Tendre Adeline
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Tendre Adeline
Mon enfance fut très heureuse. J’étais fils unique mais rarement seul. J’ai toujours eu beaucoup d’amis qui venaient à la maison ou chez qui j’allais le mercredi ou le samedi.
Les weekends et les vacances étaient consacrés à la famille. Mes parents avaient beaucoup de frères et sœurs et j’avais donc beaucoup de cousins et cousines vivant tous dans la même région. Adeline était la fille de ma tante. Elle avait trois ans de moins que moi. Elle avait une sœur de mon âge avec qui je m’entendais très bien mais qui ne m’a jamais attiré physiquement. Adeline, par contre, dès la petite enfance me troublait énormément. Il faut dire qu’elle était extrêmement jolie.
Cheveux blonds, yeux bleus, … un visage d’ange. J’adorais sa façon de s’habiller, toujours très féminine en jupe ou robe colorée, fleurie, blanche, à dentelles, transparente, etc… Un ange.
J’aimais aussi et surtout son sourire. Elle souriait (et sourit toujours) tout le temps. C’était une enfant calme, studieuse, rêveuse mais très enjouée, rieuse, blagueuse, … Et surtout très sensuelle.
Je pense que c’est elle qui a commencé à me chercher. Je me souviens des premières fois où j’apercevais sa petite culotte sous sa robe. C’était à chaque fois un sentiment très fort pour moi sans pareil avec les autres filles (cousines ou copines d’école). A 8 ou 10 ans, on ne comprend pas encore les raisons de ces émotions. J’ignorais à ce moment-là qu’elle avait compris mon émoi et en jouait à merveille. Rapidement c’est elle qui décidait ce qu’elle me laissait voir ou pas. Les jeux de billes, les balades à vélo ou la balançoire étaient ses occasions idéales de me laisser découvrir ses dessous. Les occasions de s’accroupir ou s’asseoir par terre sont nombreuses dans une journée et elle sut très vite user de chaque situation. Nous jouions également beaucoup dans les escaliers de la maison et il me suffisait alors d’être assis quelques marches en dessous d’elle pour jouir d’un spectacle sans pareil.
C’est un peu plus tard que les premiers effleurements commencèrent. Elle faisait souvent en sorte que ses doigts me touchent un peu ou que je la prenne dans mes bras pour l’aider dans différentes situations comme descendre d’un mur et moi, galant, je ne m’en privais jamais mais c’était avant tout pour mon plaisir à moi.
J’adorais cela et faisais tout pour me retrouver le plus près possible d’elle. Son odeur m’a toujours hanté également. Aucune autre fille n’avait le même parfum naturel et la sentir déclenchait immédiatement en moi des sensations très fortes. En voiture, on était bien évidemment toujours côte à côte et l’idéal était quand on était nombreux sur le siège arrière, nous nous retrouvions forcément (innocemment) très serrés l’un contre l’autre. J’ai ainsi passé des heures et des heures de bonheur intense. Il lui arrivait aussi de venir s’assoir sur mes genoux quand j’étais tranquillement dans un fauteuil. Comprenant le petit jeu, le fauteuil du salon devint familier. Moi, assis normalement sur le fauteuil, elle sur les accoudoirs en travers de mes genoux. J’aimais énormément sentir ses petites fesses contre mon sexe. J’étais persuadé qu’elle ne pouvait pas se rendre compte que le volume augmentait dans mon pantalon. Maintenant je sais qu’elle avait tout compris. D’ailleurs elle bougeait relativement plus que la normale dans ces moments là en riant trop fort…. Elle aimait aussi me laisser la regarder de loin quand elle devait faire un petit pipi dehors. Souvent les filles y allaient en même temps mais elle n’allait pas dans la même direction et surveillait du coin de l’œil que je restais dans son champ de vision. Je faisais semblant de ne pas regarder mais à chaque fois le spectacle était éloquent. Elle glissait tout doucement ses mains sous sa robe et je voyais sa culotte blanche ou rose glisser sur ses genoux avant qu’elle ne s’accroupisse quelques longues secondes que je trouvais pourtant terriblement courtes. J’étais trop loin pour entendre le petit jet mais je l’imaginais. Puis sans me regarder, sans s’essuyer, elle se relevait et remontait sa petite culotte et rabattait sa jupe avec un grand sourire. Quel bonheur !...
Nous passâmes ainsi de longues années à jouer au chat et à la souris sans se le dire.
Les plus beaux moments se déroulèrent l’été. Pour les grandes vacances, nos parents et grands-parents louaient une grande maison à la campagne et tous les cousins de 2 à 18 ans (voire plus pour certains) y passions les 2 mois tandis que nos parents respectifs venaient pendant leurs vacances (2 à 4 semaines). Nous dormions bien entendu plusieurs par chambre (2 à 4 généralement) mais parfois nous avions un grand dortoir commun. La plupart du temps, filles et garçons étions séparés mais un été, il se trouva que pendant 2 semaines, les chambres étant complètes, il restait une chambre à partager entre une fille et un garçon. Les 2 petites voulaient se mettre ensemble, les 2 plus grandes aussi, les garçons dans le « dortoir ». Adeline proposa immédiatement de dormir avec moi. Je ne disais rien, moi qui d’habitude dormais avec 2 cousins à peu près de mon âge, l’idée de passer quelques nuits auprès de ma cousine préférée me réjouissait secrètement. Nous avions à l’époque 11 et 8 ans, nos parents ne virent aucun mal à cela et il fut donc fait ainsi. Ces nuits comptèrent parmi les plus belles de mon enfance. Adeline se montra très coquine, bien au delà du raisonnable et de ce qu’une petite fille de 8 ans doit faire. Elle minaudait tous les soirs en venant dans la chambre faisant semblant de ne pas vouloir que je la regarde tout en me laissant en voir le maximum. Elle venait de la salle de bain où elle s’était mise en chemise de nuit et avant se glisser dans les draps, passait ses mains en dessous pour retirer sa petite culotte. Elle me surveillait du coin de l’œil que je vois bien ce qu’elle faisait. Parfois elle ne retirait pas sa culotte tout de suite et s’allongeait sur le lit et tout en discutant faisait remonter sa chemise sur ses cuisses pour que je vois sa culotte. Autre particularité, elle remettait sa culotte à chaque fois qu’elle allait aux toilettes et la quittait à nouveau à son retour. Elle laissait également la porte entr’ouverte alors que mon lit se trouvait juste en face. Le tout bien sûr pour que je regarde. Je ne rêvais que d’une chose, lui retirer moi-même sa culotte. Je crois qu’elle lisait dans mes pensées car un soir sans que je m’y attende, elle me le proposa « tu veux me quitter ma culotte ? ». J’étais stupéfait. Comment pouvait-elle me faire une telle proposition ? Comment une fille sage et sérieuse pouvait-elle demander cela à un garçon ? Elle n’était peut-être pas si sage en fait. Je me sentais pris au piège de mes désirs découverts. Je ne le fis jamais malgré plusieurs propositions de sa part. Un soir d’orage, elle prétendit avoir très peur et me demanda de venir dans mon lit. J’en rêvais. Nous nous retrouvâmes dans mon petit lit. Je la serrais de plus en plus fort au fur et à mesure des coups de tonnerre. C’était merveilleux. Après l’orage, elle fit semblant de dormir pour rester. Bien souvent elle me tournait alors le dos en position du fœtus. Je prenais la même position derrière pour approcher mon bas ventre de son derrière. Elle en chemise de nuit, moi en slip. Le bonheur. Elle me demanda même souvent de venir y compris quand le temps était clément… Il m’arrivait lorsqu’elle se levait avant moi, le matin, de renifler ses culottes de la veille dans une honte maximale et surtout la crainte d’être surpris. Son odeur y était décuplée et électrisante…
A partir de seize ans, je commençais à avoir des aventures avec des filles de mon âge. Elle connut pratiquement toutes mes petites amies car même en dehors des réunions de famille, nous nous retrouvions très souvent le weekend avec nos amis respectifs et souvent communs. Nous formions une sorte de grande bande où les cousins se confondaient avec les copains. Elle eut aussi rapidement des petits copains mais il arrivait que nous nous retrouvions célibataires en même temps et invariablement on se rapprochait l’un de l’autre dans ces moments-là.
