Titre de l'histoire érotique : Au lycée...
Récit érotique écrit par Ziza G [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.3
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : Au lycée...
Durant mon année de 1ère au lycée ; j'avais un copain. Il était littéralement fou de moi, fou de mon corps. Il faut dire que j'avais la fâcheuse manie de le chauffer. Il n'était pas rare qu'on passe nos nuits aux téléphones pendant que nos parents dormaient. J'en profitais pour lui raconter des histoires cochonnes en me caressant, pendant que lui même se branlait. J'adorais le rendre fou de désir !
Souvent les lendemains au lycée, il avait toujours envie de moi et passait son temps à m'embrasser et me lécher le corps dans quelques cachettes du lycée.
On ne pouvait pas faire l’amour. C'était compliqué, on habitait loin. On avait donc presqu'aucune option pour concrétiser ce désir qui montait de plus en plus.
Pourtant un jour où j'étais en cours d'anglais il m'a envoyé un message :« tu fais quoi ? » je lui réponds « je suis en cours d'anglais pourquoi ?» et là il me dit « je vais aux toilettes du bâtiment on se rejoint ! ».
J'ai senti une pression monter en moi. Un délicieux mélange de peur, d'excitation, de désir, de frustration, tant de chose à la fois que j'en suis devenue toute rouge. Je n'ai pas répondu pas à ce dernier SMS. Il semblait évident qu'il ne s'agissait pas d'une question mais d'un ordre ! Un ordre que je n'ai pas tardé à exécuter. Prétextant à mon professeur d'aller au toilette, ce que j'allais réellement faire ! J'ai foncé directe au lieu du rendez vous.
Il n' y avait personne, il n'était pas là. Je me suis sentie tout de suite bien bête d'avoir marché dans sa blague alors qu'il n'était même pas là. J'étais furieuse. En plus, j'avais laissé mon portable dans la salle de cours, je ne pouvais même pas lui envoyer un texto. Je suis restée à l'attendre et puis enfin cet idiot a apparu !
Soulagement ! Le sourire aux lèvres on ne s'est pas prié pour les toilettes, on choisit les plus grandes ( handicapé). Il régnait dans ce lieu pour le moins pas le plus hygiénique de la terre une délicieuse odeur de fraise, sans doute la femme de ménage venait juste de passer. Les murs étaient tous blancs et propre.
Je ne lui ai même pas demandé ce qu'il avait foutu ni pourquoi il venait que maintenant. J’étais bien trop excité. Je l'ai poussé contre le mur pour l'embrasser fougueusement. Il m'a tenu fermement les hanches pour me rapprocher encore plus de lui, puis me viole les lèvres, les joues, la nuque pendant que ses mains douces me caressent tout le corps sous mes vêtements. Il dégrafe mon soutien gorge, m'embrasse le corps mon ventre et remonte pour bien s'occuper de ma poitrine déjà bien excitée par tout cet afflux de désir. Il me prend un mamelon et le met dans sa bouche et commence une succion sur mon téton qui durcit sous les mordillements de ses dents pendant que son autre main caresse l'autre téton. Quelle adorable sensation ! Je sens une chaleur intense qui provient de mon entre jambe. J'en deviens dingue et je lève son tee shirt lèche ses tétons les mordille passe ma langue tout le long de ce torse au goût légèrement salé. C'est un réel plaisir comme une mise en bouche lors d'un apéritif qui laisse avenir un délicieux plat de résistance. Il me retourne contre le mur plutôt frais et sans même comprendre ce qui va m'arriver il me baisse le pantalon. Là il voit un string trempé de cyprine. Ça le rend fou ! Il passe sa langue directement sur mon string trempé sans même prendre la peine de découvrir mon sexe bien humide.Enfin, il écarte mon string et me met quelques coups de langue. J'en jouis tellement c’est bon !
Je me jette sur sa braguette prête à exploser sous la pression de son pénis bien dur. Ce pénis est beau tout beige avec un gland bien rose, il est du genre veineux. Il est bien gros et surtout ferme. J'adore les pénis fermes ! Je commence à le branler. Il se colle au mur me met devant lui, baisse mon string et m'enfile un doigt pendant que je caresse sa belle queue. On se frotte l'un contre l'autre, râle de plaisir. On a chaud ! Ma peau en devient moite , mon cœur bat de plus en plus vite à la sensation et au bruit du va et vient de ses droits en moi. Plus il me met des doigts dans ma chatte totalement trempée puis j'augmente la cadence de sa branlette et plus j'entends son rythme cardiaque s'emballer.
A un moment intense en plaisir, où on s'oublie totalement, on entend une personne rentrer dans les toilettes !
Sans aucune panique de notre part on continue encore en évitant le maximum de bruit. Ça m'a encore plus excité ! Rien de mieux qu'une petite frayeur mélangée à un bon plaisir sexuel. L'envie d'abuser de cette situation ne nous a pas manqué. Mais on avait pas de capote, on a donc préféré en rester là. Après tout on avait déjà bien joui !
Ce moment reste l'un des meilleurs souvenirs du lycée, bien que nous n'ayons pas fait l'amour.
