The naughty life - partie 3 -
Récit érotique écrit par Kokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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The naughty life - partie 3 -
Je me réveille après profond sommeil suite à cette intense séance de sexe.
Je regarde mon téléphone, je consulte les messages, et je m'arrête sur celui de Didier qui veut recommencer ce soir.
L'envie y est, mais mon cul, mis à rude épreuve hier soir, me demande du repos.
J'explique la situation à Didier. Ce dernier me répond qu'il passe ce soir car il a envie de se faire sucer longuement et, dit-il, "se sera l'occasion pour moi de m'entraîner à la prendre en fond de gorge." La journée se passe. J'appréhende un peu ce deuxième rendez-vous, mais je me surprend à aimer sa façon de faire.
Il se montre très habile pour m'imposer ses envies.
En fin de journée, j'apprends qu'il ne me rejoindra que vers minuit. Aussi, je retourne sur le tchat pour voir si Wiktor est connecté.
Malheureusement, je ne le vois pas en ligne. Un homme vient me parler et je me demande si ce n'est pas lui qui me contacte avec un autre pseudo.
La discussion est sympathique, le côté sexe est abordé de façon détourné. J'aime les allusions, les sous-entendus. Maintenant, je ne me vois pas me lancer dans une 3e aventure.
J'en suis maintenant certain, c'est Wiktor que je veux. Est-ce son côté inaccessible qui m'attire en lui ? Est-ce son phrasé ? Est-ce le mystère qui entoure le personnage, j'avoue ne pas savoir mais je suis attiré par cet homme.
Les minutes filent, il est déjà l'heure de me préparer pour mon hote.
Je coupe le tchat, déçu de ne pas avoir discuté avec Wiktor. Une sensation de manque apparaît, une frustration que je ne m'explique pas.
Alors que je me déshabille pour prendre ma douche, l'interphone sonne. C'est Didier, il est en avance et je ne suis pas prêt.
Je lui ouvre la porte et lui propose de prendre un verre en attendant que je prenne ma douche.
Il accepte volontiers une bière bien fraîche.
Me voilà dans la douche avec cet homme,ce bel antillais, qui sent le sexe jusqu'au bout des ongles, dans mon salon.
Un bruit me sort de mes rêveries. Didier a ouvert la porte, il me dit qu'il doit pisser.
Sans aucune gêne, il sort son engin à moitié en érection, et tout en me parlant, commence à pisser.
Je le regarde dans les yeux, je n'ose pas le regarder se soulager alors que j'en ai très envie.
Il ne quitte pas mon regard, jusqu'au moment où il la secoue longuement. Je profite de cet instant pour voir l'objet de mes désirs.
Il me surprend à le mater, il me sourit, un sourire vicieux. Il se déshabille, me rejoint sous la douche et me glisse à l'oreille : "la prochaine fois, tu devras la secouer à ma place"Je n'ai pas le temps de réagir qu'il fait déjà pression sur mes épaules pour me forcer à m'agenouiller.
Sans aucun mot, il prend son sexe et l'enfonce dans ma bouche. Il me demande alors de mettre mes mains dans le dos et de le laisser faire Il commence des va-et-vient lent, entrant sa queue à moitié dans ma bouche, il me demande de bien jouer avec ma langue, d'aspirer son gland et de serrer les lèvres.
Puis sans me prévenir, il me prend la tête de ses deux mains et enfonce sa queue dans ma bouche jusqu'à ce que ses couilles frappent mon menton.
Il prend ainsi possession de ma gorge, j'essaie de m'échapper mais il me tient fermement.
Il me demande de me calmer, de me décontracter pour ressentir le plaisir d'avoir sa queue profondément en moi.
Puis après quelques secondes, il me libère.
Cependant, j'ai a peine le temps de reprendre mon souffle qu'il replonge sa queue au fond de ma gorge.
Je lui fait signe de la main pour qu'il se retire, mais il reste fermement planté en moi.
Puis après de longues secondes, ses mains libèrent ma tête et il m'attire vers lui.
Il glisse sa langue dans ma bouche, explore chaque recoin. Je le laisse faire, je subis plus que je ne participe.
Il me glisse ensuite à l'oreille que j'ai encore du boulot pour apprendre à sucer des hommes comme lui.
On sort de la douche, nous rejoignons le lit. Je passe devant, il en profite pour caresser mes fesses.
Près du lit, Didier me demande si je veux continuer mon apprentissage ou si je préfère qu'il parte.
Partagé d'un côté entre mon désir de sexe, mon désir d'apprentissage, et de l'autre côté, la peur de ne pas être capable d'assurer et de décevoir mon partenaire du soir.
L'excitation l'emporte et sans lui apporter de réponse, je commence à le sucer.
Il me caresse la tête en signe de satisfaction puis ajoute que ce n'est pas ce qu'il attend.
Interloqué je lui explique que j'ai encore le cul en feu, que je ne suis pas encore prêt pour me faire prendre.