Je me souviens d’un de ces bals du samedi soir où on allait souvent l’été. Notre plaisir était surtout de se retrouver, toute la bande, autour d’un verre à écouter la musique, discuter, flirter, se déhancher sur les derniers airs disco en rigolant beaucoup… Ce soir-là, nous étions toute une bande de copains et ni elle ni moi n’avions de petit(e) ami(e). Ce fut le quart d’heure des slows. Ceux qui n’étaient pas en couple se regroupèrent autour de la piste, histoire de voir… Elle était à côté de moi et d’un coup, à ma grande surprise, elle m’attrapa par la main « Et puis zut avec un grand sourire ». Agréablement surpris par cette proposition je me fis une joie de l’accompagner. C’était « les yeux revolver » de Marc Lavoine. Je vécus ces minutes comme les plus belles du début de ma vie. Quelle douceur que d’être dans les bras d’Adeline. Je me sentais comme un privilégié. Je dansais avec la plus belle fille de la place. J’imaginais la jalousie de ceux qui ne savaient pas que nous étions cousins. J’avais contre mon cœur la douce Adeline. Je le serrais fort contre moi. Je sentais son odeur. Je tenais mon visage contre ses cheveux. J’avais envie de l’embrasser. Mes mains sur le haut de ses fesses. Je la caressais discrètement, sentant sous mes doigts l’élastique de sa culotte sous sa robe légère. Nos sexes étaient quasiment en contact. C’était bon… Mais déjà la chanson se terminait et elle commençait à se détacher. La chanson suivante débutait et je repris ma cousine contre moi « Ah bon, tu aimes bien Eddy Mitchell ? » Non Adeline, ce n’est pas Eddy Mitchell que j’aime… Néanmoins sa remarque me troubla. N’avait-elle dansé avec moi que parce qu’elle adorait « les yeux revolver » ou pour les mêmes raisons que moi…
A 20 ans, BTS en poche, je décrochais mon premier CDI dans la grande ville à 50 kms de chez mes parents. Rapidement je trouvais un studio puis quelques mois plus tard je m’installais avec une copine dans un appartement plus grand et laissais mon studio. Mais rapidement notre liaison s’étiola et elle décida de rentrer chez ses parents et je repris l’appartement à mon nom. Plusieurs filles passèrent quelques nuits, semaines avec moi mais aucune histoire vraiment sérieuse. Je n’arrivais pas à trouver une fille qui me satisfasse totalement. Il me manquait toujours quelque chose sans savoir vraiment quoi….
Ce fut peu avant ses 19 ans qu’Adeline décrocha après une année préparatoire une place dans l’école d’infirmière qui se trouvait dans la ville où je résidais à 100 kms de chez elle. Ce fut tout naturellement que nos mères respectives me demandèrent si je ne voulais pas l’accueillir quelques semaines chez moi, le temps qu’elle s’organise sachant que j’avais une chambre que je louais parfois en colocation. J’étais ravi. Je promis de bien m’occuper d’elle, de lui faire visiter la ville et de bien la surveiller. Ma mère et ma tante étaient rassurées et enchantées. Si elles avaient su, les pauvres…
Adeline était aussi heureuse que moi de la tournure que prenaient les évènements. Avait-elle tout calculé ? Peut-être bien, en fait.
Les premières semaines se passèrent sans équivoque. J’avais une copine qui passait régulièrement sans pour autant vivre avec moi. Néanmoins, les petits jeux reprirent rapidement. Adeline avait, par exemple, la fâcheuse habitude d’oublier de fermer la porte des toilettes à clé et plusieurs fois (involontairement ?) j’ouvrais la porte et la surprenais, assise, culotte sur les genoux. Ce n’était pas sans me rappeler quelques souvenirs agréables… Je la grondais à chaque fois mais plus tard, j’en vins à la surprendre ainsi volontairement. Adeline trouva vite des occasions de me dévoiler ses dessous, notamment en se plaçant en face de moi à table quand j’étais sur le canapé. Dès la première fois, je compris ce qui se passait et mon cœur se remit à battre comme quand j’avais dix ans. Elle garda les jambes serrées longtemps, très longtemps. Je n’en pouvais plus d’attendre. Puis sans en avoir l’air, tout doucement elle commença à bouger sur sa chaise, faisant semblant d’être plongé dans ses exercices. J’aperçus bientôt le blanc de son entrecuisse. Image électrisante. Je savais que c’était mal mais je ne pouvais pas détourner les yeux.
Cette soirée m’avait ramené à mes vieux démons… Cette culotte (blanche et rose), je la voulais. Coûte que coûte… Adeline rentrait tous les weekends chez ses parents et y ramenait donc son linge à laver. Dès le lendemain, ne pensant plus qu’à ça, je me débrouillai pour sortir plus tôt du travail. Après m’être bien assuré qu’elle n’était pas rentrée, j’entrai dans sa chambre et repérais rapidement son sac à linge. Encore un peu hésitant malgré tout je l’ouvris à la recherche du trésor qui trônait (hasard ?) au-dessus du reste. Je dépliai prestement la culotte pour y glisser mon nez dedans. Quel bonheur ! Je fonçais aux toilettes avec l’objet que je respirai avidement, retrouvant partiellement les odeurs du passé. C’était plus salé, plus mur qu’à l’époque, plus chargé aussi. Les secrétions étaient importantes et gluantes avec des petits poils blonds collés. Ma langue vint rapidement se poser sur ce délice. Je ne dû pas lécher très longtemps avant de parvenir à l’orgasme espéré. Avant de ranger le tissu dans le sac, je me permis de regarder le reste du contenu. Principalement les culottes bien sûr mais aussi ses soutiens gorges adorables.
Je replaçai tout avant le retour de ma cousine chérie. Il ne fut pas aisé ce soir-là de rester égal devant elle. Je me sentais gêné par ce que j’avais fait. C’était honteux. Sentait-elle mon trouble ? En tout cas, après le repas, lorsque nous nous vautrâmes sur le canapé, pour la première fois depuis des années, elle vint se blottir contre moi. Elle avait toujours une liberté de gestes que je n’avais pas. Sentir à nouveau son corps contre moi était un plaisir inégalé. « T’as plus de copine ? Ça fait longtemps que t’es pas sorti le soir. J’aime bien quand tu es là. » Elle était adorable. « Non. Marielle ne veut plus me voir et ça tombe bien car moi j’en avais un peu assez. » Une question me brulait. « Et toi, t’as eu des copains récemment ? » « Oui. L’été dernier j’avais quelqu’un. On a promis de se revoir. Il m’a jamais répondu. C’est un con. » « Mais… c’était un copain juste comme ça ou…» « Oui on a couché. C’était pas le premier si tu veux savoir. Mais ça m’a jamais fait grand-chose. C’est des gamins. Ils savent pas faire. » Ces confidences étaient inespérées. Elle avait le don de deviner ce que je voulais savoir. J’avais toujours eu l’impression qu’elle savait ce que je pensais… « Et toi t’aime bien être avec moi ? Je suis plus une petite fille. Je suis une femme maintenant. » Et voilà, à nouveau, elle suivait mes pensées. « Oui, Adel, j’aime bien être avec toi. Tu sais bien que t’es ma chouchoute. Depuis toujours. Ma cousine préférée. » Elle me fit un gros bisou sur la joue et reprit sa place blottie contre mon épaule. J’avais envie de caresser son bras mais je me retenais. Il ne fallait pas tenter le diable. Je n’avais pas le droit de toucher ma cousine.
Le lendemain, nouvelle leçon à apprendre. Elle s’installa à la table comme le jour précédent alors que je préparai le repas. Je savais qu’il suffisait que je me mette sur le canapé pour voir sous sa jupe. Je n’osai pas. Elle comprendrait pourquoi je le faisais. D’un autre côté, je me disais que si elle s’était assise là c’était pour la même raison. Je n’avais pas son aisance. Je finis par prendre un livre et m’asseoir bien en face. Faisant semblant de lire, je regarderai par-dessus mon livre. Ses jambes étaient serrées. Rien à voir. Et comme la fois précédente, elle commença à bouger et s’ouvrir. Puis juste quand je commençai à voir, elle se leva. Zut… Je l’entendis aller aux toilettes, la chasse tirée, elle revint prendre sa place et doucement ouvrit les jambes, posant ses pieds sur les barreaux de la chaise, faisant semblant de réfléchir sur un sujet difficile. Sa culotte était mal remise et semblait humide. Impossible que ce soit le fait du hasard. Elle m’aguichait en découvrant le bord de sa minette et un peu de foison dorée. Et sans doute a-t-elle volontairement oublié de s’essuyer pour m’offrir un petit cadeau mouillé. J’étais comme un fou. Tétanisé. « Ça brule, non ? » Je sortis de ma torpeur. J’avais oublié mon plat sur le gaz. Holalala. Elle se précipita avec moi dans la cuisine pour voir les dégâts et pendant que je touillais le plat pour tenter de sauver quelque chose, elle se colla à moi en riant. « C’est pas grave. Je t’aime quand même. Même si tu cuisines pas bien… » Et elle me fit de nouveau un énorme bisou sur la joue, collant son bas ventre contre ma hanche. Ce bas-ventre qu’elle savait que je venais de lorgner comme un gros vicieux.
