tendre cruauté

- Par l'auteur HDS Libertin37 -
Récit érotique écrit par Libertin37 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : tendre cruauté Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2008 dans la catégorie Plus on est
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tendre cruauté
Ah putain quelle journée ! Je n’ai qu’une envie : rentrer à la maison, au chaud, me faire couler un bon bain pour me débarrasser du stress accumulé et de l’odeur de ma journée passée et enfin dormir tranquillement. A peine rentré je m’installe sur le canapé bien à mon aise, je ne te vois pas mais je ne m’inquiète pas, je sais que tu rentres souvent tard.
Et puis tout d’un coup, je sens ton souffle dans mon cou, j’entends ta voix me susurrer un petit « surprise ! » à l’oreille. Je me retourne et la surprise est réelle ! le spectacle de ton corps magnifique à peine dissimulé par cette nuisette presque transparente, ta lingerie nouvelle et cet air de défi et de lubricité que j peux lire sur ton visage……..en quelque secondes, tout le poids tombe de mes épaules et je sens déjà une sorte de chaleur dans le bas de mon ventre.
« Qu’est-ce qui me vaut……
« Tais-toi ! Pas un mot, contente toi de me suivre ! » Ta soudaine froideur m’effraie un peu et, je dois l’avouer, m’excite assez…
Je m’exécute donc, te suivant dans la chambre d’amis que tu avais préparé spécialement pour l’occasion….apparemment tu avais prévu cela depuis longtemps. Tu m’installes sur le fauteuil Louis XVI aux motifs baroques que nous avions acheté récemment et pour le quel nous avions tout de suite eu le coup de foudre et j’ai le temps d’apprécier le décor : la lumière est tamisée, quelque bougies sont allumées, à côté du lit complètement drapé de noir se trouve une masse noir elle aussi, comme un tas de tissus. Tu t’approches de moi, me frôle, j’essaie de t’embrasser et tu me décoches une petite gifle sur la joue.
« Hein hein hein…….pas de ça, c’est moi qui commande
-Mais !
-C’est moi qui commande j’ai dit ! »
J’ai compris où tu voulais en venir, j’obéis donc. Tu te diriges vers le lit et te penche en avant pour saisir la masse de tissus (ro ces fesses !!) et tu reviens vers moi.
« Ecoute moi bien, je vais t’attacher et tu as intérêt à m’obéir ! si tu refuses tu seras puni, si tu te plies à mes ordres, tu seras récompensé…
- Embrasse-moi !
-Je ne t’ai pas autorisé à parler ! » Une nouvelle gifle, plus cinglante cette fois ci.
« A partir de maintenant plus un mot ! »
Tu me lies donc les poignets aux accoudoirs du fauteuil et m’embrasses, comme je te l’avais demandé, mais dune façon que je ne t’avais vu utiliser : j’étais plus une sorte de friandise que d’homme, tu me lèches le cou, les oreilles, parcours mon visage du tien et m’embrasses finalement.
Tu te dandines devant moi, la nuisette à tes pieds, ne m’exhibant plus désormais que cette guêpière rouge et noire magnifique, tes bas assortis et ce joli string qui mettait ton cul en valeur de façon insoutenable : je n’en pouvais déjà plus !
Et puis soudain, sans que je comprenne réellement pourquoi, tu quittes la pièce, comme ça ! Je t’entends descendre les escaliers, ouvrir la porte d’entrée et accueillir des voix étrangères. Et moi qui suis là ligoté comme un idiot ! Je vous entends remonter et là tu rentres dans la pièce toujours vêtue de façon si affriolante en compagnie de ces gens que je ne connais pas. L’un des hommes est brun, les yeux bleus, le genre dandy, mal rasé et plutôt bel homme je dois dire. Le deuxième est grand, roux, le visage légèrement maculé de taches de rousseur, les yeux bleus, habillé somme toute normalement. Quant à la femme, elle est plutôt jolie à mon goût (et je sais qu’elle l’est au tien aussi) : elle est assez petite, brune avec des yeux d’un noir profond, une poitrine assez généreuse et bien mise en valeur par son décollette, de belles jambes biens sculptées que laisse deviner sa jupe assez courte. Je me sens ridicule, moi, en costume, attaché devant ces gens que je ne connaissais pas et qui ne me connaissais pas non plus et toi toute naturelle, comme si tu étais habillé d’un jean et d’un t-shirt.
Tu invites les deux hommes à quitter leurs manteaux et les diriges vers le lit.
« Bande-lui les yeux ! Cries-tu à la jeune femme »
Je la vois ramasser le dernier bout de tissus par terre et se mettre derrière moi. Au moment où elle pose l’étoffe sur mes yeux je te vois entrain de baiser la braguette du roux agenouillé sur le lit en fasse de l’autre bellâtre. Je m’aperçois très vite que mon bandeau est presque transparent, même s’il ne me permet que de deviner des silhouettes, et ce que je devine me révolte et m’excite tout à la fois !
Je te vois en train de sucer le dard d’un des deux hommes tout en caressant celui de l’autre de ta main, puis changer de cible, t’occuper des deux à la fois, les coller l‘un contre l’autre et les lécher. Je n’en peux plus : la jalousie de savoir ces deux connards en train de profiter de tes talents (car je dois te l’avouer tu suces formidablement bien !)et l’excitation de la situation me torturent.
« Arrête !! » le cri m’a échappé.
