Téléphone et baise
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Téléphone et baise
Il est parti en mission en me promettant d’appeler tous les soirs vers 23 heures. Hier
il a tenu promesses. Nous avons dit les mots d ‘amour, ceux qui me réchauffent le
ventre. Il a compris aussitôt que j’avais une envie de lui.
- Tu voudrais baiser, je le sais.
- Oui, je te voudrais dans la chatte, sans parler de ma bouche et de mon cul. Je te
voudrais partout à la fois.
- Tu sors tes godes.
C’est un ordre, par une prière, il sait que j’ai plusieurs jouets pour me faire
reluire, il aime quand je m’en sers devant lui. Je les mets à contribution le plus
souvent en son absence : j’ai souvent besoin d’avoir mon bas ventre plein.
- Attends un peu, que je les sors.
- Sort aussi ton chapelet et le flacon de lubrifiant.
- Ca y est, j’ai tout à coté de moi.
- Tu es nue, parce que moi je bande.
S’il bande, je commence à mouiller. Je caresse lentement ma poitrine quand sa voie
s’élève du haut parleur. Je pose l’appareil, j’ai les mains libres, je peux faire tout
ce qu’il veut, je ne lui désobéirais pas, il le sait ;
- Maintenant je vais de baiser.
- Oui mets moi là.
- Garce, tu es une garce, je suis sur que quelqu’un te regarde.
- Nous, dommage. J’aimerai bien être en vue de n’importe qui, d’une autre femme, tu
sais que j’ai envie de baiser avec une copine, celle que tu connais.
- Je sais, tu la baiseras avec moi quand je rentrerais. Caresse-toi la chatte.
- A quel endroit (je suis trempée)
- Là où tu as les petites lèvres qui je joignent.
- Mon clitoris ?
- Appelle le comme tu veux, caresses toi, branles toi.
J’écarte au maximum les lèvres pour bien faire ressortir mon petit bouton. Je sais
déjà comment faire pour jouir : j’irais doucement sans appuyer.
- Ca y est je touche mon bouton.
- Non c’est moi qui le touche, je te branle.
- Oui, branles moi. C’est bon.
Je m’entends gémir, j’ai les yeux fermés, j’ai l’impression que sa main est sur moi
que son doigt frotte mon bouton. C’est plus que bon.
- Arrête un moment, je vais jouir trop vite. Et toi ta main, elle est où ?
- Elle entoure ma bite
- Elle va-et vient ?
- Pas encore. Tu peux la sucer si tu veux.
J’ouvre la bouche j’y entre trois doigts pour faire le même volume que sa bite, je les
lèches longuement. Il me semble sentir sa douceur, son odeur et son gout si
particulier : je n’ai jamais sucé une bite aussi bonne.
- J’ai mis ma main par-dessus, mes doigts sont pleins de salives pour remplacer la
tienne. Je sens ta bouche sur ma queue. C’est bon, tu suce très bien. Tu continue à te
branler ?
- Oui, comme toi.
- C’est bon ?
- Meilleur que ça encore.
- Maintenant je vais te baiser. Mets toi le gros gode dans le con.
- Oui, mon chérie je me baise avec le gros, celui qui est plus gros que toi.
- C’est bon, tu aime ?
- Oui, je vais jouir.
- V as-y, jouis en pensant à ma bite.
Je fais des mouvements d’aller et venu dans ma chatte ; J’aime bien ce gros gode qui
écarte exagérément les chairs de mon vagin : il me fait à la fois mal et du bien.
J’adore ces deux sensations ensemble : il le sait, le salaud. Mon orgasme arrive
rapidement, je sens monter le plaisir tout en haut de mon corps tendu comme un arc, il
redescend avant de se fixer sur ma chatte. J’ai poussé un petit cri qu’il entend.
- Tu jouis, salope ?
- Oui, et toi ? Je me branle doucement. Je ferme les yeux pour le voir coucher sur le
dos, la bite en l’air, sa main qui l’entoure et qui lentement va-et-vient sur elle.
- J’ai envie de te branler pour que je jouisse dans ma main.
- Je sais ; j’ai autant envie que toi, j’aime quand ta main me tripote la bite, je
n’ai jamais connue de femme qui branle comme toi.
