Tenue de circonstance
Récit érotique écrit par Nathalie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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Tenue de circonstance
Je suivis mon maître dans le magasin. Un peu surprise au début, je me rappelai que j’avais choisi de ne pas avoir mon mot à dire dans ce qu’il me fait. Et, à vrai dire, je n’ai jamais été déçue. Mais là, l’animalerie, c’était nouveau. Je me demandai ce qu’il avait en tête. Et vu la tenue qu’il m’avait fait porter – un tailleur, avec une jupe courte quelques centimètres au-dessus du genou, et la veste croisée qui révélait mon décolleté et mon soutien-gorge – j’étais certaine qu’il avait quelque chose en tête… Il entra, alla voir un vendeur et lui demanda où se trouvaient les colliers pour chien. Je me sentis prise de vertige. Ici ? Quand même pas…
Il suivit les indications, et arriva au rayon des colliers. Après quelques minutes à regarder les modèles exposés là, il en prit un. Se tourna vers moi, le ferma à mon cou. Puis se recula, m’observa, le défit et le remit en place. Il en prit un autre. Je sus que ce serait le bon : cuir noir, avec des surpiqûres blanches et une grosse boucle à l’avant, pour la laisse. Qu’il trouva d’ailleurs juste à côté, assortie. L’air satisfait, il défit le collier et alla à la caisse. Pour ma part, j’avais les yeux baissés, je ne regardais que le sol. Je sentais mes seins chauds, lourds, et mon ventre tendu. J’avais même le haut des cuisses humide. L’humiliation me fait toujours un effet incroyable, lorsqu’il me l’inflige d’un air aussi détaché. Il a un don pour me donner l’impression que je ne suis qu’un accessoire, un gadget utile mais sans existence propre.
À la caisse, il bavarda un peu avec la caissière, et paya pour les deux articles. Puis il lui demanda si elle avait des ciseaux, pour retirer les étiquettes. Elle comprit de travers, et demanda si c’était pour un cadeau, s’il lui fallait un paquet. Oui, répondit-il, c’est pour un cadeau, mais pas la peine de l’emballer. Il comptait s’en servir tout de suite. Elle ne posa pas de question et retira les étiquettes. Mon maître la remercia et se tourna vers moi.
— Mets-le, me dit-il en me tendant le collier avec sa courte laisse.
Je pris le collier et tentai de le passer à mon cou sans relever le nez. Peine perdue. Je pris une grande inspiration, relevai le visage et passai le collier à mon cou. Mon regard croisa celui de la caissière, qui me dévisageait, un peu stupéfaite. Une fois le collier fermé, la laisse pendant entre mes seins. Mon maître la prit et me fit sortir du magasin après avoir remercié la vendeuse. Il lâcha la laisse en sortant dans la rue, mais me laissa le collier pendant le retour.
— N’oublie pas ce jour, Nathalie, dit-il. Aujourd’hui, tu as montré à quelqu’un d’autre que tu étais une chienne. Enfin, pour la première fois.
Il suivit les indications, et arriva au rayon des colliers. Après quelques minutes à regarder les modèles exposés là, il en prit un. Se tourna vers moi, le ferma à mon cou. Puis se recula, m’observa, le défit et le remit en place. Il en prit un autre. Je sus que ce serait le bon : cuir noir, avec des surpiqûres blanches et une grosse boucle à l’avant, pour la laisse. Qu’il trouva d’ailleurs juste à côté, assortie. L’air satisfait, il défit le collier et alla à la caisse. Pour ma part, j’avais les yeux baissés, je ne regardais que le sol. Je sentais mes seins chauds, lourds, et mon ventre tendu. J’avais même le haut des cuisses humide. L’humiliation me fait toujours un effet incroyable, lorsqu’il me l’inflige d’un air aussi détaché. Il a un don pour me donner l’impression que je ne suis qu’un accessoire, un gadget utile mais sans existence propre.
À la caisse, il bavarda un peu avec la caissière, et paya pour les deux articles. Puis il lui demanda si elle avait des ciseaux, pour retirer les étiquettes. Elle comprit de travers, et demanda si c’était pour un cadeau, s’il lui fallait un paquet. Oui, répondit-il, c’est pour un cadeau, mais pas la peine de l’emballer. Il comptait s’en servir tout de suite. Elle ne posa pas de question et retira les étiquettes. Mon maître la remercia et se tourna vers moi.
— Mets-le, me dit-il en me tendant le collier avec sa courte laisse.
Je pris le collier et tentai de le passer à mon cou sans relever le nez. Peine perdue. Je pris une grande inspiration, relevai le visage et passai le collier à mon cou. Mon regard croisa celui de la caissière, qui me dévisageait, un peu stupéfaite. Une fois le collier fermé, la laisse pendant entre mes seins. Mon maître la prit et me fit sortir du magasin après avoir remercié la vendeuse. Il lâcha la laisse en sortant dans la rue, mais me laissa le collier pendant le retour.
— N’oublie pas ce jour, Nathalie, dit-il. Aujourd’hui, tu as montré à quelqu’un d’autre que tu étais une chienne. Enfin, pour la première fois.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
moi aussi j'aime les personne soumise mais je suis un homme. Un homme peut-il être un soumis??
tres bonne expérience !
Bonjour,c'est la 3eme histoire de Nathalie que je lis, j'ai malheureusement commencé par
les deux dernières,mais maintenant que j'ai la liste complète,je reprend du début avec
grand plaisir,en prenant mon temps,parce que déjà impatient de lire la onzième...Merci
les deux dernières,mais maintenant que j'ai la liste complète,je reprend du début avec
grand plaisir,en prenant mon temps,parce que déjà impatient de lire la onzième...Merci
Belle histoire mais courte. La suite bientôt??
C'est tres agréable de porter (par soumission ou simplement par plaisir) un colier de
cuir tres solide, cela nous transporte dans un autre monde
C'est tres agréable de porter (par soumission ou simplement par plaisir) un colier de
cuir tres solide, cela nous transporte dans un autre monde
très belle histoire d'une soumise, à l'age que tu as, tu dois avoir beaucoup
d'expérience, nous sommes curieuses (couple lesbien)d'en savoir plus...
d'expérience, nous sommes curieuses (couple lesbien)d'en savoir plus...
j attends la siute avec impatience petite natalie et ne tarde^pas trop