Le lendemain, Adeline avait changé son sac de linge de place. Elle l’avait mis à côté de ma panière dans la salle de bain. De nouveau, cela ne pouvait pas être le fait du hasard. Désormais, à chaque fois que j’irai à la salle de bain, j’aurai accès à son linge. Elle savait. C’était son choix de me laisser accéder à ces petites merveilles. Dès ce jour-là, je changeai mes horaires. Au lieu de prendre ma douche au réveil, je la pris le soir juste après elle. Elle ne pouvait que remarquer ce changement. Mais après tout, elle aussi jouait ce petit jeu. Nous étions complices. Et elle prit soin de me faire des petits cadeaux chaque jour plus odorants les uns que les autres. Oubli d’essuyage, caresses coquines la nuit et/ou le jour,… Une nuit, je surpris des petits gémissements dans sa chambre. Pas de doute, la belle se donnait du plaisir. Et j’attendis la journée entière pour découvrir le résultat qui fut à la hauteur de mes espérances. Je finis par m’enhardir et ramener ses culottes dans ma chambre pour en profiter plus longtemps que dans la salle de bain où j’étais malgré tout obligé de me chronométrer…
Un weekend, nous décidâmes qu’elle ne rentrerait pas chez elle et qu’on sorte ensemble. Cinéma, restaurant, balade en forêt, … Nous étions tellement bien. Presque comme un couple. Il était difficile de voir les autres couples enlacés, s’embrassant, etc. alors que nous ne pouvions pas. J’avais tellement envie de la prendre dans mes bras, de la câliner, … Elle avait à nouveau une très belle robe et j’essayais d’imaginer ce qu’elle avait mis en dessous.
Pendant une promenade, c’est elle qui me prit la main. J’étais ému. Elle repéra un tronc d’arbre coupé et dit « asseyons-nous un moment » « On ne tiendra pas à deux » « Pas grave, je me mettrai sur tes genoux ». Décidemment elle osait tout ce que dont je rêvais. Comme avant. Elle prit place sur mes genoux puis très vite se recula. Je sentais ses fesses juste au-dessus de mon bas-ventre. C’était si bon. Evidemment elle ne pouvait que sentir physiquement mon émotion. Elle bougea doucement prétextant me montrer un canard dans la mare. Puis elle s’arrêta de parler et je l’entendis souffler doucement. J’avais mes bras autour de son ventre. Elle me caressa le bras du bout des doigts. Une vague de bonheur immense m’envahit. Il n’y avait qu’elle qui me donnait ce bonheur-là. Ce bonheur tout simple. Elle remuait imperceptiblement ses fesses. C’était bon, c’était chaud. Je sentais nettement la fente entre ses fesses posée directement sur mon sexe désormais dressé dans sa direction. Elle le sentait obligatoirement. J’avais honte mais c’était si bon. Elle soupira très fort. « Qu’on est bien… On est bien, hein ? » Ma bouche était pâteuse et j’eu beaucoup de mal à répondre « Oui, on est bien. »
Au retour à l’appartement, elle me proposa de nous préparer un thé, de m’installer dans le canapé et de me détendre. Après m’avoir servi mon thé elle me proposa un petit massage. Elle avait suivi un cours sur les vertus du massage de la voute plantaire. Elle s’installa sur une chaise en face de moi et me prit le pied, le déposant d’abord sur ses genoux, commençant le doux massage. « C’est bon ? » « Excellent ». Elle posa mon pied entre ses jambes et petit à petit se rapprocha du bord de la chaise jusqu’à ce que mon pied soit en contact avec son entrejambe. Il n ‘y avait aucun doute sur sa volonté. Tout en continuant de me masser elle faisait bouger mon pied sur son entrejambe. Rapidement je la sentis soupirer comme cet après-midi et ne plus parler. Elle se caressait doucement avec mon pied. Quelle imagination pour prendre son pied en plus du mien… J’étais en extase. Je caressais son sexe. A travers sa robe et sa culotte certes, mais quand même. Je lui faisais du bien. Si on continuait ainsi, peut-être jouirait-elle de cette façon, là, devant moi. Au bout d’un moment elle retira mon pied avec un sourire entendu. « Tu veux me le faire aussi ? » Certes je devais quitter cette position confortable mais je ne pouvais pas lui refuser. Nous échangeâmes nos places et je pris son pied pour commencer à la caresser (ce n’était plus du massage). Elle déposa sans vergogne son pied sur mon sexe et le bougea nonchalamment. Je bandais comme jamais. D’autant qu’elle en profita pour ouvrir ses cuisses et me laisser voir quelle culotte elle portait depuis ce matin. Elle était évidemment déjà très humide. Comme si cela ne suffisait pas, au bout d’un moment elle passa carrément la main sous sa robe pour remettre sa culotte en place. Le jeu devenait trop dangereux. Il fallait y mettre un terme avant que n’arrive l’irréparable. Mais je savais que nous étions inexorablement partis pour faire des bêtises. Il aurait fallu que je la fasse partir de chez moi sous le prétexte d’un nouveau colocataire ou plutôt que je déménage tout de suite, très loin d’elle, ... Mais je savais que je ne le voulais pas et ne pourrais pas le faire. C’était une question de jour, d’heures, de minutes,... Je considérai déjà ma cousine comme ma maitresse. Dans ma tête, nous étions déjà amants. Heureusement elle était désormais majeure. Mais pour l’entourage et surtout la famille, c’était moi le plus âgé, donc le responsable.
Et ce qui devait arriver arriva... Une nuit d’orage. Un orage terrible. J’entendis frapper à ma porte. « Oui Adel » « je peux venir avec toi ? J’ai trop peur ». Comme il y a dix ans, elle souhaitait me rejoindre dans mon lit. Là je savais. Cette nuit marquerait le début d’une nouvelle aventure. Je pouvais encore dire non. Je pouvais ? Non, je ne pouvais pas. Mon cœur battait à tout rompre. Le sien aussi j’imagine. « Viens ma belle. N’aie pas peur ». Officiellement je parlai de l’orage mais je pensais à autre chose. Elle s’engouffra dans mon lit et immédiatement je la pris dans mes bras. Un énorme coup de tonnerre retentit à ce moment-là (le coup de foudre). Elle avait une toute fine chemise de nuit blanche à dentelle. Culotte ou pas ? Suspense. Elle se serra encore plus contre moi. Je lui caressais doucement l’épaule. Ses genoux étaient contre mon sexe. Elle bougeait doucement pour m’exciter. Elle attrapa ma main pour la placer sur ses fesses. Le message était on ne peut plus clair. La porte était largement ouverte. Je sentis sous mes doigts la couture de sa culotte. Je caressais longuement cette frontière entre le haut de sa cuisse et sa fesse gauche. Je bandais comme un taureau sous les caresses de ses genoux. A chaque coup de tonnerre elle se serrait plus « protège-moi. J’ai trop peur, minaudait-elle. Tu me protégeras toujours, hein, dis ? » « Oui ma chérie, toujours. Je t’aime. » C’était sorti malgré moi. Je me l’étais tellement répété que j’avais l’impression que c’était normal. Son visage se tourna vers le mien et nos lèvres se trouvèrent. Ce fut le baiser le plus incroyable de ma vie. Une douceur incroyable. Sa bouche était sucrée. Sa langue une friandise. Elle s’allongea sur le ventre et prit ma main qu’elle mit entre ses jambes. Sa culotte était détrempée. Je la caressais avec douceur. Elle me força à aller plus vite, plus profond. Je sentais ses lèvres intimes à travers le coton. Mais quel bonheur ! « Enlève ma culotte ». Encore un souvenir de notre enfance. Mais cette fois-ci je ne dirai pas non. Je soulevais le drap et me levant à côté d’elle, j’attrapai le fin tissu et le fis glisser le long de ses jambes. A chaque éclair, je voyais le bas de son corps dénudé, ses jambes blanches et si douces, son triangle doré… « Sens-là. Je suis sûre que tu aimes ça » Evidemment que j’aimais ça et elle le savait, la coquine. Je reniflais avidement le fond de sa culotte détrempée. Elle attrapa mon sexe et commença à me masturber doucement. J’écartais ses jambes, les soulevais et plongeais mon visage dans son entrejambe emprisonnant sa vulve entre mes lèvres et doucement, tout doucement, pour ne jamais oublié cet instant si précieux je sortis ma langue pour enfin gouter ses liqueurs à la source. Elle m’appuya la tête pour m’enfoncer en elle. Je ne pouvais plus respirer. J’aspirai le maximum de secrétions espérant que jamais cela ne s’arrête. « Prends-moi, Mathieu, prends-moi. J’ai trop envie ». Il me restait un fond de lucidité. « Non Adeline, on ne peut pas faire cela. On n’a pas le droit. On est cousins » « On s’en fout, moi je t’aime, je ne veux rien d’autre. Je veux ta bite. Mets-moi là vite. S’il te plait. S’il te plait… THOMAAAAASSS… ». C’était plus qu’une prière. « j’ai pas de capote. Il faut pas que tu tombes enceinte. » « Prends-moi par derrière ». J’étais estomaqué. Comment ma si douce petite cousine si sage, si jeune, … pouvait-elle parler ainsi. « Hein ? » « Prends-moi par derrière. C’est ça que je veux. Depuis le temps que j’attends. Depuis toute petite j’attends que ton zizi rentre dans mon cul. J’ai tellement mouillé ma culotte en pensant à ça. S’il te plait Thomas, mets-moi là. Je veux que tu te vides en moi. Je veux sentir ça dans mon ventre. » « Mais ca fait mal par derrière » « prends ma mouille devant. Je me suis mis les doigts au fond, j’aime ça je te jure, tu me feras pas mal » Et elle me montra ses doigts déjà enfoncés dans son petit trou. Je me dis que ma cousine était folle. Une nympho. Elle n’était visiblement pas celle que je croyais. Elle dirigea ma bite vers sa vulve pour l’imprégner au maximum puis elle la dirigea vers son anus. Tout en douceur, je poussais vers elle. Et très rapidement je m’enfonçais en elle.