Ca fait plaisir à entendre, d’autant plus que j’aime réellement lui donner le plaisir
de la masturbation, presque autant que quand je me branle.
- Tu n’as pas envie de jouir par le cul ?
- Si, je ne sais pas comment ;
- Tu as ton autre gode plus fin pour te sodomiser.
- Je n’aime pas ce mot, dis moi enculer.
- Encules toi avec le gode plus fin et après tu mettras le chapelet pour jouir comme
tu aimes.
- Je voudrais m’enculer et me branler en même temps.
- Tu aimes bien ça, hein garce, pute, Fais le.
J’entre d’abord ce nouveau gode dans le vagin qui déborde de cyprine pour le mouiller.
Je me tourne en levrette, ma tête est sur le coussin, ma main tient bien le
godemiché : je le pose juste à l’entrée de mon anus. Je le rentre par petite touche,
mes chairs s’écartent lentement pour céder le passage à cet amant, j’entre le plus
profond possible. Quand je sens qu’il est à fond, ma main gauche va chercher mon
bouton pour le caresser ;
- Ca y est je me suis enculée : je me branle aussi. Et toi ?
- Ma main va-et vient sur ma bite, je me caresse les couilles. C’est bon. Ta main me
manque.
- Moi c’est ta queue que je voudrais dans le cul.
- J’aimerai l’avoir dans ton cul, ma main ne remplace pas tes fesses.
- C’est bon ce que je fais, je ne vais pas tarder à jouir encore une fois.
- Jouis encore, je me retiens pour jouir un peu plus tard.
- Ca y est je jouis encore une autre fois : tu vas me tuer.
- Je vais te tuer en te faisant jouir, par force.
- Tue-moi encore.
- Entre les billes dans ton cul.
- Je me mets sur le dos, j’écarte bien les cuisses, si tu étais là tu verras toute ma
chatte inondée. Je dois avoir ma cyprine jusque dans le cul. J’ai pris le chapelet.
Seulement si j’ai dix boules je ne pourrais pas toutes les mettre. Voilà,
j’entre…..que c’est bon…la première. J’entre encore les autres lentement comme tu m’as
appris à faire. Je sens que je vais jouir d’une façon merveilleuse.
- Tu aimes bien avoir le cul rempli ?
- Oui, c’est aussi bon que dans le sexe.
- J’entre moi aussi quelque chose dans mon cul.
- Quoi donc ?
- Deux doigts.
- C’est la première fois non ?
- Exacte, c’est la première fois, c’est agréable. Je continue à me branler aussi.
Comment à sortir tes billes.
- Oui, chéri je commence. Mon Dieu que c’est bon, je jouis comme une chatte en
chaleur…….. L’autre sort, je jouis encore une fois. C’est trop, c’est bon, encore……
- Pourquoi tu ne dis plus rien ?
- Parce que je jouis sans cesse. Et toi, tu as toujours tes doigts dans le cul.
- Oui, je me branle aussi, je vais jouir.
- Jouis mon chaton, pense que je te mange le sperme.
- Je jouiiiiiiiiiiiiis. Merde que c’est bon. Et toi ?
- J’ai jouis une dernière fois en même temps que toi.
- On recommencera demain si tu veux.
- Pourquoi pas maintenant ?
- Je ne pourrai pas me branler encore une fois. Branles toi seule, tu sais le faire ;
- J’ai envie d’une double pénétration.
- Tu as le gode qu’il faut, baises toi et encules toi puisque tu aime tout.
- Guide-moi un moment.
- Tu mouille bien ?
- Oui.
- Entre un bout dans le cul.
- Je le fais : j’aime.
- Plie le gode en deux pour le faire entrer dans ton con.
- Je l’ai fais plier, maintenant je force un peu pour le prendre dans le ventre par
devant. C’est bon, je ne vais pas tarder.
- Jouis chérie, jouie encore.
- Je vais et je viens dans Le ventre ; c’est bon je jouiiiiiiiiis.
C’est excitant de baiser par téléphone, ça ne vaut pas son corps contre le mien. J’ai
envie de sa queue en moi. Je lèche le gode, le coté qui était dans mon sexe, par
l’autre : je n’aime pas le gout de mon cul. Enfin il ne reste que trois jours à faire
l’amour par téléphone.
il a tenu promesses. Nous avons dit les mots d ‘amour, ceux qui me réchauffent le
ventre. Il a compris aussitôt que j’avais une envie de lui.
