Terrible... ça me semble être le mot
Récit érotique écrit par Aurel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terrible... ça me semble être le mot
Ivan est un artiste pluridisciplinaire fascinant. J'ai une préférence pour ses photos et ses vidéos. Un jour que nous en parlions, il me disait que ça le reposait de faire cela, et je crois que ça se voit dans ses images : elles ont quelque chose d'apaisant. Au contraire du reste de son travail.
Pour le monde de l'art en général et en particulier celui qui anime notre belle capitale où réside sa compagnie, il est avant tout connu pour ses activités de chorégraphe. Il a la réputation d'un bourreau de travail doté d'une extraordinaire créativité, un meneur de troupe énergique, infatigable et exigeant, qui pousse ses danseurs au-delà de leurs limites. Le public n'est pas épargné non plus. Grâce à sa notoriété, les représentations sont toujours jouées à guichet fermé mais finissent souvent avec seulement la moitié des spectateurs, partis on ne sait où se remettre de leurs émotions.
Ivan a son cercle d'intimes, dont je fais partie. Et ses fans, que j'évite soigneusement, entre autres à cause des passions que déclenche son génie chez certains. Je me méfis en particulier de la façon dont il en use… et abuse. C'est le cas avec sir Magnus ROUTARA de BAYARENBOURG. Il appartient à l'une des familles les plus fortunées du pays et s'occupe en faisant du mécénat avec la fondation qu'il a créé. Pour Ivan, c'est l'interlocuteur idéal, s'il veut sauver sa compagnie qui est au bord du dépôt de bilan.
La première fois qu'ils se rencontrent, je déjeune avec Ivan dans la gargote qui est devenue la cantine de la compagnie. Dès qu'il lui serre la main, le charme opère. Je suis toujours impressionné par l'ascendant qu'il peut immédiatement avoir sur certains. Je finis mon repas au plus vite et m'éclipse discrètement.
Même lieu, même heure, deux semaines plus tard, il m'apprend que la compagnie est presque sauvée. Il est jusque là très avare en détails sur sa nouvelle relation. Aussi, j'insiste pour avoir quelques explications. Il me dit, avec un sourire béat, qu'avec lui, c'est surtout une question de… "liquidités" !
- Il est accro au jus, me dit-il pour faire disparaître cet air bête qui a figé mon visage.
Il m'explique que sa "tirelire", comme il l'appelle, a des trous très accueillants. Son truc, c'est sperme à volonté, par tous les trous. Les chèques se font en conséquence. Malgré tout, il n'a pas réussi à satisfaire la gourmandise de son nouveau sponsor. Alors il a eu l'idée de…
- Le mettre à disposition !
- Comment ça ?
- Pour des groupes. La première fois, ils n'étaient "que" cinq et j'ai bien vu que ça ne suffisait pas. Alors, je lui ai organisé une soirée spéciale chez "Maître Vargas".
L'évocation d'"une soirée spéciale chez Maître Vargas", bien que je n'aie aucune idée de ce que ça peut être, me fait serrer les fesses malgré moi. Puis je me crispe tout entier. Je voudrai pouvoir au moins émettre des hypothèses, arriver à mettre quelque chose en forme, mais rien ne vient. Si ce n'est une légère appréhension. Qui se renforce quand Ivan me dit, en payant l'addition, qu'on va aller voir ça de plus prêt. J'aimerai protester, mais rien ne sort.