Je devine ta silhouette se relever sous les râles de tes amants, je te vois t’approcher de moi et me décoller une baffe monumentale.
« Je t’ai dit de fermer ta gueule ! »
Tu retournes à tes occupations et avant de les reprendre là où elles en étaient tu me dis
« Maintenant tiens toi sage ! Quant à toi ! Occupe-toi de lui ! »
La jeune fille qui jusque là était restée inactive s’approche de moi et je sens sa main effleurer ma braguette gonflée démesurément, ouvrir ma boucle de ceinture, faire glisser mon pantalon et enfoncer tout d’un coup mon sexe tendu à l’extrême dans sa bouche. La surprise et le plaisir me font pousser un petit cri de plaisir. Elle continu de me sucer mais je n’aime pas sa façon de s’y prendre, elle ne connaît pas mes goûts, mes zones sensibles comme toi. Au bout de quelques minutes (sûrement un quart d’heure je ne sais pas) somme toute pas mauvaise tu lui ordonne d’arrêter. Tu dénoues toi-même mo bandeau et mes autres liens. Tu ordonnes à la fille de se tenir nue sur le lit, les jambes écartées et de se masturber et aux hommes de s’embrasser goulument. Te voir en maîtresse de cérémonie, comme une sorte de chef d’orchestre de cette symphonie érotique me rend fou de désir.
« Mets toi nu mais ne bouge pas de ce canapé ! »
J’en ai vraiment marre d’être un spectateur moi ! Mais bon, je connais les règles, je me soumets. Tu dis au garçon de se mettre à l’écart, tu t’es assez rincé l’œil à les voir se rouler des pelles comme ils l’ont fait et tu vas rejoindre ta partenaire. Tu lui saisis les jambes, les lèves mettant son sexe poilu juste comme il faut en valeur et tendant son cul de façon délicieuse. Tu commences à lui faire un cunnilingus qu’elle semble apprécier (mais où as-tu appris à faire ça ?!?), je la vois se dandiner, onduler ses hanches et bomber son torse mettant en valeur sa magnifique poitrine en poussant de petits gémissements. Le spectacle est vraiment superbe et je ne peux résister à l’envie de me masturber, tout comme mes compagnons de débauche. Tu lui ordonnes soudain d’inverser les rôles et elle baisse le string que tu vais gardé jusque là, se met à genoux devant toi qui es restée debout en positions de dominatrice (ce rôle te va si bien). J’entends tes cris de plaisir, tes encouragements, je la vois lécher sucer, mordiller, mettre plusieurs doigts dans ce sexe dont je croyais être le seul à n’avoir jamais joui et toi qui l’encourages, en redemande, hurles de plaisir. Tu sors alors un long godemichet (encore une nouvelle acquisition !) et la met à quatre pattes et lui enfonce d’un coup sec le long membre de latex dans sa petite chatte qui n’attendais qui ça et viens te coller fesses à fesses avec elle. Vraiment bandant………
Soudain, tu te retires et retires l’engin de son sexe frustré et commence à lui lécher le petit trou rose que j’adore à emprunter chez toi. Tu la lèches, introduis des doigts de telle sorte qu’en peu de temps le chemin est prêt à recevoir les outrages des plus gros pénis. Tu intimes au brun de venir profiter de ton œuvre pendant que e roux bénéficiera du reste de la jeune fille comme bon lui semble. Les deux apollons ne se font pas prier et tandis que le brun s’enfonce dans l’orifice de la petite brune, le roux glisse son pénis dans la bouche de celle-ci dont le plaisir de jouir de ces deux queues est évident. Pendant ce temps, tu t’es glissées contre moi et tandis que tu me caresses Napoléon tu me glissa à l’oreille : « Que croyais-tu ? Qu’ils auraient le droit de profiter d’un corps qui t’appartient ? Jamais ! »
Tu m’embrasse tout en jouant avec mon pénis et me dit, en me regardant droit dans les yeux
« Prends moi, j’ai envie de toi maintenant ! »
Tu te mets à quatre pattes sur le rebord du lit, aux côtés des nos trois coquins dont le roux à désormais pris la place du brun dans le chemin de Sodome de la jeune fille tendit que celle-ci se faisait prendre par le brun normalement. Tu m’invites d’un clin d’œil mutin à venir te rejoindre et je n’aurais raté ça pour rien au monde ! Je te prends donc en levrette, ici, dans cette chambre obscure, aux côtés duo trio en plein ébat. Je suis dans un état d’excitation tel que je sens que je pourrais tenir bien longtemps. Fort heureusement, cette ambiance t’a échauffée et tu jouies rapidement. Je me retire donc et tu vas te placer à côté de la brune dont le violent orgasme a fait trembler les murs. Les deux autres hommes et moi nous mettons devants vous qui vous embrassez en vous caressant et le spectacle nu fait bien tôt jouir : vous recevez une belle quantité de foutre sur vous que vous vous empressez de lécher puis de partager au cours de long baiser langoureux….
Apres avoir mis nos hôtes gentiment à la porte tu me demandes si cela m’a plu
« J’ai adoré
- Moi aussi…..
- Je t’aime ma Lili
- -Je t’aime aussi
- Mais pourquoi toute cette mise en scène, depuis quand tu avais prévu ça ?
- Je ne sais pas……….j’avais juste envie d’être un peu cruelle ! »

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