Titre de l'histoire érotique : AU SEX-SHOP (2)

- Par l'auteur HDS Bonobobo -
Récit érotique écrit par Bonobobo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 2 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Bonobobo ont reçu un total de 5 697 visites.
Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : AU SEX-SHOP (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2008 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 4 766 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : AU SEX-SHOP (2)
AU SEX-SHOP 2

Après notre aventure au sex-shop, je voulais y retourner, me demandant jusqu’où nous pourrions aller. Aussi à force de lui en parler, je décidais ma femme à retourner sur les lieux où elle avait connu un orgasme rapide sous les doigts fouineurs du gérant.

Ce jour là, il y avait dans le sex-shop un couple, lui grand brun, les yeux clairs (c'est le type d'homme qu'elle préfère) elle pas trop grande, des yeux malicieux, une bouche pulpeuse, brune également et surtout une poitrine qui attirait les regards par le balancement caractéristique de ses seins lourds dépourvus de soutien. Ils regardaient les robes.
Il y avait aussi deux hommes, plus murs, mais avec un certain charme, qui étaient au rayon gadgets, et ont paru très intéressés par ma femme, quand ils nous on vu entrer, à en juger par leur façon de la regarder.
Nous nous dirigeons directement au rayon des soutiens-gorge seins nus et après avoir consulté la nouvelle collection nous nous sommes dirigés ver les cabines avec quelques modèles à essayer. Le gérant nous salua aimablement au passage, nous faisant bien comprendre ainsi qu’il nous avait reconnus.
Je fis rentrer ma femme dans une cabine visible depuis le magasin et ne fermais pas le rideau complètement pour qu’en passant les personnes présentes, puissent jeter un œil sur ma moitié en train de se déshabiller.
Nous en étions à peine au deuxième article quand le vendeur arriva pour nous demander si nous trouvions notre bonheur cette fois-ci, je lui répondis qu’en effet nous avions trouvé deux modèles qui mettaient bien en valeur la poitrine de mon épouse.
Il s’approcha pour bien se rendre compte de l’effet et, ouvrant un peu plus le rideau, la rendit bien visible aux deux hommes qui guettaient une opportunité de bien se rincer l’œil.
Il me dit qu’en effet ça lui allait très bien et qu’il faudrait lui trouver un petit haut qui aille bien avec et qui permette de profiter de l’effet que produisait ce sous-vêtement.
Il revint bientôt avec une robe au décolleté très large et très courte. Il nous laissa pendant qu’elle la passait et le rideau était toujours à moitié ouvert, les deux hommes étaient là à mater le spectacle de ma femme en petite culotte et soutien-gorge qui lui rehaussait les seins de fort belle façon.
Le couple, lui aussi semblait intéressé par le spectacle et passait devant notre cabine aussi souvent que possible, regardant bien où nous en étions de notre exhibition. Elle s’exhibait complaisamment se tournant bien pour qu’on la voie de l’extérieur de la cabine.
Le vendeur arriva pour constater que tout cela lui allait à merveille et comme il n’y avait pas de miroir dans la cabine, il prit ma femme par la taille et la conduisit jusqu’aux miroirs qui étaient dans un coin du magasin, disposés sur plusieurs murs rapproché, permettant ainsi de se voir sous tous les angles.
Ma femme, très consciente du spectacle qu’elle donnait, marchait en balançant bien ses fesses. Une fois sur place, entre tous ces miroirs qui renvoyaient son image coquine sous tous les angles, il la fit tourner autant pour qu’elle puisse se voir que pour les autres qui se rinçaient copieusement l’œil.
L’ayant ramenée à la cabine, il passa sa main sous le décolleté de la robe pour soi disant mettre en place les seins de ma femme dans le soutien gorge, et faisant apparaitre les tétons se mit en devoir de les faire rouler entre ses doigts « parce que c’était plus sexy quand les pointes se voyaient à travers le tissus de la robe » au passage, il en profitait bien, d’autant plus que mon regard l’encourageait à aller plus loin.
Il tripotait bien ses seins et ceux-ci réagirent en durcissant. Les pointes s'allongeaient, il commença à les faire rouler sous ses doigts, à les pincer et les tordre doucement. Ma femme adore qu'on lui tripote ses pointes de seins et ce traitement commençait à la faire gémir de bonheur, le couple qui n'était pas bien loin, s'approcha, une robe à la main, pour voir ce qui se passait et se dirigea vers notre cabine. Comme le rideau était resté ouvert quand le vendeur était entré, ils pouvaient bien mater le spectacle de ma femme qui se faisait tripoter les nichons. La femme du couple ouvrit le rideau de la cabine en face et s'installa pour essayer sa robe, rideau grand ouvert, elle se déshabillait en se mettant bien en évidence et en continuant de mater ma femme que le vendeur n'avait pas lâché, et qu'il tenait maintenant par derrière, un de ses seins dans la main, alors que de l'autre il lui avait relevé la jupe et s'était glissé dans sa petite culotte.