Maître Vargas officie non loin de là, au premier étage d'un hôtel particulier. Un grand black ouvre, nous inspecte. On dirait qu'il scrute jusqu'au plus profond de nos âmes. Je ne sais ce qu'il y a trouvé, mais il nous autorise à entrer. Les plafonds sont hauts et richement décorés de moulures, comme les murs. Les pièces sont éclairées de néons roses et bleus. Une musique techno diffuse dans l'air, mais rien d'assourdissant. Presque pas de mobilier, à part quelques fauteuils. Partout, des hommes. Seuls. En groupes. En jean. En cuir. En costume. Torses nus. Complètement à poil. Ça suce. Ça se branle. Ça s'encule. On passe de bite en bite, de cul en cul. Ça sent le foutre et le poppers. Dans une pièce, le parquet est recouvert d'une grande bâche noire. Au milieu, un cube lumineux et dessus, à quatre pattes, entièrement nu, Magnus. Un type est en train de décharger dans sa bouche, tandis qu'un autre de lui lime le fion. Tout prêt, ils sont deux à s'astiquer le manche en attendant que les places se libèrent. Un peu plus loin, on matte en buvant un verre. Dans un coin, sur un canapé, trois mecs affalés, le pantalon sur les chevilles, se passent un joint. Un blondinet s'empale sur la queue de celui qui se saisit du mégot et tourne en même temps.
Je me cale contre un mur. J'ai l'impression d'avoir bu quinze bières. Justement, Ivan arrive de je ne sais où et m'en tend une. On sirote quelques gorgées en silence et je le vois s'éloigner. Un jeune homme se plante à côté de moi. J'adore son style. Bermuda bleu marine assorti aux mocassins et chemise bleu ciel aux manches retroussées. Avec sa jolie peau dorée, il a l'air de descendre du voilier familial. Il me fixe. Un homme le rejoint, se positionne derrière lui et l'enlace. Il déboutonne sa chemise et lui titille les seins en mordillant ses oreilles. Puis il fait glisser lentement le short le long de ses fesses qui se cambrent. Pas de sous-vêtements. L'homme est maintenant à genoux derrière lui et le lubrifie avec sa langue. Il se redresse, sort sa queue de son jean et le pénètre. Au départ délicatement. Puis les mouvements sont de plus en plus secs et ils se rapprochent de moi. Je ne bouge pas. La jolie tête blonde se cale contre mon épaule. Aux coups de butoirs suivants, je sens son souffle dans mon cou. Je caresse ses cheveux et embrasse son front tendrement. Nos bouches se frôlent et nos langues finissent par se mêler. Le goût si délicat de ce long baiser me transporte. L'onde de plaisir qui le traverse semble se prolonger en moi. L'homme derrière lui me caresse la nuque pour mieux participer à notre étreinte. Je sens son autre main qui fouille la braguette de mon jean. J'ai beaucoup mouillé et quand ma bite se retrouve à l'air libre, je sens une légère fraîcheur sur mon gland qui se découvre. Le contraste est délicieux quand il s'enfonce dans la bouche chaude du minet qui continue à se faire ramoner. Quelle délicatesse. Quel bonheur.
Je sens tout à coup quelque chose qui m'oblige à relever la tête et ouvrir les yeux.
- Je vous rappelle que ce soir, c'est SA soirée, dit l'homme sèchement en désignant Magnus avec la cravache que j'avais sous le menton.
- Oui maître, répondent mes deux compagnons en cœur.
Je me retrouve tout à coup seul avec mon partenaire. Nous regardons notre camarade de jeu s'éloigner en direction de l'homme sur le cube lumineux. Il plonge sa queue entre ses fesses, fait quelques mouvements et s'arrête. Lorsqu'il se retire, il récupère avec les doigts du sperme qui coule le long des cuisses et les lui à lécher.
Nous échangeons un regard avec mon complice et il reprend son pompage. Il est particulièrement délicat et il aime faire durer les choses. J'ai l'impression de planer. Je n'y tiens plus. Je jouis. Il m'agrippe fermement pendant que je me vide au fond de son gosier. Tout à coup, je vois le maître des lieux s'approcher et me menacer de sa baguette de cuir. La peur de prendre un coup créait une telle tension que je n'arrête pas de cracher. Quand je m'arrête enfin, mon compagnon se relève et prend la direction que lui indique Maître Vargas du doigt. Une fois près du cube, il place sa main sous la mâchoire de l'homme à quatre pattes qui redresse la tête. Les langues sont toutes proches et je vois mon foutre qui glisse de l'une à l'autre puis être avalé.