D’une main, je caressais ses seins, de l’autre je frottais doucement son clito. Elle me saisit la main et la guida vers l’intérieur de son vagin. Deux doigts, puis trois s’enfoncèrent en elle tandis qu’elle hurlait de plaisir. Après avoir fait quelques allers-retours en elle, je décidai de changer de position. Je la remis sur le dos, lui remontant les pieds au-dessus de la tête, soulevant son postérieur. A nouveau j’entrais en elle. Ma main reprit sa place dans son vagin. Elle hurlait de plus belle. Je m’enfonçais jusqu’à la garde. J’avais honte de moi. Honte de prendre un tel plaisir à cette situation dont je n’avais même pas rêvé. Elle me regardait dans les yeux en criant des insanités. J’étais perdu dans ce regard à la fois si doux et démoniaque. Elle était plus belle que jamais. « Vas-y, viens, vide toi en moi. Je veux sentir ton jet au plus profond de moi, han, han, han ». Je finis par jouir de toutes mes forces sans la quitter des yeux. « Ho, c’est bon, c’est bon… ». Je m’écroulais sur elle, anéanti. Je roulais sur le côté, libérant ses fesses. Epuisé. Vidé. Le plus bel orgasme de ma vie. Incroyable. Elle se lova contre moi douce comme une agnelle « Je t’aime. Je n’aime que toi ». Et nous finîmes par nous endormir anéantis pas cet amour excessif. Sur le matin, je fus réveillé par une caresse sur mon membre. Elle m’embrassait sur le visage tout en me masturbant. Elle ramena à nouveau ma main entre ses jambes pour se masturber avec. Je l’embrassais goulument. Nous jouîmes une deuxième fois sans pénétration, tout en douceur…
Durant tout le petit déjeuner elle resta auprès de moi, se frottant à moi telle une panthère langoureuse. « Je suis tellement heureuse. C’était mon rêve. Je t’aime ». Moi, je me sentais un peu mal à l’aise. Avoir fait l’amour avec ma cousine était déjà perturbant. Mais avoir sodomisé ma cousine me gênait au plus haut point. Cette façon de faire avait pour moi une connotation de domination. J’avais beau me dire que c’est elle qui me l’avait demandé, quelque part, peut-être était-ce de ma faute malgré tout. Adeline avait retrouvé toute son innocence. Comment faire le lien entre cet ange et le démon qui me suppliait de l’enculer hier soir ? J’avais l’impression de voir deux personnes différentes. Pourtant dans le pire moment de notre étreinte elle était toujours aussi belle, peut-être encore plus…
Toute la journée, je fus soucieux. Nous avions franchi un cap définitif. Où cela nous mènerait-il ? Officialiser cette liaison était impossible. Que ce soit au niveau de l’entourage (amical, professionnel) mais surtout au niveau de la famille. Personne ne pourrait comprendre. Que faire ? La quitter m’était impossible. L’officialiser encore plus. Vivre notre amour dans l’ombre ? Pendant quelques temps, pourquoi pas. Mais sur le long terme, ce ne serait pas tenable…
Le soir, elle m’accueillit avec son plus beau sourire et un doux baiser. Pour elle, il n’y avait pas de doute, nous étions en couple. Elle m’aida à préparer le repas, toujours collée à moi et riant à pleines dents. Elle était tellement belle. Je savais que je ne pourrais jamais résister à ce sourire, ce visage d’ange. Je ne pouvais que constater que l’amour de ma vie, que personne d’autre ne pourrait jamais me faire un tel effet. Mais pourquoi fallait-il que ce soit elle ? Il y a tant de filles autour de moi. De toutes celles que j’avais eues dans mon lit, aucune ne m’avait fait autant d’effet. Ma jouissance avait été exceptionnelle et visiblement, la réciproque était vraie. Je ne pouvais oublier mon ressenti au moment où j’éjaculais dans son ventre si chaud. Je ne pensais qu’à une chose : recommencer.
Après le repas, nous essayâmes de regarder une émission à la télé mais nous pensions tous les deux à autre chose. Elle était blottie contre moi. Je sentais sa respiration saccadée. Je savais à quoi elle pensait. Je caressais son bras. Ma bite était dressée. « On va au lit ? » « Oui, ouiiiiii ». Nous ne primes même pas la peine d’éteindre la télé. Je l’avais prise dans mes bras et la portais dans notre lit où je l’allongeais tout en douceur. « Je t’aime mon amour, je t’aime ». Je l’embrassais goulûment. Puis nos mains s’égarèrent vers nos parties intimes. Comme la veille, nos bouches engloutirent nos sexes. Elle mouillait encore plus, j’avalais avidement cette liqueur divine. « Cette fois-ci, j’ai des capotes, dis-je en essayant d’attraper la boite ». « Non, prends-moi comme hier. » « Adel, ce n’est pas bien. » « Je m’en fous, moi j’aime ». J’étais abasourdi comme la veille. Alors je commençai à attendrir son petit avec mes doigts et sa liqueur vaginale puis lui relevant les jambes pour garder son visage face au mien, ma bite se présenta à nouveau sur son orifice anal qui s’ouvrit facilement. J’entrai en elle en douceur. Elle soufflait, râlait de plaisir. Je l’embrassais avidement allant et venant doucement. « Plus vite, plujs vite. Ca fait mal, c’est booooonnnn. Hummmm. » Et alors que j’accélérais mes va et vient, elle rugit comme une furie, se mit à hurler de plaisir, ce qui me gêna énormément. Pas de voisins certes mais quand même, peut-être dans la rue l’entendrait-on… « Vas-y, vide toi en moi. Donne-moi ton sperme, je le veux en moi. » Elle me faisait peur. Ma douce cousine était en furie. Une vraie folle. Son visage totalement déformé, ses yeux livides, perdus dans le néant. Mais c’était toujours elle. J’aperçus sa culotte abandonnée sur le lit. Je l’attrapais et la portais à mon nez. Sa cyprine séché si odorante me fit à nouveau un effet dingue. Je fus pris d’un orgasme encore plus fort que la veille. J’explosais en elle. Je la remplis littéralement de mon sperme. Elle ne criait plus. Elle semblait en extase. Elle me regardait droit dans les yeux. Un regard rempli d’amour et de totale soumission. Mais quel bonheur !... J’aurai voulu toute ma vie comme cela. Ma bite profondément ancrée dans son anus si chaud, ma semence la remplissant tendrement. « Adel… Mon amour. Je t’aime, je t’aime… » Elle souriait maintenant. Son sourire si bon. Ses yeux me dévoraient. Quel instant intense !...