Il me réponds que ce n'est pas ce qu'il demande même s'il veut pouvoir me baiser quand il le veut Didier me demande de m'allonger sur le dos, la tête dans le videUne fois dans cette position, il se positionne au-dessus de moi. Il me donne ses couilles à lécher pendant qu'il me pince les tétons Quelle sensation bizarre, celle de vouloir qu'il arrête cette petite torture et en même temps espérer qu'il n'arrête jamais.
A plusieurs reprises il me demande d'enlever mes mains, qui par réflexe, essayaient de protéger mes tétons malmenésIl finit par me dire d'arrêter ou il "m'attacherait les mains" .
Au même moment, il pousse son bassin en arrière, prend sa bite entre les mains, il la branle au-dessus de mon visage, puis il rentre son gland dans ma bouche.
Après m'avoir demandé de ne pas bouger et de me laisser faire, il enfonce toute sa queue centimètre par centimètre dans ma bouche. Je ne peux l'empêcher d'atteindre la gorge.
Elle est entièrement en moi, je ne peux plus respirer. L'épaisseur de sa queue m'oblige à bien ouvrir la mâchoire pour qu'elle ne rentre pas en contact avec mes dents.
Il commence des vas et vient, j'essaie de respirer dès qu'il se retire suffisamment.
Il m'explique que les bons suceurs sont capables de sucer de cette façon pendant de longues minutes, que je dois apprendre à respirer en fonction du rythme qu'il me donne Ses couilles frappent mon visage, j'essaie de tenir le plus longtemps possible. Je le sens prendre son pied, sa queue devient de plus en plus dure, de plus en plus grosse. De mon côté ma mâchoire donne des signes de fatigue.
Il sort enfin de ma bouche, se branle au-dessus de mon visage, puis il pousse un cri rauque et éjacule des quantités incroyable de spermeJ'en ai partout, du menton au nombril, j'en ai même sur les draps.
Fier de lui, il tapote sa queue sur ma joue et me dit que j'apprends vite, qu'on va bien s'amuser ensemble.
Après s'être rincé, il s'est rhabillé puis a repris sa route.
Il m'enverra un sms quelques instants après son départ pour me dire "à bientôt" Je me pose sur le canapé et je commence à me branler pour revivre la scène, avant de m'exciter sur des fantasmes nouveaux, sur des envies que je viens de découvrir Je me vois sucer sa queue, jusqu'à ressentir sa jouissance dans ma bouche et y gouter. Instantanément, je jouis dans un plaisir non contenu.
Je me surprends en m'apercevant que ce n'était pas à Didier que je pensais au moment de ce plaisir solo...
Je regarde mon téléphone, je consulte les messages, et je m'arrête sur celui de Didier qui veut recommencer ce soir.
L'envie y est, mais mon cul, mis à rude épreuve hier soir, me demande du repos.
J'explique la situation à Didier. Ce dernier me répond qu'il passe ce soir car il a envie de se faire sucer longuement et, dit-il, "se sera l'occasion pour moi de m'entraîner à la prendre en fond de gorge." La journée se passe. J'appréhende un peu ce deuxième rendez-vous, mais je me surprend à aimer sa façon de faire.
Il se montre très habile pour m'imposer ses envies.
En fin de journée, j'apprends qu'il ne me rejoindra que vers minuit. Aussi, je retourne sur le tchat pour voir si Wiktor est connecté.
Malheureusement, je ne le vois pas en ligne. Un homme vient me parler et je me demande si ce n'est pas lui qui me contacte avec un autre pseudo.
La discussion est sympathique, le côté sexe est abordé de façon détourné. J'aime les allusions, les sous-entendus. Maintenant, je ne me vois pas me lancer dans une 3e aventure.
J'en suis maintenant certain, c'est Wiktor que je veux. Est-ce son côté inaccessible qui m'attire en lui ? Est-ce son phrasé ? Est-ce le mystère qui entoure le personnage, j'avoue ne pas savoir mais je suis attiré par cet homme.
Les minutes filent, il est déjà l'heure de me préparer pour mon hote.
Je coupe le tchat, déçu de ne pas avoir discuté avec Wiktor. Une sensation de manque apparaît, une frustration que je ne m'explique pas.
Alors que je me déshabille pour prendre ma douche, l'interphone sonne. C'est Didier, il est en avance et je ne suis pas prêt.
Je lui ouvre la porte et lui propose de prendre un verre en attendant que je prenne ma douche.
Il accepte volontiers une bière bien fraîche.
Me voilà dans la douche avec cet homme,ce bel antillais, qui sent le sexe jusqu'au bout des ongles, dans mon salon.
Un bruit me sort de mes rêveries. Didier a ouvert la porte, il me dit qu'il doit pisser.
Sans aucune gêne, il sort son engin à moitié en érection, et tout en me parlant, commence à pisser.
Je le regarde dans les yeux, je n'ose pas le regarder se soulager alors que j'en ai très envie.
Il ne quitte pas mon regard, jusqu'au moment où il la secoue longuement. Je profite de cet instant pour voir l'objet de mes désirs.