Je me tenais sur le côté et observais ma salope se faire branler devant ce couple qui avait interrompu son essayage pour se caresser en regardant ce qui se passait dans notre cabine.
Elle était complètement nue et son mari lui murmurait à l'oreille en la caressant sans cesser de nous mater.
J'aidais alors le vendeur à retirer sa culotte à ma chérie et je regardais ses doigts fouiller sa chatte toute gluante d'excitation, ses gémissements résonnaient tant et si bien dans tout le sex-shop que les deux hommes ne tardèrent pas à arriver eux aussi.
Devant ce spectacle torride, ils sortirent leurs bittes toutes raides et se mirent à se branler en regardant ma petite pute se faire branler et s'exhiber comme ça, un d'eux s'approcha même et commença à joindre ses doigts à ceux du vendeur dans sa chatte, pendant que l'autre rentrait dans l'autre cabine pour s'occuper de l'autre femme qui était en train de baiser avec son mari qui s'était assis sur le tabouret qui était dans la cabine alors qu'elle s’asseyait sur sa queue en regardant toujours dans notre direction.
Voyant comment les choses tournaient, le vendeur nous dit qu'il allait fermer le magasin un moment. Il revint tout de suite et attrapa ma femme par la main et l'entraîna dans le sex-shop, il la faisait marcher comme ça, les seins à l'air et la jupe retroussée, une main sur son cul.
J’adorais la voir déambuler comme ça dans le magasin, à moitié à poil, sous la conduite d’un inconnu. Nous les suivions, le type qui avait commencé à la doigter et moi, la bitte à la main, il la conduisit au rayon des gadgets et la fit asseoir sur une banquette en sky.
Là il commença à se défaire et il sortit une queue hors normes, une vraie bitte de cheval, une bitte large d'au moins 6 Cm et longue de 25, et un gland encore plus gros que la hampe, nous n’avions jamais rien vu d’aussi gros en matière de sexe, ma salope qui a un faible pour les bittes bien grosses en avait la mâchoire qui tombait! Elle ne la quittait pas des yeux, elle la prit à deux mains et l'approcha de sa bouche, sortant sa langue et commença à la lécher comme une grosse glace, l’autre gars, lui, s'était mis entre ses cuisses et s'occupait de sa chatte avec ses doigts et sa langue, il léchait la mouille qui s'écoulait abondamment.
Le vendeur lui tendit un gros gode qu'il avait pris sur un présentoir et sorti de son emballage et lui dit "tiens prépares la moi avec ça !" le gars ne voulant pas laisser échapper une si belle occasion de baiser, se préparait à lui planter sa queue dans la chatte avant, voyant ça, je pris cette queue fine et longue et surtout très dure, j’en éprouvais la raideur dans ma main je la sentais palpiter d’impatience, je la dirigeais sur les lèvres vaginales de ma petite femme adorée et, la frottais dessus pour la faire languir un peu puis lentement je la fis rentrer dans le ventre accueillant de ma chérie.
Les autres nous avaient rejoints entre temps et la belle s'était penchée et suçait un sein de ma femme pendant que le deuxième client la baisait par derrière et que son mari se branlait en regardant.
Elle ajouta ses doigts aux miens pour faire entrer la bitte dans ma salope de femme, je voyais que ses doigts rentraient même un peu en même temps que la queue, l’agrandissant ainsi pour la préparer à se faire prendre par la bitte monstrueuse du vendeur.
N'ayant plus de place pour ma main sur la chatte de ma salope préférée, je décidais d'empoigner les couilles du type et d'accompagner ses mouvements de va et vient en les lui malaxant doucement, il gémit et accéléra le rythme de ses pénétrations, se raidit et vida sa jouissance au fond du ventre de ma femme.
Aussitôt sa queue sortie, je saisis le gode géant et le présentais au con dilaté de mon amour, qui l'avala sans coup férir, ses gémissements ne faisaient aucun doute, elle se régalait de ce gode qui la préparait à cette queue qu'elle désirait maintenant plus que tout, la femme me prit le gode des mains en me souriant et le fit entrer et sortir en le faisant tourner, puis le sortit et présentant ses doigts joints les fit entrer tout doucement en les tournant un peu pour que ça glisse mieux, mais ma chérie était si trempée et remplie du sperme de l’homme qui l’avait embrochée, que c'était à peine nécessaire, je vis alors sa petite main entrer progressivement en entier dans le ventre de ma petite pute, qui s'écartait à fond pour qu'on la prenne.