- Tu voudrais baiser, je le sais.
- Oui, je te voudrais dans la chatte, sans parler de ma bouche et de mon cul. Je te
voudrais partout à la fois.
- Tu sors tes godes.
C’est un ordre, par une prière, il sait que j’ai plusieurs jouets pour me faire
reluire, il aime quand je m’en sers devant lui. Je les mets à contribution le plus
souvent en son absence : j’ai souvent besoin d’avoir mon bas ventre plein.
- Attends un peu, que je les sors.
- Sort aussi ton chapelet et le flacon de lubrifiant.
- Ca y est, j’ai tout à coté de moi.
- Tu es nue, parce que moi je bande.
S’il bande, je commence à mouiller. Je caresse lentement ma poitrine quand sa voie
s’élève du haut parleur. Je pose l’appareil, j’ai les mains libres, je peux faire tout
ce qu’il veut, je ne lui désobéirais pas, il le sait ;
- Maintenant je vais de baiser.
- Oui mets moi là.
- Garce, tu es une garce, je suis sur que quelqu’un te regarde.
- Nous, dommage. J’aimerai bien être en vue de n’importe qui, d’une autre femme, tu
sais que j’ai envie de baiser avec une copine, celle que tu connais.
- Je sais, tu la baiseras avec moi quand je rentrerais. Caresse-toi la chatte.
- A quel endroit (je suis trempée)
- Là où tu as les petites lèvres qui je joignent.
- Mon clitoris ?
- Appelle le comme tu veux, caresses toi, branles toi.
J’écarte au maximum les lèvres pour bien faire ressortir mon petit bouton. Je sais
déjà comment faire pour jouir : j’irais doucement sans appuyer.
- Ca y est je touche mon bouton.
- Non c’est moi qui le touche, je te branle.
- Oui, branles moi. C’est bon.
Je m’entends gémir, j’ai les yeux fermés, j’ai l’impression que sa main est sur moi
que son doigt frotte mon bouton. C’est plus que bon.
- Arrête un moment, je vais jouir trop vite. Et toi ta main, elle est où ?
- Elle entoure ma bite
- Elle va-et vient ?
- Pas encore. Tu peux la sucer si tu veux.
J’ouvre la bouche j’y entre trois doigts pour faire le même volume que sa bite, je les
lèches longuement. Il me semble sentir sa douceur, son odeur et son gout si
particulier : je n’ai jamais sucé une bite aussi bonne.
- J’ai mis ma main par-dessus, mes doigts sont pleins de salives pour remplacer la
tienne. Je sens ta bouche sur ma queue. C’est bon, tu suce très bien. Tu continue à te
branler ?
- Oui, comme toi.
- C’est bon ?
- Meilleur que ça encore.
- Maintenant je vais te baiser. Mets toi le gros gode dans le con.
- Oui, mon chérie je me baise avec le gros, celui qui est plus gros que toi.
- C’est bon, tu aime ?
- Oui, je vais jouir.
- V as-y, jouis en pensant à ma bite.
Je fais des mouvements d’aller et venu dans ma chatte ; J’aime bien ce gros gode qui
écarte exagérément les chairs de mon vagin : il me fait à la fois mal et du bien.
J’adore ces deux sensations ensemble : il le sait, le salaud. Mon orgasme arrive
rapidement, je sens monter le plaisir tout en haut de mon corps tendu comme un arc, il
redescend avant de se fixer sur ma chatte. J’ai poussé un petit cri qu’il entend.
- Tu jouis, salope ?
- Oui, et toi ? Je me branle doucement. Je ferme les yeux pour le voir coucher sur le
dos, la bite en l’air, sa main qui l’entoure et qui lentement va-et-vient sur elle.
- J’ai envie de te branler pour que je jouisse dans ma main.
- Je sais ; j’ai autant envie que toi, j’aime quand ta main me tripote la bite, je
n’ai jamais connue de femme qui branle comme toi.
