Teub épisode 3
Récit érotique écrit par Jacques59 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2003 dans la catégorie En solitaire
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Teub épisode 3
Comme Jacques le fataliste avait son maître (Diderot) le monde a aussi son maître qui le mène.
Depuis qu'Adam a osé croquer la pomme et qu'Eve a osé se saisir du serpent, le pénis (ou la verge ou la queue ou le zob ou ...la teub en verlan) dirige les hommes (et les femmes) et l'histoire du monde.
Les mosaïques de Pompéi prouvent que de tout temps elle était à l'honneur ; le Vert Galant (Henri IV), Louis XIV, Napoléon... étaient de fervents adeptes.
Le Président de la République française L ..., le cardinal D... sont morts en épectase (terme inventé pour la circonstance par la curie).
Combien de papes, et d'autres gens d'église, se sont adonnés au plaisir...
Bref la bite dirige le monde.
Les textes qui suivent sont de mon invention et ne font appel (ou rappel) à personne d'existant (ou disparu) ni à quelque fait réel (même si ce peut être vrai ou plausible ou vérifié).
Tout à votre plaisir de lecteur.
Jacques59
_____________________________
La découverte de mon pouvoir.
Il fait noir. Je suis bien au chaud et je repose douillettement sur mes deux oreillers encore imberbes. De temps à autre de petits soubresauts m'agitent. Je perçois des flots ininterrompus qui m'envahissent et me font palpiter.
Parfois j'ai envie de m'étendre, de m'allonger, mais je n'y parviens pas encore. Trop jeune sans doute. Manque d'expérience...
Et pourtant une nuit, à mon grand plaisir, je me suis allongée progressivement, j'ai grossi gorgée de ce liquide nourricier qui était en moi. Je suis devenue toute dure et me suis plaquée entre un coussin bien chaud , bien dodu et un tissu cotonneux qui me chatouillait.
Mon maître ne s'est rendu compte de rien : il dormait profondément bien que son activité musculaire le fît bouger de temps en temps.
Il se retourna, se plaça sur le ventre et je me retrouvais calée bien au chaud. Est-ce la position ou la température ? Je ne sais... Toujours est-il que je me suis sentie traversée par des spasmes et que quelques gouttes ont parcouru ma voie interne pour venir s'étaler sur ma couette en une large tache.
Le matin à son réveil mon maître fit la découverte : son pyjama était sali à ma hauteur. Il baissa son pantalon et m'examina en me prenant entre ses doigts et en me retournant dans tous les sens. Il ne découvrit rien d'anormal évidemment. Il me lava consciencieusement au moment de la toilette.
Durant la journée je restais sagement à l'abri bien que ballottée de droite et de gauche. Ce n'est pas du repos que d'être ainsi trimballée : et je suis toute secouée durant une course, ou bien coincée dans le noir à l'intérieur du slip et toute rabougrie quand mon maître est assis pendant des heures.
Parfois il ouvre la porte pour me faire prendre l'air : j'en profite pour recracher tout ce qu'il a avalé, puis il me secoue et me remet au coin jusqu'à la prochaine fois.
J'apprécie quand vient le soir car là je me mets à l'aise au chaud du pyjama ou du caleçon et je prends toute ma place.
Je me love et me repose sur mes deux coussins. Parfois des doigts viennent me gratter car je dérange mon propriétaire. Une autre fois je me laisse caresser car une envie subite me prend et je sens que je vais devoir satisfaire un besoin impérieux. Bref je ne suis jamais au repos bien longtemps.
J'apprécie tout particulièrement quand une main m'enveloppe dans sa chaleur : j'essaie alors de me faire aussi grosse que je peux mais je dois alors m'allonger ; je ne saurais pas rester repliée sur moi-même. Alors je m'étire, mon col roulé se déroule, ma tête toute rose sort du col et toute frétillante je jaillis dans toute ma splendeur au grand plaisir de mon maître qui, pour me récompenser, me caresse longuement, me flatte le cou, le corps, les coussins. Ma bouche s'entrouvre pour laisser sortir une goutte ou deux de liquide filant que la main de mon maître étale alors sur ma tête dégarnie. Comme c'est bon de se laisser flatter.
Puis mon maître s'allonge sur le dos, il éteint la lumière et je vais m'endormir.
Mais non, pas encore ! Depuis qu'il a découvert la satisfaction de me caresser, tous les soirs j'ai le droit d'être câlinée. Alors je fais la belle, je me dresse de toute ma hauteur, je m'étire tant que je peux ; plus je suis dure, plus mon maître appuie ses doigts sur moi pour bien me montrer que lui-aussi est heureux. Et ça dure quelques minutes (parfois plus, parfois moins) mais je finis toujours par le récompenser.
La première fois il a été surpris parce que j'ai craché trop vite : il a dormi avec le pyjama mouillé. Mais depuis il a compris et dès qu'il ressent les contractions du plaisir, il m'allonge sur son ventre couvert d'un mouchoir et me laisse me répandre à mon gré ou bien il m'entoure de son mouchoir et continue à me secouer comme un prunier jusqu'à ce que tout mon jus soit sorti ; il me ressuie alors avec ma semence, m'enduit de mon foutre comme pour me remercier de lui avoir donné du plaisir.