Il me surprend à le mater, il me sourit, un sourire vicieux. Il se déshabille, me rejoint sous la douche et me glisse à l'oreille : "la prochaine fois, tu devras la secouer à ma place"Je n'ai pas le temps de réagir qu'il fait déjà pression sur mes épaules pour me forcer à m'agenouiller.
Sans aucun mot, il prend son sexe et l'enfonce dans ma bouche. Il me demande alors de mettre mes mains dans le dos et de le laisser faire Il commence des va-et-vient lent, entrant sa queue à moitié dans ma bouche, il me demande de bien jouer avec ma langue, d'aspirer son gland et de serrer les lèvres.
Puis sans me prévenir, il me prend la tête de ses deux mains et enfonce sa queue dans ma bouche jusqu'à ce que ses couilles frappent mon menton.
Il prend ainsi possession de ma gorge, j'essaie de m'échapper mais il me tient fermement.
Il me demande de me calmer, de me décontracter pour ressentir le plaisir d'avoir sa queue profondément en moi.
Puis après quelques secondes, il me libère.
Cependant, j'ai a peine le temps de reprendre mon souffle qu'il replonge sa queue au fond de ma gorge.
Je lui fait signe de la main pour qu'il se retire, mais il reste fermement planté en moi.
Puis après de longues secondes, ses mains libèrent ma tête et il m'attire vers lui.
Il glisse sa langue dans ma bouche, explore chaque recoin. Je le laisse faire, je subis plus que je ne participe.
Il me glisse ensuite à l'oreille que j'ai encore du boulot pour apprendre à sucer des hommes comme lui.
On sort de la douche, nous rejoignons le lit. Je passe devant, il en profite pour caresser mes fesses.
Près du lit, Didier me demande si je veux continuer mon apprentissage ou si je préfère qu'il parte.
Partagé d'un côté entre mon désir de sexe, mon désir d'apprentissage, et de l'autre côté, la peur de ne pas être capable d'assurer et de décevoir mon partenaire du soir.
L'excitation l'emporte et sans lui apporter de réponse, je commence à le sucer.
Il me caresse la tête en signe de satisfaction puis ajoute que ce n'est pas ce qu'il attend.
Interloqué je lui explique que j'ai encore le cul en feu, que je ne suis pas encore prêt pour me faire prendre.
Il me réponds que ce n'est pas ce qu'il demande même s'il veut pouvoir me baiser quand il le veut Didier me demande de m'allonger sur le dos, la tête dans le videUne fois dans cette position, il se positionne au-dessus de moi. Il me donne ses couilles à lécher pendant qu'il me pince les tétons Quelle sensation bizarre, celle de vouloir qu'il arrête cette petite torture et en même temps espérer qu'il n'arrête jamais.
A plusieurs reprises il me demande d'enlever mes mains, qui par réflexe, essayaient de protéger mes tétons malmenésIl finit par me dire d'arrêter ou il "m'attacherait les mains" .
Au même moment, il pousse son bassin en arrière, prend sa bite entre les mains, il la branle au-dessus de mon visage, puis il rentre son gland dans ma bouche.
Après m'avoir demandé de ne pas bouger et de me laisser faire, il enfonce toute sa queue centimètre par centimètre dans ma bouche. Je ne peux l'empêcher d'atteindre la gorge.
Elle est entièrement en moi, je ne peux plus respirer. L'épaisseur de sa queue m'oblige à bien ouvrir la mâchoire pour qu'elle ne rentre pas en contact avec mes dents.
Il commence des vas et vient, j'essaie de respirer dès qu'il se retire suffisamment.
Il m'explique que les bons suceurs sont capables de sucer de cette façon pendant de longues minutes, que je dois apprendre à respirer en fonction du rythme qu'il me donne Ses couilles frappent mon visage, j'essaie de tenir le plus longtemps possible. Je le sens prendre son pied, sa queue devient de plus en plus dure, de plus en plus grosse. De mon côté ma mâchoire donne des signes de fatigue.
Il sort enfin de ma bouche, se branle au-dessus de mon visage, puis il pousse un cri rauque et éjacule des quantités incroyable de spermeJ'en ai partout, du menton au nombril, j'en ai même sur les draps.
Fier de lui, il tapote sa queue sur ma joue et me dit que j'apprends vite, qu'on va bien s'amuser ensemble.
Après s'être rincé, il s'est rhabillé puis a repris sa route.
Il m'enverra un sms quelques instants après son départ pour me dire "à bientôt" Je me pose sur le canapé et je commence à me branler pour revivre la scène, avant de m'exciter sur des fantasmes nouveaux, sur des envies que je viens de découvrir Je me vois sucer sa queue, jusqu'à ressentir sa jouissance dans ma bouche et y gouter. Instantanément, je jouis dans un plaisir non contenu.
Je me surprends en m'apercevant que ce n'était pas à Didier que je pensais au moment de ce plaisir solo...
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