Je n’en croyais pas mes yeux de voir ma femme, les jambes écartées en grand, avec le bras de cette femme qui sortait de son con, quand la main sortait je pouvais voir ses lèvres s’écarter au maximum pour la laisser passer et se refermer sur son poignet fin, quand elle la replongeait au fond de son ventre.
Elle envoyait son pubis au devant de cette main qui la fouillait en profondeur, qui lui agrandissait la chatte pour la préparer à la bitte qu'elle serrait dans ses petites mains jointes et dont elle régalait sa petite bouche distendue.
Mais sentant qu'elle risquait de jouir trop vite avec le traitement qu'elle subissait de la part de l'autre salope, elle demanda au vendeur de la prendre sans plus attendre, je m'approchais alors de la bouche de ma femme, elle me regardait, les yeux perdus par le plaisir et la jouissance retenue, me la tendit, je posais ma langue dessus, essayais de la prendre dans ma bouche, ne réussissant pas à avaler plus que le gland énorme, je trouvais le contact agréable, c’était lisse et doux bien que dur comme du bois, je léchais le frein au dessous, c'était vraiment une bitte monstrueuse, et j'avais très envie de voir ma femme se régaler de cette bête énorme, je le dirigeais entre les jambes de ma femme.
Il n'en pouvait plus d'attendre, ma femme l'avait chauffé à blanc avec sa bouche de suceuse de bittes il voulait maintenant la baiser et la remplir de son jus épais et chaud. Alors il prit le poignet de la femme qui était toujours entrain de pistonner dans le con baveux et le sortant, s'enfonça du même coup jusqu'à la garde.
Je profitais bien de la vision du con bien graissé, de ma petite pute préférée, en train d’absorber cette énormité.
Elle le prit par les hanches et le tira au fond d'elle en hurlant de bonheur, je regardais ses lèvres se distendre pour le laisser passer, il entrait en elle et sortait à toute vitesse, sachant qu'il ne tiendrait plus longtemps, excité comme il l'était!. J’obligeais ma chienne à avaler ma queue au bord de l’explosion quand la jouissance les emporta tous les deux en même temps, il lui remplit le con d’abondantes giclées de sperme, tandis que je lâchais moi aussi ma dose de foutre dans la gorge de ma salope adorée qui avala avec satisfaction.
Le mari de l’autre femme conduisit celle-ci entre les cuisses de ma douce pour lui faire lécher tout le sperme qui s’écoulait pendant que l’autre type la besognait vigoureusement par derrière.
Il se branlait à toute vitesse en regardant sa putain de femme faire et laissa sa sauce gicler sur le ventre de mon épouse pour que la sienne l’ajoute à son menu. L’homme derrière elle la baisait maintenant avec violence, faisant claquer son ventre contre ses fesses en la traitant de sac à foutre, disant qu’elle était bonne et qu’il allait tout lâcher dans son cul de putain.
Il se vida en elle en se collant à ses fesses pour tout lui envoyer au plus profond de ses boyaux.
Tout le monde s'étant rhabillé, nous nous dirigeâmes vers la sortie avec les remerciements du vendeur, et en nous promettant de revenir dès que cela serait possible essayer autre chose, un gode peut-être, si le vendeur était toujours d'accord!
Je remarquais en nous dirigeant vers la voiture, que ma salope marchait les jambes écartées, elle s'était fait drôlement défoncer la chatte, et en plus elle y avait pris beaucoup de plaisir, il allait falloir que je pense à la garder aussi largement ouverte pour qu'une prochaine fois elle puisse sortir dans la rue après s’être fait embrocher, sans se faire remarquer en marchant comme un canard !

Voilà, il y a peu de chances qu'une aventure comme celle la nous arrive car ma chérie ne se laisserait pas aller aussi facilement à des ébats avec autant de gens, et d’ailleurs nous ne faisons jamais rien sans préservatifs, mais c'est du pur fantasme, ça fait du bien!!!

Si ce fantasme vous a plu, vous pouvez me dire ce que ça vous inspire, je pense que vous avez compris que vous pouvez vous lâcher et donner beaucoup de détails bien hard.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Pas mal. Tu m'as laissé un commentaire sur l'une de mes histoires. Voici mon mail si tu veux les suites : plombare6@gmx.fr



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : AU SEX-SHOP (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Bonobobo

Titre de l'histoire érotique : AU SEX-SHOP (2) - Récit érotique publié le 01-05-2008
AU SEX-SHOP 1 - Récit érotique publié le 30-04-2008