Les weekends et les vacances étaient consacrés à la famille. Mes parents avaient beaucoup de frères et sœurs et j’avais donc beaucoup de cousins et cousines vivant tous dans la même région. Adeline était la fille de ma tante. Elle avait trois ans de moins que moi. Elle avait une sœur de mon âge avec qui je m’entendais très bien mais qui ne m’a jamais attiré physiquement. Adeline, par contre, dès la petite enfance me troublait énormément. Il faut dire qu’elle était extrêmement jolie.
Cheveux blonds, yeux bleus, … un visage d’ange. J’adorais sa façon de s’habiller, toujours très féminine en jupe ou robe colorée, fleurie, blanche, à dentelles, transparente, etc… Un ange.
J’aimais aussi et surtout son sourire. Elle souriait (et sourit toujours) tout le temps. C’était une enfant calme, studieuse, rêveuse mais très enjouée, rieuse, blagueuse, … Et surtout très sensuelle.
Je pense que c’est elle qui a commencé à me chercher. Je me souviens des premières fois où j’apercevais sa petite culotte sous sa robe. C’était à chaque fois un sentiment très fort pour moi sans pareil avec les autres filles (cousines ou copines d’école). A 8 ou 10 ans, on ne comprend pas encore les raisons de ces émotions. J’ignorais à ce moment-là qu’elle avait compris mon émoi et en jouait à merveille. Rapidement c’est elle qui décidait ce qu’elle me laissait voir ou pas. Les jeux de billes, les balades à vélo ou la balançoire étaient ses occasions idéales de me laisser découvrir ses dessous. Les occasions de s’accroupir ou s’asseoir par terre sont nombreuses dans une journée et elle sut très vite user de chaque situation. Nous jouions également beaucoup dans les escaliers de la maison et il me suffisait alors d’être assis quelques marches en dessous d’elle pour jouir d’un spectacle sans pareil.
C’est un peu plus tard que les premiers effleurements commencèrent. Elle faisait souvent en sorte que ses doigts me touchent un peu ou que je la prenne dans mes bras pour l’aider dans différentes situations comme descendre d’un mur et moi, galant, je ne m’en privais jamais mais c’était avant tout pour mon plaisir à moi.
J’adorais cela et faisais tout pour me retrouver le plus près possible d’elle. Son odeur m’a toujours hanté également. Aucune autre fille n’avait le même parfum naturel et la sentir déclenchait immédiatement en moi des sensations très fortes. En voiture, on était bien évidemment toujours côte à côte et l’idéal était quand on était nombreux sur le siège arrière, nous nous retrouvions forcément (innocemment) très serrés l’un contre l’autre. J’ai ainsi passé des heures et des heures de bonheur intense. Il lui arrivait aussi de venir s’assoir sur mes genoux quand j’étais tranquillement dans un fauteuil. Comprenant le petit jeu, le fauteuil du salon devint familier. Moi, assis normalement sur le fauteuil, elle sur les accoudoirs en travers de mes genoux. J’aimais énormément sentir ses petites fesses contre mon sexe. J’étais persuadé qu’elle ne pouvait pas se rendre compte que le volume augmentait dans mon pantalon. Maintenant je sais qu’elle avait tout compris. D’ailleurs elle bougeait relativement plus que la normale dans ces moments là en riant trop fort…. Elle aimait aussi me laisser la regarder de loin quand elle devait faire un petit pipi dehors. Souvent les filles y allaient en même temps mais elle n’allait pas dans la même direction et surveillait du coin de l’œil que je restais dans son champ de vision. Je faisais semblant de ne pas regarder mais à chaque fois le spectacle était éloquent. Elle glissait tout doucement ses mains sous sa robe et je voyais sa culotte blanche ou rose glisser sur ses genoux avant qu’elle ne s’accroupisse quelques longues secondes que je trouvais pourtant terriblement courtes. J’étais trop loin pour entendre le petit jet mais je l’imaginais. Puis sans me regarder, sans s’essuyer, elle se relevait et remontait sa petite culotte et rabattait sa jupe avec un grand sourire. Quel bonheur !...
Nous passâmes ainsi de longues années à jouer au chat et à la souris sans se le dire.
Les plus beaux moments se déroulèrent l’été. Pour les grandes vacances, nos parents et grands-parents louaient une grande maison à la campagne et tous les cousins de 2 à 18 ans (voire plus pour certains) y passions les 2 mois tandis que nos parents respectifs venaient pendant leurs vacances (2 à 4 semaines). Nous dormions bien entendu plusieurs par chambre (2 à 4 généralement) mais parfois nous avions un grand dortoir commun. La plupart du temps, filles et garçons étions séparés mais un été, il se trouva que pendant 2 semaines, les chambres étant complètes, il restait une chambre à partager entre une fille et un garçon. Les 2 petites voulaient se mettre ensemble, les 2 plus grandes aussi, les garçons dans le « dortoir ». Adeline proposa immédiatement de dormir avec moi. Je ne disais rien, moi qui d’habitude dormais avec 2 cousins à peu près de mon âge, l’idée de passer quelques nuits auprès de ma cousine préférée me réjouissait secrètement. Nous avions à l’époque 11 et 8 ans, nos parents ne virent aucun mal à cela et il fut donc fait ainsi. Ces nuits comptèrent parmi les plus belles de mon enfance. Adeline se montra très coquine, bien au delà du raisonnable et de ce qu’une petite fille de 8 ans doit faire. Elle minaudait tous les soirs en venant dans la chambre faisant semblant de ne pas vouloir que je la regarde tout en me laissant en voir le maximum. Elle venait de la salle de bain où elle s’était mise en chemise de nuit et avant se glisser dans les draps, passait ses mains en dessous pour retirer sa petite culotte. Elle me surveillait du coin de l’œil que je vois bien ce qu’elle faisait. Parfois elle ne retirait pas sa culotte tout de suite et s’allongeait sur le lit et tout en discutant faisait remonter sa chemise sur ses cuisses pour que je vois sa culotte. Autre particularité, elle remettait sa culotte à chaque fois qu’elle allait aux toilettes et la quittait à nouveau à son retour. Elle laissait également la porte entr’ouverte alors que mon lit se trouvait juste en face. Le tout bien sûr pour que je regarde. Je ne rêvais que d’une chose, lui retirer moi-même sa culotte. Je crois qu’elle lisait dans mes pensées car un soir sans que je m’y attende, elle me le proposa « tu veux me quitter ma culotte ? ». J’étais stupéfait. Comment pouvait-elle me faire une telle proposition ? Comment une fille sage et sérieuse pouvait-elle demander cela à un garçon ? Elle n’était peut-être pas si sage en fait. Je me sentais pris au piège de mes désirs découverts. Je ne le fis jamais malgré plusieurs propositions de sa part. Un soir d’orage, elle prétendit avoir très peur et me demanda de venir dans mon lit. J’en rêvais. Nous nous retrouvâmes dans mon petit lit. Je la serrais de plus en plus fort au fur et à mesure des coups de tonnerre. C’était merveilleux. Après l’orage, elle fit semblant de dormir pour rester. Bien souvent elle me tournait alors le dos en position du fœtus. Je prenais la même position derrière pour approcher mon bas ventre de son derrière. Elle en chemise de nuit, moi en slip. Le bonheur. Elle me demanda même souvent de venir y compris quand le temps était clément… Il m’arrivait lorsqu’elle se levait avant moi, le matin, de renifler ses culottes de la veille dans une honte maximale et surtout la crainte d’être surpris. Son odeur y était décuplée et électrisante…
A partir de seize ans, je commençais à avoir des aventures avec des filles de mon âge. Elle connut pratiquement toutes mes petites amies car même en dehors des réunions de famille, nous nous retrouvions très souvent le weekend avec nos amis respectifs et souvent communs. Nous formions une sorte de grande bande où les cousins se confondaient avec les copains. Elle eut aussi rapidement des petits copains mais il arrivait que nous nous retrouvions célibataires en même temps et invariablement on se rapprochait l’un de l’autre dans ces moments-là.