Ivan réapparaît tout à coup et fait tinter sa bière contre celle qu'il m'a tendue.
- Merci, généreux donateur, me dit-il en souriant.
Pour le monde de l'art en général et en particulier celui qui anime notre belle capitale où réside sa compagnie, il est avant tout connu pour ses activités de chorégraphe. Il a la réputation d'un bourreau de travail doté d'une extraordinaire créativité, un meneur de troupe énergique, infatigable et exigeant, qui pousse ses danseurs au-delà de leurs limites. Le public n'est pas épargné non plus. Grâce à sa notoriété, les représentations sont toujours jouées à guichet fermé mais finissent souvent avec seulement la moitié des spectateurs, partis on ne sait où se remettre de leurs émotions.
Ivan a son cercle d'intimes, dont je fais partie. Et ses fans, que j'évite soigneusement, entre autres à cause des passions que déclenche son génie chez certains. Je me méfis en particulier de la façon dont il en use… et abuse. C'est le cas avec sir Magnus ROUTARA de BAYARENBOURG. Il appartient à l'une des familles les plus fortunées du pays et s'occupe en faisant du mécénat avec la fondation qu'il a créé. Pour Ivan, c'est l'interlocuteur idéal, s'il veut sauver sa compagnie qui est au bord du dépôt de bilan.
La première fois qu'ils se rencontrent, je déjeune avec Ivan dans la gargote qui est devenue la cantine de la compagnie. Dès qu'il lui serre la main, le charme opère. Je suis toujours impressionné par l'ascendant qu'il peut immédiatement avoir sur certains. Je finis mon repas au plus vite et m'éclipse discrètement.
Même lieu, même heure, deux semaines plus tard, il m'apprend que la compagnie est presque sauvée. Il est jusque là très avare en détails sur sa nouvelle relation. Aussi, j'insiste pour avoir quelques explications. Il me dit, avec un sourire béat, qu'avec lui, c'est surtout une question de… "liquidités" !
- Il est accro au jus, me dit-il pour faire disparaître cet air bête qui a figé mon visage.
Il m'explique que sa "tirelire", comme il l'appelle, a des trous très accueillants. Son truc, c'est sperme à volonté, par tous les trous. Les chèques se font en conséquence. Malgré tout, il n'a pas réussi à satisfaire la gourmandise de son nouveau sponsor. Alors il a eu l'idée de…
- Le mettre à disposition !
- Comment ça ?
- Pour des groupes. La première fois, ils n'étaient "que" cinq et j'ai bien vu que ça ne suffisait pas. Alors, je lui ai organisé une soirée spéciale chez "Maître Vargas".
L'évocation d'"une soirée spéciale chez Maître Vargas", bien que je n'aie aucune idée de ce que ça peut être, me fait serrer les fesses malgré moi. Puis je me crispe tout entier. Je voudrai pouvoir au moins émettre des hypothèses, arriver à mettre quelque chose en forme, mais rien ne vient. Si ce n'est une légère appréhension. Qui se renforce quand Ivan me dit, en payant l'addition, qu'on va aller voir ça de plus prêt. J'aimerai protester, mais rien ne sort.
Maître Vargas officie non loin de là, au premier étage d'un hôtel particulier. Un grand black ouvre, nous inspecte. On dirait qu'il scrute jusqu'au plus profond de nos âmes. Je ne sais ce qu'il y a trouvé, mais il nous autorise à entrer. Les plafonds sont hauts et richement décorés de moulures, comme les murs. Les pièces sont éclairées de néons roses et bleus. Une musique techno diffuse dans l'air, mais rien d'assourdissant. Presque pas de mobilier, à part quelques fauteuils. Partout, des hommes. Seuls. En groupes. En jean. En cuir. En costume. Torses nus. Complètement à poil. Ça suce. Ça se branle. Ça s'encule. On passe de bite en bite, de cul en cul. Ça sent le foutre et le poppers. Dans une pièce, le parquet est recouvert d'une grande bâche noire. Au milieu, un cube lumineux et dessus, à quatre pattes, entièrement nu, Magnus. Un type est en train de décharger dans sa bouche, tandis qu'un autre de lui lime le fion. Tout prêt, ils sont deux à s'astiquer le manche en attendant que les places se libèrent. Un peu plus loin, on matte en buvant un verre. Dans un coin, sur un canapé, trois mecs affalés, le pantalon sur les chevilles, se passent un joint. Un blondinet s'empale sur la queue de celui qui se saisit du mégot et tourne en même temps.
