qui l'avais provoqué et pensais mener le jeu ; la situation venait de s'inverser et je me retrouvais dans le rôle du dominé , cela ne m'étais jamais vraiment arrivé. Et verbalisé aussi brusquement, ça me rendait dingue d' excitation.
On se retrouvait très vite à poil (surtout lui) sans dessus dessous je recevais avec plaisir des claques sur le cul , ma tête tirée par les cheveux quant je le pompait, sa queue courte mais épaisse en gorge prêt à vomir de plaisir.
Bizarre comme situation !..
Et cette violence dans les rapports, putain , je me sentais mec en baston.
Un fois lui, une fois mois ça a duré jusqu'à l'épuisement , tout couverts de jute qu'on étaient.
Et sa bite remplissait mon cul et ma queue cassait le sien avec violence , comme je n'avais jamais encore connu. Cette hargne nous unissait et m'emplissait, le grandissait ; lui ce petit homme qui semblait si doux avait réveillé le démon qui dormait en lui et qui dormait en moi ; c'était merveilleux et tellement invraisemblable de brutalité .
C'est fou comme de courts instants peuvent marquer une vie et forcer un destin à rechercher ces sensations ; c'est pourquoi j'ai mis du temps à partager cela avec M-H.
Mais cela fera le sujet d'un autre chapitre .
Comme promis lors du dernier chapitre , je vais vous faire part d'un épisode de ma vie qui se produisit à la même époque, alors que je fréquentais mon maître Marc-henri,
L'été touchait à sa fin et mes parents étaient partis en villégiature, au frais , non loin de Grenoble, j'étais allé les rejoindre pour un Week-end prolongé pendant lequel nous avions partagé d'agréables moments dans la campagne sous la pluie. Enfin le jour du retour arriva et comme je disposais de moyens financiers relativement limités je décidais de rentrer sur Marseille en stop , je n'en parlais pas à mon père qui désapprouvait cette façon de voyager, Le fameux matin, il me déposa devant la gare de Grenoble avec mon sac à dos. quand sa voiture prit suffisamment de distance , mon sac à dos sur les épaules je me dirigeais vers la route du col de Lus la croix haute pour rejoindre Marseille en stop. J'avais encore deux jours devant moi pour effectuer mon périple. Je savais que la route était un axe largement emprunté par les routiers et que je n'aurai guère de mal à rentrer.
Bien placé loin d'un virage sur une portion de route large près d'une aire d'urgence je tendais mon pouce avec le sourire (comme un gentil hollandais migrateur).
Au bout d'une demie heure une R16 stoppe et une dame fort gentille me demande ma destination :
« Montez mais je ne pourrais vous avancer que de 20 KM, je la remerciais promptement, 20 Km, il n'en faut pas plus pour connaître la vie de quelqu'un et ce fut le cas, cette adorable personne me déposa près d'un endroit favorable à la suite de mon voyage car je faisais face à un restau. Routier.
Là je dus attendre une bonne heure et demie avant qu'un mec de l'autre côté me fisse de grands signes et me demande « tu vas où ?
-Marseille
- Moi aussi ça tombe bien mais je dois faire une halte à Sisteron
- Je n'suis pas pressé ( que n'avais-je pas dis là ?)
- bon alors traverses et monte dans le camion je dois me mettre dans la bonne direction
Je m'exécutais et une fois dans le camion je pu mieux voir mon chauffeur. C'était un mec qui devait approcher la quarantaine, brun très poilu pas bien grand mais bien bâti, avec un beau sourire sur une barbe de trois jours.
« Salut, moi c'est Gilbert et toi ?
- Félix
- Tu sais Félix avec moi pas de manières, même si on s'connait pas, nous les mecs on est tous pareils.
- (je ne comprenais pas bien où il voulait en venir mais j'approuvais, après tout c'est lui qui tenait le volant )
- Alors qu'est-ce que tu fait ?
Je lui racontais brièvement Mon quotidien et ma situation du jour.
« tu sais ,me dit-il, moi j'aime mon boulot mais la seule chose qui me chiffonne, c'est la solitude, alors c'est pour ça que si l'occasion de voyager avec un compagnon se présente, et bien je saute dessus ! »
« O la la qu'est-ce que ça présage me dis-je ? »
Gilbert était un rigolo qui savait beaucoup de choses et savait balancer des répliques et des blagues salaces. C'était un compagnon de route agréable. Je sus qu'il était célibataire et que les « Gonzesses c'était pas trop son truc, il préférait rester seul et comme il disait « l'occasion fait le « lardon » et lui des lardons ,il en voulait pas.
