Telle mère telle fille
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2014 dans la catégorie Plus on est
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Telle mère telle fille
Depuis le départ de mon père, ma mère est plus tolérante. Et encore, la preuve : Nous étions dans ma chambre avec ma copine nous faisant des machins agréables, ceux qui font jouir. Ma mère nous a surprises en râlant. Pourtant je l’avais vue une fois en faire autant avec une amie. Pour nous punir, elle nous oblige à aller la voir dans le séjour, nues, les mains dans le dos, la tête penchée vers le bas. Nous devions nous habiller sexy, ma copine et moi, nous devions aller avec elle dans un endroit spécial. Bien sur elle refuse de nous dire où nous allons. Gil, ma copine pense pour un bordel. J’avoue que j’ignore totalement ce qui va suivre.
Nous roulons pendant une bonne demi-heure, loin de la ville en tout cas. La voiture entre dans un semblant de parking. Ma mère nous fait sortir, elle nous mène vers une grande porte, sonne. Quand la porte s’ouvre sur une femme grande et sexy, elle nous laisse et s’en va.
Nous sommes dirigées vers l’intérieur du bâtiment. La période de doute ne dure pas. Vêtue comme des putes j’hésite sur la suite. Gil toujours attirée par la nouveauté n’a peur de rien. La femme nous mène vers des vestiaires. Nous devons nous déshabiller, restez nue quoi qu’il arrive. Je jette un œil vicieux sur le corps de Gil. La pièce suivante est immense. Plusieurs personnes y sont : la moitié nues comme nous, d’autres seulement habillées sexy, certains hommes laissant apparaitre leur bites plus ou moins bandées. Il règne une énorme odeur de sexe tant féminin que masculin. La femme nous donne ses ordres : nous mettre à genoux et attendre. Même sur des coussins, l’attente est longue. Enfin, alors que nous allions nous branler à deux, arrive un homme grand, bien monté avec une bite longue comme je n’en ai jamais vu. Il la passe sur ma joue, puis celle de Gil. Il s’arrête sur mes lèvres. J’ouvre la bouche, obéissante. Je sens sa forte odeur de sperme : il a du jouir plusieurs fois. Il s’enfonce sans forcer. Je coince le gland contre le palais. Il bon gout. Gil me regarde envieuse. Je peux assez bouger pour la caresser : elle est mouillée comme je ne l’ai encore jamais constaté. Elle me rend la caresse pour que nous jouissions ensemble. La femme nous surveille : pas question de nous faire jouir pour le moment. Pourtant nous aimerions bien le faire. Gil reçoit une chatte rasée sur ses lèvres. Elle lèche, passe sa langue dans les recoins, repasse la langue un petit moment avant que celle qui est léchée s’en aille satisfaite. Gil lèche ses lèvres encore pleine de sécrétions de cette inconnue.
Moi, je dois finir de sucer la queue ans ma bouche. Je reçois une salve de sperme. Il est long à jouir, mais il me donne une bonne dose de son jus. Il est délicieux. Je veux la partager avec Gil, pas question nous dit notre geôlière. Je suis mise couchée sur le dos. Un homme vient me donner sa queue pendant qu’il me lèche le con. C’est un champion du cunnilingus. Je jouis juste avant lui. Il se relève pour céder sa place une jeune femme. Elle sait lécher les filles c’est évident. Même Gil ne me fait pas aussi bien jouir. Je continu jusqu’à recevoir son liquide dans la bouche : elle est sucrée, une rareté. Gil me veut, je veux Gil, la femme ne veut pas. Elle nous impose ce qu’elle veut. J’ai remarqué qu’elle se masturbe beaucoup en me regardant. Gil est couchée sur le dos, elle reçoit une grosse bite dans le sexe : je le vois fermer les yeux de plaisir. Il est ramonée pendant longtemps. Puis son amant la fait tourner. Elle est sur lui, elle se baise seule quand elle reçoit deux mains sur sa raie qui écartent ses fesses. Je vois clairement la pine qui entre vers son anus. Elle me semble bien grosse : moi je ne la voudrais pas dans le cul. Son amant passe un liquide sur l’anus, il peut ainsi glisser sans dommage. En effet les seules réactions de Gil sont des soupirs d’aise. Elle jouit d’avoir deux queues dans le ventre Elle remue comme il faut pour son propre plaisir. Depuis un moment nous ne nous occupons plus des autres, seuls nos orgasmes comptent.
Je suis en levrette : une bite dans le cul, l’autre dans le con. Un autre vient me donner sa queue. Je la lèche longuement, même après qu’il eut jouit. Ce goût de sperme ajouté à celui de chatte me met dans un état pas possible : je me sens capable de me faire baiser plusieurs heures de suite.
Enfin nous avons droit de nous aimer : je suis sur Gil, ma chatte sur sa bouche, sa chère bouche. Je lèche sa fente jusqu’en bas, tout en bas, vers l’anus. J’y trouve de traces de spermes de cyprine mélangés. Elle doit trouver la même chose sur moi. Nous jouissons longuement, jusqu’au moment où nous sommes séparées. Encore cette femme. Elle remplace Gil qui regarde en se masturbant. La langue est la plus agile que j’ai eu. A cet avantage elle rajoute un gode énorme que je veux refuser. Je n’ai rien à dire, je dois supporter cette horreur dans mon cul. Elle le mouille avec le flacon. Avec sa main elle enduit mon conduit. Que c’est bon quand elle entre, quand elle m’encule mieux qu’une bite. Je crois le mordre le clitoris pourtant je la sens jouir. Je me délivre en poussant un grand cri : je JOUIS.