Je me souviens d’un de ces bals du samedi soir où on allait souvent l’été. Notre plaisir était surtout de se retrouver, toute la bande, autour d’un verre à écouter la musique, discuter, flirter, se déhancher sur les derniers airs disco en rigolant beaucoup… Ce soir-là, nous étions toute une bande de copains et ni elle ni moi n’avions de petit(e) ami(e). Ce fut le quart d’heure des slows. Ceux qui n’étaient pas en couple se regroupèrent autour de la piste, histoire de voir… Elle était à côté de moi et d’un coup, à ma grande surprise, elle m’attrapa par la main « Et puis zut avec un grand sourire ». Agréablement surpris par cette proposition je me fis une joie de l’accompagner. C’était « les yeux revolver » de Marc Lavoine. Je vécus ces minutes comme les plus belles du début de ma vie. Quelle douceur que d’être dans les bras d’Adeline. Je me sentais comme un privilégié. Je dansais avec la plus belle fille de la place. J’imaginais la jalousie de ceux qui ne savaient pas que nous étions cousins. J’avais contre mon cœur la douce Adeline. Je le serrais fort contre moi. Je sentais son odeur. Je tenais mon visage contre ses cheveux. J’avais envie de l’embrasser. Mes mains sur le haut de ses fesses. Je la caressais discrètement, sentant sous mes doigts l’élastique de sa culotte sous sa robe légère. Nos sexes étaient quasiment en contact. C’était bon… Mais déjà la chanson se terminait et elle commençait à se détacher. La chanson suivante débutait et je repris ma cousine contre moi « Ah bon, tu aimes bien Eddy Mitchell ? » Non Adeline, ce n’est pas Eddy Mitchell que j’aime… Néanmoins sa remarque me troubla. N’avait-elle dansé avec moi que parce qu’elle adorait « les yeux revolver » ou pour les mêmes raisons que moi…
A 20 ans, BTS en poche, je décrochais mon premier CDI dans la grande ville à 50 kms de chez mes parents. Rapidement je trouvais un studio puis quelques mois plus tard je m’installais avec une copine dans un appartement plus grand et laissais mon studio. Mais rapidement notre liaison s’étiola et elle décida de rentrer chez ses parents et je repris l’appartement à mon nom. Plusieurs filles passèrent quelques nuits, semaines avec moi mais aucune histoire vraiment sérieuse. Je n’arrivais pas à trouver une fille qui me satisfasse totalement. Il me manquait toujours quelque chose sans savoir vraiment quoi….
Ce fut peu avant ses 19 ans qu’Adeline décrocha après une année préparatoire une place dans l’école d’infirmière qui se trouvait dans la ville où je résidais à 100 kms de chez elle. Ce fut tout naturellement que nos mères respectives me demandèrent si je ne voulais pas l’accueillir quelques semaines chez moi, le temps qu’elle s’organise sachant que j’avais une chambre que je louais parfois en colocation. J’étais ravi. Je promis de bien m’occuper d’elle, de lui faire visiter la ville et de bien la surveiller. Ma mère et ma tante étaient rassurées et enchantées. Si elles avaient su, les pauvres…
Adeline était aussi heureuse que moi de la tournure que prenaient les évènements. Avait-elle tout calculé ? Peut-être bien, en fait.
Les premières semaines se passèrent sans équivoque. J’avais une copine qui passait régulièrement sans pour autant vivre avec moi. Néanmoins, les petits jeux reprirent rapidement. Adeline avait, par exemple, la fâcheuse habitude d’oublier de fermer la porte des toilettes à clé et plusieurs fois (involontairement ?) j’ouvrais la porte et la surprenais, assise, culotte sur les genoux. Ce n’était pas sans me rappeler quelques souvenirs agréables… Je la grondais à chaque fois mais plus tard, j’en vins à la surprendre ainsi volontairement. Adeline trouva vite des occasions de me dévoiler ses dessous, notamment en se plaçant en face de moi à table quand j’étais sur le canapé. Dès la première fois, je compris ce qui se passait et mon cœur se remit à battre comme quand j’avais dix ans. Elle garda les jambes serrées longtemps, très longtemps. Je n’en pouvais plus d’attendre. Puis sans en avoir l’air, tout doucement elle commença à bouger sur sa chaise, faisant semblant d’être plongé dans ses exercices. J’aperçus bientôt le blanc de son entrecuisse. Image électrisante. Je savais que c’était mal mais je ne pouvais pas détourner les yeux.
Cette soirée m’avait ramené à mes vieux démons… Cette culotte (blanche et rose), je la voulais. Coûte que coûte… Adeline rentrait tous les weekends chez ses parents et y ramenait donc son linge à laver. Dès le lendemain, ne pensant plus qu’à ça, je me débrouillai pour sortir plus tôt du travail. Après m’être bien assuré qu’elle n’était pas rentrée, j’entrai dans sa chambre et repérais rapidement son sac à linge. Encore un peu hésitant malgré tout je l’ouvris à la recherche du trésor qui trônait (hasard ?) au-dessus du reste. Je dépliai prestement la culotte pour y glisser mon nez dedans. Quel bonheur ! Je fonçais aux toilettes avec l’objet que je respirai avidement, retrouvant partiellement les odeurs du passé. C’était plus salé, plus mur qu’à l’époque, plus chargé aussi. Les secrétions étaient importantes et gluantes avec des petits poils blonds collés. Ma langue vint rapidement se poser sur ce délice. Je ne dû pas lécher très longtemps avant de parvenir à l’orgasme espéré. Avant de ranger le tissu dans le sac, je me permis de regarder le reste du contenu. Principalement les culottes bien sûr mais aussi ses soutiens gorges adorables.
Je replaçai tout avant le retour de ma cousine chérie. Il ne fut pas aisé ce soir-là de rester égal devant elle. Je me sentais gêné par ce que j’avais fait. C’était honteux. Sentait-elle mon trouble ? En tout cas, après le repas, lorsque nous nous vautrâmes sur le canapé, pour la première fois depuis des années, elle vint se blottir contre moi. Elle avait toujours une liberté de gestes que je n’avais pas. Sentir à nouveau son corps contre moi était un plaisir inégalé. « T’as plus de copine ? Ça fait longtemps que t’es pas sorti le soir. J’aime bien quand tu es là. » Elle était adorable. « Non. Marielle ne veut plus me voir et ça tombe bien car moi j’en avais un peu assez. » Une question me brulait. « Et toi, t’as eu des copains récemment ? » « Oui. L’été dernier j’avais quelqu’un. On a promis de se revoir. Il m’a jamais répondu. C’est un con. » « Mais… c’était un copain juste comme ça ou…» « Oui on a couché. C’était pas le premier si tu veux savoir. Mais ça m’a jamais fait grand-chose. C’est des gamins. Ils savent pas faire. » Ces confidences étaient inespérées. Elle avait le don de deviner ce que je voulais savoir. J’avais toujours eu l’impression qu’elle savait ce que je pensais… « Et toi t’aime bien être avec moi ? Je suis plus une petite fille. Je suis une femme maintenant. » Et voilà, à nouveau, elle suivait mes pensées. « Oui, Adel, j’aime bien être avec toi. Tu sais bien que t’es ma chouchoute. Depuis toujours. Ma cousine préférée. » Elle me fit un gros bisou sur la joue et reprit sa place blottie contre mon épaule. J’avais envie de caresser son bras mais je me retenais. Il ne fallait pas tenter le diable. Je n’avais pas le droit de toucher ma cousine.
Le lendemain, nouvelle leçon à apprendre. Elle s’installa à la table comme le jour précédent alors que je préparai le repas. Je savais qu’il suffisait que je me mette sur le canapé pour voir sous sa jupe. Je n’osai pas. Elle comprendrait pourquoi je le faisais. D’un autre côté, je me disais que si elle s’était assise là c’était pour la même raison. Je n’avais pas son aisance. Je finis par prendre un livre et m’asseoir bien en face. Faisant semblant de lire, je regarderai par-dessus mon livre. Ses jambes étaient serrées. Rien à voir. Et comme la fois précédente, elle commença à bouger et s’ouvrir. Puis juste quand je commençai à voir, elle se leva. Zut… Je l’entendis aller aux toilettes, la chasse tirée, elle revint prendre sa place et doucement ouvrit les jambes, posant ses pieds sur les barreaux de la chaise, faisant semblant de réfléchir sur un sujet difficile. Sa culotte était mal remise et semblait humide. Impossible que ce soit le fait du hasard. Elle m’aguichait en découvrant le bord de sa minette et un peu de foison dorée. Et sans doute a-t-elle volontairement oublié de s’essuyer pour m’offrir un petit cadeau mouillé. J’étais comme un fou. Tétanisé. « Ça brule, non ? » Je sortis de ma torpeur. J’avais oublié mon plat sur le gaz. Holalala. Elle se précipita avec moi dans la cuisine pour voir les dégâts et pendant que je touillais le plat pour tenter de sauver quelque chose, elle se colla à moi en riant. « C’est pas grave. Je t’aime quand même. Même si tu cuisines pas bien… » Et elle me fit de nouveau un énorme bisou sur la joue, collant son bas ventre contre ma hanche. Ce bas-ventre qu’elle savait que je venais de lorgner comme un gros vicieux.