Je me cale contre un mur. J'ai l'impression d'avoir bu quinze bières. Justement, Ivan arrive de je ne sais où et m'en tend une. On sirote quelques gorgées en silence et je le vois s'éloigner. Un jeune homme se plante à côté de moi. J'adore son style. Bermuda bleu marine assorti aux mocassins et chemise bleu ciel aux manches retroussées. Avec sa jolie peau dorée, il a l'air de descendre du voilier familial. Il me fixe. Un homme le rejoint, se positionne derrière lui et l'enlace. Il déboutonne sa chemise et lui titille les seins en mordillant ses oreilles. Puis il fait glisser lentement le short le long de ses fesses qui se cambrent. Pas de sous-vêtements. L'homme est maintenant à genoux derrière lui et le lubrifie avec sa langue. Il se redresse, sort sa queue de son jean et le pénètre. Au départ délicatement. Puis les mouvements sont de plus en plus secs et ils se rapprochent de moi. Je ne bouge pas. La jolie tête blonde se cale contre mon épaule. Aux coups de butoirs suivants, je sens son souffle dans mon cou. Je caresse ses cheveux et embrasse son front tendrement. Nos bouches se frôlent et nos langues finissent par se mêler. Le goût si délicat de ce long baiser me transporte. L'onde de plaisir qui le traverse semble se prolonger en moi. L'homme derrière lui me caresse la nuque pour mieux participer à notre étreinte. Je sens son autre main qui fouille la braguette de mon jean. J'ai beaucoup mouillé et quand ma bite se retrouve à l'air libre, je sens une légère fraîcheur sur mon gland qui se découvre. Le contraste est délicieux quand il s'enfonce dans la bouche chaude du minet qui continue à se faire ramoner. Quelle délicatesse. Quel bonheur.
Je sens tout à coup quelque chose qui m'oblige à relever la tête et ouvrir les yeux.
- Je vous rappelle que ce soir, c'est SA soirée, dit l'homme sèchement en désignant Magnus avec la cravache que j'avais sous le menton.
- Oui maître, répondent mes deux compagnons en cœur.
Je me retrouve tout à coup seul avec mon partenaire. Nous regardons notre camarade de jeu s'éloigner en direction de l'homme sur le cube lumineux. Il plonge sa queue entre ses fesses, fait quelques mouvements et s'arrête. Lorsqu'il se retire, il récupère avec les doigts du sperme qui coule le long des cuisses et les lui à lécher.
Nous échangeons un regard avec mon complice et il reprend son pompage. Il est particulièrement délicat et il aime faire durer les choses. J'ai l'impression de planer. Je n'y tiens plus. Je jouis. Il m'agrippe fermement pendant que je me vide au fond de son gosier. Tout à coup, je vois le maître des lieux s'approcher et me menacer de sa baguette de cuir. La peur de prendre un coup créait une telle tension que je n'arrête pas de cracher. Quand je m'arrête enfin, mon compagnon se relève et prend la direction que lui indique Maître Vargas du doigt. Une fois près du cube, il place sa main sous la mâchoire de l'homme à quatre pattes qui redresse la tête. Les langues sont toutes proches et je vois mon foutre qui glisse de l'une à l'autre puis être avalé.
Ivan réapparaît tout à coup et fait tinter sa bière contre celle qu'il m'a tendue.
- Merci, généreux donateur, me dit-il en souriant.
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