Ca fait plaisir à entendre, d’autant plus que j’aime réellement lui donner le plaisir
de la masturbation, presque autant que quand je me branle.
- Tu n’as pas envie de jouir par le cul ?
- Si, je ne sais pas comment ;
- Tu as ton autre gode plus fin pour te sodomiser.
- Je n’aime pas ce mot, dis moi enculer.
- Encules toi avec le gode plus fin et après tu mettras le chapelet pour jouir comme
tu aimes.
- Je voudrais m’enculer et me branler en même temps.
- Tu aimes bien ça, hein garce, pute, Fais le.
J’entre d’abord ce nouveau gode dans le vagin qui déborde de cyprine pour le mouiller.
Je me tourne en levrette, ma tête est sur le coussin, ma main tient bien le
godemiché : je le pose juste à l’entrée de mon anus. Je le rentre par petite touche,
mes chairs s’écartent lentement pour céder le passage à cet amant, j’entre le plus
profond possible. Quand je sens qu’il est à fond, ma main gauche va chercher mon
bouton pour le caresser ;
- Ca y est je me suis enculée : je me branle aussi. Et toi ?
- Ma main va-et vient sur ma bite, je me caresse les couilles. C’est bon. Ta main me
manque.
- Moi c’est ta queue que je voudrais dans le cul.
- J’aimerai l’avoir dans ton cul, ma main ne remplace pas tes fesses.
- C’est bon ce que je fais, je ne vais pas tarder à jouir encore une fois.
- Jouis encore, je me retiens pour jouir un peu plus tard.
- Ca y est je jouis encore une autre fois : tu vas me tuer.
- Je vais te tuer en te faisant jouir, par force.
- Tue-moi encore.
- Entre les billes dans ton cul.
- Je me mets sur le dos, j’écarte bien les cuisses, si tu étais là tu verras toute ma
chatte inondée. Je dois avoir ma cyprine jusque dans le cul. J’ai pris le chapelet.
Seulement si j’ai dix boules je ne pourrais pas toutes les mettre. Voilà,
j’entre…..que c’est bon…la première. J’entre encore les autres lentement comme tu m’as
appris à faire. Je sens que je vais jouir d’une façon merveilleuse.
- Tu aimes bien avoir le cul rempli ?
- Oui, c’est aussi bon que dans le sexe.
- J’entre moi aussi quelque chose dans mon cul.
- Quoi donc ?
- Deux doigts.
- C’est la première fois non ?
- Exacte, c’est la première fois, c’est agréable. Je continue à me branler aussi.
Comment à sortir tes billes.
- Oui, chéri je commence. Mon Dieu que c’est bon, je jouis comme une chatte en
chaleur…….. L’autre sort, je jouis encore une fois. C’est trop, c’est bon, encore……
- Pourquoi tu ne dis plus rien ?
- Parce que je jouis sans cesse. Et toi, tu as toujours tes doigts dans le cul.
- Oui, je me branle aussi, je vais jouir.
- Jouis mon chaton, pense que je te mange le sperme.
- Je jouiiiiiiiiiiiiis. Merde que c’est bon. Et toi ?
- J’ai jouis une dernière fois en même temps que toi.
- On recommencera demain si tu veux.
- Pourquoi pas maintenant ?
- Je ne pourrai pas me branler encore une fois. Branles toi seule, tu sais le faire ;
- J’ai envie d’une double pénétration.
- Tu as le gode qu’il faut, baises toi et encules toi puisque tu aime tout.
- Guide-moi un moment.
- Tu mouille bien ?
- Oui.
- Entre un bout dans le cul.
- Je le fais : j’aime.
- Plie le gode en deux pour le faire entrer dans ton con.
- Je l’ai fais plier, maintenant je force un peu pour le prendre dans le ventre par
devant. C’est bon, je ne vais pas tarder.
- Jouis chérie, jouie encore.
- Je vais et je viens dans Le ventre ; c’est bon je jouiiiiiiiiis.
C’est excitant de baiser par téléphone, ça ne vaut pas son corps contre le mien. J’ai
envie de sa queue en moi. Je lèche le gode, le coté qui était dans mon sexe, par
l’autre : je n’aime pas le gout de mon cul. Enfin il ne reste que trois jours à faire
l’amour par téléphone.
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