Et vous, vous l'avez fait dans votre lycée?
Souvent les lendemains au lycée, il avait toujours envie de moi et passait son temps à m'embrasser et me lécher le corps dans quelques cachettes du lycée.
On ne pouvait pas faire l’amour. C'était compliqué, on habitait loin. On avait donc presqu'aucune option pour concrétiser ce désir qui montait de plus en plus.
Pourtant un jour où j'étais en cours d'anglais il m'a envoyé un message :« tu fais quoi ? » je lui réponds « je suis en cours d'anglais pourquoi ?» et là il me dit « je vais aux toilettes du bâtiment on se rejoint ! ».
J'ai senti une pression monter en moi. Un délicieux mélange de peur, d'excitation, de désir, de frustration, tant de chose à la fois que j'en suis devenue toute rouge. Je n'ai pas répondu pas à ce dernier SMS. Il semblait évident qu'il ne s'agissait pas d'une question mais d'un ordre ! Un ordre que je n'ai pas tardé à exécuter. Prétextant à mon professeur d'aller au toilette, ce que j'allais réellement faire ! J'ai foncé directe au lieu du rendez vous.
Il n' y avait personne, il n'était pas là. Je me suis sentie tout de suite bien bête d'avoir marché dans sa blague alors qu'il n'était même pas là. J'étais furieuse. En plus, j'avais laissé mon portable dans la salle de cours, je ne pouvais même pas lui envoyer un texto. Je suis restée à l'attendre et puis enfin cet idiot a apparu !
Soulagement ! Le sourire aux lèvres on ne s'est pas prié pour les toilettes, on choisit les plus grandes ( handicapé). Il régnait dans ce lieu pour le moins pas le plus hygiénique de la terre une délicieuse odeur de fraise, sans doute la femme de ménage venait juste de passer. Les murs étaient tous blancs et propre.
Je ne lui ai même pas demandé ce qu'il avait foutu ni pourquoi il venait que maintenant. J’étais bien trop excité. Je l'ai poussé contre le mur pour l'embrasser fougueusement. Il m'a tenu fermement les hanches pour me rapprocher encore plus de lui, puis me viole les lèvres, les joues, la nuque pendant que ses mains douces me caressent tout le corps sous mes vêtements. Il dégrafe mon soutien gorge, m'embrasse le corps mon ventre et remonte pour bien s'occuper de ma poitrine déjà bien excitée par tout cet afflux de désir. Il me prend un mamelon et le met dans sa bouche et commence une succion sur mon téton qui durcit sous les mordillements de ses dents pendant que son autre main caresse l'autre téton. Quelle adorable sensation ! Je sens une chaleur intense qui provient de mon entre jambe. J'en deviens dingue et je lève son tee shirt lèche ses tétons les mordille passe ma langue tout le long de ce torse au goût légèrement salé. C'est un réel plaisir comme une mise en bouche lors d'un apéritif qui laisse avenir un délicieux plat de résistance. Il me retourne contre le mur plutôt frais et sans même comprendre ce qui va m'arriver il me baisse le pantalon. Là il voit un string trempé de cyprine. Ça le rend fou ! Il passe sa langue directement sur mon string trempé sans même prendre la peine de découvrir mon sexe bien humide.Enfin, il écarte mon string et me met quelques coups de langue. J'en jouis tellement c’est bon !
Je me jette sur sa braguette prête à exploser sous la pression de son pénis bien dur. Ce pénis est beau tout beige avec un gland bien rose, il est du genre veineux. Il est bien gros et surtout ferme. J'adore les pénis fermes ! Je commence à le branler. Il se colle au mur me met devant lui, baisse mon string et m'enfile un doigt pendant que je caresse sa belle queue. On se frotte l'un contre l'autre, râle de plaisir. On a chaud ! Ma peau en devient moite , mon cœur bat de plus en plus vite à la sensation et au bruit du va et vient de ses droits en moi. Plus il me met des doigts dans ma chatte totalement trempée puis j'augmente la cadence de sa branlette et plus j'entends son rythme cardiaque s'emballer.
A un moment intense en plaisir, où on s'oublie totalement, on entend une personne rentrer dans les toilettes !
Sans aucune panique de notre part on continue encore en évitant le maximum de bruit. Ça m'a encore plus excité ! Rien de mieux qu'une petite frayeur mélangée à un bon plaisir sexuel. L'envie d'abuser de cette situation ne nous a pas manqué. Mais on avait pas de capote, on a donc préféré en rester là. Après tout on avait déjà bien joui !
Ce moment reste l'un des meilleurs souvenirs du lycée, bien que nous n'ayons pas fait l'amour.
Et vous, vous l'avez fait dans votre lycée?
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aurais vivre une telle expèrience... Mais j'étais trop coincé pour ça... Heuresement ca a changé depuis :)
Belle histoire, moi j'avais prévu une capote
Les amours lycéennes sont toujours superbes ! Si vous en avez le temps lisez mes premiers récits publiés sur HDS.
Super histoire et super souvenir, sauf que nous on avait une capote...
Jolie histoire, souvenirs encore bien vivants.
Continue à écrire.
Bises
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Bises