Le lendemain, Adeline avait changé son sac de linge de place. Elle l’avait mis à côté de ma panière dans la salle de bain. De nouveau, cela ne pouvait pas être le fait du hasard. Désormais, à chaque fois que j’irai à la salle de bain, j’aurai accès à son linge. Elle savait. C’était son choix de me laisser accéder à ces petites merveilles. Dès ce jour-là, je changeai mes horaires. Au lieu de prendre ma douche au réveil, je la pris le soir juste après elle. Elle ne pouvait que remarquer ce changement. Mais après tout, elle aussi jouait ce petit jeu. Nous étions complices. Et elle prit soin de me faire des petits cadeaux chaque jour plus odorants les uns que les autres. Oubli d’essuyage, caresses coquines la nuit et/ou le jour,… Une nuit, je surpris des petits gémissements dans sa chambre. Pas de doute, la belle se donnait du plaisir. Et j’attendis la journée entière pour découvrir le résultat qui fut à la hauteur de mes espérances. Je finis par m’enhardir et ramener ses culottes dans ma chambre pour en profiter plus longtemps que dans la salle de bain où j’étais malgré tout obligé de me chronométrer…
Un weekend, nous décidâmes qu’elle ne rentrerait pas chez elle et qu’on sorte ensemble. Cinéma, restaurant, balade en forêt, … Nous étions tellement bien. Presque comme un couple. Il était difficile de voir les autres couples enlacés, s’embrassant, etc. alors que nous ne pouvions pas. J’avais tellement envie de la prendre dans mes bras, de la câliner, … Elle avait à nouveau une très belle robe et j’essayais d’imaginer ce qu’elle avait mis en dessous.
Pendant une promenade, c’est elle qui me prit la main. J’étais ému. Elle repéra un tronc d’arbre coupé et dit « asseyons-nous un moment » « On ne tiendra pas à deux » « Pas grave, je me mettrai sur tes genoux ». Décidemment elle osait tout ce que dont je rêvais. Comme avant. Elle prit place sur mes genoux puis très vite se recula. Je sentais ses fesses juste au-dessus de mon bas-ventre. C’était si bon. Evidemment elle ne pouvait que sentir physiquement mon émotion. Elle bougea doucement prétextant me montrer un canard dans la mare. Puis elle s’arrêta de parler et je l’entendis souffler doucement. J’avais mes bras autour de son ventre. Elle me caressa le bras du bout des doigts. Une vague de bonheur immense m’envahit. Il n’y avait qu’elle qui me donnait ce bonheur-là. Ce bonheur tout simple. Elle remuait imperceptiblement ses fesses. C’était bon, c’était chaud. Je sentais nettement la fente entre ses fesses posée directement sur mon sexe désormais dressé dans sa direction. Elle le sentait obligatoirement. J’avais honte mais c’était si bon. Elle soupira très fort. « Qu’on est bien… On est bien, hein ? » Ma bouche était pâteuse et j’eu beaucoup de mal à répondre « Oui, on est bien. »
Au retour à l’appartement, elle me proposa de nous préparer un thé, de m’installer dans le canapé et de me détendre. Après m’avoir servi mon thé elle me proposa un petit massage. Elle avait suivi un cours sur les vertus du massage de la voute plantaire. Elle s’installa sur une chaise en face de moi et me prit le pied, le déposant d’abord sur ses genoux, commençant le doux massage. « C’est bon ? » « Excellent ». Elle posa mon pied entre ses jambes et petit à petit se rapprocha du bord de la chaise jusqu’à ce que mon pied soit en contact avec son entrejambe. Il n ‘y avait aucun doute sur sa volonté. Tout en continuant de me masser elle faisait bouger mon pied sur son entrejambe. Rapidement je la sentis soupirer comme cet après-midi et ne plus parler. Elle se caressait doucement avec mon pied. Quelle imagination pour prendre son pied en plus du mien… J’étais en extase. Je caressais son sexe. A travers sa robe et sa culotte certes, mais quand même. Je lui faisais du bien. Si on continuait ainsi, peut-être jouirait-elle de cette façon, là, devant moi. Au bout d’un moment elle retira mon pied avec un sourire entendu. « Tu veux me le faire aussi ? » Certes je devais quitter cette position confortable mais je ne pouvais pas lui refuser. Nous échangeâmes nos places et je pris son pied pour commencer à la caresser (ce n’était plus du massage). Elle déposa sans vergogne son pied sur mon sexe et le bougea nonchalamment. Je bandais comme jamais. D’autant qu’elle en profita pour ouvrir ses cuisses et me laisser voir quelle culotte elle portait depuis ce matin. Elle était évidemment déjà très humide. Comme si cela ne suffisait pas, au bout d’un moment elle passa carrément la main sous sa robe pour remettre sa culotte en place. Le jeu devenait trop dangereux. Il fallait y mettre un terme avant que n’arrive l’irréparable. Mais je savais que nous étions inexorablement partis pour faire des bêtises. Il aurait fallu que je la fasse partir de chez moi sous le prétexte d’un nouveau colocataire ou plutôt que je déménage tout de suite, très loin d’elle, ... Mais je savais que je ne le voulais pas et ne pourrais pas le faire. C’était une question de jour, d’heures, de minutes,... Je considérai déjà ma cousine comme ma maitresse. Dans ma tête, nous étions déjà amants. Heureusement elle était désormais majeure. Mais pour l’entourage et surtout la famille, c’était moi le plus âgé, donc le responsable.
Et ce qui devait arriver arriva... Une nuit d’orage. Un orage terrible. J’entendis frapper à ma porte. « Oui Adel » « je peux venir avec toi ? J’ai trop peur ». Comme il y a dix ans, elle souhaitait me rejoindre dans mon lit. Là je savais. Cette nuit marquerait le début d’une nouvelle aventure. Je pouvais encore dire non. Je pouvais ? Non, je ne pouvais pas. Mon cœur battait à tout rompre. Le sien aussi j’imagine. « Viens ma belle. N’aie pas peur ». Officiellement je parlai de l’orage mais je pensais à autre chose. Elle s’engouffra dans mon lit et immédiatement je la pris dans mes bras. Un énorme coup de tonnerre retentit à ce moment-là (le coup de foudre). Elle avait une toute fine chemise de nuit blanche à dentelle. Culotte ou pas ? Suspense. Elle se serra encore plus contre moi. Je lui caressais doucement l’épaule. Ses genoux étaient contre mon sexe. Elle bougeait doucement pour m’exciter. Elle attrapa ma main pour la placer sur ses fesses. Le message était on ne peut plus clair. La porte était largement ouverte. Je sentis sous mes doigts la couture de sa culotte. Je caressais longuement cette frontière entre le haut de sa cuisse et sa fesse gauche. Je bandais comme un taureau sous les caresses de ses genoux. A chaque coup de tonnerre elle se serrait plus « protège-moi. J’ai trop peur, minaudait-elle. Tu me protégeras toujours, hein, dis ? » « Oui ma chérie, toujours. Je t’aime. » C’était sorti malgré moi. Je me l’étais tellement répété que j’avais l’impression que c’était normal. Son visage se tourna vers le mien et nos lèvres se trouvèrent. Ce fut le baiser le plus incroyable de ma vie. Une douceur incroyable. Sa bouche était sucrée. Sa langue une friandise. Elle s’allongea sur le ventre et prit ma main qu’elle mit entre ses jambes. Sa culotte était détrempée. Je la caressais avec douceur. Elle me força à aller plus vite, plus profond. Je sentais ses lèvres intimes à travers le coton. Mais quel bonheur ! « Enlève ma culotte ». Encore un souvenir de notre enfance. Mais cette fois-ci je ne dirai pas non. Je soulevais le drap et me levant à côté d’elle, j’attrapai le fin tissu et le fis glisser le long de ses jambes. A chaque éclair, je voyais le bas de son corps dénudé, ses jambes blanches et si douces, son triangle doré… « Sens-là. Je suis sûre que tu aimes ça » Evidemment que j’aimais ça et elle le savait, la coquine. Je reniflais avidement le fond de sa culotte détrempée. Elle attrapa mon sexe et commença à me masturber doucement. J’écartais ses jambes, les soulevais et plongeais mon visage dans son entrejambe emprisonnant sa vulve entre mes lèvres et doucement, tout doucement, pour ne jamais oublié cet instant si précieux je sortis ma langue pour enfin gouter ses liqueurs à la source. Elle m’appuya la tête pour m’enfoncer en elle. Je ne pouvais plus respirer. J’aspirai le maximum de secrétions espérant que jamais cela ne s’arrête. « Prends-moi, Mathieu, prends-moi. J’ai trop envie ». Il me restait un fond de lucidité. « Non Adeline, on ne peut pas faire cela. On n’a pas le droit. On est cousins » « On s’en fout, moi je t’aime, je ne veux rien d’autre. Je veux ta bite. Mets-moi là vite. S’il te plait. S’il te plait… THOMAAAAASSS… ». C’était plus qu’une prière. « j’ai pas de capote. Il faut pas que tu tombes enceinte. » « Prends-moi par derrière ». J’étais estomaqué. Comment ma si douce petite cousine si sage, si jeune, … pouvait-elle parler ainsi. « Hein ? » « Prends-moi par derrière. C’est ça que je veux. Depuis le temps que j’attends. Depuis toute petite j’attends que ton zizi rentre dans mon cul. J’ai tellement mouillé ma culotte en pensant à ça. S’il te plait Thomas, mets-moi là. Je veux que tu te vides en moi. Je veux sentir ça dans mon ventre. » « Mais ca fait mal par derrière » « prends ma mouille devant. Je me suis mis les doigts au fond, j’aime ça je te jure, tu me feras pas mal » Et elle me montra ses doigts déjà enfoncés dans son petit trou. Je me dis que ma cousine était folle. Une nympho. Elle n’était visiblement pas celle que je croyais. Elle dirigea ma bite vers sa vulve pour l’imprégner au maximum puis elle la dirigea vers son anus. Tout en douceur, je poussais vers elle. Et très rapidement je m’enfonçais en elle.