Enfin de soirée, ma mère revient, nous sommes sagement à l’attendre devant l’immeuble. Elle nous demande si nous avons bien joui. Pour sa part, elle a passé la journée avec une amante, celle que je connais. Finalement telle mère telle fille.
Nous roulons pendant une bonne demi-heure, loin de la ville en tout cas. La voiture entre dans un semblant de parking. Ma mère nous fait sortir, elle nous mène vers une grande porte, sonne. Quand la porte s’ouvre sur une femme grande et sexy, elle nous laisse et s’en va.
Nous sommes dirigées vers l’intérieur du bâtiment. La période de doute ne dure pas. Vêtue comme des putes j’hésite sur la suite. Gil toujours attirée par la nouveauté n’a peur de rien. La femme nous mène vers des vestiaires. Nous devons nous déshabiller, restez nue quoi qu’il arrive. Je jette un œil vicieux sur le corps de Gil. La pièce suivante est immense. Plusieurs personnes y sont : la moitié nues comme nous, d’autres seulement habillées sexy, certains hommes laissant apparaitre leur bites plus ou moins bandées. Il règne une énorme odeur de sexe tant féminin que masculin. La femme nous donne ses ordres : nous mettre à genoux et attendre. Même sur des coussins, l’attente est longue. Enfin, alors que nous allions nous branler à deux, arrive un homme grand, bien monté avec une bite longue comme je n’en ai jamais vu. Il la passe sur ma joue, puis celle de Gil. Il s’arrête sur mes lèvres. J’ouvre la bouche, obéissante. Je sens sa forte odeur de sperme : il a du jouir plusieurs fois. Il s’enfonce sans forcer. Je coince le gland contre le palais. Il bon gout. Gil me regarde envieuse. Je peux assez bouger pour la caresser : elle est mouillée comme je ne l’ai encore jamais constaté. Elle me rend la caresse pour que nous jouissions ensemble. La femme nous surveille : pas question de nous faire jouir pour le moment. Pourtant nous aimerions bien le faire. Gil reçoit une chatte rasée sur ses lèvres. Elle lèche, passe sa langue dans les recoins, repasse la langue un petit moment avant que celle qui est léchée s’en aille satisfaite. Gil lèche ses lèvres encore pleine de sécrétions de cette inconnue.
Moi, je dois finir de sucer la queue ans ma bouche. Je reçois une salve de sperme. Il est long à jouir, mais il me donne une bonne dose de son jus. Il est délicieux. Je veux la partager avec Gil, pas question nous dit notre geôlière. Je suis mise couchée sur le dos. Un homme vient me donner sa queue pendant qu’il me lèche le con. C’est un champion du cunnilingus. Je jouis juste avant lui. Il se relève pour céder sa place une jeune femme. Elle sait lécher les filles c’est évident. Même Gil ne me fait pas aussi bien jouir. Je continu jusqu’à recevoir son liquide dans la bouche : elle est sucrée, une rareté. Gil me veut, je veux Gil, la femme ne veut pas. Elle nous impose ce qu’elle veut. J’ai remarqué qu’elle se masturbe beaucoup en me regardant. Gil est couchée sur le dos, elle reçoit une grosse bite dans le sexe : je le vois fermer les yeux de plaisir. Il est ramonée pendant longtemps. Puis son amant la fait tourner. Elle est sur lui, elle se baise seule quand elle reçoit deux mains sur sa raie qui écartent ses fesses. Je vois clairement la pine qui entre vers son anus. Elle me semble bien grosse : moi je ne la voudrais pas dans le cul. Son amant passe un liquide sur l’anus, il peut ainsi glisser sans dommage. En effet les seules réactions de Gil sont des soupirs d’aise. Elle jouit d’avoir deux queues dans le ventre Elle remue comme il faut pour son propre plaisir. Depuis un moment nous ne nous occupons plus des autres, seuls nos orgasmes comptent.
Je suis en levrette : une bite dans le cul, l’autre dans le con. Un autre vient me donner sa queue. Je la lèche longuement, même après qu’il eut jouit. Ce goût de sperme ajouté à celui de chatte me met dans un état pas possible : je me sens capable de me faire baiser plusieurs heures de suite.
Enfin nous avons droit de nous aimer : je suis sur Gil, ma chatte sur sa bouche, sa chère bouche. Je lèche sa fente jusqu’en bas, tout en bas, vers l’anus. J’y trouve de traces de spermes de cyprine mélangés. Elle doit trouver la même chose sur moi. Nous jouissons longuement, jusqu’au moment où nous sommes séparées. Encore cette femme. Elle remplace Gil qui regarde en se masturbant. La langue est la plus agile que j’ai eu. A cet avantage elle rajoute un gode énorme que je veux refuser. Je n’ai rien à dire, je dois supporter cette horreur dans mon cul. Elle le mouille avec le flacon. Avec sa main elle enduit mon conduit. Que c’est bon quand elle entre, quand elle m’encule mieux qu’une bite. Je crois le mordre le clitoris pourtant je la sens jouir. Je me délivre en poussant un grand cri : je JOUIS.
Enfin de soirée, ma mère revient, nous sommes sagement à l’attendre devant l’immeuble. Elle nous demande si nous avons bien joui. Pour sa part, elle a passé la journée avec une amante, celle que je connais. Finalement telle mère telle fille.
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