« Tu sais, Félix dans la vie tous les plaisirs sont bons alors y vaut mieux éviter les sources d'emmerde et profiter de la vie ; si on n'a pas essayé on peut pas savoir, t'es pas d'accord ?
- Heu oui sans doute en plus je suis jeune... Alors...
Vers les 18h nous arrivâmes à Sisteron.
Je l'aidais à décharger ses caisses de soda et le patron du bistrot nous proposa à boire.
On voyait qu'ils se connaissaient bien. « alors tu travail toujours à ton compte Gilbert ?
- oui j'aime ma liberté et je rentre quand je veux.
- Alors manges un morceau avec nous et après du repart
- et le jeune ?
- et bien il mange aussi, dit le patron avec un clin d’œil complice.
Le repas fut gargantuesque et l'heure s'était bien avancée.
Nous repartîmes vers 20h.
Gilbert avait l'air un brin fatigué et j'insistais pour qu'il s'arrête sur une aire de repos au mois 2 heures, le temps de cuver un peu.
Je n’eus pas besoin de trop insister et vers Manosque il prit un chemin de traverse et gara son camion.
Sur la couchette arrière il alla s'étendre et pour être à l'aise il retira ses souliers et déboutonna son short.
Moi de mon côté je me recroquevillait au mieux sur le fauteuil avant ( pas très à l'aise)
« Dis j'suis pas chien, et tu serait mieux allongé, alors met toi à l'aise et viens sur la couchette après tout ya pas de quoi se gêner nous les mecs on est pareil , on a les mêmes besoins »
Je ne me fis pas prier et le camion une fois fermé j'allais m'allonger sur la banquette étroite, un peu serré contre lui. Il tira le rideau et on se retrouva dans la pénombre.
Je sentais la chaleur de sa respiration dans mon cou et ses bras se détendirent et vinrent se poser autour de moi. Je pensais qu'il était dans un demi sommeil mais ce que je sentis contre mes fesses me montra au contraire que le bonhomme se réveillait.
Je ne bougeais pas en attendant la suite.
C'est vrai que je n'eus pas beaucoup à attendre car devant ma passivité il prit les « choses » en main et très gentiment commençât à me tripatouiller , me faisant bander aussi dur que lui.
Alors je me retournais face à lui et brutalement :
« qu'est ce que tu cherches ? Qu'est ce que tu veux ? t'aime quoi ? La branlette ? la suce ? La sodo ? Dis moi , on va pas tourner autour du pot, comme tu dis on est des mecs, on est pareils, on a les mêmes besoins, alors moi j'suis d'accord mais j'aime savoir où on va et en plus tu me plais, j'aime les mecs poilus et bien montés qui sont sympa. Alors ? »
Comme réponse j'eus droit à un super patin de chez patin, une langue fouisseuse et goulue, avec cette Barbe de trois jours et demi qui me bouffait la gueule, un Bonheur quoi !
« j'veux tout, t'endends ? Tout ; ta queue ton cul tes couilles ta suce et après j'te donnerai tous mes poils si t'aime ça et surtout mon cul et mes nichons, alors baisons merde , à poil et vite ! »
Moi qui l'avais provoqué et pensais mener le jeu ; la situation venait de s'inverser et je me retrouvais dans le rôle du dominé , cela ne m'étais jamais vraiment arrivé. Et verbalisé aussi brusquement, ça me rendait dingue d' excitation.
On se retrouvait très vite à poil (surtout lui) sans dessus dessous je recevais avec plaisir des claques sur le cul , ma tête tirée par les cheveux quant je le pompait, sa queue courte mais épaisse en gorge prêt à vomir de plaisir.
Bizarre comme situation !..
Et cette violence dans les rapports, putain , je me sentais mec en baston.
Un fois lui, une fois mois ça a duré jusqu'à l'épuisement , tout couverts de jute qu'on étaient.
Et sa bite remplissait mon cul et ma queue cassait le sien avec violence , comme je n'avais jamais encore connu. Cette hargne nous unissait et m'emplissait, le grandissait ; lui ce petit homme qui semblait si doux avait réveillé le démon qui dormait en lui et qui dormait en moi ; c'était merveilleux et tellement invraisemblable de brutalité .
C'est fou comme de courts instants peuvent marquer une vie et forcer un destin à rechercher ces sensations ; c'est pourquoi j'ai mis du temps à partager cela avec M-H.
Mais cela fera le sujet d'un autre chapitre .
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