D’une main, je caressais ses seins, de l’autre je frottais doucement son clito. Elle me saisit la main et la guida vers l’intérieur de son vagin. Deux doigts, puis trois s’enfoncèrent en elle tandis qu’elle hurlait de plaisir. Après avoir fait quelques allers-retours en elle, je décidai de changer de position. Je la remis sur le dos, lui remontant les pieds au-dessus de la tête, soulevant son postérieur. A nouveau j’entrais en elle. Ma main reprit sa place dans son vagin. Elle hurlait de plus belle. Je m’enfonçais jusqu’à la garde. J’avais honte de moi. Honte de prendre un tel plaisir à cette situation dont je n’avais même pas rêvé. Elle me regardait dans les yeux en criant des insanités. J’étais perdu dans ce regard à la fois si doux et démoniaque. Elle était plus belle que jamais. « Vas-y, viens, vide toi en moi. Je veux sentir ton jet au plus profond de moi, han, han, han ». Je finis par jouir de toutes mes forces sans la quitter des yeux. « Ho, c’est bon, c’est bon… ». Je m’écroulais sur elle, anéanti. Je roulais sur le côté, libérant ses fesses. Epuisé. Vidé. Le plus bel orgasme de ma vie. Incroyable. Elle se lova contre moi douce comme une agnelle « Je t’aime. Je n’aime que toi ». Et nous finîmes par nous endormir anéantis pas cet amour excessif. Sur le matin, je fus réveillé par une caresse sur mon membre. Elle m’embrassait sur le visage tout en me masturbant. Elle ramena à nouveau ma main entre ses jambes pour se masturber avec. Je l’embrassais goulument. Nous jouîmes une deuxième fois sans pénétration, tout en douceur…
Durant tout le petit déjeuner elle resta auprès de moi, se frottant à moi telle une panthère langoureuse. « Je suis tellement heureuse. C’était mon rêve. Je t’aime ». Moi, je me sentais un peu mal à l’aise. Avoir fait l’amour avec ma cousine était déjà perturbant. Mais avoir sodomisé ma cousine me gênait au plus haut point. Cette façon de faire avait pour moi une connotation de domination. J’avais beau me dire que c’est elle qui me l’avait demandé, quelque part, peut-être était-ce de ma faute malgré tout. Adeline avait retrouvé toute son innocence. Comment faire le lien entre cet ange et le démon qui me suppliait de l’enculer hier soir ? J’avais l’impression de voir deux personnes différentes. Pourtant dans le pire moment de notre étreinte elle était toujours aussi belle, peut-être encore plus…
Toute la journée, je fus soucieux. Nous avions franchi un cap définitif. Où cela nous mènerait-il ? Officialiser cette liaison était impossible. Que ce soit au niveau de l’entourage (amical, professionnel) mais surtout au niveau de la famille. Personne ne pourrait comprendre. Que faire ? La quitter m’était impossible. L’officialiser encore plus. Vivre notre amour dans l’ombre ? Pendant quelques temps, pourquoi pas. Mais sur le long terme, ce ne serait pas tenable…
Le soir, elle m’accueillit avec son plus beau sourire et un doux baiser. Pour elle, il n’y avait pas de doute, nous étions en couple. Elle m’aida à préparer le repas, toujours collée à moi et riant à pleines dents. Elle était tellement belle. Je savais que je ne pourrais jamais résister à ce sourire, ce visage d’ange. Je ne pouvais que constater que l’amour de ma vie, que personne d’autre ne pourrait jamais me faire un tel effet. Mais pourquoi fallait-il que ce soit elle ? Il y a tant de filles autour de moi. De toutes celles que j’avais eues dans mon lit, aucune ne m’avait fait autant d’effet. Ma jouissance avait été exceptionnelle et visiblement, la réciproque était vraie. Je ne pouvais oublier mon ressenti au moment où j’éjaculais dans son ventre si chaud. Je ne pensais qu’à une chose : recommencer.
Après le repas, nous essayâmes de regarder une émission à la télé mais nous pensions tous les deux à autre chose. Elle était blottie contre moi. Je sentais sa respiration saccadée. Je savais à quoi elle pensait. Je caressais son bras. Ma bite était dressée. « On va au lit ? » « Oui, ouiiiiii ». Nous ne primes même pas la peine d’éteindre la télé. Je l’avais prise dans mes bras et la portais dans notre lit où je l’allongeais tout en douceur. « Je t’aime mon amour, je t’aime ». Je l’embrassais goulûment. Puis nos mains s’égarèrent vers nos parties intimes. Comme la veille, nos bouches engloutirent nos sexes. Elle mouillait encore plus, j’avalais avidement cette liqueur divine. « Cette fois-ci, j’ai des capotes, dis-je en essayant d’attraper la boite ». « Non, prends-moi comme hier. » « Adel, ce n’est pas bien. » « Je m’en fous, moi j’aime ». J’étais abasourdi comme la veille. Alors je commençai à attendrir son petit avec mes doigts et sa liqueur vaginale puis lui relevant les jambes pour garder son visage face au mien, ma bite se présenta à nouveau sur son orifice anal qui s’ouvrit facilement. J’entrai en elle en douceur. Elle soufflait, râlait de plaisir. Je l’embrassais avidement allant et venant doucement. « Plus vite, plujs vite. Ca fait mal, c’est booooonnnn. Hummmm. » Et alors que j’accélérais mes va et vient, elle rugit comme une furie, se mit à hurler de plaisir, ce qui me gêna énormément. Pas de voisins certes mais quand même, peut-être dans la rue l’entendrait-on… « Vas-y, vide toi en moi. Donne-moi ton sperme, je le veux en moi. » Elle me faisait peur. Ma douce cousine était en furie. Une vraie folle. Son visage totalement déformé, ses yeux livides, perdus dans le néant. Mais c’était toujours elle. J’aperçus sa culotte abandonnée sur le lit. Je l’attrapais et la portais à mon nez. Sa cyprine séché si odorante me fit à nouveau un effet dingue. Je fus pris d’un orgasme encore plus fort que la veille. J’explosais en elle. Je la remplis littéralement de mon sperme. Elle ne criait plus. Elle semblait en extase. Elle me regardait droit dans les yeux. Un regard rempli d’amour et de totale soumission. Mais quel bonheur !... J’aurai voulu toute ma vie comme cela. Ma bite profondément ancrée dans son anus si chaud, ma semence la remplissant tendrement. « Adel… Mon amour. Je t’aime, je t’aime… » Elle souriait maintenant. Son sourire si bon. Ses yeux me dévoraient. Quel instant intense !...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
aucun mal à faire l'amour entre cousin cousine,le mariage est même permis entre cousins germains et beaucoup connaissent leurs premiers émois entre eux ,perso mes 3 premiers étaient des cousins
Très intéressant
J’ai adoré
Et ensuite?
Et ensuite?
Très sensuel.... j ai aimé