Mais c'est normal, suis-je tentée de lui dire : je suis là pour cela.
Le plaisir est le seul but de mon existence...
A suivre
Depuis qu'Adam a osé croquer la pomme et qu'Eve a osé se saisir du serpent, le pénis (ou la verge ou la queue ou le zob ou ...la teub en verlan) dirige les hommes (et les femmes) et l'histoire du monde.
Les mosaïques de Pompéi prouvent que de tout temps elle était à l'honneur ; le Vert Galant (Henri IV), Louis XIV, Napoléon... étaient de fervents adeptes.
Le Président de la République française L ..., le cardinal D... sont morts en épectase (terme inventé pour la circonstance par la curie).
Combien de papes, et d'autres gens d'église, se sont adonnés au plaisir...
Bref la bite dirige le monde.
Les textes qui suivent sont de mon invention et ne font appel (ou rappel) à personne d'existant (ou disparu) ni à quelque fait réel (même si ce peut être vrai ou plausible ou vérifié).
Tout à votre plaisir de lecteur.
Jacques59
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La découverte de mon pouvoir.
Il fait noir. Je suis bien au chaud et je repose douillettement sur mes deux oreillers encore imberbes. De temps à autre de petits soubresauts m'agitent. Je perçois des flots ininterrompus qui m'envahissent et me font palpiter.
Parfois j'ai envie de m'étendre, de m'allonger, mais je n'y parviens pas encore. Trop jeune sans doute. Manque d'expérience...
Et pourtant une nuit, à mon grand plaisir, je me suis allongée progressivement, j'ai grossi gorgée de ce liquide nourricier qui était en moi. Je suis devenue toute dure et me suis plaquée entre un coussin bien chaud , bien dodu et un tissu cotonneux qui me chatouillait.
Mon maître ne s'est rendu compte de rien : il dormait profondément bien que son activité musculaire le fît bouger de temps en temps.
Il se retourna, se plaça sur le ventre et je me retrouvais calée bien au chaud. Est-ce la position ou la température ? Je ne sais... Toujours est-il que je me suis sentie traversée par des spasmes et que quelques gouttes ont parcouru ma voie interne pour venir s'étaler sur ma couette en une large tache.
Le matin à son réveil mon maître fit la découverte : son pyjama était sali à ma hauteur. Il baissa son pantalon et m'examina en me prenant entre ses doigts et en me retournant dans tous les sens. Il ne découvrit rien d'anormal évidemment. Il me lava consciencieusement au moment de la toilette.
Durant la journée je restais sagement à l'abri bien que ballottée de droite et de gauche. Ce n'est pas du repos que d'être ainsi trimballée : et je suis toute secouée durant une course, ou bien coincée dans le noir à l'intérieur du slip et toute rabougrie quand mon maître est assis pendant des heures.
Parfois il ouvre la porte pour me faire prendre l'air : j'en profite pour recracher tout ce qu'il a avalé, puis il me secoue et me remet au coin jusqu'à la prochaine fois.
J'apprécie quand vient le soir car là je me mets à l'aise au chaud du pyjama ou du caleçon et je prends toute ma place.
Je me love et me repose sur mes deux coussins. Parfois des doigts viennent me gratter car je dérange mon propriétaire. Une autre fois je me laisse caresser car une envie subite me prend et je sens que je vais devoir satisfaire un besoin impérieux. Bref je ne suis jamais au repos bien longtemps.
J'apprécie tout particulièrement quand une main m'enveloppe dans sa chaleur : j'essaie alors de me faire aussi grosse que je peux mais je dois alors m'allonger ; je ne saurais pas rester repliée sur moi-même. Alors je m'étire, mon col roulé se déroule, ma tête toute rose sort du col et toute frétillante je jaillis dans toute ma splendeur au grand plaisir de mon maître qui, pour me récompenser, me caresse longuement, me flatte le cou, le corps, les coussins. Ma bouche s'entrouvre pour laisser sortir une goutte ou deux de liquide filant que la main de mon maître étale alors sur ma tête dégarnie. Comme c'est bon de se laisser flatter.
Puis mon maître s'allonge sur le dos, il éteint la lumière et je vais m'endormir.
Mais non, pas encore ! Depuis qu'il a découvert la satisfaction de me caresser, tous les soirs j'ai le droit d'être câlinée. Alors je fais la belle, je me dresse de toute ma hauteur, je m'étire tant que je peux ; plus je suis dure, plus mon maître appuie ses doigts sur moi pour bien me montrer que lui-aussi est heureux. Et ça dure quelques minutes (parfois plus, parfois moins) mais je finis toujours par le récompenser.
La première fois il a été surpris parce que j'ai craché trop vite : il a dormi avec le pyjama mouillé. Mais depuis il a compris et dès qu'il ressent les contractions du plaisir, il m'allonge sur son ventre couvert d'un mouchoir et me laisse me répandre à mon gré ou bien il m'entoure de son mouchoir et continue à me secouer comme un prunier jusqu'à ce que tout mon jus soit sorti ; il me ressuie alors avec ma semence, m'enduit de mon foutre comme pour me remercier de lui avoir donné du plaisir.
Mais c'est normal, suis-je tentée de lui dire : je suis là pour cela.
Le plaisir est le seul but de mon existence...
A suivre
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